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Par son merveilleux talent, Fra Angelico met en scène la vie de Saint Etienne en trois fresques. Le commentaire de ces chefs-d’oeuvre nous entraîne plus loin que l’admiration du simple talent de l’artiste. C’est une civilisation entière qui est dévoilée.
La simplicité est le propre des grands. S’il en était besoin, cette fresque de Fra Angelico en serait la parfaite démonstration. Le propos de ce chef d’œuvre, qui se trouve sur les murs de la chapelle Nicolas V au Vatican, est d’illustrer la vie de saint Etienne, premier martyr chrétien.
La vie de saint Etienne, se déroule en images sous nos yeux, telle une bande dessinée, en six petites scènes réparties sur trois fresques. Nous ne sommes pas en présence d’un art savant, destiné aux érudits, mais d’une volonté d’apologétique par l’image ; la vie de saint Etienne est dessinée pour l’enseignement du peuple et doit pouvoir être comprise et être capable de toucher même la partie de ce peuple qui ne sait pas lire. Ces œuvres d’art aux murs des chapelles, commandées par l’Eglise qui se faisait ainsi à la fois apôtre et mécène, permettaient de mémoriser en images ce que l’on avait entendu dire en chaire. L’art suscité par le christianisme est un art pédagogique. Les plus beaux passages de l’Ecriture sainte ou de la vie des saints sont mis à la portée de tous. Les fidèles, comme les clercs, pouvaient ainsi méditer sur la vie idéale du chrétien, devant aller parfois jusqu’au sacrifice de sa vie.
L’éclat et la fraîcheur des couleurs de ces fresques sont remarquables. Ils n’ont pas bougé depuis le milieu du XVè siècle. D’autres chefs-d’oeuvre, beaucoup plus récents, ne peuvent pas en dire autant. Que l’on songe, par exemple, aux tableaux de Léonard de Vinci qui "goudronnent" tragiquement. Il faut toujours garder à l’esprit que nous avons affaire ici à une technique de peinture qui exige de l’artiste une très grande virtuosité d’exécution. Il faut peindre avant que l’enduit ne sèche, il n’y a pas de retouche possible. Les peintres appliquaient du papier sur l’enduit frais et reportaient les contours du dessin de la future fresque en perçant le papier avec un stylet et en tamponnant avec de la poudre colorée qui passait à travers les perforations.
La première fresque de Fra Angelico sur la vie de saint Etienne est partagée en deux scènes séparées par une colonne : d’un côté saint Pierre lui remet les trésors de l’Eglise (les diacres s’occupaient de la charité et de l’administration matérielle de la communauté), de l’autre côté Saint Etienne distribue des biens aux pauvres.
Sur la seconde fresque, également divisée en deux parties, d’un côté, Saint Etienne instruit les femmes de Jérusalem, de l’autre, il comparaît devant le Sanhédrin, c’est-à-dire la Haute Cour de justice juive de l’époque qui siégeait au Temple.
Sur la troisième fresque, selon le même procédé, il est d’un côté chassé de l’enceinte de Jérusalem et de l’autre lapidé pour avoir enseigner l’Evangile. Il est le premier martyr chrétien.
Mais attachons-nous à la fresque centrale, reproduite ci-dessus qui, d’une certaine façon est la plus apologétique. Saint Etienne est jugé à droite pour avoir enseigné la vie et les paroles du Christ, ce que nous le voyons faire à gauche.
Il s’adresse au peuple de Jérusalem... Les hommes sont debout, tout au fond et discutent entre eux, dubitatifs, de la scène dont ils sont les témoins mais apparemment pas les acteurs. Ceux qui écoutent saint Etienne... ce sont les femmes et les enfants. Justesse de l’observation psychologique dans le choix de cette composition par Fra Angelico ; parfaite justesse évangélique puisque ce sont effectivement les femmes qui en grande majorité survirent le Christ, sur les chemins de Palestine et jusqu’au pied de la Croix ; vérité historique de surcroît car c’est par les femmes, par leur ascendant affectif et leur volonté de comprendre et de transmettre que le christianisme s’est répandu sur les pourtours de la Méditerranée et dans tout l’Occident européen. C’était bien aux femmes effectivement qu’il fallait s’adresser car elles sont courageuses dans leurs certitudes et assument les vérités dans leur pérennité par l’éducation des enfants.
Saint Etienne, debout sur une marche, s’adresse aux femmes et, en bon méditerranéen, leur parle avec les mains... Regardez bien les visages de ces femmes ; il n’y en a pas deux qui se ressemblent, mais ils regardent par contre tous dans la même direction. Ce qui à la fois représente une prouesse technique et permet d’exprimer l’intensité et la ferveur de l’écoute par l’exacte convergence des regards (voir la reproduction ci-contre). Les femmes regardent bien celui qui parle et se sont assises pour prendre le temps de la concentration et de l’écoute. Ce sont des personnes en prière, comme en extase, conquises par ce que saint Etienne est en train de leur dire. Ce qui se constate dans l’attention soutenue qui se dégage de cette scène.
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Nicole Buron
Comment Ignace de Loyola propose de contempler la Nativité dans le livret des "Exercices spirituels":
www.jesuites.com/ignace/nativite.htm
Si vous tapez sur "Google" aux "Actualités" le mot "controversé", vous tombez d'abord fatalement sur ... Pie XII.
"Aujourd'hui, on ne sait pas prévoir ce que sera l'évolution du climat dans les années à venir", affirme le physicien Serge Galam qui craint l'avènement d'un "droit d'ingérence planétaire pour sauver toute la planète" :
vu sur e-deo
- Stoppez le réchauffement de la planète !
- Nous devons travailler sur notre calendrier.
Le débat autour du salaire des grands patrons me paraît bien emblématique de la manière consumériste de poser les problèmes économiques et sociaux d'aujourd'hui.
Eliminons l'éternel rêve d'une société sans classe prônée par le marxisme. Léon XIII, dans la première encyclique de doctrine sociale Rerum Novarum, à la fin du 19° siècle, avait déjà réfuté cette idée.
Mais sa réfutation ne repose pas sur un principe capitalistique du type "il faut des tables de riches pour que leurs miettes nourrissent les pauvres", mais sur le fait que la société naturelle est une société d'ordre et organique ; entendez que la société est, par analogie à la personne humaine, ordonnée en fonctions et activités différentes.
Cette nuance est fondamentale, car un corps est nourri selon ses besoins par le réseau sanguin. De même, les salaires doivent être dispensés selon les besoins, et non selon d'autres règles pernicieuses.
La première est celle du pouvoir, car n'ayons pas trop d'illusions : celui qui gouverne se sert et il se sert bien. Souvenez-vous de la gauche caviar ou de la retraite de nos élus à la chambre des députés.
La deuxième est celle de la rentabilité. Voyez nos traders et nos joueurs de foot, le premier joue avec un capital qui ne lui appartient, pas le deuxième est une marionnette de la publicité.
La troisième et la quatrième règle sont la responsabilité et la compétence ou le talent. Il me semble que, là aussi, la donne est faussée car responsabilité et compétence ne sont jamais exercées seules et s'intègrent.
En réalité, ce ne sont pas elles qui déterminent les salaires, nous l'avons vu à l'aune de la crise, mais le marché du travail qui les régule avec cet argument rabâché de limiter la fuite des cerveaux ou des managers.
Alors, au final, y a-t-il de bonnes règles ? Pour commencer, il faut distinguer la rémunération du travail de la personne et celui du capital. Il y a souvent confusion, confusion entretenue par la volonté de contourner les règles fiscales plus féroces parfois pour le capital que pour le salaire. De même, pour faire pied au débat Parisot / Sarkozy, le principe de subsidiarité ne peut interdire de limiter les excès par la contrainte de la réglementation : c'est le principe pour un corps de ses limites.
Au final, deux règles encadrent le juste salaire : s'inscrire dans des limites sociales, et surtout répondre aux besoins des personnes conformément à leur dignité.
Pour les limites, il y a une institution qui les gère bien c'est l'institution militaire. Les salaires sont structurés selon une échelle de 1 à 8, c'est-à-dire que le plus haut gradé ne touchera jamais plus de 8 fois le salaire du soldat.!
Pour la dignité, il est évident que la taille de la famille et le handicap sont - par exemple - des éléments qui devraient entrer dans le calcul du salaire. La recette entretenue par le consumériste individualiste "gagner plus, c'est consommer plus" va peut être changer, espérons le !
une chronique radio de Jean Soubrier
Tous les textes de ses chroniques sur la Doctrine Sociale de l'Eglise sont ICI : Chronique de la Doctrine Sociale de l’Eglise
Faites-en l’expérience auprès de vos jeunes relations et amis : au premier regard, cette scène d’intimité familiale, appartenant d’évidence à une époque révolue, séduit leur regard, touche leur coeur mais n’évoque chez la plupart d’entre eux aucune réminiscence religieuse ! Pourtant, même s’il est vrai que Murillo n’a pas cru bon de souligner, par des auréoles couronnant chacun des personnages représentés, leur éminente sainteté, un strict minimim de culture occidentale ou française aurait dû leur permettre de reconnaître immédiatement, sous le pinceau de Murillo, le thème tant de fois traité de la Sainte Famille !
Tragique ignorance qui trahit deux fois ce petit chef d’oeuvre du XVIIe siècle espagnol. Murillo a trente-deux ans lorsqu’il commence ce tableau et, pour lui comme pour ses contemporains, il n’est nul besoin d’auréoler ses trois personnages pour que chacun retrouve immédiatement, dans l’élégance de leur dignité et l’évidence de leur profonde union, la famille par excellence, même représentée dans les atours et le décor familier de leur époque. Sainte Famille « moderne » en quelque sorte pour les contemporains de Murillo.
la suite http://www.ichtus.fr/article.php3?id_article=497
Il y a 20 ans, la chute du Mur de Berlin
Clair & net : Zoom sur la cathosphère
Parlons clerc : Le temps de l’attente
. L’homme et ses appartenances
. Famille et identité
. Le métier, un enracinement qui unit les hommes
. Les petites patries
. L’engagement corollaire du sentiment d’appartenance
. Héritage et héritiers
. Enracinement par la culturel
. Le fait religieux est-il identitaire ?
. La doctrine sociale de l’Eglise : enracinement dans la réalité humaine,
. Exposition : L’âge d’or des Hollandais
. Exposition : Renoir au XXè siècle
. Apprendre à voir : La Sainte Famille de Murillo
. Lire : Le dernier empereur de Jean Sévillia
. Lire : Anatomie d’un désastre, Enyo
. Alerte ! Grippe A
. Déboires juridiques et... politiques !
N'avez-vous pas vendu votre âme, sans même vous en apercevoir ?
Car voilà : le PC, ou tout autre ordinateur personnel, n'est-il pas devenu un dieu domestique moderne ?
C'est un objet cher, dont on cherche à justifier l'utilité à la maison.
Qui se décide se convertit à son culte. Aux rites initiatiques d'abord. Puis la révélation venant, on endosse éventuellement la tenue de Saint Thaxe l'évangéliste.
La foi réside dans la croyance à un avenir meilleur, plus rapide, plus graphique.
Il faut y croire, renouveler les dons en échange d'une idole meilleure.
La révélation est au bout du (long) chemin.
L'orthodoxie est constituée autour de deux piliers : Intel et Windows, la fameuse Sainte Binarité "Wintel", avec ses mystères. Elle est au-delà de votre compréhension, contentez-vous de croire.
Elle a son pape : le très riche Bill Gates.
Ces dissidents sectaires : AMD, Cyrix, Netscape, Sun
Et ses réfractaires : Apple
Des lieux saints, qui vont de la chapelle à la cathédrale, déguisés en magasins, dans lesquels officient des prêtres au savoir variable et eux-mêmes travestis en vendeurs.
Ils font commerce d'indulgences, appelées "licences". Plus vous en avez, plus votre initiation progresse et moins vous aurez à craindre les foudres du Dieux vengeur BéhésSA.
Il est des périodes à grand regain de ferveur, comme Noël par exemple, où l'on voit la nouvelle religion se calquer sur des croyances anciennes, s'en approprier les fêtes.
Le fidèle rend à son idole un véritable culte. Elle est souvent installée dans une pièce ou un coin de pièce dédié; son sanctuaire.
Il ne la touche qu'avec grand respect.
Voyez sa posture devant la Divine; dos courbé et bouche bée devant les icônes de l'écran, angoissé avant la Révélation; la réponse tant attendue viendra-t-elle ?
Il implore l'amélioration de son savoir, de sa connaissance, de sa richesse! Pauvre mortel, quelle vanité !
Le fidèle communie avec les autres fidèles dans des sabbats nommés "Websurf".
Il s'y produit des apparitions, des miracles.
Certains tombent en transe, en extase.
Les mécréants nomment cela "épilepsie" et serait due à des lumières trop changeantes. Pauvres fols !
Il arrive que le diable s'en mêle et envoie ses démons "bugs" et "virus". L'exorciste est alors nécessaire.
Plus pernicieuses sont les sorcières dénudées qui apparaissent lors d'une communion. Elles cherchent à détourner les fidèles de leurs chastes intentions, vers des abîmes de perdition.
Certains fidèles les invoquent à dessein, ce sont des hérétiques ! Heureusement les évêques veillent et menacent de la sainte Censure.
Maintenant que cela vous a été révélé il est trop tard pour reculer ! Nul ne doit trahir les secrets de l'Informatique.
Ne vous y avisez pas !
De versions en versions je vous le dis :
Les archanges Diskfailure et Filenotfound, cruels héritiers de Némésis veillent aux félons.
Vous continuerez donc à rendre le culte et le dissimulerez comme il vous a été dissimulé.
Cliquez en paix.
Photo Reuters |
L'image de cette petite et riche enclave au coeur de l'Europe célèbre pour sa fondue, sa raclette, son chocolat, et enviée partout dans le monde pour ses stations de ski et ses lacs paisibles, miroirs où se reflètent des paysages et jardins bucoliques, serait-elle en train de changer? Que dire de sa flore humaine? Les Suisses auraient-ils subi des mutations biologiques accélérées pour célébrer le deux centième anniversaire de Darwin et sa théorie de l'évolution? Les Suisses, d'habitude si «pragmatiques», s'enflammeraient pour quatre minarets ? Seraient-ils tout simplement trouillards ou plutôt courageux ? Et s'ils étaient ni l'un ni l'autre? Se pourraient-ils qu'ils craignent tout simplement la montée fulgurante de l'islamisme politique partout dans le monde et en particulier en Europe ?
Une chose est sûre, les Suisses viennent de créer un précédent en assénant un coup de massue populaire à la gent politique. En effet, leur vote massif pour l'interdiction des minarets n'est pas tant une victoire de l'extrême droite qu'une défaite des politiques, incapables de recentrer le débat sur les valeurs fondamentales de la démocratie, à savoir la laïcité, l'égalité entre les hommes et les femmes et l'égalité des chances. Il est évident que ce suffrage traduit un écart de plus en plus profond entre le bon peuple et l'élite bien pensante qui avale, cette fois-ci bien difficilement, la pilule. Faut-il pour autant annuler le vote comme le réclame certains ? Et pourquoi ne pas changer de peuple ? Y a-t-on pensé ?
un point de vue de Djemila Benhabib, auteur de Ma vie à contre-Coran (vlb éditeur), récipiendaire du Prix des écrivains francophones d'Amérique et finaliste du prix du Gouverneur général 2009, in LE SOLEIL , journal québécois
la suite ICI
Ecoutez l'entretien passionnant du 24 novembre de Dominique Tassot, invité par Louis Daufresne sur Radio Notre Dame, à propos de l’évolutionnisme à l’occasion de l’anniversaire de la parution de l’ « Origine des espèces » de Darwin.
Dominique Tassot, ingénieur des Mines, docteur en Philosophie, agriculteur en agriculture biologique, est l’auteur d’un petit livre récent passionnant : « L’évolution, une difficulté pour la science, un danger pour la foi »
Il est président de l’association Centre d'Etudes et de Prospective sur la Science (CEP), qui a un site Internet http://le-cep.org
Si, cent cinquante ans après Darwin, on n’admet plus que l’homme descende du singe, on continue à penser que l’évolution est à l’origine du développement de l’univers, que l’homme est un animal évolué, que création et évolution ne sont pas incompatibles.
En effet, pourquoi Dieu n’aurait-il pas créé selon l’évolution ? Et, dans ce cas, l’harmonie supposée des origines ne serait-elle pas plutôt à venir ? Le progrès observé chez l’individu ne serait-il pas à attendre de l’espèce elle-même ?
La théorie de l’évolution s’est imposée dans le milieu scientifique, économique, politique et, un peu plus tard, dans la pensée chrétienne. Elle justifie depuis longtemps certains comportements éthiques et sociaux, entraîne des compromis théologiques et une vision de Dieu très éloignée de celle de la Bible, ce qui n’est pas étonnant puisque Darwin est célébré pour avoir produit ” la justification intellectuelle qu’attendaient les athées ”.
Aujourd’hui pourtant, nombre de scientifiques reconnaissent que l’évolution n’est ”ni prouvée ni prouvable”. A leur suite, Dominique Tassot, ancien élève de l’Ecole des Mines de Paris, montre de façon claire et rigoureuse que les prétendues ” preuves ” de l’évolution sont toutes fallacieuses, et ce pour des raisons strictement scientifiques... Il permettra ainsi au lecteur soucieux de vérité de s’affranchir de ce que le biologiste Jean Rostand nommait ”un conte de fées pour grandes personnes”, restaurant ainsi l’image de l’homme dans ses privilèges originels.
dès 18 ans et Adultes
par Benoît XVI
Rome, Palais Apostolique du Vatican, Chapelle Pauline, le 1er décembre 2009
Chers frères et sœurs, les paroles du Seigneur que nous venons d’entendre dans le passage de l’évangile (Luc 10, 21-24) sont pour nous, théologiens, un défi ou peut-être, pour mieux dire, une invitation à faire un examen de conscience : qu’est-ce que la théologie ? Nous, théologiens, que sommes-nous ? Comment bien faire de la théologie ? Nous avons entendu le Seigneur louer le Père d’avoir caché le grand mystère du Fils, le mystère trinitaire, le mystère christologique, aux sages, aux savants - ils ne l’ont pas connu - mais de l’avoir révélé aux tout-petits, aux "nèpioï", à ceux qui ne sont pas savants, qui n’ont pas une grande culture. C’est à eux qu’a été révélé ce grand mystère.
Par ces paroles, le Seigneur décrit simplement un fait de sa vie ; un fait qui commence dès l’époque de sa naissance, quand les Mages de l’Orient demandent aux gens compétents, aux scribes, aux exégètes, quel est le lieu de la naissance du Sauveur, du Roi d’Israël. Les scribes le savent parce que ce sont de grands spécialistes ; ils peuvent dire tout de suite où naît le Messie : à Bethléem ! Mais ils ne se sentent pas invités à y aller : pour eux cela reste une connaissance académique, qui ne touche pas leur vie ; ils restent en dehors. Ils peuvent donner des informations, mais l’information ne devient pas formation de leur vie.
Puis, pendant toute la vie publique du Seigneur, on trouve la même chose. Il est impossible, pour les savants, de comprendre que cet homme qui n’est pas savant, qui est un galiléen, puisse être vraiment le Fils de Dieu. Il reste inacceptable, pour eux, que Dieu, le grand, l’unique, le Dieu du ciel et de la terre, puisse être présent en cet homme. Ils savent tout, ils connaissent aussi Isaïe 53, toutes les grandes prophéties, mais le mystère reste caché. Au contraire il est révélé aux petits, depuis la Vierge Marie jusqu’aux pêcheurs du lac de Galilée. Ils savent, comme le capitaine romain sous la croix sait : celui-ci est le Fils de Dieu.
la suite http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=0712091_magister
Bernadette Soubirous affirme que, le 25 mars 1858, soit quatre ans après
la promulgation du dogme dont elle n'avait pas connaissance, la dame qui lui est apparue s'est elle-même présentée ainsi, en gascon, dans la grotte de Massabielle (à Lourdes) : Que soy era immaculada councepciou (« Je suis l'immaculée conception »).
lu sur Wikipedia
dans l'hebdomadaire "Marianne" du 5 décembre,
"Contre les tabous indiscutés",
un article de Maurice Allais, Prix Nobel
" inconoclaste... et baillonné " d'économie
Société de Calcul Mathématique, SA |
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Le réchauffement climatique et le CO2
La position de la SCM sur ces questions est très simple et résulte des diverses études que nous avons menées : en tout temps, en tous lieux, la terre a été l'objet de variations climatiques et il n'y a aucun fait qui permette de penser que les variations actuelles soient particulièrement significatives. Bien au contraire, lorsque des mesures existent, elles montrent que ces variations sont plus faibles (élévation du niveau de la mer : 1 mm par an aujourd'hui, plusieurs cm il y a 20 000 ans).
Il n'existe actuellement aucun moyen d'évaluer la "température moyenne" du globe (pour savoir si elle s'élève ou non) ; nous disposons de bien trop peu de données (quelques dizaines de milliers, qui ignorent des zones entières). C'est encore pire pour le CO2, pour lequel on ne dispose que de quelques centaines de données, alors que le CO2 est aussi variable que la température ou la pression atmosphérique. En bref, toute cette agitation autour du "réchauffement climatique" n'est qu'une mystification, et l'homme n'a, de toute façon, aucun moyen d'agir sur le climat.
On trouvera ci-dessous quelques articles sur ces questions. Il suffit de cliquer sur chaque titre.
Petrus Angel : 4 ans déjà !
13 décembre 2001 |