Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 07:44
  

Ajoutée par  le  4 févr. 2010

Partager cet article
Repost0
27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 07:28

 

Partager cet article
Repost0
27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 07:25

 

Sur de nombreux sujets-clef, nous manquons de données fiables pour étayer notre pensée. Sur certains thèmes, nous sommes saturés d’informations et il est difficile de s’y retrouver. Nous ne connaissons pas nécessairement les ouvrages indispensables sur des questions majeures. L'IPF, Institut de Formation Politique, propose des notes réalisées par des universitaires et spécialistes. Elles ont pour but de donner les informations et les arguments clés sur les sujets et organisations qui font l’actualité. 


Vous pouvez consulter les trois premières notes de l’IFP :

Partager cet article
Repost0
27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 07:22

 

     


Les techniques du yoga peuvent s’apparenter à la prière qu’elles tendent à remplacer, dès le niveau même du corps, engrené dans un véritable rituel. Car la séance de yoga est plus qu’une gymnastique : c’est un véritable rituel, et plus efficace qu’on ne  croit. C’est la liturgie du corps dans le temple du cosmos.
Le chrétien adore Dieu en esprit et en vérité. Le yogi veut utiliser le corps, comme un moyen qui, par lui-même, serait spiritualisant. C’est en quoi il est magique et idolâtrique. Car il vise sa propre « divination ». S’appuyant pour cela sur les ressources du corps, il n’obtient évidemment pas d’effets intrinsèquement « spirituels» mais « subtils » : cette fausse monnaie « matérielle » de l’esprit. Ces effets « subtils » sont en effet d’essence corporelle, états et sensations ordinaires du système nerveux. Avec phénomènes « paranormaux » en cortège. Le plan spirituel est bien atteint par contre-coup, puisque l’âme qui anime ce corps est spirituelle. Mais «on récolte ce qu’on a semé» : du corporel. ressentir des « états seconds » est donc le grand piège : on prend pour pure spiritualité ce qui n’est que l’enivrement des zone «inférieures» de l’âme, zones liées à la matière. Malheureusement cet enivrement produit les effets qui lui sont propres : altération de la conscience des zones supérieures. Ici, ce n’est pas l’ivresse physique des ivrognes, altérant le pôle psychique ordinaire. C’est l’ivresse «psychique», altérant le pôle «spirituel» de l’âme.

Lu ICI  

Partager cet article
Repost0
27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 07:07

 

" Eradiquer la trisomie ? C'est simple, il suffisait d'y penser

Pour éradiquer la trisomie, le plus simple, c'est d'identifier les trisomiques et de les supprimer. C'est ce à quoi on s'attelle dans nos pays "avancés". Tout au moins, en commençant par ceux qui sont à naître et dont des tests "fiables à cent pour cent" permettent de déceler l'"anomalie" qui leur vaudra d'être éliminés.
Lire à ce propos, l' Intervention de Jean-Marie Le Méné

Trisomie 21 : un dépistage controversé

Partager cet article
Repost0
26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 07:23

L´ÉNIGME VALTORTA, UNE VIE DE JÉSUS ROMANCÉE ?

par Jean-Françoise LAVERE

 

Bilan de dix ans de recherches, cette étude révèle l’immense érudition contenue dans "l’évangile tel qu’il m’a été révélé " de Maria Valtorta.

D’où Maria Valtorta possédait-elle ses mystérieuses connaissances en astronomie, en géographie, en histoire, en Ecriture Sainte et en tant d’autres disciplines ? Beaucoup de lecteurs se sont posé cette question. Au terme d’une étude rigoureuse, le polytechnicien Jean Aulagnier affirma qu’aucune intelligence humaine ne pouvait maîtriser un tel savoir dans des matières si variées.
L’œuvre de Maria Valtorta est une énigme.
De 1943 à 1947, immobilisée dans son lit par la maladie, elle écrivit en 4 ans à peine et d’un seul jet son œuvre maitresse, diffusée en France sous le titre L’Evangile tel qu’il m’a été révélé. Cette ”Vie de Jésus”, maintenant connue dans le monde entier, suscite depuis cinquante ans des réactions passionnées.
Ingénieur à la retraite, Jean-François Lavère se consacre depuis plus de dix ans à répertorier et analyser méthodiquement la véracité des milliers de données fournies par le récit de Maria Valtorta. Il propose ici de nombreux exemples de l’érudition stupéfiante et souvent méconnue dont la mystique italienne a fait preuve (lieux, historicité des personnages, archéologie, arts et techniques, us et coutumes, faune et flore et, bien sûr, cohérence de la chronologie). Il montre que Maria Valtorta donne souvent des précisions connues seulement de quelques spécialistes, voire même dans certains cas totalement inconnues au moment de leur rédaction, et confirmées depuis.
Il fournit ainsi des éléments concrets pour permettre à chacun d’étayer son opinion sur l’authenticité des visions de Maria Valtorta. 

vu ICI
Partager cet article
Repost0
26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 07:21

 

"  Son auteur Rebecca St James est une jeune chanteuse chrétienne d’origine Australienne qui a décidé à l’âge de 12 ans de donner sa vie à Christ et de marcher dans la pureté sexuelle jusqu’à son mariage. Elle a attendu et aujourd’hui, plus de vingt ans plus tard elle a eu récemment la joie de se marier et de rendre son témoignage concernant l’attente encore plus vivace que lorsqu’elle ne l’était pas. Son parcours a encouragé de nombreux jeunes à espérer en ce qui semble impossible de nos jours.

Son livre intitulé Attends-moi, disponible aux éditions Farel, a été un réel succès et fut traduit dans diverses langues. Ce livre a également fait l’objet d’une chanson de l’auteur, du même nom, que vous pouvez écouter juste ici !

Les joies de la pureté dans la relation amoureuse

Attends-Moi, les joies de la pureté dans la relation amoureuse

Rebecca St James, Editions Farel (2002)

11 € sur TopBoutique ici / 11, 40 € sur La Procure ici / 35, 40 € sur Amazon ici  "

lu sur un blog ici

Partager cet article
Repost0
26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 07:14

 

(JPEG)

Amour ou sexualisme ? - Jean Ousset  

Ne recherchez pas dans ce petit livre une éducation sentimentale mais bien une éducation à l’amour. A partir de ce regard, vous découvrirez ou redécouvrirez les chemins pour vivre et pour aimer. Ecrit bien avant la dernière encyclique papale sur « Dieu est amour », il en favorisera une compréhension pleinement chrétienne.

 

 

en vente ici : www.ichtus.fr

Partager cet article
Repost0
26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 07:13

 

"  Phobos, nom propre : en grec, le dieu de l’épouvante. 
Phobos, nom commun : en grec, terme polysémique comme vous l’indiquera volontiers ce cher Anatole mais notamment « action de faire fuir en effarouchant », « fuite », « crainte », « frayeur », « effroi »… (et, même, je continue de citer, « crainte éprouvée par les barbares » (!!!)) 

Je n’ai pas pris part à tous les débats qui ont secoué les médias et, par contrecoup, la blogosphère aux alentours du 15 août (très avant, finalement peu pendant mais qui continuent après), de la prière proposée par Mgr Vingt-Trois (l’avez-vous d’ailleurs vraiment mais vraiment lue ?), par choix : pas la peine de produire de la prose supplémentaire. Mais un truc qui m’a marquée et même blessée, sur lequel j’aimerais revenir bien que cela soit assez en marge de toutes ces questions mêlées de prière, d’intervention de l’Eglise sur la scène publique ou du statut de l’homosexualité, c’est ce terme en guise d’accusation qui fleurit désormais un peu partout : « homophobie » ! "
Partager cet article
Repost0
26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 07:12

 

"  Et demain ?

Demain, quel sera le nouveau motif d’un ixième buzz médiatique mettant en cause l’Eglise, le pape, Mgr Untel ou l’abbé Machin ?

Demain, quelle sera la nouvelle « révélation » qui alimentera le moulin de nos détracteurs ?

Demain, quel sera le nouveau fait divers susceptible de déclencher un élan médiatique compassionnel justifiant le recours à l’euthanasie, à l’avortement, à l'adoption par des couples gay, ou que sais-je encore ?

Demain, quelle sera la nouvelle provocation qui permettra de mobiliser les défenseurs des droits de l’homme pour des causes tordues ?

Demain, quel sera l’objet de notre prochain émoi ? Quelle nouvelle horreur ?

Et après-demain ? Et après-après-demain ?

Et nous ? Serons-nous encore et toujours au créneau pour dénoncer la manœuvre provocatrice, la stratégie subversive, la mobilisation manipulatrice, l'information qui intoxique ? Et jusqu’à quand ? Jusqu’à ce qu’on ne soit plus là pour voir la suite ?

Ne risque-t-on pas de s’exténuer à ce jeu-là ? Et cela a-t-il encore un sens de se tenir sur le rempart alors que la cité est investie ? De défendre des murs désertés ?

Tous nos sites, blogues et autres « observatoires », sont-ils condamnés à inventorier quotidiennement les progrès du désastre en cours ? A déjouer les « complots » ? A dénoncer les « coupables » ? Et tout cela pour en arriver à quoi, finalement ? Cela suffira-t-il à remettre le train sur les rails ? A orienter nos contemporains vers le Vrai, le Bien, le Beau ?

La publication d’un roman intitulé « Le sermon sur la chute de Rome » m’a mis la puce à l’oreille et m’a renvoyé vers saint Augustin, en particulier à ce sermon 296 du 29 juin 411, et au très beau commentaire de Dominique-Marie Dauzet, prémontré de Saint-Martin de Mondaye. Il en ressort que nous ne sommes citoyens d’aucune cité définitive ; toutes sont mortelles. Nous sommes citoyens d’une cité à venir, la vie dans la cité terrestre n’étant qu’une « formule d’attente ».

« Le monde s'ébranle, c'est le vieil homme qu'on secoue, la chair est sous le pressoir, que l'esprit s'en écoule. (.) - Que dis-tu ? - Ce que je dis ? mais je dis, puisque Rome souffre tant de maux, où sont les mémoires des apôtres ? - Elles y sont, elles y sont bien, mais c'est en toi qu'elles ne sont pas. Puissent-elles être en toi, toi qui parles ainsi, qui déraisonnes ainsi, toi qui, appelé à penser dans l'esprit, raisonnes dans la chair, toi que je vois là : puissent les mémoires des apôtres être en toi (.). »

Publié dansLien permanent | Commentaires (4) 

Partager cet article
Repost0
25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 22:59


25 aout : Saint-Louis

saint_louis_bartolomeo.jpg

Extraits du Testament de saint Louis, à son fils :

"Aies le cœur compatissant envers les pauvres et envers tous ceux que tu considèreras comme souffrant ou de cœur ou de corps, et selon ton pouvoir soulage-les volontiers ou de soutien moral ou d’aumônes. [...] Cher fils, s’il advient que tu deviennes roi, prends soin d’avoir les qualités qui appartiennent aux rois, c’est-à-dire que tu sois si juste que, quoi qu’il arrive, tu ne t’écartes de la justice. Et s’il advient qu’il y ait querelle entre un pauvre et un riche, soutiens de préférence le pauvre contre le riche jusqu’à ce que tu saches la vérité, et quand tu la connaîtras, fais justice. [...] Si tu apprends que tu possèdes quelque chose à tort, soit de ton temps soit de celui de tes ancêtres, rends-la tout de suite toute grande que soit la chose, en terres, deniers ou autre chose. [...] Cher fils, je t’enseigne que tu te défendes, autant que tu pourras, d’avoir guerre avec nul chrétien ; et si l’on te fait tort, essaie plusieurs voies pour savoir si tu ne pourras trouver moyen de recouvrer ton droit avant de faire guerre, et fasse attention que ce soit pour éviter les péchés qui se font en guerre. [...] Et s’il advient que tu doives la faire, [...] commande diligemment que les pauvres gens qui ne sont pas coupables de forfaiture soient protégés et que dommage ne leur vienne ni par incendie ni par autre chose. [...] Cher fils, je t’enseigneque tu aies une solide intention que les deniers que tu dépenseras soient dépensés à bon usage et qu’ils soient levés justement. Et c’est un sens que je voudrais beaucoup que tu eusses, c’est-à-dire que tu te gardasses de dépenses frivoles et de perceptions injustes et que tes deniers fussent justement levés et bien employés, et c’est ce même sens que t’enseigne Notre Seigneur avec les autres sens qui te sont profitables et convenables."

Le SOUPIRAIL et les VITRAUX 

Partager cet article
Repost0
25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 22:20

pas sûr !

Partager cet article
Repost0
24 août 2012 5 24 /08 /août /2012 07:40

 

 

cliquez !

Partager cet article
Repost0
23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 09:45

 

Ca ne s'invente pas ! ...

hollande trierweiler.jpg

Fontaine à 4 kms de Phalsbourg

détail :

hollande trierweiler detail.jpg

deuxième détail :

hollande trierweiler detail 2.jpg

Partager cet article
Repost0
23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 09:42

 

vous pouvez vous abonner à la Newsletter dans la colonne de droite ...

et écrire vos Commentaires au bas des articles ...

Partager cet article
Repost0
23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 08:16

... de Moissac à Orisson ...    

P1110502.JPG  P1110519.JPGP1110550.JPG  P1110551.JPG    P1110667  P1110728.JPG  P1110858.JPG  P1110861.JPG  P1110974.JPG  P1110991.JPG    P1120106.JPG

Retrouvez ces lieux ...

Partager cet article
Repost0
22 août 2012 3 22 /08 /août /2012 09:28

 

 " Tu fais quoi pendant les vacances ?  "

 

Partager cet article
Repost0
22 août 2012 3 22 /08 /août /2012 09:20

 

galant-0030.jpg

Partager cet article
Repost0
22 août 2012 3 22 /08 /août /2012 07:01

 

« S’il est un pays au monde où gastronomie et culture sont indissociablement liéesc’est cette France où la géographie a dicté les plats comme elle a tenu la plume des écrivains. Parce que, sous ces latitudes, en ce point du monde bercé par le Gulf Stream et caressé par le soleil de Méditerranée, baigné par le Rhin austère ou la Loire nonchalante, la diversité des lumières et des vins a multiplié les saveurs en dessinant des terroirs. Des terroirs, c’est-à-dire des entités géographiques et culturelles, des lieux où, durant des siècles, les hommes ont approfondi ces caractères géoclimatiques en se transmettant de génération en génération les savoir-faire qui les magnifiaient. » 

Natacha Polony

Extrait d'un portrait lu  ICI

 

Partager cet article
Repost0
6 août 2012 1 06 /08 /août /2012 04:00

 

Le pèlerin chrétien par Jacques CLOUTEAU
Jacques Clouteau, l'auteur bien connu de la série des Miam-miam-dodo, nous fait découvrir dans son nouveau livre "Compostelle Mode d'Emploi" ** sa description du pèlerin chrétien d'aujourd'hui et cette approche venant d'un laïque passionné du chemin de Saint-Jacques, nous a touché et nous avons souhaité vous la faire partager.

 

Dentelles du pèlerin en marche
Dentelles du pèlerin en marche
** Retrouvez tous les guides Miam-Miam-Dodo et Compostelle Mode d'Emploi sur le site de notre partenaire TREIA ICI 

Pour un Chrétien, aller à Compostelle, c'est d'abord se rendre sur le tombeau d'un apôtre. C'est approcher au plus près les restes d'un homme qui a vécu plusieurs années auprès du Christ. C'est toucher du doigt une Histoire vieille de 2.000 ans qui a bouleversé à jamais l'humanité. 
Souvenons-nous : Jacques était pêcheur avec son frère Jean, sur le lac de Tibériade. On ne sait ce que Jésus leur a dit, mais ils ont tout abandonné pour le suivre. Avec Pierre, ils étaient les apôtres les plus proches de Jésus, ceux auxquels a été donné le privilège de voir les miracles les plus fameux, ainsi que la transfiguration et l'agonie du Christ. Il existait parmi les apôtres un autre Jacques, appelé dans les Ecritures le frère du Seigneur et connu ensuite sous l'appellation de Jacques le Mineur, pour le différencier de notre Jacques le Majeur. Après la Pentecôte, qui lui donne le don des langues, Jacques s'en va prêcher en Hispanie. Son ministère porte peu de fruits et il revient vite en Palestine. Il y sera décapité par ordre du roi Hérode Agrippa en l'an 44. La légende rapporte ensuite que ses disciples chargèrent sur une barque le corps de leur maître et le conduisirent en Galice où ils l'enterrèrent. La sépulture tomba dans l'oubli durant huit siècles jusqu'à ce que, en l'an 813, des phénomènes surnaturels se produisent et qu'on redécouvre le tombeau de l'apôtre. Et ce fut le début de la formidable aventure compostellane. Jacques est un symbole dans l'Eglise puisqu'il fut le premier apôtre à mourir par le martyre. Il devenait encore plus fort mort que vivant. C'est pourquoi ses compagnons dirent à la reine Louve, en débarquant en Galice : « Le Seigneur t'envoie le corps de son disciple, afin que tu reçoives mort celui que tu n'as pas voulu recevoir vivant ». 
Partager cet article
Repost0
5 août 2012 7 05 /08 /août /2012 09:05

Des lectures pour cet été ... Lu sur le site d'Elisabeth Bourgois.

 

"  L’actualité relance aussi le débat sur l’EUTHANASIE depuis cet été 2011. En 2006, j’en avais écrit  un roman : « Les assassins sont si gentils » (Ed Salvator), car c’est un sujet que je connais bien en tant qu’ancienne infirmière. Le titre est provocateur sans doute, mais donner volontairement la mort est bien un « assassinat » en droit. Peut-on  faire cet acte par compassion ? Que se passe-t-il dans les hôpitaux ? Quel est le rôle des lobbies ? Dans ce roman, je n’ai rien inventé, les faits sont réels… et j’ai cherché à redonner le sens des mots utilisés dans ce débat. Ce livre est aussi un roman avec une histoire forte et du suspense. Il plonge le lecteur dans une réalité de vie qui peut être la sienne.

Mes deux derniers romans historiques « Le courage vient du ciel » et « la mémoire d’un coquelicot »  (Ed Salvator) vous offrent eux, une plongée dans le monde de la mer,  de l’aviation et de la médecine au début du XXè siècle dans la région de Boulogne-sur-mer.

« La Manche libre » sept 2011 à propos de « La mémoire d’un coquelicot »:Avril 1918 : dans une plaine du Nord gorgée du sang des soldats, un survivant. Un seul. Un homme blessé, hagard, ne sachant plus qui il est ni d’où il vient. A l’hôpital où l’on a soigné ses plaies, une jeune veuve, châtelaine, demande à le recueillir, dans l’espoir d’une guérison…  Rien à faire. La mémoire de l’inconnu semble à jamais enfouie. Qui sait si la bonne samaritaine ne va pas s’éprendre de cet étrange amnésique ? Mais Elisabeth Bourgois sait dépasser le romanesque sentimental et, de cette situation initiale tragiquement réaliste, nous propulse dans un passionnant roman de l’identité perdue où l’intrigue jamais ne perd en force et en puissance émotionnelle.
Le lecteur, entre passé et présent, est mené de révélations en retournements, et ce roman est de ceux dont on sent qu’une fois le livre fermé ils ne nous lâcheront plus.  "

-1

Partager cet article
Repost0
4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 23:00


C’est la course… À Londres, aux J.O., sur les routes du Tour de France, dans les stades de l’Euro Football. Elle court, elle court, la vie. Et si nous profitions des vacances pour faire une pause, prier plus longuement et nous arrêter en Dieu ? Souffler et retrouver son Souffle... avec l’Esprit.

Zoom
© Bruno Ehrs_GETTY

Dans une grande ville, par une nuit d’été. Un homme d’une cinquantaine d’années gare sa voiture pour acheter des cigarettes, et murmure à l’oreille de sa femme : « Je reviens tout de suite, chérie ». Il sort du bar lorsqu’une bande de jeunes le prend en chasse. Dans cette société-là, les jeunes ne supportent plus les vieux (on l’est à partir de quarante ans) ; alors, le soir tombé, ils les traquent et les tabassent. L’homme passe la nuit à fuir, à courir. En vain. À l’aube, la meute le cerne, le frappe, l’achève. Mais cette nuit a duré, en fait, le temps d’une vie : c’est très court, surtout vers la fin. Le chef de bande, croisant son reflet dans une vitrine, constate avec effroi qu’il est devenu vieux à son tour. Et des jeunes se lancent à ses trousses…

Quel rapport entre cette lecture de vacances – une nouvelle choc (voire choquante) de Dino Buzatti, tirée de « Le K » (Livre de Poche) – et la grande fête des J.O. qui bat son plein ? L’accélération contemporaine. L’enchaînement des instants d’un temps qu’on ne maîtrise pas et qui semble filer plus vite qu’un sprint d’Usain Bolt (cf. notre dernier supplément). Cette précipitation distille une angoisse qu’on ne soigne que par la multiplication des divertissements qui, elle-même, nous épuise.
Car même dans le sport, c’est la course. Normal, direz-vous, puisque la course, c’est du sport. Mais nous n’avons plus le temps de souffler tant les compétitions s’enchaînent à un rythme endiablé. Souvenez-vous : on a dribblé de Roland Garros à Wimbledon, l’Euro de football a fait la passe au Top 14 qu’on a plaqué pour le Tour de France qui a pédalé à toute allure jusqu’aux actuels J.O. qui multiplient les épreuves… C’est exaltant mais éreintant. Si ce rythme était imposé par le nouvel entraîneur de l’équipe de foot « nationale », les Bleus n’auraient même pas l’occasion de cracher sur leur maillot : ils cracheraient leurs poumons.

Les vacances offrent comme une mi-temps qui permet de s’interroger sur l’ami temps : ce don de Dieu qu’il nous offre pour le rencontrer, et que nous ne prenons plus le temps de recevoir. Peut-on vraiment souffler sans retrouver son Souffle ? (Lire à ce propos notre série d’été sur les dons de l’Esprit saint). Vous êtes nombreux à profiter de l’été pour recharger vos « batteries », lors de sessions, retraites, ou en pratiquant tout simplement la liturgie des Heures. Celle-ci offre de s’arrêter en Dieu, et de retrouver en sa Présence, dans ce Cœur qui bat au rythme de l’Éternel, le sens d’un temps redevenu dense.
Devoir de vacances « Cet été, vous essayez de pratiquer la liturgie des Heures pendant une semaine – seul, en couple, ou en famille. Et vous racontez. » Je ramasse les copies à la rentrée. En prenant mon temps.

Luc Adrian, Famille Chrétienne, 04/08/2012, Numéro 1803

Partager cet article
Repost0
4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 08:47

          Guide spirituel des chemins de Saint-Jacques

sous la direction de Gaële de LA BROSSE

 

 

Ce véritable compagnon de route - à consulter avant le départ, puis au fil des pas, et enfin au retour pour continuer à cheminer au quotidien - donnera au pèlerin de Compostelle les clés de lecture et de compréhension du Chemin de Saint-Jacques, et nourrira sa méditation.

Vingt chapitres évoquent les différentes étapes spirituelles et psychologiques, ou « paysages intérieurs », du pèlerinage. Chacun d'eux, qui développe un thème particulier, comprend un texte introductif, un récit de pèlerin, un entretien avec une personnalité, un extrait de la Bible commenté, un épisode d'une vie de saint, des citations d'écrivains et de maîtres spirituels, et une histoire du Chemin « à lire sous les étoiles ».

Des annexes pratiques clôturent l'ouvrage avec une liste d'accueils chrétiens, des prières spécifiques, la présentation d'initiatives liées à la spiritualité du pèlerinage, un lexique et une bibliographie choisie.

Partager cet article
Repost0
3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 22:33

« Pourquoi je vis, pourquoi je meurs… ? »

 

En réponse à ce tube de l’opéra rock Starmania, rien ne vaut une retraite selon la pédagogie de saint Ignace de Loyola. Ces Exercices spirituels du fondateur des Jésuites sont particulièrement adaptés aux jeunes qui se lancent dans l’existence.              Stéphanie Combe

Au programme : silence, prière, méditation de scènes de l’Évangile et topos de l’accompagnateur, pendant cinq, huit ou trente jours de retraite. Rébarbatif ? Pourtant, chaque année, des centaines d’adolescents et de jeunes adultes choisissent ce type de retraite, temps privilégié de prière et de discernement. Certains y reviennent même…

Avec deux retraites à son actif et la prochaine déjà planifiée, Guillaume en rit : «Quand on a choppé le virus, difficile de s’en dépêtrer !» Étudiant en droit de 26 ans, il y retourne afin d’«éclairer certains pans de ma vie ; le Seigneur donne la bonne direction. J’en sors plus converti à chaque fois».

Éprouvée il y a quatre siècles auprès des jeunes gens désireux d’entrer dans la Compagnie de Jésus, la méthode de saint Ignace reprend les bases de la foi de façon pédagogique, en quatre temps (cf. encadré «Quatre éléments du cheminement»). Une plongée dans l’Évangile, qui montre l’amour du Seigneur pour la Création. Et souligne que l’homme est fait pour Dieu et pour l’éternité.

Aujourd’hui encore, ce rappel n’est pas un luxe et donne une colonne vertébrale. «Même dans des milieux privilégiés, comme parmi les lecteurs de Famille Chrétienne, une formation globale de la foi fait souvent défaut», souligne, espiègle, le Père Guy Vénard. Ce prêtre Coopérateur paroissial du Christ Roi (CPCR) donne des Exercices spirituels en Bretagne depuis vingt-cinq ans.

Jean-Paul II assurait même que «les Exercices sont une expérience presque nécessaire, particulièrement lors de certains moments délicats de la croissance, si nous voulons que les jeunes demeurent chrétiens». Le Père Vallet, fondateur des CPCR, en fut un exemple vibrant. À 20 ans, déboussolé par certains courants de pensée, l’étudiant espagnol traverse une crise profonde dans sa foi. Quatre ans plus tard, il se convertit lors d’une retraite prêchée : «Les Exercices m’ont ressuscité à la vie de l’Esprit», écrira-t-il. Il renonce à sa carrière d’ingénieur et entre chez les jésuites. Jeune prêtre, il élabore une retraite de cinq jours qui résume les Exercices ignatiens normalement développés en un mois. Avec un but nouveau : faire des hommes de vrais chrétiens.

LIRE ET DÉCOUVRIR L’ÉVANGILE AUTREMENT

«On adhère avec plus de fermeté, approuve Guillaume, issu d’une famille catholique, scout à Poitiers. Notamment grâce à l’approche sensible qui aide à mettre le doigt sur l’essentiel.» En effet, certains Exercices spirituels engagent à découvrir l’Évangile autrement, par le biais de l’imagination. Bénédictin de l’abbaye Saint-Joseph-de-Clairval à Flavigny, le Père Emmanuel-Marie explique ce recours inattendu : «Saint Ignace prend en compte toutes les capacités de l’homme, y compris la puissance imaginative. Alors qu’on essaie d’entrer en prière, elle peut nous emmener n’importe où, à un match de foot ou à la piscine ! Or, si nous la canalisons nous pouvons en tirer parti».

Selon les scènes évangéliques, le retraitant est donc invité à se projeter parmi la foule en Galilée, à écouter le Christ qui enseigne, à humer le parfum répandu sur ses pieds par la pécheresse ou à ressentir l’allégresse de la Résurrection, comme la chaleur du feu en hiver…

la suite...

Partager cet article
Repost0
3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 21:31

 

Partager cet article
Repost0