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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 01:13

 

   







PARTICIPER

Mobilisation invisible et silencieuse

Participez le 25 Janvier 2013,
fête de la conversion de Saint Paul,
à une journée de jeûne et de prière pour la France et la Famille,
face au projet de loi « mariage pour tous ». …

Le site Tous en prière
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9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 22:57

 

L'enfant pour tous France 209/01/13 / 22:20

L'ENFANT POUR TOUS

Débat (1h30)

Interdite en France par la loi de bioéthique, la gestation pour autrui - c'est à dire le recours à une «mère porteuse» -, est légale dans d'autres pays. L'évocation de cette pratique, illustrée par le téléfilm «Interdits d'enfants», sert de point de départ à une réflexion sur les techniques de procréation médicalement ...

 

Un débat comme on les aime ! Première partie du débat :

  • 6 personnes (donc l'animateur télé bien sûr)  pour le mariage dit "pour tous"... pour la Gestation Pour Autrui   (ah les mots !),
  • 1 personne contre ( Béatrice Bourges )

 

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 23:41

      Chaville : à 94 ans, elle est expulsée de sa maison de retraite !

Une femme de 94 ans, qui séjournait dans la résidence médicalisée privée de Chaville, dans les Hauts-de-Seine, a été renvoyée vendredi de cet établissement parce qu’elle n’avait pas payer son loyer.

La direction de l’établissement a posé ses affaires dans une ambulance, et a payé le trajet jusqu’à Brou, dans l’Eure-et-Loir, où vit son fils. Ce dernier étant absent, et la chambre de la maison de retraite ayant déjà été réattribuée, la vieille dame a été conduite aux urgences de l’hôpital de Châteaudun. C’est l’hôpital qui a fait le signalement à la gendarmerie, la direction se scandalisant et soulignant que «c’est honteux et complètement illégal en pleine trêve hivernale qui interdit les expulsions, y compris des établissements de santé». Ce lundi, la préfecture des Hauts-de-Seine a saisi l’Agence régionale de santé (ARS) pour enquêter sur cette expulsion.

Rappelons que selon l’enseignement social de l’Église, la doctrine de la destination universelle des biens admet la propriété privée comme gérance de biens qui appartiennent en premier lieu à toute l’humanité : en un mot, et contre les doctrines individualistes, l’usage de la propriété privée, parce que l’homme est marqué dans sa nature par une dimension sociale, doit s’exercer en relation au bien commun, et ne jamais exclure les plus vulnérables de l’usage de ces biens. Une société qui n’a plus le souci des plus fragiles, ici de ses anciens envers lesquels elle est pourtant débitrice, est une société malade et en perte de sens.

Rappelons que les bénéficiaires du droit d’asile coûtent chaque année à l’Etat plus de 140 millions d’euros… Quand l’Etat ne s’occupe pas d’abord des siens, surtout quand ils sont les plus faibles, il manque au premier de ses devoirs !

JdR

vu sur contre-info.com 

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 09:58

C'est au Louvre  (Paris...)  jusqu'au lundi 14 janvier          

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 05:42

 

KIM614.jpg

 « L’époque où nous vivons bute plus que d’autres, dit-on, sur la durée dans l’engagement.

Il fut peut-être un temps où il était plus facile de se lier ‘’pour toujours’’.

Pas beaucoup de changements dans les mœurs et les conditionnements de l’existence, toute la société se portait garante de ces contrats de longue durée.

Aujourd’hui, c’est l’éclatement du progrès et l’éparpillement de l’existence dans la succession des nouveautés.

Chacun doit tenir là où il est, comme un arbre isolé privé de la forêt.

Mais il va gagner en personnalité ce qu’il risque de perdre en conformisme.

Il me faut être moi-même et pas seulement ‘’copie conforme’’. »

                        lu sur le blog http://bernard-romain.over-blog.com/

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 00:48

 

A l'occasion de l'Epiphanie, il n'est pas rare d'entendre dans les paroisses certains clercs s'improviser exégètes et déclarer gravement que le récit de l'adoration des mages n'est qu'un beau conte mythologique ou une construction poétique sans fondement historique. Sur "Metablog", nous lisons cet excellent commentaire :

(...) Si on met en doute l’historicité de cet épisode (de la venue des Mages), c’est d’abord parce qu’on lit mal le texte qui est plein de détails, mais qui, dans certains Evangiles apocryphes (c’est-à-dire des textes tardifs qui «brodent» sur la vie de Jésus), devient carrément mythologique. Dans le Livre de l’Enfance, un apocryphe arménien du VIème siècle, on nous apprend par exemple que ces Mages en réalité sont des «rois», qu’ils sont trois et qu’ils s’appellent Gaspard Melchior et Balthasar. On nous dit que les Mages ont suivi une étoile qui se serait déplacée pour les précéder jusqu’à Jérusalem. Mais ce n’est pas cela du tout ! Ces astronomes, sans doute persans, ont vu un astre extraordinaire : «Nous avons vu son étoile en Orient». Il y a, diffuse, dans l’humanité de ce temps-là une attente d’un phénomène extraordinaire, comme on peut le lire dans la Quatrième Eglogue de Virgile, dans laquelle, quelques années avant le Christ, le poète latin annonce la venue d’un enfant né d’une Vierge. Ce sont des traditions semblables, qui dans le Zoroastrisme perse, animaient l’attente des Mages, qui savaient bien que si quelque chose devait advenir, ce serait en Judée, le pays de la Bible. Ils viennent donc à Jérusalem, s’enquièrent auprès du roi Hérode, qui, averti par les Mages de la naissance d’un Roi Messie, convoque les sages d’Israël, lui qui n’est qu’un Bédouin, un non-juif. 

Ces sages lui disent tous : le Messie doit naître à Bethléem, comme cela a été explicitement prophétisé dans la Bible hébraïque, par Michée. C’est l’origine du massacre des enfants de Bethléem. Les Mages, ayant compris la duplicité d’Hérode et s’étant abstenus de lui apporter, sur cette naissance merveilleuse, les renseignements précis qu’il demandait, lui Hérode s’est entêté et il a décidé de tuer tous les enfants de Bethléem. Cet acte de sauvagerie était resté dans les annales de l’histoire antique. Il est cité par le païen Macrobe. 

Si on cherche la véritable signification de la venue des Mages, on est bien obligé de supposer qu’il y a, non seulement pour les Juifs l’Ancien Testament, mais pour les Païens, une véritable «préparation évangélique», qui emprunte les canaux inattendus de l’astrologie et de la Prophétie, et cela en dehors du peuple juif. Le savoir humain (dont l’astrologie à l’époque est le symbole) mène au Christ, voilà ce que signifie l’épisode des Mages. Il y a un Ancien Testament païen, une ancienne alliance païenne entre la foi et la raison, qui précède la nouvelle alliance et le nouveau savoir en Jésus-Christ. Cet ancien Testament relève d’une forme de sagesse humaine qui converge avec la sagesse juive (le dernier livre de l’Ancien Testament s’appelle justement le Livre de la Sagesse et il est écrit en grec à l’honneur de la divine Sophia). 

En revanche, face aux mages, sages païens, le Politique se déchaîne. Le vieil Hérode, au terme d’une vie chargée de crimes, est aveuglé par son Pouvoir. C’est un véritable génocide qu’il va perpétrer dans le massacre des innocents de Bethléem, et Rachel «pleure ses enfants car ils ne sont plus». On retrouve cet aveuglement du Pouvoir chez presque tous les politiques de l’Ancien et du Nouveau Testament. 

Le dernier à y céder dans les Livres saints sera Pilate, prêt à tuer l’Innocent plutôt que de nuire à son Autorité. C’est la raison pour laquelle, dans le récit évangélique, il faut bien remarquer que les Mages ne sont pas appelés «Rois». On leur donne ce titre uniquement dans des écrits tardifs, comme le Livre de l’enfance, que j’ai cité plus haut. 

La royauté du Christ, qui dès sa naissance est obligé de fuir devant Pilate, n’est pas une royauté politique. La politique n’opère jamais aucun salut. Elle donne dans des oeuvres de mort, comme le montrent involontairement les mages, qui, «avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode, regagnèrent leur Pays par un autre chemin». Mais pourquoi cette version «royale» dans les écrits tardifs? Et pourquoi ces couronnes que l’on se donne à la «fête des Rois»? Pour faire cadrer l’événement, dont l’évangéliste Matthieu se fait l’écho, avec la prophétie d’Isaïe (49, 7) et le Psaume 71 : «Les rois de Tharsis et des îles lui apporteront leurs présents». Notons cette obscurité des prophéties de l’Ancien Testament, notons ce décalage entre les prophéties et leur réalisation. Parler de «mages» et pas de «rois» dans l’Evangile, cela montre bien, quoi qu’on en dise, que le récit que nous possédons aujourd’hui dans saint Matthieu n’a pas été élaboré à partir des prophéties de l’Ancien Testament ; sa source est bien un événement historique, absolument imprévisible comme tel. On a ensuite fait cadrer non sans mal les prophéties avec l’événement.

 

Rois_mages-g.jpg

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 00:47

      Prenez le temps d'écouter ou réécouter cette émission ...

Libre Journal de Jean-Marie Le Méné du 4 janvier 2013 : “Réflexions sur le projet de loi sur le mariage"

Jean-Marie Le Méné recevait Rémi Brague, philosophe, Frigide Barjot, chroniqueuse, fondatrice du collectif pour l'Humanité durable (www.pourlhumanitedurable.com), Alberic Dumont, coordinateur de la manifestation du 13 janvier, et René Cagnat, écrivain, pour une émission consacrée à des réflexions sur le projet de loi sur le mariage et à l'Asie centrale.

Première partie

 

 

Seconde partie

 

 

 

Jean-Marie Le Méné
Jean-Marie Le Méné
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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 21:33

 

Rois-mages-Chartes.jpg

(...)  Plus sérieux encore, le travail du tailleur de pierre qui a exécuté le haut-relief (cathédrale de Chartres) que nous découvrons. L’imagination de l’artiste préside à la conception de la composition de cette scène en deux temps. L’on y découvre un raccourci dans le temps d’une petite saynète que reprendront bien des siècles plus tard les concepteurs de bandes dessinées. A la gauche de l’image, les trois rois mages endormis sont éveillés par un ange qui vient les prévenir de ne pas retourner chez Hérode avant de repartir pour leur pays. A droite, un serviteur, qui a attelé les chevaux, attend que ses maîtres viennent prendre leur monture. Cette seconde partie de la scène signifiant que le message de l’ange a bien été reçu par les mages.

Il faut bien regarder nos trois rois mages assoupis, chacun portant sur le visage l’expression d’un moment précis du sommeil d’un homme que l’on réveille. Celui qui est totalement allongé, au plan inférieur, les deux bras sur sa poitrine et maintenant de sa main droite la couverture rabattue sur lui, ne veut visiblement pas se réveiller ; celui qui se trouve à la fois derrière et un peu au-dessus de lui, se redresse de sa couche, encore barbouillé de sommeil, et tourne légèrement son visage vers l’ange qui les interpelle. Quant au troisième, bien éveillé, il place sa main gauche près de son oreille afin d’être certain de bien comprendre le message de l’ange.

Il faut aussi apprécier ici le travail scrupuleux du sculpteur, travaillant le moindre détail : le plissé des draps et de la tenture au fond de la scène, l’ornementation des couronnes des mages, les ferrures de la porte s’ouvrant pour laisser passer les chevaux, la parfaite exécution de la posture de chacun de ces derniers. Et surtout l’étude précise et délicate de l’expression de chacun des trois visages portraiturés.

Un art parfaitement maîtrisé

Cette volonté d’exprimer la vérité de l’être humain, dans sa personnalité et ses sentiments, est l’une des caractéristiques de l’art chrétien qui commence à s’affirmer en tant que tel, dans un savoir-faire parfaitement maîtrisé et une inspiration puisant sa source dans la vérité humaine et les relations de l’homme à Dieu. Un art à ce point poussé jusqu’à la perfection, qu’il permet aux tailleurs de pierre du XIIIe siècle de pousser l’analyse du cœur humain jusqu’à la satyre.

Lu ICI sur le beau site www.visitesaumusee.com

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 15:56

 

Sur le site homovox 
Extrait dans lequel la personne estime que ce projet de loi ne concerne pas les personnes homosexuelles, montrant ainsi que le lobby LGBT ne représente pas ces personnes et ne les respecte pas :


vu ici Lien permanent 

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 14:44

 

Luini-Mages.jpg

Que voit-on ici ?

Regardez la composition du tableau : il est construit autour d'une croix ..

  • dans le quart du bas à droite : la Vierge Marie, portant l'enfant Jésus, qui se tient bien droit, et derrière, regardant dehors, Saint Joseph.
  • en bas à gauche : les 3 " Rois Mages" qui apportent chacun un cadeau à l'enfant; le premier (Melchior) est agenouillé. Le Mage noir ( Balthazr) nous regarde. Il nous fait entrer dans la scène. Au fait, comment s 'appelle le troisième Mage ? Et quels sont ces cadeaux ?
  • en haut à gauche : on voit des personnages et des animaux (des chevaux, un dromadaire ?). Ce sont les personnes et animaux qui ont accompagné les Mages.
  • en haut à gauche aussi, à travers une lucarne par laquelle Saint-Joseph regarde dehors, portant ainsi notre regard au plan du fond.

Clignez des yeux. Voyez ainsi la composition des couleurs.

Voyez la douceurs des expressions, la finesse de la lumière.

Le tableau est une fresque de LUINI, au Louvre (de Paris ...). 

Suivez le guide...

  

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 14:32

 

Toute la richesse des musées de France Masque du gisant de Jeanne de Toulouse, provenant de l'abbatiale de Gercy à Varennes-Jarcy

Le site www.photo.rmn.frcréé par l'agence photographique de la Réunion des musées nationaux et du Grand Palais des Champs-Elysées ouvre à tous, professionnels ou non, l'accès à un fabuleux catalogue d'images d'art en ligne. Plus de 470 000 images photographiques des oeuvres d'art conservées dans les musées nationaux et régionaux français, comme les musées du Louvre, d'Orsay, le Centre Georges Pompidou, le musée Condé de Chantilly ou le Palais des Beaux-Arts de Lille sont accessibles en ligne. De prestigieuses collections étrangères comme la National Gallery de Londres, le Metropolitan Museum de New York, la Gemäldegalerie Alte Meisterle de Dresde ou les Offices de Florence sont également disponibles. De la Joconde de Léonard de Vinci aux Nympheas de Monet, du Titien à Fernand Léger, des masques de l'Océanie aux arts de l'Orient, peintures, sculptures, dessins, le site www.photo.rmn.fr vous convie à visiter la plus grande des collections d'images d'art.

 

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 14:21

 

Bien sûr, c'est la suite de  Pourquoi ?   , à lire d'abord pour mieux comprendre ce qui suit. Et à relier à l'actualité : Pourquoi Depardieu quitte-t-il la France ?

  • Qu'est-ce qui nous motive ? A quoi "marchons" nous ?

Pour la plupart des gens, la plupart du temps : l'intérêt.
Nous faisons ce qui nous "rapporte".
Nous faisons ce que nous avons intérêt à faire.
Nous faisons bien ce que nous avons intérêt à bien faire.
Or, ne devons-nous pas bien faire ? 

  • Il faut donc créer les conditions, organiser les choses de telle façon que l'on ait intérêt à bien faire.

Il faut faire concorder intérêt et devoir.
Il y a des situations, dans la vie quotidienne, à l’école, au travail, en société, où nous sommes mis dans des conditions où nous avons intérêt à nous taire, à mentir, à tricher, à râler, à tirer au flanc…
Et il y a heureusement aussi des situations où nous avons intérêt à parler, à dire la vérité, à "nous donner", …

  • C'est une question de "règles du jeu". C'est une question de politique humaine et sociale.

lu sur un site professionnel 

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 10:42

 

un article de 2006 de Petrus Angel

 

  

Il faut que nous allions par la ville de Lancy vers la  mer. Je crois que, dans cette partie du pays, nos ennemis  ont peu de partisans.

 Quoi ! que voulez-vous dire? s'écria-t-il. Il est impossible qu'ils aient un tel empire sur le monde réel. Il n'y a pas beaucoup d'anarchistes parmi les travailleurs, et,  s'il y en avait, de simples bandes de révoltés n'auraient  pas aisément raison des armées modernes, de la police moderne.

 - De simples bandes! releva Ratcliff avec mépris. Vous parlez des foules et des travailleurs comme s'il pouvait être question d'eux ici. Vous partagez cette illusion idiote que  le triomphe de l'anarchie, s'il s'accomplit, sera l'œuvre des pauvres. Pourquoi? Les pauvres ont été, parfois, des rebelles; des anarchistes, jamais. Ils sont plus intéressés que quiconque à l'existence d'un gouvernement régulier quelconque.

 Le sort du pauvre se confond avec le sort du pays.

 Le sort du riche n'y est pas lié. Le riche n'a qu'à monter sur son yacht et à se faire conduire dans la Nouvelle-Guinée.

Les pauvres ont protesté parfois, quand on les gouvernait mal. Les riches ont toujours protesté contre le gouvernement, quel qu'il fût. Les aristocrates furent toujours des anarchistes; les guerres féodales en témoignent.

CHESTERTON 

"Le nommé jeudi", 1926

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 09:53

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 2,1-12. 

Jésus était né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode le Grand. Or, voici que des mages venus d'Orient arrivèrent à Jérusalem 
et demandèrent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu se lever son étoile et nous sommes venus nous prosterner devant lui. » 
En apprenant cela, le roi Hérode fut pris d'inquiétude, et tout Jérusalem avec lui. 
Il réunit tous les chefs des prêtres et tous les scribes d'Israël, pour leur demander en quel lieu devait naître le Messie. Ils lui répondirent : 
« A Bethléem en Judée, car voici ce qui est écrit par le prophète : 
Et toi, Bethléem en Judée, tu n'es certes pas le dernier parmi les chefs-lieux de Judée ; car de toi sortira un chef, qui sera le berger d'Israël mon peuple. » 
Alors Hérode convoqua les mages en secret pour leur faire préciser à quelle date l'étoile était apparue ; 
puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez vous renseigner avec précision sur l'enfant. Et quand vous l'aurez trouvé, avertissez-moi pour que j'aille, moi aussi, me prosterner devant lui. » 
Sur ces paroles du roi, ils partirent. Et voilà que l'étoile qu'ils avaient vue se lever les précédait ; elle vint s'arrêter au-dessus du lieu où se trouvait l'enfant. 
Quand ils virent l'étoile, ils éprouvèrent une très grande joie. 
En entrant dans la maison, ils virent l'enfant avec Marie sa mère ; et, tombant à genoux, ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l'or, de l'encens et de la myrrhe. 
Mais ensuite, avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin. 

P1130632

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 09:16

Pour la fête de l’Éphiphanie, voici un poème composé par Chesterton, The Wise Men, et qui fut publié dans un recueil en 1915 

 LES MAGES

Marchez doucement, sous la neige ou la pluie,
Pour trouver l’endroit où sauront prier les hommes;
La route est partout si droite
Que nous pouvons nous perdre.

Oh ! nous apprenions à scruter,
Dès notre jeune âge, de torturantes énigmes,
Nous connaissons tous les secrets des labyrinthes,
Nous sommes les savants mages d’autrefois,
Et nous savons tout, sauf la vérité.

Nous avons tourné tout autour de la colline,
Nous avons perdu le bois au milieu des arbres,
Nous avons appris des noms très longs pour tous les maux
Et servi les dieux fous, appelant encore
Les furies: Euménides.

Les dieux de la violence ont pris le masque
De la vision et de la philosophie;
Le Serpent qui apporta le malheur aux hommes
Mord sa queue maudite
Et usurpe le nom de I’Eternité.

Allez humblement.., il a grêlé, il neige…
Allez baissant la voix et lanternes allumées
Tellement simple est la route
Que nous pourrions nous égarer.

Le monde se fait terrible et si blanc,
Et la blancheur du jour qui point nous aveugle;
Nous marchons effarés dans la lumière,
Car il est une chose trop grande pour qu’on la voie,
Une chose beaucoup trop simple pour qu’on la dise.

L’Enfant qui était avant le commencement des mondes
(… Nous n’avons qu’un pas à faire, Nous n’avons qu’à voir lever un loquet…)
L’Enfant qui jouait avec la lune et le soleil
joue avec un peu de foin.

La maison dont les cieux tirent leur nourriture,
La vieille maison étrange qui est la nôtre,
Jamais on n’y entend paroles trompeuses,
Et la Miséricorde y est aussi simple que le pain,
Et l’Honneur y est aussi dur que la pierre.

Allez humblement, humbles sont les cieux,
Basse et large et ardente est l’Etoile
La Crèche est si près de nous
Que nous pourrions voyager longtemps.

Oyez! le rire s’éveille comme un lion
Et rugit sur la plaine sonore,
Et tout le ciel crie et frémit,
Car Dieu lui‑même vient de renaître,
Et nous sommes des petits enfants qui marchent
A travers la neige et la pluie.

The Wise Men  (traduction E.-M. Denis-Graterolle)

 

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 19:24
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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 16:29

 

numero-special-HN---dec-2012.jpg


Retour sur une révolution par Adélaïde Pouchol

La Bonne Nouvelle du mariage, par le père Laurent-Marie Pocquet du Haut-Jussé

Entretien avec Thibaud Collin : Une question de justice

Adoption : qu'en dit le pédopsychiatre ? par Christian Flavigny

Les enfants au crible du désir par Gérgor Puppinck

 

Comprendre la nature de l'homosexualité par Mgr Tony Anatrella

Petit précis de l'activisme homosexuel par Philippe Kersantin

Les homosexuels, combien de divisions ? par Gauthier Vaillant

Manipulations sémantiques par Thibaud Collin

Entretien avec Philippe Arino : un homosexuel s'oppose au « mariage » pour tous

 

Table ronde : Le combat, c'est maintenant, avec Jacques Bompard, Xavier Lemoine et Jean-Frédéric Poisson

Et si on libérait le mariage religieux ?par Grégor Puppinck

Entretien avec Christophe Eoche-Duval : L'analyse juridique d'un conseiller d'État

Le drame des maires : démission ou objection ? par Grégor Puppinck

Résister à la corruption de la loi par Joël Hautebert
 
Argumenter et débattre par Raphaëlle Lespinas
Pistes de lecture


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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 12:52

 

 

Les Gaulois avaient, paraît-il, très peur que le ciel leur tombe sur la tête. Les millénaristes craignaient la fin du monde. Nous, les cathos bourgeois, les Christo-mondains, ce que nous redoutons plus que tout, notre tétanie, notre angoisse systémique et récurrente, c’est l’amalgame ! Cette crainte absolue d’être mis dans le même sac que les brutes, les violents, les épais, les imbéciles, les dogmatiques et les obtus intégroïdes et fascisants. Nous aimerions tellement « bien passer », être aimés, reconnus comme fins, intelligents, sympas et cools par le monde médiatique, que nous sommes prêts à toutes les circonvolutions. Et nous voilà encore bien plus préoccupés à nous distinguer, nous démarquer, à montrer du doigt et condamner nos plus proches alliés sur d’insignifiantes différences, qu’à assumer notre propre position. Mais quelle chimère ! Si le catho était média-compatible, Jésus aurait fini comme directeur d’une agence de média-training et non pas accroché à une croix entre deux délinquants minables au point de se faire prendre. Si les cathos étaient média-compatibles, alors les premiers chrétiens, doux comme des agneaux, n’auraient pas été condamnés comme « bouffeurs d’enfants » et incendiaires de Rome. Si les cathos étaient média-compatibles, alors Pie XII (…) ne serait pas aujourd’hui traité de collabo pro-nazi. Ce que nous avons à dire dérange le monde et le monde n’aime pas être dérangé. Alors ne perdons plus notre énergie à nous justifier, à démontrer que nous ne sommes pas ceux qu’ils disent que nous sommes… Imaginez-vous le Christ à son procès tortiller et commencer à répondre : « Mais non, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire » ?

Allez zou ! Laissons tout ça, il y a une civilisation à ressusciter.

Pasquin

Lu ICI 

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 12:47

 

Une jolie photo pour commencer l'année…

Elle a été prise en Amérique il y a trois mois par Randy Atkins, alors que sa petite fille était en train de naître par césarienne : un si beau souvenir que la maman, Alicia Atkins, l'a postée sur Facebook. La petite Nevaeh avait saisi le doigt du chirurgien au moment de l'opération :

Et dire qu'il y a des pays – comme la France – où l'enfant n'est considéré comme un être humain qu'à partir du moment où il a respiré !
En l'occurrence, c'est le médecin qui avait appelé l'heureux papa pour qu'il vienne voir la chose extraordinaire qui se passait.
Cette photo rappelle une image similaire qui avait fait le tour du monde en son temps où l'on voyait un enfant opéré in utero à 21 semaines saisir le doigt du chirurgien : Michael Clancy, le photographe qui l'a prise, a depuis rejoint le mouvement pro-vie, signale LifeSite.
lu ICI
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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 00:05

 

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C'est facile, gratuit et anonyme.

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 23:55

 

  Geneviève ou Genovefa vint au monde vers 423, non loin de Paris, à Nanterre, qui, à l'époque était une bourgade rurale. Elle est la fille de Géroncia d'origine grecque et de Séverus franque romanisé, qui était membre du conseil municipal de cette ville.
  Alors qu'elle n'était encore qu'une petite fille, elle fut remarquée lors d'un office religieux sainte-genevieve-enfant.jpgcélébré dans la paroisse de Nanterre par Loup, l'évêque de Troyes et Germain, évêque d'Auxerre. Après s'être entretenu avec l'enfant, Saint Germain l'Auxerrois comme l'appelèrent les parisiens, demanda à parler à ses parents.
Que vous êtes heureux mes amis, leur dit-il,d'être les parents d'une telle fille ! Sachez que les anges ont fait dans le ciel, du jour de sa naissance sur la terre, un jour de fête et un mystère de réjouissance. Cette petite sera grande devant le Seigneur; et il y en aura plusieurs qui, passant de l'admiration de sa vie à l'imitation de ses vertues, quitteront le péché, et renonçant comme elle, par la profession d'une vie sainte et religieuse, à la chaire et au monde, obtiendront par ce moyen, outre la rémission de leurs péchés, la récompense de la vie éternelle.
  genevieve et saint Germain
  Géroncia ne croyait guère à la révélation de Saint Germain. Quelques années plus tard, elle défendit à sa fille de se rendre à un office religieux. Comme celle-ci insistait, elle l'a gifla, et fût aussitôt frappée de cécité.

la suite ICI 

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 17:10

 

Dimanche 6 janvier : La cathédrale Notre-Dame de Paris
visite guidée de Marie-Françoise Ousset 
Comme chaque année, Marie-Françoise Ousset nous guide à travers les monuments qui ont marqué Paris, son histoire et sa civilisation.

(JPEG)

De Notre-Dame aux Tuileries en passant par le Père-Lachaise, laissez-vous conter les secrets de ces merveilles architecturales. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, appelez le 01 43 40 85 71

Dimanche 3 février : la  Cité de l’architecture et du patrimoine
Dimanche 3 mars : Le Panthéon
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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 14:07
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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 20:12
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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 23:18

 

" Ne trichons pas avec les mots : l’année 2013 s’annonce grosse de difficultés, de souffrances sociales, de déconvenues économiques et de chômage ! C’est en regardant tout cela en face, l’œil ouvert, qu’il faut en appeler à l’espérance. Rien de plus logique. Ce n’est pas quand tout va bien, mais quand le découragement menace, que cette dernière doit émerger du fond de nous-mêmes afin de nous tenir debout. Je pense à cette belle mise en garde de Bernanos (dans Le Journal d’un curé de campagne ) : « Le péché contre l’espérance – le plus mortel de tous, et peut-être le mieux accueilli, le plus caressé. Il faut beaucoup de temps pour le reconnaître, et la tristesse qui l’annonce, le précède, est si douce ! »   "

Jean-Claude Guillebaud, éditeur, essayiste,  témoigne de l’espérance

 

 

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