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26 septembre 2010 7 26 /09 /septembre /2010 15:46

 

Un cambrioleur entre dans une maison pendant la nuit. Il allume sa lampe de poche et cherche des objets de valeur dans la maison. Il ramasse des CDs et des bijoux plein son sac lorsqu'une voix étrange lui dit: - "Jésus te regarde..." Le voleur sursaute, terrifié par cette voix étrange. Il éteint sa lampe et ne bouge plus pendant quelques instants. Comme il n'entend rien, il se dit que ce n'est que le fruit de son imagination et continue à fouiller la maison. Il déconnecte les câbles de la stéréo lorsqu'il entend à nouveau une voix étrange: - "Attention! Jésus te regarde..." Cette fois-ci, le voleur laisse sa lampe allumée et regarde autour de lui à toute allure. Finalement, il remarque un perroquet dans un coin de la pièce. - "Ha! Ha! C'est toi, perroquet de malheur, qui m'a fait si peur?" - "Yep!" confesse le perroquet en poussant des cris rauques. - "J'essaie de te prévenir du danger.", ajoute le perroquet. - "Qui es-tu pour me prévenir du danger?" - "Je m'appelle Moïse", répond l'oiseau. - "Hi! Hi! Moïse ! Quel genre de personnes stupides nomment un perroquet Moïse ?" - "Probablement le même genre de personnes qui nomment leur doberman Jésus...".

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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 09:01

 

... le nouveau numéro de la Nouvelle Revue d'Histoire

consacré à " VICHY. Le temps des énigmes "

en kiosque

 

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22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 14:32

 

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 23:01

(JPEG)

Evénement : Retraites, une réforme plus courageuse qu’intelligente

Clair et net : Facebook : pour ou contre

Parlons clerc : Marthe et Marie

Le laïc chrétien, aux avant-postes de la mission

Dossier

Ichtus : action-formation

Une volonté de mission adaptée aux besoins des hommes

Ichtus au cœur de l’action

La dynamique des réseaux naturels

Au service de ceux qui s’engagent : le Bureau des réseaux

Rôle et place de la formation doctrinale

Benoît XVI et l’engagement des laïcs

Chronique

Altérité des sexes et unité du genre humain

Vers un nouvel ordre

Culture

Le triomphe de la mort de Pieter Brugel

Monet et l’abstraction

Le blog Philocalie.over-blog.com : l’amour de ce ce qui est beau

Jean Fréour ou l’éternelle Beauté du monde

Mélancolie française, analyse d’Isabelle Pasquale

Les yeux grands fermés, une analyse d’Isabelle Pasquale

Vers un nouvel ordre - Jacques de Guillebon

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 11:53

 

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 22:42

 


dimanche 19 septembre 2010
Apparition de ND de La Salette
image Les autres Saints du jour...

      Le 19 septembre 1846, sur les pentes du mont Planeau à près de 1800 m, deux enfants bergers, Mélanie et Maximin, illettrés et pauvres jouent à faire un paradis avec les fleurs de la montagne. Après avoir partagé un frugal repas vers midi ils s'endorment au soleil, puis recherchent leurs vaches éloignées et voient une grande clarté, une sorte de globe de feu tournoyer d'un éclat insoutenable. Dans la lumière apparaît une femme assise sur une pierre dans le paradis des enfants, les coudes sur les genoux, les mains lui couvrant le visage. Elle pleure. Elle ressemble, au dire de Maximin, à une pauvre mère que ses fils auraient battue. « Avancez, mes enfants, n'ayez point peur. Je suis ici pour vous conter une grande nouvelle. » Se levant elle ressemble à une servante (bonnet, fichu, tablier) qui serait reine. Sa tête s'orne d'un diadème de rayons, sa robe est pailletée d'étoiles. Elle cache les mains dans ses manches, serrant contre elle le crucifix vivant qu'elle porte sur la poitrine suspendue à une chaîne. Aux extrémités de la traverse de la croix sont visibles un marteau et des tenailles entrouvertes. Elle porte une guirlande de roses jouxtant une chaîne sur ses épaules. Elle pleure abondamment.

      La Dame leur parle « Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis forcée de laisser aller le bras de mon Fils : il est si fort et si pesant que je ne puis le maintenir. Depuis le temps que je souffre pour vous autres... vous n'en faites pas de cas. » Elle indique les deux choses qui appesantissent le bras de son Fils : le travail du dimanche et les jurons grossiers des charretiers. Elle se plaint des gens qui manquent la messe... Viendront des châtiments divins redoutables pour les paysans : pommes gâtées, semences mangées par les bêtes, blés en poussière, noix mauvaises, raisins pourris... famines... convulsions de petits enfants, qui se sont réalisés. Pourtant la Dame promet la postérité si les cœurs changent. « S'ils se convertissent, les pierres et les rochers se changeront en monceaux de blé et les pommes de terre se trouveront ensemencées par les terres. » « Se convertir, c'est déclouer Jésus de sur la croix » dira le Curé d'Ars.

        Elle interroge ensuite les enfants « Faites-vous bien votre prière » et leur recommande de la faire soir et matin. La Vierge Marie leur montre la chaîne qui, un jour, doit enchaîner Satan, c'est le collier de roses, le rosaire qui doit lier l'ennemi. À la Salette elle vient leur apprendre que seul le chapelet donnera la victoire.

        Après leur avoir confié un secret à chacun des enfants, la Vierge Marie, ses pieds ne touchant plus terre leur dit et redit « Mes enfants, vous le ferez passer à tout mon peuple. »

relevé sur levangileauquotidien

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 15:54

      Célébrer le patrimoine : oui, mais quel avenir ?

Publié par Jacques Charles-Gaffiot sur CultureMag.fr le 17/09/2010 • Thème : A la UneLibres propos

/Dans quelques jours, une nouvelle fois, le Ministère de la Culture et les médias annonceront des chiffres record de participation aux fêtes du Patrimoine, cuvée 2010.
Le Gouvernement, les médias tiendront-ils compte de la signification d’une telle affluence et accepteront-ils d’en tirer enfin les conséquences élémentaires ?

Car, en effet, le succès de cette initiative ne se dément pas au fil des années, bien au contraire. Les Français seraient-ils, à ce point, fiers de leur patrimoine, fiers de leurs églises, fiers de leurs châteaux ? Car ce sont bien ceux-là les monuments vers lesquels ils se ruent le plus, durant ces deux jours de septembre.
En franchissant le seuil de quelques-uns l’un d’entre eux, célèbres ou méconnus des visiteurs, ces mêmes Français seraient-ils avides d’un contact « charnel » avec leur histoire, avec leurs racines ?

Et ces touristes d’horizons si divers seraient-ils  également admiratifs de la France d’autrefois, de ses paysages millénaires sculptés par la peine des hommes, de sa culture qui culmine avec le rayonnement du Grand Siècle ou celui du temps des cathédrales ?

On nous explique depuis si longtemps que tout cela n’est pas possible, que la geste de nos aïeux est méprisable, couvrant une quantité de crimes abominables, accomplis par des chefs aussi sanguinaires que libidineux.

On nous explique depuis si longtemps que toutes ces traditions, ces vieilles croyances ne sont que balivernes, mensonges, égarements de l’esprit.

On nous rabâche à présent que l’histoire ne sert à rien, que l’apprentissage du grec et du latin sont nocifs à l’avenir de nos enfants et encombrent leurs jeunes cerveaux de connaissances inutiles.

Mais que vont-ils donc faire dans cette galère ces millions de visiteurs ?

la suite ....culturemag

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 13:45

 

Vous aussi, faîtes sans fatigue

un discours

à l'aide du pipotron

 

vu ICI

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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 08:23

 

Eric Zemmour sévit ce matin sur RTL ...

 

 

Eric Zemmour : "A Versailles, la polémique d'Aillagon fait marcher les affaires"

tous les sons

Eric Zemmour

16 sept. 2010

en vidéo

Eric Zemmour

16 sept. 2010

 

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15 septembre 2010 3 15 /09 /septembre /2010 09:03

 

 Dessins, photos, affiches, vidéos,

son bureau et les objets de l'univers

de Jean Anouilh,

du 14 septembre au 2 octobre

à la mairie du 1er arrondissement de Paris

 

 

http://www.mairie1.paris.fr/mairie01/jsp/site/Portal.jsp?page_id=173


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15 septembre 2010 3 15 /09 /septembre /2010 09:02

 

Opération spéciale de l'éditeur Via Romana : -50% sur plus d'une dizaine de titres,
pour les commandes par internet, jusqu'au 31 décembre 2010 :

http://www.via-romana.fr//?pageid=article&prod=3&ftitre=OFFRES+EXCEPTIONNELLES


remus et romulus


 

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 22:54

    

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 22:42

 

"L'ultime liberté ?"

Alors que le dépôt du Rapport Leonetti apparaît à certains comme la fin (toujours provisoire) du débat sur l’euthanasie qu’elle n’est pas, puisqu’elle est le prélude à une modification législative et, donc, à un débat public, Axel Kahn apporte ici sa contribution, celle d’un athée notoire engagé à gauche au demeurant, ce qui n’est pas si accessoire puisque, dans la droite ligne de notre propos d’hier, la réception d’un raisonnement peut étonnamment dépendre de son émetteur.

A cet égard, Axel Kahn souligne à plusieurs reprises ne pas « sacraliser la vie« , reconnaissant même ne pas pouvoir exclure aujourd’hui l’éventualité qu’une fin de vie marquée par le déclin ne l’amène à souhaiter mettre fin à ses jours, mais « sans transférer à la loi la responsabilité de la mise en œuvre d’une telle décision« .

Axel Kahn rejette l’idée même que l’euthanasie puisse constituer une liberté et, de surcroît, « l’ultime liberté« . Il relève toutefois que la volonté de contrôler la fin de sa vie peut se prévaloir d’une longue tradition « philosophique« , stoïcienne, sans en partager l’esprit. La liberté exige en effet, selon lui, l’absence de contrainte, ainsi que la possibilité de modifier son choix. Or, le choix de mettre fin à ses jours répond toujours à la présence d’une contrainte, d’ordre physique ou psychologique. Psychologique, lorsqu’aucune affection n’est en cause. Physique, lorsque la personne est malade. 

Dans chacun des cas, le suicide, l’euthanasie, n’est envisagée que parce que la personne ne peut imaginer une issue favorable, qu’il s’agisse de la personne dépressive ou seulement désespérée, ou de la personne en fin de vie, qui ne voit se profiler qu’une plus ou moins lente dégradation intellectuelle et/ou physique, assortie d’un sentiment d’indignité. Dans de tels cas, si je comprends bien Axel Kahn, la personne fait certes un choix mais elle n’exerce pas sa liberté, de surcroît ultime, puisque son choix est contraint.

notre regard sur nous-mêmes n'est jamais indépendant du regard porté sur nous

Dans ses développements relatifs à la dignité, je retrouve chez lui le même désaccord sur le nom même de l’ADMD, dont le nom mêmequi peut laisser penser que certains malades seraient objectivement indignes. La dignité, l’indignité, ne peuvent être qu’éminemment subjectifs, dans la perception de la personne, dans celle de ses interlocuteurs, comme dans la seule idée que la personne se fait de la perception que ses interlocuteurs -voire la société entière – ont de sa propre dignité. « Notre regard sur nous-mêmes n’est jamais indépendant du regard porté sur nous« . Axel Kahn voit avec raison, dans cette conception de la dignité, dans ce regard, un véritable enjeu de société :

« L’indignité ne s’installera-t-elle pas dès lors que la personne s’éloignera des critères de la vie désirable véhiculés par notre société à travers ses médias, sa publicité, l’air du temps ?Le grand âge et la maladie tournent le dos aux icônes de celle-ci : l’idéal de jeunesse, de beauté, d’efficacité, de force et de productivité. Revendiquer le droit de mourir dans la dignité équivaudrait donc à revendiquer celui de disparaître avant de s’engager dans cette déchéance de l’indignité. De là à l’établir en tant que norme… »

Axel Kahn s’intéresse aussi aux grandes affaire médiatiques, et ce qu’il en évoque est troublant.

  • L’affaire Vincent Humbert ? Il est, déjà, troublant d’apprendre que son livre a été lancé par un éditeur militant de l’ADMD, avec une campagne de promotion indiquant qu’au jour de la publication, « Vincent sera peut-être mort, sa mère aura, enfin, exaucé ses voeux« , et que celle-ci a effectivement procédé à l’injection le jour de la sortie du livre. Mélange désagréable entre la promotion et la mort. On peut, toutefois, l’expliquer. Ce que l’on ne peut pas expliquer, en revanche, ce sont les doutes persistants sur la volonté réelle de Vincent Humbert, comme sur le fait qu’il ait pu écrire lui-même, ou effectivement dicter ce livre. Axel Kahn fait ici référence aux doutes de son équipe soignante, et au témoignage de son kiné, Hervé Messager (qu’il faut lire et écouter), auquel Emmanuel Hirsch, directeur de l’espace éthique AP-HP, fait également référence ici.
  • L’affaire Tranois-Chanel ? On ne peut passer sous silence le fait que le docteur Tranois a non seulement délégué le geste qu’elle entendait exécuter, mais qu’elle a procédé à l’injection létale sans même avoir consulté la famille.
  • L’affaire Chantal Sébire ? Chacun sait, ou devrait savoir maintenant, que sa demande de suicide assisté n’est intervenue que parce que Chantal Sébire a refusé tout traitement. Elle n’entendait être soignée que par la médecine douce, refusant de prendre autre chose que du paracétamol. Comme le docteur Jean-Louis Béal, chef de l’unité de soins palliatifs du CHU de Dijon, en a témoigné à deux reprises (dansLa Croix et Le Parisien), elle refusait tous les antalgiques : « elle m’a dit que la morphine, c’était de la chimie, donc du poison« . C’est pourtant à la suite d’une disposition si personnelle, si spécifique, que la France est sommée de modifier sa loi.

Vous savez qu’à ces affaires, j’ajoute personnellement le cas de Rémy Salvat dont il est aberrant de faire un porte-drapeau posthume du suicide assisté, lorsque l’on sait qu’il a vécu de la prime adolescence à sa mort avant la conscience que sa propre mère considérait qu’il valait mieux mourir que vivre la vie qu’il vivait.

comment ne pas trouver troublant que, dans chacun de ces cas, l’ADMD occulte des éléments essentiels ?

Comment ne pas trouver troublant que tous les cas ainsi mis en exergue par l’ADMD soient de tels contre-exemples ? Comment ne pas trouver troublant que, dans chacun de ces cas, l’ADMD occulte des éléments essentiels ? N’est-il pas révélateur que l’ADMD ne soit pas parvenue à présenter des cas non faussés ? N’est-ce pas révélateur de ce que son discours est en décalage avec la réalité de la demande des malades en fin de vie ?

Cette réalité, je l’ai entendue d’une amie infirmière en soins palliatifs, lue sous la plume de Bernard Debré, sous celle de Marie de Hennezel, et lue encore sous celle d’Axel Kahn :

« Selon moi, poser comme une exigence première de rendre possible l’exercice d’une liberté est une évidence humaniste qui repose sur la certitude que celui qui demande à mourir envoie toujours un message d’une extraordinaire gravité. Il demande à être entendu. Il dit : « la vie m’est à ce point insupportable qu’il m’est impossible de ne pas l’interrompre« . Dans cette situation, réintroduire la dimension du libre arbitre exige de rétablir les paramètres d’une vie non seulement supportable, mais aussi désirable. »

Je ne me dissimule pas ce que ce propos peut avoir d’illusoire. Rendre désirable la vie d’un malade en fin de vie… Mais c’est bien là que doit se situer le véritable défi posé à la société, le seul qui vaille, le seul qui fait effectivement de nous une société et une société solidaire. Et puis – même si cette faculté me laisse circonspect – n’oublions pas que la loi Leonnetti, dont on prétend sans la connaître qu’elle est insuffisante, permet de mettre en place une sédation dans l’hypothèse d’une souffrance morale persistante.

Axel Kahn se prononce également contre l’ »exception d’euthanasie« , en ces termes :

« Lorsque la loi interdit de tuer, il ne me semble pas satisfaisant qu’elle prévoie les conditions dans lesquelles ce principe excellent peut être battu en brèche. »

Je serais plus réservé sur la proposition qu’il formule à la fin de son livre, quant au traitement judiciaire des cas d’euthanasie. Si je suis parfaitement d’accord sur le fait que la société et les tribunaux doivent prendre en compte avec humanité les cas qui lui sont présentés – et c’est ce qu’ils font – l’idée de prévoir un mécanisme juridique permettant de s’orienter rapidement vers un non-lieu, à l’image de la légitime défense, me semble revenir somme toute à une exception d’euthanasie. N’oublions pas que l’on évoque précisément, en droit, l’ »exception de légitime défense« . Et que la société a pleinement intégré qu’un meurtre en état de légitime défense n’est pas condamnable. Par ailleurs, dans les faits, un tel dispositif ne paraît pas nécessaire : les affaires ayant donné lieu à un renvoi effectif devant une Cour d’assises sont rares (Marie Humbert et le Docteur Chaussoy ont ainsi bénéficié d’un non-lieu) et, qu’il s’agisse du Docteur Tranoy ou de Christine Malèvre étaient marqués par des circonstances particulières justifiant un tel renvoi : absence de consultation de la famille dans un cas, nombre de cas d’euthanasie dans l’autre.

lu sur    koz toujours
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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 22:29

 

d'autres dessins de Miege ici

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 08:52

      

« Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures. »
Jacques Attali – « L’avenir de la vie » – 1981

lu sur Fromageplus

D'autres raisons d'être inquiet ...

• Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société ; il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement, plutôt qu’elle ne se détériore progressivement.

• On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché.

• Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir.

• L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté, et la liberté fondamentale c’est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société.

• L’euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement.

Extraits de L’homme nomade , Ed. Le Livre de Poche, 2005 – source

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 08:48

 

 

A l'heure où les 35 heures veulent transformer le pays en vaste société de loisirs à la Disneyland, les SDF en plus, à l'heure du tout TéVé Sound-Dolby-System-Home-Cinema, à l'heure de la clim, du frigo qui dégueule de marchandises ogéméisées, de l'Adsl pour tout le monde. A l'heure de tout ça, nous souvenons-nous encore que nos lointains parents vivaient dans des arbres ?

C'est quoi l'histoire ?

 

Nous sommes à peu de choses près vers - 450 000 ans avant JC. L'Homo Erectus évolue doucement vers l'Homo Sapiens. L'Afrique est belle…, mais sauvage ! Fermez les yeux et imaginez votre famille dans cet environnement peuplé de grosses bêtes qui ne cherchent qu'à vous croquer. Vous venez tout juste d'abandonner les branches protectrices des arbres et votre principale (pré)occupation est la recherche de nourriture. Le problème est que vous êtes complètement démuni face aux prédateurs et vous vous contentez alors le plus souvent de racines et de fruits. Quelquefois, vous jouez des coudes avec les charognards pour récupérer de ci de là un peu de nourriture sur les cadavres. Vous accepteriez de telles conditions de vie ? Edouard lui ne peut s'y résoudre. Sympathique hominien chef d'une grande famille, il cherche à faire évoluer son espèce par tous les moyens. Malin (comme un singe ?) il part chercher le feu au bord d'un volcan et accède ainsi à un niveau de vie beaucoup plus élevé : une grande grotte, de la lumière même en pleine nuit et de la chaleur. Mais il ne s'arrête pas en si bon chemin. Il impose à ses fils d'aller chasser la femme dans une autre tribu et veut ainsi rompre avec les appariements familiaux. Ses fils, Oswald le chasseur, Ernest le spécialiste de l'introspection, Tobie l'amateur de géologie et Alexandre le naturaliste, l'aident selon leur spécialité à faire progresser ses trouvailles. La tribu a le feu mais ne sait pas comment en faire… Qu'à cela ne tienne, Edouard expérimente, met le feu à toute la forêt, mais trouve la solution. Malheureusement, ce Géo Trouvetou (r)évolutionnaire ne se fait pas que des amis, l'oncle Vania prône le respect de la Nature et des traditions et ses propres fils n'entendent pas non plus partager les découvertes du papa avec les autres tribus. Pourquoi j'ai mangé mon père ??? Vous le saurez en lisant le livre.

vu sur  cafelitteraire

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 08:24
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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 21:33

 

La citation du jour

... trouvée dans Le Monde, elle est de Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction de La Vie :

D"le christianisme apparaît non seulement comme l'une des seules instances critiques (la seule ?) mais aussi comme l'une des seules forces (la seule) à porter le souci d'une réunification de notre culture".

"La contre-culture chrétienne reste la seule à pouvoir formuler une critique synthétique des dérives d'une civilisation qui privilégie systématiquement les biens payants plutôt que les liens gratuits, la consommation plutôt que la contemplation, et la prédation plutôt que la préservation, et ce de la conception de l'homme aux frontières du cosmos."

Michel Janva ici

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 23:28

 

C

Fondée en septembre 910, l'abbaye de Cluny, qui abritait la plus grande église de la chrétienté, fête ce week-end le onzième centenaire de sa fondation, bénéficiant pour l'occasion d'une restauration en profondeur. Avec ses 187 mètres de long, l'abbatiale de Cluny fut la plus grande église de la chrétienté jusqu'à la construction de la basilique Saint-Pierre de Rome, au début du XVIe siècle. L'édifice religieux fut ensuite presque totalement détruit après la Révolution française. Aujourd'hui, ne subsistent qu'une petite partie des bâtiments et la ville s'est reconstruite autour.

A l'occasion du onzième centenaire de la fondation de l'abbaye, la première phase de restauration du "Contrat de projet 2007-2013" a été menée à bien avec le concours du Centre des monuments nationaux, de l'Etat, des collectivités, du mécénat et de l'Union européenne pour un total de 23M€.Restauration des sols, peintures du cloître refaites à l'identique, construction de la voûte du petit transept, fouilles... cette rénovation en profondeur aura mobilisé 10 à 15 personnes sur la quinzaine de chantiers différents. Des bâtiments, construits sur l'emplacement de l'abbatiale, ont donc été détruits. D'autres le seront prochainement.

Michel Janva sur le salon beige

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 23:25

 

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 17:29

 

6 min - 5 oct. 1993

 

ina.fr - 

Montages d'archives et voix OFF expliquant dans le détail les négociations, durant l'été 1940, entre des responsables communistes (Jacques DUCLOS en tête) et les autorités allemandes d'occupation en FRANCE pour la reparution du journal "L'HUMANITE". Puis, retour en plateau, avec Stéphane COURTOIS (Historien) interrogé par Patrick ROTMAN, qui confirme, suite à l'étude minutieuse d'archives soviétiques, que les Communistes français étaient bel et bien sur la voie d'un accord avec les autorités Nazies pour la reparution légale du journal, avant que le tout ne soit stoppé net par le Maître suprême : STALINE en personne...

      la lettre de demande de reparution aux autorités allemandes ... Fête de l'Huma

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 17:20

 

Le financement de l'Huma à sa naissance : avec l'argent des "capitalistes" ?

" Le financement du journal à sa naissance a suscité des polémiques dans les années 1930. L'article qui fait autorité sur la question est celui de Pierre Albert: "Les sociétés du journal l'Humanité de 1904 à 1920" dans Christian Delporte, Claude Pennetier, Jean-François Sirinelli et Serge Wolikow (sous la direction de), L’Humanité de Jaurès à nos jours, Nouveau Monde éditions, 2004 (pp. 29–42). Ses conclusions restent ouvertes. Il donne la liste des actionnaires de la première Société du journal (1904) et de la seconde (1907). Lors de sa création, l'Humanité bénéficie de soutiens dans la bourgeoisie dreyfusarde et notamment dans la bourgeoisie juive, comme l'a rappelé Madeleine Rebérioux dans "L’Humanité en 1904", publié par L’Humanité du 31 janvier-1er février 2004 (repris dans les Cahiers Jaurès no 171, janvier-mars 2004). Jaurès est alors le grand orateur de la délégation des gauches (socialistes du PSF, radicaux-socialistes et radicaux, modérés de l'Alliance Républicaine démocratique) qui soutient le gouvernement Combes et l'affaire Dreyfus est encore dans toutes les mémoires (Jaurès prononce en 1903 son grand discours pour la réhabilitation du capitaine qui sera acquise en 1906). Ainsi les frères Louis-Dreyfus, importants banquiers et négociants en céréales, sans liens de parenté avec Alfred Dreyfus, font partie des principaux souscripteurs. Des polémistes de La Guerre sociale (16 et 22 novembre 1910)(extrême-gauche) ou du Matin(3, 6 et 10 juin 1934) (droite), entre autres, ont ensuite prétendu que les fonds importants apportés par Lévy-Bruhl et Picard recouvraient d'autres souscripteurs désirant rester anonymes. C'est possible, mais rien de certain ne peut être établi... On parla des Rothschild, de la Compagnie des agents de change, de la marquise républicaine et anticléricale Arconati-Visconti, du Parti Ouvrier Belge, etc. "

sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/L'Humanit%C3%A9

 

On peut et aussi lire   Fête de l'Huma   et    Fête de l'Huma (2)

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 09:51

 

De qui ?

 

"On a beaucoup discuté depuis quelques mois au sujet de la culture classique. On a prétendu qu'elle s'affaiblissait dans notre pays, et que par là l'esprit français lui-même était menacé dans ses sources profondes. Des hommes considérables, des écrivains, des artistes, même des industriels, qui se constituaient les gardiens « du goût », ont poussé le cri d'alarme. Et certes, je ne méconnais pas qu'il y aurait péril pour un peuple à se séparer de ses origines. Ce serait, je crois, un grand malheur si le beau fleuve des traditions antiques cessait de se développer à travers les champs de France. Mais il me semble que la question n'a pas été bien posée. Elle est d'une difficulté et d'une complication extrêmes. Une nation moderne, qui doit être en communication avec les autres nations modernes, avec leur littérature, avec leur génie et qui doit manier aussi le formidable appareil des sciences nouvelles, ne peut pas donner à l'étude des lettres antiques la même quantité ou plutôt la même proportion de temps qu'elle leur donnait autrefois. Ce n'est que par un prodige d'aménagement qu'elle pourra distribuer les forces de son esprit sur tant d'objets divers.
Mais il me semble que la question n'a pas été bien posée. Ou plutôt on a négligé un élément essentiel. On a discuté comme si la bourgeoisie constituait encore la seule force intellectuelle de la France. Et à ceux qui disent que tous les enfants des lycées et des collèges doivent recevoir la culture latine et grecque parce que, en dehors de cette culture, il n'y a pas d'éducation parfaite, je suis tenté de dire : Que faites-vous donc des millions de travailleurs, ouvriers et paysans, que vous avez appelés à la vie civique, que vous instruisez dans vos écoles et qui agissent désormais directement sur la civilisation de la France ? Avez-vous donc renoncé à leur donner une éducation vraiment française ?
Pour moi, je crois qu'il faut arriver à leur donner une culture classique, c'est-à-dire le sens de la beauté, de la justesse, de l'ordre, de la mesure. La connaissance des oeuvres antiques aide une nation à maintenir, à développer en elle cet esprit classique; mais il ne le constitue pas. II est l'expression d'une sorte de maturité sociale ; et le prolétariat, à mesure que se précisera en lui la conscience de sa force et de son destin, sera de plus en plus capable des qualités supérieures. Quand une classe est faible, quand ses ambitions excèdent son pouvoir, elle est réduite à déclamer. Ou elle s'emporte en violences de paroles désordonnées qui trahissent l'infirmité foncière, ou elle imite gauchement les façons de parler, les élégances et les éloquences conventionnelles de la classe dominante. C'est ainsi que subsiste encore dans la vie intellectuelle du prolétariat une trop grande part de rhétorique. Mais quand sa parole a une valeur sociale certaine, quand elle exprime et traduit des idées, des forces avec lesquelles toute une société doit compter, alors elle n'a pas besoin de forcer le ton; et elle dédaigne d'emprunter à la rhétorique banale des ornements superficiels. Comme la force de sa pensée lui vient des choses, et comme la force de sa parole lui vient de sa pensée, son souci dominant est de traduire exactement la réalité telle qu'elle la veut, et elle est conduite à mettre dans ses idées cette liaison, cet ordre, cet enchaînement qui ajoutent si puissamment à la force du discours et qui est un élément essentiel de la beauté classique. En même temps qu'elle contracte le besoin de l'ordre, elle apprend la mesure qui est un effet et un signe de la force. Car rien ne donne la sensation de la force, dans l'ordre, intellectuel et social, comme dans l'ordre physique, comme de ne pas la dépenser tout entière, et d'éviter jusque dans l'action la plus vigoureuse, cette tension extrême des muscles, des nerfs ou de la parole qui marque que l'organisme est arrivé à sa limite et n'a plus de réserves. Encore un degré, et une classe consciente de sa force profonde et tranquille aura, jusque dans le combat, cette liberté, ce jeu, cette joie, cette vive et rapide lumière de gaîté, d'ironie et de grâce qui sont la partie supérieure de l'art classique.
J'ajoute qu'arrivée à ce point, une classe est capable de comprendre, de goûter ce que les classes qui l'ont précédée dans l'histoire ont produit de plus noble.
Aussi la question de la culture française devient, à une certaine profondeur, une question sociale. La France a besoin certes, pour le mouvement continué et amplifié de son génie, de rester en communication avec les sources antiques. Mais elle a besoin plus encore de devenir tout entière une nation « classique », c'est-à-dire une nation où l'immense peuple du travail aura, par l'accroissement et l'organisation de sa force, les élans supérieurs de pensée cohérente, d'action ordonnée, d'expression vigoureuse et calme, de joie lumineuse, qui constituent la beauté classique de l'esprit et la gloire d'une race."
1er octobre 1911

De Jean Jaurès, sur prolétariat et culture classique, toujours d'actualité 

 

Texte enfin retrouvé ! Sur Bonnet d'âne, site de Jean-Paul Brighelli, auteur de La fabrique du crétin 


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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 09:45

 

Intégrale Labiche au Théâtre du Nord-Ouest à Paris !

Intégrale Labiche au Théâtre du Nord-Ouest à Paris !    Intégrale Labiche ! Du 25 juin à mars 2011, le Théâtre du Nord-Ouest vous propose de découvrir toute l’œuvre d’Eugène Labiche. Eugène Labiche (1815 – 1888) n’est sans doute pas Auguste Strindberg, auquel nous venons de consacrer une saison. Pourtant il faut aussi prendre ses pièces avec sérieux. Labiche s’amusait de ses contemporains... la suite

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 09:26

 

relevé sur perepiscopus  

"Allez dans le monde entier, et fêtez bien Roch Hashanah et l'Aïd"

Ce n'est pas ce que nous a enseigné Notre-Seigneur ? Alors il faudra le dire au diocèse de Paris qui invite ses membres à fêter ces deux évènements religieux. C'est ce que l'on découvre dans la Lettre hebdomadaire d'information destinée aux prêtres et aux diacres du diocèse de Paris :

 

"Nouvel an juif Rosh Hashanah 5771
Des affiches et des cartes postales sont disponibles pour vous permettre, à vous et votre entourage, de souhaiter une bonne année à nos amis juifs (le 9 septembre). "

 

"Fête de l’Aïd
Ci-joint un message de fraternité que les catholiques peuvent distribuer à leurs amis musulmans à l’occasion de l’Aïd el-Fitr. Vous pouvez le mettre à la disposition des fidèles en précisant votre paroisse ou communauté.  La fête de l’Aïd aura lieu le 9 ou le 10 septembre selon que le mois lunaire aura 29 ou 30 jours."

 

En revanche, je n'ai pas trouvé dans cette lettre de propositions pour fêter la Nativité de Notre-Dame, le 8 septembre. Symptomatique.

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