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SI MA VIE ET MON OEUVRE VOUS INTERESSE, SUIVEZ MOI AU DESERT DE CHARTREUSE...
Moi, vous savez …
Moi, vous savez, les réunions …
Désolé, je dois sortir ce soir-là …
Vous savez, je suis très pris …
Moi, vous savez, je n'ai pas le temps …
A l'école, que voulez-vous, ce n'est plus comme avant …
Moi, vous savez, la politique … les syndicats ...
Je dois aller à la chasse ce week-end … Il faut quand même se distraire …
C'est scandaleux de voir ça… De mon temps …
Mais qu'est-ce qu'ils font au gouvernement ?…
Excusez-moi, je dois aller à un cocktail …
Moi, vous savez, je n'y connais rien …
L'euthanasie… Il y a du pour, il y a du contre …
Que voulez-vous, tout évolue…Il faut bien vivre avec son temps …
Désolé, il faut que j'y aille, j'ai une soirée …
Ya rien qui va !… Tout fout le camps …
Il est encore trop jeune pour s'occuper de ces questions …
Et puis, il a son examen …
Vous savez, les jeunes d'aujourd'hui …
Ah ! Si j'étais plus jeune …
Avec l'évolution des mœurs évidemment …
On n'est plus au Moyen-Age …
Ça a l'air intéressant, vos conférences …
Mais, ces questions, c'est trop intellectuel pour moi …
Et puis, c'est chacun son opinion …
Il faut se méfier des gens qui ont des certitudes …
La désinformation ? …Vous croyez vraiment ? …
Le mondialisme … Les francs-maçons … La guerre culturelle … La pornographie… Y faut pas tout dramatiser non plus …
Après tout, on n'est pas si malheureux …
Et puis, on peut pas toujours donner…
Moi, vous savez, en vacances, j'ou-blie-tout …
Et puis, on verra bien…
De toute façon, qu'est-ce qu'on peut y changer …
Enfin…
Moi, vous savez ...
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Le prédicateur de la Maison pontificale, le père Raniero Cantalamessa, a déclaré :
CRÉATION ORIGINALE DU THÉÂTRE DE L'ARC EN CIEL
Quel en est le sens?
Dom Hugues de Séréville
nous apporte son explication
Il n'est pas besoin de souligner l'actualité des questions de bioéthique.
Le clonage humain, entre autres enjeux majeurs, illustre l'importance du débat, même si aujourd'hui il n'en est qu'au stade d'hypothèse.
Les progrès rapides de la biologie cellulaire, tout en révolutionnant la médecine, semblent déstabiliser les repères humains, sociaux et religieux. Le législateur, confronté aux pratiques nouvelles issues de la recherche, peine à concilier éthique et progrès scientifique dans une vision cohérente du bien commun. Les intérêts éthiques ne convergent pas toujours avec ceux de la science. Alors, que faire? Où aller? Quelle vision privilégier?
À bien des égards, le débat bioéthique rejoint la quête de sens de l'homme contemporain. Il constitue aujourd'hui un lieu éminent du dialogue entre foi et raison. Dialogue auquel des hommes et des femmes ont voulu contribuer dans ces pages, en conjuguant leurs compétences dans un souci d'écoute mutuelle, d'honnêteté et de recherche commune de la vérité. Leur seule passion: aimer la vie et la protéger!
La Communauté de l'Emmanuel, association reconnue de l'Église catholique, a voulu prendre part à ce débat. Elle veut porter à la connaissance de tous, croyants ou non, les enjeux du débat bioéthique. Ce livre n'est pas réservé à des spécialistes. Il veut à la fois questionner et rejoindre les aspirations profondes de l'homme contemporain, l'aider à trouver les voies d'un authentique progrès.
Au sommaire du livre, entre autres :
« Le zygote est-il une personne humaine ? » par le père Pascal Ide, docteur en philosophie et en médecine, official à la Congrégation pour l'éducation catholique au Saint Siège.
« Le diagnostic prénatal et l'accueil de la personne handicapée » par le docteur Xavier Mirabel, cancérologue à Lille, père d'un enfant trisomique, président de l'Alliance pour les droits de la vie, ancien président du collectif contre l'handiphobie.
« Face aux fins de vie difficiles, l'euthanasie en question » par le docteur Pascale Mussault, médecin responsable de l'unité mobile de soins palliatifs du CHU de Poitiers.
· L’empereur Néron aurait dit au moment de mourir des mains de son esclave affranchi : « Qualis artifex pereo ! » c’est-à-dire « Quel artiste périt avec moi ! » (68 après J.-C.)
· Rabelais : « Tirez le rideau, la farce est terminée ! » (1553)
· Montaigne : « Ce n’est pas la mort que je crains, mais de mourir. » (1593)
· Le poète Philippe Desportes : « J’ai 30 000 livres de rentes, et je meurs ! » (1606)
· Le père Dominique Bouhours, jésuite et grammairien : « Je m’en vais ou je m’en vas, l’un ou l’autre se dit et l’un et l’autre se disent ! » (1702) – ce mot est également attribué au poète Piron.
· Le peintre Antoine Watteau : « Otez-moi ce crucifix ! Comment un artiste a-t-il pu rendre aussi mal les traits de Dieu ? » (1721)
· Et le musicien Rameau n’était guère content lui non plus : « Que diable me chantez-vous là, Monsieur le Curé, vous avez la voix fausse ! » (1764)
· Piron (le revoici !) à qui son ami La Place demandait : « Alors ? Cela va-t-il ? », répondit : « Non, cela s’en va ! » (1773)
· Voltaire : « Je m’arrêterais de mourir s’il me venait un bon mot ou une bonne idée » (1778)
· André Chénier, montant à l’échafaud et se touchant la tête : « Pourtant, j’avais quelque chose là ! »
· Edward Thurlow, homme d’Etat anglais : « Que je sois pendu si je ne suis pas en train de mourir ! » (1806)
· L’abbé Bossut, mathématicien célèbre se trouvait depuis plusieurs heures dans le coma lorsque l’un de ses amis lui dit à l’oreille : « le carré de 12 ? – 144 ! » dit Bossu en rendant l’âme. (1814)
· Le général Ney, commandant lui-même son peloton qui allait le fusiller : « Soldats, droit au cœur ! » (1815)
· L’écrivain et gastronome Brillat-Savarin mourant la veille du réveillon de Noël : « Je vais avoir un dies irae aux truffes ! » (1826)
· Balzac : « Huit jours avec de la fièvre ! J’aurais encore eu le temps d’écrire un livre ! » (1850)
· Alfred de Musset : « Dormir, enfin ! Je vais dormir ! » (1857)
· Hector Berlioz : « Enfin, on va maintenant jouer ma musique ! » (1869)
· Villiers de L’Ilsle d’Adam, mourant à l’hôpital dans la plus grande misère : « Eh bien ! Je m’en souviendrais de cette planète ! » (1889)
· L’acteur Mounet-Sully : « Mourir, c’est difficile quand il n’y a pas de public ! » (1916)
· Georges Bernanos : « A nous deux ! » (1948)
· Le grand industriel Rizzoli s’écria naïvement : « Mais je ne peux pas mourir ! Je suis l’homme le plus riche d’Europe ! »
Source : Claude Gagnière, Tout sur tout
Publié par Imelda
Entre l'été 64 où Néron, pour détourner de lui les soupçons, accuse la toute jeune communauté chrétienne de Rome d'avoir incendié la Ville, et l'an 362 où l'empereur Julien, dans une tentative de restauration du paganisme d'avance vouée à l'échec, déclenche contre l'Eglise une ultime persécution, trois siècles se seront écoulés. Au cours de ces trois siècles, le statut des chrétiens aura maintes fois varié. De très longs moments de paix et de tolérance auront alterné avec des périodes de violences. Contrairement à une légende noire propagée par les apologistes chrétiens, ces persécutions seront l'oeuvre non des «mauvais» empereurs (Néron, Domitien), mais des Césars les plus brillants et les plus humanistes de leur temps (Trajan, Hadrien, Marc Aurèle), ou des grands restaurateurs de la puissance romaine (Dèce, Dioclétien).
Loin des simplifications manichéennes, Anne Bernet parvient, au fil des événements, à dégager les causes profondes et variées de cet affrontement entre la jeune Eglise et Rome et à expliquer pourquoi le christianisme fut perçu comme un danger pour les structures de l'empire, politiques, religieuses ou morales. Mais ce livre est aussi l'occasion de découvrir les figures, célèbres ou méconnues, d'hommes et de femmes qui changèrent la face du monde. Un ouvrage éclairant et captivant, par une historienne scrupuleuse et une conteuse de grand talent.
Falk Van Gaver a traversé la France à pied. Il a parcouru les 1300 kilomètres reliant le monastère de Lérins, près de Cannes, au Mont-Saint-Michel, sans un sou en poche, mendiant le gîte et le couvert. De cette aventure hors norme est sorti un récit de voyage qui l'est tout autant. Il nous dévoile le visage d'une France simple et généreuse, celle des petites gens et des villages perdus. Ceux qui liront ce livre ne regarderont jamais la France comme avant.
Le chemin du Mont, de Falk Van Gaver
1300 kilomètres à pied en mendiant
Où la directrice d'une agence de « com » découvre la tyrannie du « moderne », rien qu'en prenant le train.
« PEUT-ÊTRE le bonheur n'est-il que dans les gares », scandait Charles Cros, un avant-hier oublié. Longtemps après que le poète a disparu, les usagers ont été remplacés par des clients, les guichets par des bornes électroniques, les brasseries par des distributeurs de friandises. Les tickets de quai ont disparu et le bonheur avec eux. On pourrait en pleurer. Benoît Duteurtre préfère en rire dans une fable d'époque qui met en scène la directrice d'une agence de communication terrifiée par la modernisation de la SNCF. « Assez bonne nageuse dans le bassin de la vie mondaine », adaptée aux rugueuses nécessités économiques de son époque, Florence découvre avec effroi la modification des moeurs induite par la catastrophe sociale en cours à l'occasion de liaisons ferroviaires entre Paris et sa maison de montagne.
Façon de Virgile rieur aux Bucoliques abolies, Benoît Duteurtre imagine avec malice la rencontre entre cette citadine lassée par la modernité et des ruraux assoiffés de progrès. Progressiste à la ville, son héroïne se découvre réactionnaire aux champs, s'acharnant à concilier les contraires à l'occasion de ses voyages en train. Hélas, c'est en voiture que les choses sont parfois les pires, et le discours commercial des contrôleurs relookés n'y change rien.
La communicante chargée d'imaginer les slogans publicitaires qui accompagnent toutes les liquidations se prend à regretter la transformation du service public en entreprise à fort taux de croissance. Déroulant ses effets au fil d'un journal intime, l'apologue est joliment troussé, quoique un peu démonstratif. Benoît Duteurtre, qui a déjà inscrit les embouteillages et les téléphones portables à son tableau de chasse, sait pourtant qu'il faut mieux montrer que décrire pour réussir à faire rire. Il faut croire que notre Molière était un peu las de ferrailler contre la bêtise. N'importe. Il continue d'apporter au roman français la légèreté, la fraîcheur et l'esprit critique qui lui font défaut, alternant grands effets et petites pièces d'époque jouées sur le mode mineur.
Sébastien Lapaque, Le Figaro, 28 septembre 2006
Selon des chercheurs américano-suisses ayant publié une nouvelle étude sur l'élection d'Hitler par 38,7% des Allemands en mars 1933, le corps électoral allemand de l'époque se démarque par une grande disparité. Ces chercheurs en sciences sociales, statistiques, mathématiques et économiques ont travaillé de concert pour découvrir qui, d'un point de vue spécifiquement économique, avait intérêt à voter pour Hitler.
La recherche confirme notamment (mais on le savait, comme le montrent les cartes ci-contre -cliquer pour agrandir) que les nazis ont eu moins de succès électoral dans les régions catholiques que dans les régions protestantes. Pour le professeur Wagner, l'Eglise catholique soutenait activement les partis d'obédience catholique en argumentant sur leur travail social.
Michel Janva (merci à AJM)
Posté le 7 octobre 2008 à 17h06 | Catégorie(s): Histoire du christianisme
Une autre carte à verser au dossier.
http://www.electoralgeography.com/new/en/wp-content/gallery/germany1932/bonokath3dnazi327.gif
Plus c'est haut, plus la région est catholique, plus c'est rouge, plus la région a voté pour Hitler. Les sources sont ici:
http://www.electoralgeography.com/new/en/countries/g/germany/weimar-germany-legislative-election-1932-november.html
Le tout vu sur ce bon billet de Koz chez Rue89: http://www.rue89.com/2008/10/02/quand-un-rabbin-rehabilite-pie-xii-pretendu-pape-dhitler
la suite est ici : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2008/10/hitler-na-pas-t.html
... vue par Maurice Allais , lu sur le site http://etienne.chouard.free.fr :
Voici un texte essentiel d’un homme important, Maurice Allais : ce fut d’abord un article clairvoyant et décapant publié dans Le Figaro des 12, 19 et 26 octobre 1998, dans la rubrique Opinions ; puis il fut repris et annoté dans un livre passionnant publié aux courageuses éditions Clément Juglar : de nombreuses notes et annexes supplémentaires que vous trouverez dans le livre (pas ici) permettent à l’auteur de répondre aux objections qu’on lui a présentées. L’ensemble est remarquable, vivant, utile : c’est de l’économie politique, à usage citoyen.
Lecture hautement conseillée.
Cliquez ici pour une présentation de Maurice Allais.
Et cliquez ici pour une version pdf de ce document (impression soignée).
La crise mondiale d’aujourd’hui
Pour de profondes réformes des institutions financières et monétaires
1. La grande dépression de 1929-1934 et ses enseignements essentiels
2. La crise mondiale d’aujourd’hui
3. Pour de profondes réformes des institutions financières et monétaires
Alexandre Soljenitsyne ce matin sur France Culture
Répliques |
| | émission du samedi 7 février 2009 L'héritage de Soljenitsyne |
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Avec Georges Nivat et Alain Besançon.
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Les Moines Cisterciens de Stift Heiligenkreuz
Quand les moines cartonnent sur Internet
Avec déjà plus de 100 000 visites sur YouTube, les moines de Stift Heiligenkreuz créent l'événement sur le web!
Sortie de leur album CHANT : MUSIC FOR PARADISE le 9 juin 2008 chez UCJ Music / Universal Music.
Chant « Music for Paradise » est un album dans la plus pure tradition du chant grégorien.
Enregistré mi-avril par les moines de l’Abbaye Cistercienne de Stift Heiligenkreuz au coeur de la forêt Viennoise, ce disque est né d’une incroyable histoire.
En février dernier, Universal Classics and Jazz International fait passer une annonce dans diverses parutions religieuses (The Catholic Times, The Church Times, The Universe…). Conscient de l’engouement général pour ce genre de musique (le succès du célèbre jeu vidéo Halo est très parlant), UCJ recherche les plus belles voix religieuses d’aujourd’hui.
Les démos affluent de toute l’Europe, aussi bien d’octogénaires que d’adolescents, et le dernier jour des inscriptions UCJ reçoit, par mail, un lien vers une vidéo du choeur des moines de l’Abbaye de Stift Heiligenkreuz postée sur YouTube !
La décision est immédiate : leur sonorité surpasse toutes les propositions reçues.
Le pape Benoît XVI lors de sa visite à l’Abbaye en septembre 2007 avait d’ailleurs souligné qu’il s’agissait des plus beaux chants grégoriens qu’il ait jamais entendus.
Depuis, ce clip a été visionné des dizaines de milliers de fois sur la toile, créant un buzz immédiat autour de ce projet unique !
Le Grégorien a la particularité d’être toujours chanté à l’unisson sans aucun accompagnement, ce qui l’affranchit de toute contrainte rythmique. Il s’agit d’une prière chantée qui aide à entrer en méditation ; ce disque est un îlot de sérénité dans notre société moderne !
la suite .... http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=432835
sur Youtube :
" La foi, loin d'être l'éteignoir de la science,
en est la lumière véritable"
Fernand Crombette
un fou ou un génie ?
M. CAULLERY : " Oui, les espèces actuelles sont stables, mais elles ne l'ont pas toujours été, autrement il faudrait recourir à un Créateur pour expliquer l'apparition des êtres vivants, or le créationnisme est anti-scientifique, donc la transformation des espèces est un fait." (Le problème de l'évolution (1931 )
Yves DELAGE: "Je suis absolument convaincu qu'on est ou qu'on n'est pas transformiste, non pour des raisons tirées de l'Histoire naturelle, mais en raison de ses opinions philosophiques." (Structure du protoplasme et de l'hérédité)
Jean ROSTAND: "Le monde postulé par le transformisme est un monde féérique, fantasmagorique, surréaliste ... Quant à moi... je suis convaincu que cette féérie a eu lieu... Je crois fermement -parce que je ne vois pas le moyen de faire autrement -que les mammifères sont venus des lézards et les lézards des poissons, mais quand j'affirme, quand je pense pareille chose, j'essaie de ne point méconnaître quelle en est l'indigeste énormité et je préfère de laisser dans le vague l'origine
de ces scandaleuses métamorphoses que d'ajouter à leur invraisemblance celle d'une interprétation dérisoire." (Le Figaro littéraire -1957)
Julian HUXLEY: " L'évolutionnisme ne laisse aucune place au surnaturel : la terre et ses habitants n'ont pas été créés, ils sont le fruit de l'évolution qui n'est plus une théorie mais un fait réel." (1959)
Charles DARWIN: " Quand je pense à l'oeil, j'en ai la fièvre. "
S'ils le disent ...