Les nouveaux visages de l’ésotérisme, par Jean-Christophe Thibaut.
La sorcellerie revient à la mode. Les sorcières modernes 2.0 apparaissent de manière exponentielle dans les réseaux sociaux et les sites Internet. Les magnétiseurs ou les propositions de soins énergétiques sont présents dans tous les centres-villes et les plaques de thérapeutes alternatifs côtoient celles de la médecine conventionnelle.
Ces méthodes sont d'autant mieux accueillies qu'elles épousent nos attentes existentielles du moment : comment trouver la paix intérieure, donner du sens à la vie, sauver l'homme et la planète… Assez naturellement, des concepts spirituels, souvent empruntés aux religions orientales, irriguent les principes d'un certain nombre de médecines douces, de techniques de développement personnel, mais aussi de projets éducatifs ou même de méthodes agricoles bio.
Des croyants, pourtant soucieux de leur vie spirituelle, peuvent boire à plusieurs sources sans bien mesurer les contradictions qui existent entre ces « nouvelles spiritualités » et l'enseignement chrétien.
Le père Thibaut s'est attelé à une enquête de plus de 20 ans pour nous livrer l'histoire passionnante de ces différentes spiritualités et révéler les implications spirituelles de la pratique de l'ésotérisme et de l'occultisme. Il montre aussi ce qui inspire le yoga, le reiki, le New-Age et les pratiques de certains guérisseurs.
La Bible et l'Église ont toujours mis en garde les croyants contre la tentation des pratiques occultes. Cet ouvrage en confirme les risques et périls pour l'âme.
Le père Jean-Christophe Thibaut, prêtre du diocèse de Metz, est actuellement aumônier d'un centre hospitalier en Moselle et prêtre de paroisse. Comme historien des religions, il se consacre depuis de nombreuses années à l'étude des phénomènes ésotériques et des thérapies alternatives. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet.
Ne vous a-t-on jamais posé cette question : être chrétien et faire du yoga, est-ce possible ? Être chrétien et vivre un moment « fusionnel » avec un arbre ? Être chrétien et consulter un guérisseur ou un radiesthésiste ?
Parce que le chrétien vit dans la société et se trouve au coeur des aspirations et des tendances du moment, il lui est, plus que jamais, indispensable d'en comprendre et d'en discerner les richesses, mais aussi les écueils et les éventuels dangers. Face à ces nouvelles spiritualités (ou traditions remises au goût du jour), chacun a le devoir de s'informer et de saisir ce qui pose ou, au contraire, ne pose pas problème pour un croyant.
Un livre objectif, documenté, riche de citations et ancré dans la pensée de l'encyclique Laudato si'.
Parce qu'il n'est pas facile de comprendre comment se positionner face aux nouvelles pratiques spirituelles, cet essai pratique permet au lecteur de découvrir et de se poser les bonnes questions Appuyé par de très nombreux exemples et témoignages, cet ouvrage donne des clés indispensables pour une position ouverte, curieuse mais résolument chrétienne face aux propositions d'aujourd'hui.
L'auteur a aussi écrit des livres pour la jeunesse.
La Bible dit : ‘Tu ne tueras pas’ alors que Le Catéchisme de l’Église Catholique (CEC) admet, quant à lui, la peine de mort, mais avec de nombreuses réserves dans le domaine de l’application (CEC 2267). Y aurait-il contradiction ? La question de la guerre, toutefois, n’est pas seulement une question de vie ou de mort, mais de dignité de la personne humaine et fondamentalement de paix.
Si vis pacem para bellum
La paix est le cœur du problème. Elle vise, par définition, la préservation des vies.
Dans la Bible, la paix a trois significations :
– Elle est souvent liée à l’idée de Création : malgré le péché originel, la création est faite pour être perçue et vécue dans la paix.
– En outre, l’Ancien Testament (AT) rattache la paix à l’Alliance. Or l’alliance exclut la destruction de l’autre. C’est la finale du déluge (Gn 9,11) : « Tout ce qui est ne sera plus détruit ». Cette assurance est réaffirmée dans l’Ecclésiastique : « Des alliances éternelles furent établies en lui afin qu’aucune chair ne fût plus anéantie par le déluge » (Si 44, 18). L’homme ne peut donc authentifier l’amour de Dieu qu’en reconnaissant dans ses semblables des visages conçus à l’image de Dieu. C’est tout le fondement du décalogue et des lois du Lévitique sur l’accueil de l’autre, de l’étranger et la notion de fraternité.
– Enfin, dans l’ordre messianique, le Christ sait l’homme pécheur, mais Il est venu annoncer une ère définitive de réconciliation, d’amour, symbolisée par le Royaume de Dieu. C’est bien cette paix que le Christ nous livre.
Entrons dans le mystère de l'Image de Notre-Dame de Guadalupe qui, depuis 1531, n'a pas fini de nous étonner. Elle représente sans aucun doute le miracle le plus surprenant et durable de la Vierge Marie qui nous a laissé son vrai visage. Par son amour maternel, La Vierge de Guadalupe réussit à arrêter les sacrifices humains pratiqués par le peuple aztèque, à évangéliser un peuple qui avait perdu son identité et, quatre siècles plus tard, à intéresser notre science moderne, qui s'étonne que cette Image, imprimée sur un tissu d'origine végétale, nous révèle tous ses secrets. En effet, diverses études scientifiques ont montré l'étonnante actualité de l'Image dans des domaines très variés : optique, ophtalmologie, mathématiques, astronomie, médecine, orographie et musique, nous montrant à nouveau que, à Guadalupe comme dans d'autres lieux saints, la science n'est pas étrangère aux apparitions de la Vierge et, plus globalement, au fait religieux chrétien. David Caron Olivares, ingénieur électrotechnicien, et Jean-Pierre Rousselle, responsable scolaire retraité, enthousiastes et passionnés de Notre-Dame de Guadalupe, travaillent conjointement depuis 2004 à l'approfondissement du vaste ensemble d'éléments scientifiques, historiques et religieux qui constitue "l'événement guadalupéen".
En juin 2011, ils organisent en France, les conférences de Mgr Eduardo Chávez Sánchez, Recteur de l'Institut Supérieur d'Etudes Guadalupéennes de Mexico.
Par la suite, soucieux de faire connaître la vérité de Guadalupe, ils présentent aux lecteurs français cet ouvrage, résumé actualisé de l'apparition mariale qui est sans doute la plus fascinante depuis l'origine de la chrétienté.
La vie de Saint Nicolas de Myre, protecteur des enfants Il est à l’origine de « Santa Claus ». Saint-Nicolas, évêque de Myre, est fêté dans de nombreux pays européens. Ses reliques reposent en ...
Le plus beau film de CAPRA ..., 6 septembre 2005 Je me régale avec les derniers films qui sortent (effets, originalité, histoire ...) mais je resterai toujours un inconditionnel de ce film magique ...
Dieu tu as choisi de te faire attendre tout le temps d'un Avent. Moi je n'aime pas attendre dans les files d'attente. Je n'aime pas attendre mon tour. Je n'aime pas attendre le train. Je n'aime ...
Noël, fête de la naissance du Christ. Noël, fête néopaïenne de la consommation. Le paradoxe n'est pas d'aujourd'hui. Voilà des décennies que la société de consommation tend à faire oublier le sens ...
Or donc quand l'ange eut claironné Dans le Ciel à la ronde, Que l'Enfant miracle était né Pour le salut du monde. Tous les animaux à la fois De tout poil, tout plumage Quittant leurs déserts, ou ...
«Tout agnostique ou athée dont l’enfance a connu une véritable nuit de Noël voit toujours par la suite, qu’il le veuille ou non, un lien dans sa mémoire entre ces deux idées que la plupart des ...
On imagine très bien les hommes s'interrogeant entre eux un matin du 26 décembre: « Mais, dites donc, n'était-ce pas hier Noël ? - Noël ? Voyons, voyons, nous étions hier le 24, consultez le ...
Voici les derniers mois de l'année.Voici les nuits les plus longueset les jours les plus tristes.La télé et les journaux nous déversentleur flot quotidien de violence.A désespérer ! Allume la ...
Regardez ce tableau. On est en hiver, il a neigé. Des maisons; des charrettes; des étangs gelés; des enfants qui jouent sur la glace. A gauche des personnages font la queue à un guichet. Un groupe ...
1 En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre. 2 Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. 3 Tous allaient se ...
Peintre des âmes et des paysages, René Bazin confie quelques-uns de ces récits qu’on lui contait, enfant, au coin du feu à l’heure ou les ombres s’allongent.
Ces anecdotes angevines dont la grâce et le style ont enchanté des générations de lecteurs mêlent histoire locale, tradition orale et merveilleux chrétien. Reflets d’un monde disparu, leur noblesse s’inspire des idéaux, des joies et des peines d’une vie sociale citadine ou paysanne devenue étrangère aux déracinements de la vie moderne.
Un hymne aux forces de l’Esprit.
En 1940, Duncan McCorquodale, un brillant étudiant d’Oxford patriote et francophile, est recruté par le S.O.E. (Special Operations Executive). Il entreprend alors une formation exigeante qui éprouve ses limites physiques et morales jusqu’à faire de lui une arme redoutable.
Pendant ce temps, en Allemagne nazie, le fidèle du Führer Rudolf Hess prépare sa mission secrète de déstabilisation de l’Europe.
Duncan parviendra-t-il à devenir "semblable à la nuit" comme dans l’Iliade d’Homère ? Quels mystères recèlent les falaises des Highlands où l’on aperçoit la nuit d’étranges lumières au large ?
Tel est le cadre imprévisible et haletant de cette première aventure clandestine qui exigera de son héros humilité et volonté d’acier, avec pour égérie l’élégante et intrigante Deborah Stuart !
"Voyons, dit-il enfin, te souviens-tu du premier chant de l’Iliade ?
- Bien sûr, Père. Je m’en souviens presque par coeur : “Le coeur enflammé de colère, il descend des sommets de l’Olympe portant sur son dos l’arc et le carquois ; dans sa course, les flèches retentissent sur ses épaules. Il s’avance, semblable à la nuit, s’arrête non loin des navires et lance un de ses traits : l’arc d’argent rend un son éclatant et terrible.”"
Officiers saint-cyriens, les commandants Saint Calbre et La Raudière ont servi dans les armées.
Les belles-lettres sont une œuvre d’art. Elles dessinent, elles peignent, elles sculptent, elles chantent. Elles ont pour mission de faire voir l’invisible : la beauté de la nature jaillissant à l’instant des mains du Créateur, le secret des cœurs, la joie de la vérité, l’héroïsme des saints, la grandeur de la petitesse avouée, la force de la faiblesse offerte. Et, surplombant l’Histoire : Jésus crucifié.
La plume et la croix convoque nombre d’écrivains qui rappelleront à nos esprits dissipés la noblesse de la littérature chrétienne et ses beaux fruits : le silence intérieur, la maturité intellectuelle, la liberté de la parole, l’audace du témoignage.
« À la saint-François-d'Assise, si tu bâtis sois prudent pour tes assises. »
« À la saint-François, de la patte d'une oie, le jour décroît. »
ou « (...) pour les Rois, fou qui ne s'en aperçoit). »
« À la saint-François, la bécasse est au bois. »
« À la saint-François, on sème, si l'on veut, et plus tôt même. »
« À la saint-François, vient le premier froid. »
« Autant de jours que l'oignon de lys fleurit après la saint-Jean [24 juin], autant de jours que la vendange sera retardée après la saint-François. »
« Entre saint-Michel [29 septembre] et saint-François, prends ta vendange telle qu'elle est ; à saint-Denis [9 octobre], prends-la si elle y est encore. »
« Ne sème pas à la saint-Léger [2 octobre], les épis seraient trop légers. Sème à la saint-François, il te rendra grain de bon poids. Mais n'attends pas la saint-Bruno [6 octobre], ton blé serait tout noiraud. »