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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 12:23

un article de 2006, toujours d’actualité ...

 

SidactionLa vérité sur le Sidaction

Du 31 mars au 2 avril, l'univers médiatique se mobilise pour le Sidaction. Cela ne signifie pas pour autant qu'il se mobilise en faveur des malades du Sida. Le Salon Beige ne peut donc manquer d'évoquer cette supercherie médiatico-financière.

Un mouvement créé par et pour le lobby gay :

- le président du Sidaction, Pierre Bergé, multi-millionnaire et ancien ami de Mitterrand, dirige le magazine érotique homosexuel Têtu ;

- le secrétaire général du Sidaction, Olivier Ségot, est directeur de la publication de Têtu ;

- l'un des trois vice-présidents de Sidaction, Jérôme Martin, est le représentant de l'association hyper-violente Act-Up.

Cette détestable officine homosexuelle fait bien sûr partie des associations bénéficiaires des fonds récoltés, au même titre que bien d'autres structures douteuses comme le Groupe Action Gay et Lesbien. (Voir ici, la liste du conseil d'administration; ici le dernier rapport d'activité, celui de 2004, en pdf - la liste des associations soutenues est à la page 17.) Pour en savoir plus sur : les finances de ces groupuscules.

Côté scientifique, le scandale est plus grave.

Cette captation discrète de fonds censés servir à la lutte anti-Sida est une chose, la propagande honteuse en est une autre. Sur la non-fiabilité du préservatif, on pourra se reporter à cette étude assez complète (rubrique Sida-la politique de prévention). Des orifices de 10-12 microns de diamètre sont actuellement répérés dans les préservatifs : 100 virus pourraient y passer de front ! (étude complète ici). L'annonce du ministre de la Santé Xavier Bertrand de proposer le préservatif à 20 centimes dès la rentrée prochaine dans les universités et les lycées rend le gouvernement complice de cet encouragement à la débauche. Le professeur Lestradet, membre de l'Académie de Médecine, soulignait :

Hivx"On sait aujourd’hui avec certitude que chez un homme séropositif, le virus est présent en abondance dans toutes les sécrétions sexuelles, c’est-à-dire non seulement dans le sperme, mais dans toutes les sécrétions prostatiques ou autres, qui apparaissent dès les préliminaires et en tout cas bien avant qu’une érection suffisante permette une mise en place correcte du préservatif. Il en résulte que, lorsqu’un homme séropositif met un préservatif, celui-ci sera automatiquement souillé sur la face externe par les manipulations indispensables. (...) Pour la femme, c’est donc la roulette russe. N’est-ce pas la raison pour laquelle dans le groupe des hétérosexuels, les femmes sont 3 fois plus touchées que les hommes ?".

Il est indéniable que la meilleur protection demeure la fidélité (exemple de l'Ouganda).

Plus largement, comme l'écrivait Jean-Marie Domenach dans France catholique :

"le SIDA est une épidémie de civilisation : il a progressé à cause du vagabondage sexuel et considérer ce vagabondage comme allant de soi, considérer l’homosexualité et la toxicomanie comme allant de soi, c’est, de fait, contribuer à la propagation du mal. (...) L’amour est réduit au contact tous azimuts des corps. (...) Ce qui était, ce qui devait être la pédagogie d’une rencontre existentielle, l’apprentissage du grand amour, devient une recette hygiénique. En vérité, il s’agit moins de morale que de civilisation."

Ce que dit (vraiment) l'Eglise catholique

Ecartons tout d'abord la sempiternelle remontrance de nos médias fanatisés : le pape n'a jamais prononcé le mot 'préservatif'.

Dans l'Evangile de la Vie (Evangelium Vitae) Jean-Paul II a rappelé le message de l'Eglise : la sexualité est ordonnée au don sacré de la Vie et s'exerce dans le cadre du sacrement de mariage. Elle exige donc, pour être pleinement vécue, abstinence avant le mariage et fidélité après. "La fidélité des époux, dans l'unité du mariage, comporte le respect réciproque de leur droit à devenir père et mère seulement l'un par l'autre" (Donus Vitae). C'est le respect du corps, du sien et de l'autre, qui peut enrayer l'épidémie du Sida.

Afrique_sida_1Et le discours que tient l'Eglise n'est pas une lubie. Pour preuve, en Afrique, les pays catholiques sont ceux où la progression du virus est la plus faible (chiffres éloquents).

En ce week-end de totalitarisme médiatique, n'hésitez pas à laisser votre téléviseur éteint et à transmettre ce message.


L'équipe du Salon Beige   http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 16:44


et autres questions concernant l'armée et la défense ....  

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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 00:17

Direct à Notre Dame
29/11/2009
120mn

 

ici     kto

mais aussi ...

Consécration épiscopale du nouvel évêque aux Armées Mgr Luc Ravel
présidée par le cardinal André VingtTrois archevêque de Paris
Mgr Ravel est interviewé par le service communication à une semaine de son ordination épiscopale.
Mgr Luc Ravel sera consacré évêque par le Cardinal André Vingt-Trois, dimanche
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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 14:43

« Le nom allemand sera déshonoré pour toujours si la jeunesse allemande ne se soulève pas pour venger et expier à la fois ; pour anéantir ses oppresseurs et construire une nouvelle Europe spirituelle... »

Dans une Allemagne plongée dans la Seconde Guerre mondiale, conscients de leur responsabilité, un groupe d'étudiants âgés d'à peine plus de vingt ans et un professeur d'université, Kurt Huber, se dressent contre Hitler sous le nom de la Rose Blanche, avec leur seule arme : la parole. Les tracts distribués dans Munich et dans d'autres villes allemandes mettent en échec, pendant plusieurs mois, les autorités national-socialistes.

Les principaux membres de ce mouvement furent condamnés à mort. Par leur vie, ils ont prouvé que le national-socialisme n'avait pas réussi à endormir la conscience de tous les Allemands.

Ce livre simple se lit d'un trait comme un roman, le lecteur n'a pas d'autre choix que de se situer mentalement dans ces heures les plus sombres de l'histoire de l'Allemagne pour vivre quelques trop brefs instants à la lumière de ces consciences héroïques.

«Je vous félicite pour votre livre, c'est une présentation excellente des principaux aspects de la Rose Blanche. Je trouve particulièrement réussie la présentation du caractère religieux de ce sursaut spirituel, qui a joué - pour la plupart de ses membres - un rôle central. J'ai lu votre récit avec un très vif intérêt et je pense qu'il sera très bien reçu en Allemagne.» (Wolfgang Huber, fils du professeur membre de la Rose Blanche, dans une lettre à l'auteur)

Quatrième de couverture
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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 11:52


Le 24 novembre, 150e anniversaire de la parution de "l'Origine des espèces " de Charles Darwin.
Présentons un livre récent dont l'auteur ne sera pas invité par les gros medias ...


Recto 
Darwin est un monstre sacré de notre univers intellectuel : le découvreur de l'Évolution, le champion du struggle for life et de la sélection naturelle, le naturaliste qui a fait de la biologie l'un des fondements de notre laïcité. Mais sait-on qu'il est aussi le père du racisme scientifique, et que ses théories sont explicitement grosses d'une dimension totalitaire ? Qu'il a théorisé sur l'Irlandais malpropre, les abjects habitants de la Terre de Feu, les barbares grossiers, les sauvages ignobles et infects, les idiots microcéphales, les mères de famille australiennes incapables d'exercer leur conscience ? Qu'il a vu dans l'aborigène une sous-espèce intermédiaire entre le singe et l'homme ? Cet ouvrage, qui laisse largement la parole à Darwin lui-même, propose une analyse enlevée mais rigoureuse des pages méconnues de l'auteur de L'Origine des espèces. Il ouvre ainsi des perspectives inattendues sur la philosophie de la transformation des espèces, la genèse du racisme européen, et la responsabilité du scientifique.


lu dans :
Librairie Française de Rome 
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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 21:36

22 novembre, fête du Christ-Roi - Ce que disait Benoît XVI il y a un an

Le 23 novembre 2008, avant de réciter l’Angélus à Rome, le pape Benoît XVI adressait aux pèlerins présents place Saint Pierre cette méditation sur le mystère du Christ-Roi.

Chers frères et sœurs !

Nous célébrons aujourd’hui, dernier dimanche de l’année liturgique, la Solennité de Notre Seigneur Jésus Christ, Roi de l’univers. Nous savons des Évangiles que Jésus refusa le titre de roi comme il était entendu au sens politique, comme « chefs des nations » (Mt 20.24). Par contre, lors de sa passion, il revendiqua une royauté particulière devant Pilate, qui l’interrogea explicitement : « Tu es donc roi ? », et Jésus répondit : « Tu le dis, je suis roi » (Jn 18.37) ; peu avant, cependant, il avait déclaré : « mon royaume n’est pas de ce monde » (Jn 18.36). La royauté du Christ, en effet, est la révélation et la réalisation de celle de Dieu le Père, qui gouverne toutes les choses avec Amour et avec justice. Le Père a confié à son Fils la mission de donner aux hommes la vie éternelle en les aimant jusqu’au sacrifice suprême, et en même temps lui a conféré le pouvoir de les juger, dès le moment où il s’est fait Fils de l’homme, en tout semblable à nous (Jn 5, 21-22.26-27).

L’Évangile d’aujourd’hui insiste justement sur la royauté universelle du Christ juge, avec la superbe parabole du jugement dernier, que saint Matthieu a placée immédiatement avant le récit de la Passion (25.31-46). Les images sont simples, le langage est populaire, mais le message est extrêmement important : c’est la vérité sur notre dernière destinée et sur le critère avec lequel nous serons jugés. « J’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif , et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez accueilli » (Mt 25.35) et ainsi de suite. Qui ne connaît pas cette page ? Elle fait partie de notre civilisation. Elle a marqué l’histoire des peuples de culture chrétienne : la hiérarchie des valeurs, les institutions, les multiples œuvres de bienfaisance et sociales. En effet, le royaume du Christ n’est pas de ce monde, mais mène à son accomplissement tout le bien qui, grâce à Dieu, existe dans l’homme et dans l’histoire. Si nous mettons en pratique l’Amour pour notre prochain, selon le message évangélique, alors nous laissons la place au pouvoir de Dieu, et son royaume se réalise parmi nous. Si par contre chacun pense seulement à ses propres intérêts, le monde ne peut qu’aller à sa ruine.

Chers amis, le royaume de Dieu n’est pas une question d’honneurs et d’apparences, mais, comme l’écrit Saint Paul, il est « justice, paix et joie dans l’Esprit Saint » (Rm 14.17). Le Seigneur a à cœur notre bien, c’est-à-dire que chaque homme ait la vie, et que ses enfants, particulièrement les plus « petits » puissent accéder au banquet qu’il a préparé pour nous tous. Il ne sait donc pas que faire de ces formes hypocrites de celui qui dit « Seigneur, Seigneur » et ensuite néglige ses commandements (Mt 7.21). Dans son royaume éternel, Dieu accueille tous ceux qui s’efforcent jour après jour de mettre en pratique sa Parole. Pour cela, la Vierge Marie, la plus humble de toutes les créatures, est la plus grande à ses yeux et est assise comme Reine à la droite du Christ Roi. Nous voulons nous confier encore une fois avec une confiance filiale à son intercession céleste, pour pouvoir réaliser notre mission chrétienne dans le monde.

relevé sur  www.ichtus.fr
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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 21:36
 

(....)  Il est vrai que nous savons déjà que les parents d'élèves sont des "géniteurs d'apprenants" et qu'un ballon (rond !) se dit "référenciel sportif" puisque le ballon ovale de Rugby ou de Jeu à XIII se dit "référenciel sportif rebondissant aléatoire".
Alors qu'un jardin est un "espace végétalisé" et une haie un "mur temporaire végétal".
Lorsqu'un parent d'élève va récupérer le ballon de rugby qui est passé par dessus de la haie dans le jardin municipal il convient donc de comprendre que "le géniteur d'apprenant a eu comme projet effectif la récupération physique du réfécenciel rebondissant aléatoire qui se trouvait alors contrairement à sa destination initiale dans l'espace végétalisé mis gracieusement à la libre disposition des administrés puisqu'il avait malencontreusement franchi le mur temporaire végétal qui borde l'établissement destiné à la scolarisation".
Ou peu s'en faut !

lu ici : Référentiel rebondissant


Et vous pouvez aussi rire en BD ici : Le Pédago Fou

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 23:39

 

Mobilisation : retour d'une loi sur l'euthanasie

Enz On peut la qualifier avec les mots que l'on veut, l'emballer dans les plus belles expressions, la plus grande émotivité, l'euthanasie n'est ni plus ni moins que le meurtre, la mort donnée à une personne jugée indigne de poursuivre sa vie. Lire ici la définition de l'euthanasie : "l’élimination de « vies indignes d’être vécues »". Les critères de ce jugement de dignité de la vie peuvent varier : les nazis, fondateurs de cette idéologie décretant que des êtres ne méritaient plus de vivre, les qualifiaient de "sous-hommes".

Qu'ils soient des "sous-hommes" raciaux (comme le jugeaient les nazis), des "sous-hommes" politiques (idées jugées mauvaises), des "sous-hommes" économiques (ils coûtent trop cher - lisez ce petit problème de maths posé dans les écoles nazies, on se croirait en France aujourd'hui! - ), des "sous-hommes" sociaux (leur vie est inutile à la société), etc, ils sont toujours victimes de la même idéologie : il est décrété que leur vie est indigne. L'image à gauche provient de ce site est n'est ni plus ni moins que la loi nazie sur l'euthanasie des enfants.

Etz 2 Malgré cet éclairage souvent rappelé, la France veut poursuivre dans cette voie et rendre ce meurtre légal. (l'image de droite tirée de ce site qui en fourmille évoque la "vie sans espoir" - toujours les mêmes recettes - pour justifier l'euthanasie des nazis). La mobilisation est possible, urgente... et peut-être obligatoire en conscience :

"Une proposition de loi sur l’euthanasie vient d’être déposée par 120 députés socialistes à l’Assemblée nationale. Elle sera discutée le 19 novembre prochain. Ces dernières semaines, certains députés de la majorité se sont déclarés favorables à une légalisation de l’euthanasie.

Il est urgent de se mobiliser pour manifester une forte opposition contre toute tentative de légalisation de l’euthanasie.

Signez l’appel contre l’euthanasie et pour la charte des droits des personnes en fin de vie

Cette pétition sera adressée dès le 17 novembre à tous les partis politiques et responsables des groupes parlementaires. Nous devons agir très vite pour obtenir le plus de signatures possible.

Mobilisez autour de vous : découvrez les 10 clés du débat.

Alliance pour les Droits de la Vie - www.adv.org

Site de la campagne : www.fautpaspousser.com

Sur cette photo on voit des militants pour la vie jouant une scénographie amusante sur le thème de l’euthanasie : il faut bien attirer l’attention d’une opinion tout à fait endormie sur ce sujet où les partisans d’une loi sur l’euthanasie lui mentent grossièrement…"

 le 7 novembre sur lesalonbeige

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 23:04

 


l'équipe de France prête pour le Mondial en Afrique du Sud :

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 12:31


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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 01:03

J’ essaie de comprendre. Je crois que je m’efforce d’aimer. Il est vrai que je ne suis pas ce qu’on appelle un optimiste. L’optimisme m’est toujours apparu comme l’alibi sournois des égoïstes, soucieux de dissimuler leur chronique satisfaction d’eux-mêmes. Ils sont optimistes pour se dispenser d’avoir pitié des hommes, de leur malheur. 
Georges Bernanos, Les Grands Cimetières sous la lune
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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 17:03

 

 

L’INSTITUT POLITIQUE LEON HARMEL VOUS INVITE

A DECOUVRIR SES FORMATIONS

Des formations en partenariat avec l’Université Pontificale du Latran et la Fondation Jérôme Lejeune  


Rencontre autour de son président, Jean Soubrier,

à La Madeleine, Nord

Le vendredi 20 novembre 2009 à 20h30

Renseignements et inscriptions au 06 64 96 18 46

 

LE MONDE BOUGE ET VOUS ?

 SE FORMER, C'EST DEJA S'ENGAGER

Sciences Politiques; Bioéthique; Finances et d’Ethique Sociale  

 

Une pédagogie originale au service du développement intégral de la personne    

AVEC L’IPLH, RENDEZ FECOND VOTRE ENGAGEMENT PERSONNEL  

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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 00:59
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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 22:50
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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 13:39

AFP - ‎Il y a 1 heure ‎
extraits :
TOKYO — Une équipe de chercheurs japonais a annoncé mardi avoir découvert et filmé un jeune coelacanthe, un poisson dont les origines remontent à plusieurs 
centaines de millions d'années, ce qui constitue une première mondiale selon eux.

Le bébé poisson a été trouvé le 6 octobre à une profondeur de 161 mètres dans la baie de Manado au large de l'île indonésienne des Célèbes (Sulawesi), ont annoncé les chercheurs de l'aquarium d'Iwaki (nord-est de Tokyo).

Le film d'une vingtaine de minutes montre un coelacanthe de 31,5 centimètres, de couleur bleu marine parsemée de blanc, nager lentement entre les rochers du fond marin.

Ce poisson dont l'origine remonte à plus de 360 millions d'années passionne les scientifiques. Il n'a quasiment pas changé depuis son apparition et les chercheurs se demandent pourquoi son évolution semble s'être figée.

Le coelacanthe a conservé des caractéristiques qu'il partageait déjà avec les ancêtres des premiers vertébrés qui ont colonisé la terre ferme: des ébauches de membres sur quatre de ses nageoires et une poche d'air qui serait le commencement d'un poumon primitif.

Il est ovovivipare: les femelles portent des oeufs qui éclosent dans leur corps. Plus étrange encore, il nage très mal et se déplace plutôt comme un vertébré, en bougeant ses membres-nageoires à tour de rôle, à l'inverse d'un poisson.

Le premier coelacanthe vivant a été capturé en 1938 sur la côte est de l'Afrique du Sud. On le croyait alors disparu depuis 70 millions d'années.

Un coelacanthe pris en photo par des chercheurs japonais le 6 octobre dans la baie de Manado en Indonésie.

lu sur Google actualités


"Ce poisson dont l'origine remonte à plus de 360 millions d'années passionne les scientifiques. Il n'a quasiment pas changé depuis son apparition et les chercheurs se demandent pourquoi son évolution semble s'être figée."
 ...
Simple question : Quand les faits contredisent la théorie, est-ce que ce sont les faits qui ont tort ?

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 11:49

Récréation ...

 


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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 11:25

Médias : Coûteux gratuits !

Aux portes de la grande gare parisienne par laquelle je transite chaque jour, c’est l’accumulation  : d’innombrables porteurs de journaux dans leurs uniformes nous inondent de papier gratuit. L’unique vendeur à la criée des titres payants s’égosille en vain. Certains mois, je résiste à l’automatisme des lectures proposées. Il y a les quotidiens  : 20 Minutes, qui mérite à peine son titre, Metro, à l’aspect publicitaire, Direct Matin dont les images et les textes sont distrayants, Direct Soir aux titres décalés par rapport à l’actualité. Les occasionnels se multiplient  : régionaux, culturels, promotionnels… Au début de la semaine, c’est un gros catalogue de jouets que j’ai rapporté chez moi, au risque de provoquer des frustrations chez les enfants. Il y a aussi les hebdomadaires dont un, dit « sportif », me propose, chaque vendredi, une fille quasi-nue en guise d’apéritif. Pour aguicher, les autres gratuits ne sont pas en reste. Sans respect pour les collégiens qui le lisent dans les rames, 20 Minutes a pu montrer en pleine page un homme nu de face, au nom de la prévention du sida, cause qui permet toutes les outrances. Le défunt Économie Matin nous a un jour gratifiés d’une édition qui vantait, l’air de rien mais photographies trash à l’appui, les produits de l’industrie pornographique. Sous couvert d’économie elle a pu faire chuter des milliers d’hommes dans l’adultère virtuel…

Mais revenons à la pléthore des gratuits. Ils ont le mérite de nous faire passer le temps en nous informant  : mais comment se fait-il que tout ce papier à peine parcouru, parfois gâché par la pluie avant même d’être distribué, et qui emplit inexorablement nos poubelles, ne fasse pas l’objet d’un questionnement écologique  ? On nous répète de ne pas imprimer nos mails, sauf nécessité absolue, au nom du dogme du développement durable, comme nous avions appris, enfants, à ne pas gaspiller la nourriture… Et nous finissons par être gavés par toute cette information que la publicité finance jusqu’à barrer de plus en plus les titres de Une. La surchauffe cérébrale menace nos vies intérieures, déjà perturbées par les oreillettes mal insonorisées de nos voisins de wagon.

Jeudi, comme un bovin à la stabulation, j’ai saisi avidement le plat prêt à réchauffer qu’une hôtesse me tendait dans la cohue générale. Va pour ce petit cadeau à rapporter à la maison. Mais c’est un cadeau empoisonné qui a déclenché ce billet. En papier glacé, Pause santé se présente agrafé à un fascicule junior pour 7-10 ans. La version adulte est faite d’un étrange mélange. Des pages prônent la vie saine ou nourrissent le débat éthique avec des plumes sérieuses comme celle d’un membre du Comité Consultatif National d’Éthique. Mais ce nouveau gratuit sait déjà par où nous attraper. « J’ai deux amours, Une lectrice raconte » annonce la Une. L’article est illustré par une photo de Simone de Beauvoir… nue. Il présente le témoignage d’une autre femme. À 53 ans, elle bénéficierait d’un homme pour l’affection et d’un autre pour… le sexe. Peu importe si c’est authentique… Commentaires des experts  ? L’incontournable sexologue Sylvain Mimoun conclut que cette histoire est « pragmatique et lucide ». La psychologue Maryse Vaillant que cette femme « n’a pas renoncé à son idéal amoureux ». Des inepties propres à empoisonner la vraie vie d’innocents lecteurs.

Ce qui est gratuit, n’en est pas moins coûteux.

Tugdual DERVILLE sur  http://www.france-catholique.fr/Medias-Couteux-gratuits.html

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 11:13


Chute du mur de Berlin, subversion communiste et mensonges de Gorbatchev révélés par les archives soviétiques

En ce temps de commémoration de la chute du Mur il est bon de relire un livre qui révèle une grande part des délibérations les plus secrètes du pouvoir soviétique : Un jugement à Moscou de Valdimir Boukovski. Quel homme merveilleux que ce Gorbatchev qui a ouvert le mur de Berlin et libéré des pays d'Europe de l'est du communisme. Les archives les plus secrètes des délibérations du Comité Central du Parti Communiste de l'URSS Révélées par le dissident Boukovski racontent une toute autre histoire. Fausse "détente" gorbatchévienne préparée de longue date par le KGB, soutien au terrorisme international passant en particulier par la RDA et subventions aux partis communistes, au delà même de ce que disaient les anti communistes et misères secrètes d'un système en faillite qui n'arrive même plus à fournir 30 000 tonnes de viande aux polonais. Ce livre du dissident Boukovski est aussi une leçon de résistance anti totalitaire.
             Lire la suite
relevé sur unvoyageauliban


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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 22:59
 
jeudi 19 novembre - Grande conférence : ICHTUS invite Jean Sévillia
 
"Charles d’Autriche, un chrétien en politique face au chaos des temps"

Comment assumer des responsabilités politiques quand la civilisation s’écroule ? Peut-on garder l’âme intacte face à une guerre mondiale ? Comment un homme qui a tout perdu peut-il servir de modèle  ? Qu’est-ce qu’un tel destin peut nous apporter aujourd’hui ?




Venez écouter Jean Sévillia, journaliste, essayiste et biographe, auteur de Charles d’Autriche, le dernier empereur (Perrin, 2009), à 20h30, jeudi 19 novembre, à l’Espace Georges Bernanos (4 rue du Havre, Paris 9e, M° Saint Lazare ou Havre Caumartin).

L’auteur dédicacera ses livres à l’issue de la conférence.

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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 22:47


samedi 28 novembre : journée régionale ICHTUS - Paris et Nord de la France
"Etre acteurs de la civilisation de l’amour"

-  Vous souhaitez réfléchir à quels engagements prendre aujourd’hui dans la vie sociale, utiles au bien commun ?
-  Vous désirez vous former sur les questions civiques et politiques, à la lumière de l’héritage chrétien ?
-  Vous avez un projet et vous cherchez des contacts dans votre région ?
-  Vous aimeriez connaître ICHTUS ou vous tenir au courant de notre actualité ?



Une journée de réflexion, rencontres, échanges et informations, ouverte à tous, avec les permanents et animateurs d’ICHTUS. Cette journée est pour vous : VENEZ NOMBREUX.

Journée organisée dans les locaux d’ICHTUS (49 rue Des Renaudes, Paris 17e, M° Ternes ou Pereire). Participation aux frais (repas compris) : 15 €

Merci d’annoncer votre venue à Thibaut Dary, 01 47 63 97 85, thibaut.dary@ichtus.fr 

>>>  le programme sur www.ichtus.fr

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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 10:16

       Le thème de Bethsabée au bain a été abondamment traité par les peintres, et notamment par Rubens qui, comme beaucoup d’autres, y verra l’occasion de reproduire une scène galante, avec une Bethsabée ravissante, somptueusement parée, coquette et conquérante.

Tel ne sera pas le choix de Rembrandt , compatriote de Rubens, qui quelques années après lui, aura l’originalité de représenter l’une des rares Bethsabée nues... pour traiter de surcroît du désarroi pathétique dans lequel la plonge l’amour que lui porte le roi David. Le nu est du reste très rare dans la peinture de la Hollande, protestante et puritaine, de la seconde moitié du XVIIè siècle et la toile de Rembrandt y fera scandale.

Le thème est travaillé en gros plan avec une palette pratiquement monochrome. Ces deux procédés étant délibérément choisis par l’artiste pour à la fois porter et accroître l’intensité dramatique du sujet traité. Effet encore renforcé de nos jours car la toile a goudronné, faisant ainsi pratiquement disparaître le second plan, dans un ocre-brun très sombre virant au noir, où l’on ne distingue presque plus l’étagère du fond et assez mal le volume somptueux de l’étoffe or de la toilette entassée qui revêtait, quelques instants auparavant, Bethsabée.

Une lumière diffuse arrive par la gauche du tableau pour s’accrocher sur le grenat de la coiffe de la servante, modeler la poitrine et le ventre de Bethsabée qui nous fait pratiquement face et sculpter le drapé du linge blanc sur lequel elle est assise. Eléments lumineux discrets qui accroissent la réalité charnelle de ce nu. Rembrandt est ici au sommet de son art. Ce corps nu doré, nimbé d’une lumière qui semble émaner de lui, se dégage comme par magie de l’ombre qui l’entoure. L’épaisseur impressionnante de la matière picturale, qui se superpose ici en d’innombrables couches alternées de différentes couleurs et de vernis, accroche la lumière pour devenir diaphane et restituer la transparence de cette peau dorée qui révèle le relâchement naissant de la chair.

La beauté du clair-obscur flatte le corps d’Hendrickje Stoffels, servante et compagne de Rembrandt qui lui sert de modèle, pour en faire une évocation biblique de la beauté de la femme. L’alchimie du talent de l’artiste rend belle cette femme qui n’est pourtant pas jolie ! Surtout si on la considère avec les critères de la mode actuelle qui accorderaient aux formes de cette Bethsabée un xxl assassin ! Mais il n’est pas question ici de joliesse, laquelle ne considère que l’esthétique du dessin extérieur ; alors que la beauté résulte de la plénitude de l’être envisagé dans son entité. Virtuosité de Rembrandt qui est parvenu ici à peindre le corps d’une femme aimée dont la beauté transcende les imperfections et dont la chair s’illumine d’un rayonnement intérieur.

Mais si la somptuosité de la lumière et de la palette attire le regard du spectateur pour lui permettre d’envisager la beauté de cette Bethsabée, le recueillement et la gravité qui enveloppent cette scène retiennent son esprit et conduisent ses émotions.

Pensive, mélancolique, Bethsabée tient une lettre du roi David dans sa main droite qui, de toute évidence, la plonge dans une méditation profonde empreinte de tristesse. L’on peut s’interroger sur le contenu exact de la lettre ; le roi lui fait-il l’aveu de son amour ou lui apprend-il la mort d’Urie, général hittite, fidèle compagnon de David et époux de Bethsabée ? ...la suite ...


Cette huile sur toile de 142x142 cm date de 1654 et se trouve aujourd’hui au Musée du Louvre à Paris.
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 10:26


Jeudi soir, la télé nous ressert le film de propagande anti-catholique "Amen" de Costa Gavras, avec Mathieu Kassovitz.
L'occasion de se documenter sur cette époque, sur Pie XII, etc. Et l'occasion d'éclairer nos parents, amis et collègues...

                          A (re) lire sur Petrus Angel ...

Pie XII bis

ANNIVERSAIRE

Pie XII : la “légende noire” se porte bien

Cinquante ans après la mort de Pie XII, le 9 octobre 1958, la “légende noire” que les ennemis de l’Eglise ont fait circuler au sujet de ce pape – celle d’une indifférence glaciale à la Shoa –, cette légende est toujours en vie. Qu’on soit catholique ou non, elle constitue une grave insulte à la mémoire de l’homme et à la simple vérité, dénoncée comme telle par tous les historiens...  
un article du site http://sedcontra.fr










Amen 2

Des juifs reconnaissants envers Pie XII

Des juifs reconnaissants envers pie xii
La légende noire sur pie xii
Pie xii
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 10:23
Ichtus et l'Institut Politique Léon Harmel présentent :

Un catholique peut-il être à la fois soucieux de la doctrine sociale de l’Eglise et partisan du libéralisme ?

Dîner débat

le lundi 9 novembre 2009 à 20h00 à Paris

avec Patrick Louis, Professeur d’économie à l’Université de Lyon, ancien député européen et secrétaire général du MPF et René de Laportalière, ancien directeur général de L’Express, créateur du Printemps 1986 (programme libéral de la droite en 1986), président de la Fondation de la Liberté et chef d’entreprise.

Inscriptions (urgent!) au 01 47 63 97 84 

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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 10:09
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 09:55
Emmanuel Droit
La Stasi à l'école : surveiller pour éduquer en RDA (1950-1989)
Nouveau Monde - 8 octobre 2009

Entre 1949 et 1989, la RDA fut une dictature politique dont l'ambition totalitaire était de diriger la société et de former l'homme socialiste nouveau. La police politique aux ordres du régime communiste, la Stasi, constituait l'un des fondements de la domination politique : le ministère pour la Sécurité de l'État était le « bouclier et le glaive » du Parti socialiste unifié, le SED.

Cette institution conspirative ne doit pas être seulement imaginée comme une organisation secrète et répressive au-dessus de la population qui observe la « vie des autres » et s'abat sur eux de façon arbitraire. À partir des années 1960, la Stasi conçoit de plus en plus sa fonction comme une mission de protection de l'État et de la société de la RDA dans une perspective paternaliste. Elle se définit elle-même comme un acteur éducatif au même titre que l'école. En se présentant comme une instance de surveillance politique et de « disciplinarisation » de la société, elle cherche à contrôler le comportement des jeunes en les « invitant » à s'autodiscipliner, c'est-à-dire à intérioriser certaines règles de comportements. D'une certaine façon, cette police politique exerce les fonctions que s'attribuait la police ordinaire sous l'Ancien Régime, à savoir celle de gouverner les hommes.
 

présenté sur France Culture dans la série d'émissions "une histoire des sociétés communistes" : on peut les écouter pendant quelques semaines : ICI
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