Une réflexion pour prendre un peu de hauteur...
Nous y sommes en plein. Et une fois de plus nous revoici perplexes.
Que faire ? Voter selon notre conscience ? Oui ! bien sûr ! On risque peu à ce conseil. Puisque la conscience est, de toutes façons, le critère immédiat de la moralité de celui qui agit[[R.P. Vermeersch : “Theologiae moratis principia”. Rome, 1923. Vol. 1 ; p. 290-193 - Cf. aussi “Fondements de la Cité”, p. 225]]. Mais pour ce qui est de la « moralité » du résultat électoral de celui qui vote, « en conscience », pour le candidat jugé le meilleur, le plus honnête, le mieux pensant, le plus vertueux, etc., c’est autre chose ! Attendu qu’à voter ainsi, pour ce meilleur incontestable, le jeu de la répartition des voix risque de faire passer le saligaud.
Alors ?
Alors lisez la suite...