/image%2F1446516%2F20211014%2Fob_c76316_present-hs-brassens.png)
Brassens aurait 100 ANS cette année…
La presse mainstream s’imposant elle-même ses grosses œillères bobos, bon teint, tient toujours à présenter Georges Brassens d’une manière manichéenne, partielle, partiale, malhonnête et honteuse.
En utilisant les même infâmes procédés, je pourrais écrire qu’il était flicard (« Gloire au flic qui barrait le passage aux autos »), collaborationniste (La Tondue, Les Deux oncles), homophobe (« Y a tant d’hommes aujourd’hui qui ont un penchant pervers / A prendre obstinément Cupidon à l’envers »), réactionnaire (« Pardonnez-moi, prince si je suis foutrement moyenâgeux » ou Le Passéiste), intolérant (« Ceux qui ne pensent pas comme nous sont des cons »), fasciste (Honte à qui peut chanter), nazi (Entre la rue de Vanves et la rue Didot), catholique traditionaliste (Tempête dans un bénitier), etc…
Pourquoi ne pas fréquenter Brassens, plutôt qu’expliquer Brassens ? Il s’est expliqué lui-même, et c’est bien suffisant.