Dans un discours prononcé en 1980, au temps de la guerre froide où les fusées nucléaires des blocs capitalistes et communistes se faisaient face au-dessus du Mur de Berlin, le pape polonais Jean-Paul II pronostiquait 200 millions de morts si cette guerre dégénérait en guerre chaude ! Que dirait-il aujourd’hui où la menace nucléaire s’est accrue encore plus en raison de la perversion monstrueuse des individus et des nations inscrite désormais, comme une insulte à Dieu et à son Décalogue, au fronton de la Constitution de la Fille Aînée de l’Église ? Car, comme disait Tertullien, « la corruption du meilleur est ce qu’il y a de pire ». Et comme disait aussi le Sacré-Cœur à Claire Ferchaud : « La Justice de mon Père pèse sur la France. » Et donc sur le monde entier.