Une étude récente a démontré que le cannabis avait des effets néfastes durables sur le cerveau des adolescents. C’est une évidence qu’il faut répéter sans se lasser face aux mensonges éhontés des propagandistes de la drogue.
Le cannabis est une drogue lente, la seule qui se stocke dans le cerveau, pouvant provoquer des relargages dans l’organisme jusqu’à trois mois après son usage et dont un seul joint par semaine peut entraîner une intoxication chronique. Son usage modifie la perception de la réalité, crée une dépendance psychologique et favorise la consommation d’alcool et d’autres drogues.
La puissance toxique du cannabis a fortement augmenté depuis trente ans, certains étant même génétiquement modifiés pour en décupler l’effet.
Il diminue les fonctions cognitives d’apprentissage, la mémoire et la concentration. Constat facile à observer, le fumeur réduit son vocabulaire et à des problèmes d’attention et de concentration. Instable psychologiquement, il ne supporte pas la critique ni la frustration, ne résiste pas à ses émotions et peut facilement se mettre en colère et devenir violent pour des causes futiles.
Description banale de beaucoup de jeunes, ou moins jeunes, dans les cités et partout où le cannabis circule librement.
On trouve 20% de fumeurs de cannabis parmi les responsables d’accidents de la route, l’effet du produit pouvant durer jusqu’à 24 heures quand il n’est plus détectable dans le sang après une heure.
Les psychiatres l’ont depuis longtemps identifié comme favorisant l’apparition de crises chez les personnalités schizophrènes, paranoïaques, épileptiques. Il augmente sérieusement les risques d’anxiété, de dépression et de risques suicidaires.
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