12 janvier 2010
2
12
/01
/janvier
/2010
10:16
LE 17 JANVIER, VOUS FAITES QUOI ?

En l'année 2010 où la bioéthique ( et par conséquent l'accueil de la vie ) seront au coeur d'orientations et/ou décisions de plus grande importance pour nous et nos enfants, cette "Marche pour la vie 2010"
Nous entendons ici ou là que la protestation et la remise en cause de l'avortement sont vouées à l'échec et par conséquent inutiles et qu'il faut privilégier le dialogue et avancer pas à pas dans la recherche d'un consensus. Ce n'est pas l'option des espagnols qui sur ce sujet montrent clairement leur détermination. Par ailleurs, toute personne honnête sait que les ravages de l'avortement sont énormes, Mère Thérésa affirmant que l'avortement était la source de toutes les violences.
Un adage populaire dit que si l'on envisage de dîner avec le diable, il faut une grande cuillère. Depuis la légalisation de l'avortement en France, il y a belle lurette que la cuillère a été mangée par les 2 bouts ! Dans la foulée de l'avortement légalisé puis remboursé, c'est la dignité de la personne humaine en tant que telle, quel que soit le stade de son développement, qui est aujourd'hui foulée aux pieds. Pourquoi respecter l'embryon quand l'avortement est considéré comme un droit ? Et pourquoi ne pas le dire parce que c'est bien le fonds de la question : à quand un vrai débat démocratique serein sur cette question de l'avortement en France ? Aurait t'on peur ? Mais de quoi donc ?
Si condamner ne suffit pas, c'est tout de même mieux que de rester silencieux. A ce jeu là, on perd toujours et l'histoire est là pour le prouver !
Si marcher pour la vie une fois l'an nous suffit et nous fait regagner nos pénates dans l'état d'esprit tranquille de celui qui a fait son devoir, alors il ne faut s'étonner que la culture de mort continue de progresser.
La vie, c'est tous les jours qu'elle doit être défendue et il faut ici saluer les associations et les mouvements provie qui, chacun à leur façon, oeuvre pour le respect de la vie, l'écoute et l'accompagnements des femmes enceintes en situation difficile et/ou celles qui sont en détresse psychologique et affective après un avortement. ( cf les liens sur le blog ).
la suite sur cite et culture