Musée du Louvre
Prague
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Pour prendre de la hauteur, mais pas trop...
Céline, Flaubert, Nietzsche, Valéry… Fabrice Luchini a l’heureuse manie de ne s’intéresser qu’à ce qui est grand. Et celle-ci ne semble pas près de guérir : c’est à Philippe Muray, en effet, qu’il consacre son nouveau spectacle, les samedi 13 mars et lundi 15 mars prochains, au Théâtre de L’Atelier.
Le 2 décembre dernier, Luchini avait livré une première lecture de Muray à la Société des gens de lettres. La prestation était éblouissante et radicalement hilarante. Avec une intelligence parfaite des textes, Luchini avait su délivrer tout le souffle de la littérature de Muray, son délire, sa liberté souveraine, les plus délicates nuances de son humour de bête sauvage. Gageons que ce miracle, né de la rencontre de deux folies majeures, se produira à nouveau au mois de mars. Y assister avant de mourir me semble absolument indiqué.
Texte de Bruno Maillé paru sur Causeur.fr
Idées reçues sur l’Eglise et les femmes
C’est la misogynie du christianisme qui explique que la femme était autrefois considérée comme inférieure à l’homme.
Au contraire ! Le christianisme a révolutionné les mentalités en affirmant, au sein d’un monde antique pénétré par l’idée d’infériorité de la femme, l’égale dignité des deux sexes aux yeux de Dieu. Saint-Paul n’affirme-t-il pas, dans son épître aux Galates (III, 28) :"Il n’y a plus ni Juif, ni Grec, ni maître, ni esclave ; ni homme, ni femme. Vous n’êtes qu’un dans le Christ Jésus" ? Comme le souligne Monique Piettre : "désormais le rite d’élection n’est plus le signe, exclusivement réservé aux mâles et inscrit dans la chair, qu’était la circoncision hébraïque, mais un sceau invisible imprimé sur les âmes et offert à tous et à toutes : le baptême". Cette égalité de dignité était déjà affirmée dans la Genèse : "Dieu créa l’homme à Son image, à l’image de Dieu Il le créa, homme et femme Il les créa". Par ailleurs, Dieu a tout de même choisi de s’incarner dans le sein d’une femme (Il aurait pu descendre sur terre adulte...), et tout son plan de salut était suspendu au "oui" de cette femme, la Vierge Marie, qu’Il a donnée comme mère à tous les hommes... On devrait méditer davantage les propos de Jean Guitton : "la personne la plus parfaite de notre monde moral se trouve avoir été choisie dans le sexe le plus faible".
Une soirée animée par deux témoignages
et une conférence donnée par Mgr Ravel, évêque aux Armées.
Mardi 16 mars à 20h30
23 bis rue Las Casas Paris 7e
tél 01.4.18.62.63
Lu sur « la Nef »
Le tintamarre complaisant autour de la sortie du livre d’Élisabeth Badinter sur le « conflit » entre la femme et la mère est très instructif sur l’état du féminisme aujourd’hui. Mais l’adoption d’une résolution européenne par les députés français, le 23 février, pour aligner le droit des femmes françaises sur les législations européennes les plus progressistes, est autrement plus grave.
http://www.libertepolitique.com/respect-de-la-vie/5873-le-feminisme-dans-tous-ses-etats
* Elizabeth Montfort est ancien député européen, présidente de l’Alliance pour un Nouveau Féminisme européen.
Au Domaine de Chadenac, près du Puy
Session "Se former pour mieux agir "
animée par le Père Yannik BONNET
sur la doctrine sociale de l'Eglise
du 15 au 19 Mars 2010
Aperçu du contenu
Un week-end pour célibataires après la session : http://chadenac43.free.fr/celibataires/weekend_cel.html
Il y a tant d’hommes qui meurent sans jamais avoir parlé de Dieu à personne.
(Antoine Martel)
Le nombre des timides est considérable. Surtout lorsqu’il s’agit de faire connaître ses positions religieuses. Si tu t’affirmais franchement, tu ferais taire ton respect humain.
(Raoul Plus)
Nous n’avons pas mission de faire triompher la vérité, mais de témoigner pour elle
(Henri de Lubac)
Le principal péché est celui de ceux qui, étant éclairés, n’éclairent pas.
Ils connaissent le sens de la vie, ils savent la direction,
les points d’eau, les stations où l’on trouve de l’essence, et ne les montrent pas.
(Père Monier)
Annoncer la foi, n’est pas donner la foi.
Nous sommes responsables de parler ou de nous taire.
Nous ne sommes pas responsables de l’efficacité de nos paroles.
(Madeleine Delbrêl)
Seigneur, épargne-moi cette excessive discrétion
qui laisse les âmes dans leur ignorance
et qui n’ose pas seconder l’action de la grâce en chacun de nous !
lu sur
www.serviam.net Carême 2010 sur Internet
Politique : l'engagement nécessaire
En politique, la crise de l'engagement touche l'immense majorité des jeunes catholiques. Et pourtant, bon nombre d'entre eux n'acceptent la décadence morale et religieuse de notre pays. Une contradiction ?
Ichtus nous donne 10 bonnes raisons de s'engager en politique. Un dossier très bien réalisé qui fera réfléchir et permettra à chacun de se poser quelques questions à moins de 3 semaines du 1er tour des élections régionales.
Extrait de l'introduction :
"La question de l’engagement politique des chrétiens a donné lieu dans le passé à tant de cogitations, discussions et publications qu’il pourrait sembler inopportun d’en rajouter. Pourtant, après les années 60 et 70 où l’exaltation maladroite d’un pluralisme relativiste justifiait toutes les options - surtout les moins acceptables -, les années 80 et 90 ont été marquées par un désengagement progressif des catholiques de la scène publique."
Lu sur e-deo : Lien permanent
Un écrivain français qui adapte lui-même son roman au cinéma, cela devient une habitude. Après Alexandre Jardin, Bernard-Henri Lévy, Yann Moix, Michel Houellebecq, Éric-Emmanuel Schmitt, Bernard Werber ou Philippe Claudel, voici donc Marc Dugain qui s’essaye à son tour à la caméra. Un choix qui ne manque pas de courage après le peu de réussite de ses confrères ! Et qui se révèle pourtant judicieux, car son film a beaucoup d’atouts, malgré un thème et un style a priori peu engageants. Il est vrai que lorsqu’on offre à Yves Angelo, le célèbre directeur de la photographie, de filmer André Dussolier et Marina Hands, une bonne partie du chemin est déjà faite !
tout l'article : Une exécution ordinaire
"Nous fêterons les ... " : vous avez peut-être remarqué que le mot "saint" ou "sainte" a quasiment disparu depuis quelques années des émissions télé de la météo.
On voit donc par exemple écrit sur l'éphéméride "Philippe" ou "Dominique".
C'est ainsi que, le 10 février, sur l'éphéméride du lendemain, on pouvait lire sur la chaîne France 2 : N-D.
Tous les téléspectateurs auront deviné : "N-D" comme "Notre Dame de Lourdes" ...
le récit des apparitions à Bernadette Soubirous
de la Vierge Marie, à Lourdes, à partir du 11 février 1858
>>> http://jesusmarie.free.fr/apparitions_lourdes.html
Principe de précaution ...
Ce gratuit diffusé à plus de 200 000 exemplaires est lancé le 28 janvier prochain. Un concept audacieux qui répond aux attentes spirituelles d’aujourd’hui : la grande majorité des Français considèrent la religion comme un atout pour la société, selon un sondage exclusif IFOP pour L’1visible. Anuncioblog n'est pas étranger à ce lancement, puisque son créateur devient le responsable Internet du journal.
Le premier numéro de L’1visible, nouveau mensuel catholique gratuit, est diffusé à partir du 28 janvier. Alors que la religion est souvent reléguée à la sphère privée, L’1visible souhaite donner à la foi chrétienne une nouvelle visibilité dans la société française.
la suite : L'1visible : un nouveau gratuit catholique !
La Présidente du "Collectif pour l' Enfant" Béatrice Bourges répond à quelques questions de l'association "CITE & CULTURE". L'idéologie du "genre" étant à la source des revendications des lobbys féministes et homosexuels. Béatrice Bourges ayant particulièrement étudié cette question du "genre", son éclairage est important dans le combat pour la protection de la famille et de l'enfance.
L'entente franco-russe fut ravivée par l'arrivée des Ballets russes à Paris vers 1910. Croisées de destins : la passion de Nicolas II pour M. Ksechinskaïa et les vicissitudes de la politique du tsar ; la fin des purges et la rencontre de Staline avec Semionova du Bolchoï ; O. Khokhlova rencontre un Picasso néo-classicisant à partir de 1920...
Quel est le point commun entre le tsar Nicolas II, Staline, Picasso, Apollinaire, Cocteau ou Stravinsky ?
Tous ces personnages, qui ont si profondément marqué l'histoire politique et artistique du XXe siècle, furent de fervents amateurs des Ballets russes. Nombreux y rencontrèrent la femme ou l'homme de leur vie. Loin d'être de simples aventures, ces liaisons furent de véritables passions et marquèrent leurs destins. L'amour de Nicolas II pour la célèbre ballerine Matilda Kchessinskaia, reflète les vicissitudes de sa politique ; la fin des purges coïncide avec la rencontre entre Staline et une étoile du Bolchoï ; le style de Picasso change lorsqu'il épouse Olga Khokhlova, danseuse du ballet Diaghilev...
S'appuyant sur des documents secrets et des témoignages inédits de Noureev, Chagal ainsi que d'autres artistes et hommes politiques, l'auteur jette un regard insolite sur les coulisses des Ballets, à l'époque où le KGB utilisait les ballerines pour l'espionnage, et où Montparnasse était le lieu de rencontre des artistes. Il raconte ainsi l'histoire du métissage culturel entre la Russie et la France, scellé par l'arrivée des Ballets russes à Paris vers 1909.