Ainsi Terry Miller (première photo), qui se dit femme, a remporté les épreuves féminines de 100 mètres et de 200 mètres à l’université de Bulkeley, dans le Connecticut, établissant un nouveau record. En seconde position aux 100 mètres, un autre garçon qui se dit fille, Andraya Yearwood (deuxième photo, à droite).
Il est évident que cela va se généraliser. C’était non seulement prévisible, mais prévu. Puisqu’il suffit de se dire femme pour concourir dans les compétitions féminines, et comme malgré les idéologues la femme n’y est pas l’égale de l’homme, pourquoi se gêner…
Mais maintenant que l’inévitable se produit, qu’est-ce qu’on fait ?
vu sur le blog d'Yves Daoudal