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"Un blog d'actualité (...). Un peu bric à brac, sympathique, un lieu idéal pour flâner sur Internet, un dimanche après midi quand il pleut ! " Mais hier - Saint-Médard - il a paplu. |
8 juin : Saint-Médard
A la Saint-Médard mon Dieu qu'il a plu
Au coin du boul'vard et de la p'tite rue.
A la Saint-Médard mon Dieu qu'il a plu
Y aurait pas eu d'bar on était fichus !
A la Saint-Médard mon Dieu qu'on s'est plu
Tous deux au comptoir en buvant un jus.
A l'abri dans l'bar on s'est tell'ment plu
Qu'on est sorti tard quand il a plus plu.
Quand il pleut le jour de la Saint-Médard
Pendant quarante jours faut prendre son riflard.
Les marchands d'pépins et de waterproufs
Se frottent les mains, faut bien qu'ces gens bouffent !
Dans notre petit bar on se retrouvait
A midi un quart et on attendait.
Quand il pleut dehors, dedans on est bien
Car pour le confort, la pluie ne vaut rien.
Pour tout arranger il a encor plu
La Saint-Barnabé oh ça tant et plus !
Pour bien nous sécher au bar on a bu
Trois jus arrosés puis on s'est replu.
Saint-Truc, Saint-Machin, toujours il pleuvait
Dans le bar du coin, au sec on s'aimait.
Au bout d'quarante jours quand il a fait beau
Notre histoire d'amour est tombée dans l'eau.
Les frères Jacques
C'est à l'Espace Bernanos à Paris
Vendredi 20 juin à 17h et samedi 21 et dimanche 22 juin
Journal d’un Curé de Campagne
interprété par Aubin Peltier et 4 comédiens
Réservations : 06.43.78.29.86
Dans un hôpital se trouve un patient gravement malade. Sa famille se réunit dans la salle d’attente et, enfin, un médecin arrive, fatigué et triste : "Je suis désolé d’être porteur de mauvaises nouvelles", dit-il en voyant l’expression d’inquiétude sur les visages : "le seul espoir pour votre proche est une greffe de cerveau.’ ‘C’est une chose expérimentale et risquée, et économiquement tout est à votre charge."
Les membres de la famille restent assis, en écoutant ces bien tristes nouvelles. Puis, l’un d’eux demande : "combien coûte un cerveau ?"
"Ca dépend", répond le médecin. "5000 un cerveau d’homme ; 200 celui d’une femme".
Un long moment de silence envahit la salle, et les hommes présents essaient de ne pas rire et évitent le regard des femmes, mêmes si certains d’entre eux ébauchent un sourire.
Finalement, un homme poussé par la curiosité demande : "Docteur, pourquoi cette différence de prix ?"
Le médecin, souriant devant une question pour lui si innocente répond : "les cerveaux féminins coûtent moins cher car ce sont les seuls à avoir servi, les autres sont comme neufs."
http://www.protection-enfance.fr/
Avec l’un des plus beaux logos qu’il m’ait été donné de voir sur le moteur de recherche, Google célèbre aujourd’hui l’anniversaire de la naissance de Diego Rodríguez de Silva y Velázquez, incroyable peintre espagnol du XVIIe Siècle. Le logo choisi pour cet évènement est une libre interprétation de sa toile la plus célèbre, les Ménines, représentant l’infante Marguerite d’Espagne entourée de ses dames d’honneur :
http://www.search-engine-feng-shui.com/2008/06/06/logo-google-fete-la-naissance-de-diego-velasquez/
Sous l’Ancien Régime, le service n’est pas un vain mot : servir le château, c’est participer au prestige du seigneur, et par conséquent concourir à l’organisation hiérarchique de toute la société. En fondant son étude sur la valeur d’usage des "bâtiments d’utilité", l’auteur fait revivre les coulisses du château, le service de la bouche, les écuries, la glacière... et met ainsi en perspective l’architecture spécifique des communs tels qu’ils ont été imaginés par les architectes parisiens.
La séquence d’accès, la composition, le décor parfois suggestif de ces bâtiments sont analysés ici pour la première fois.
Cette étude intègre également la fonction symbolique de la résidence seigneuriale en Île-de-France et le rôle essentiel des abords du corps delogis dont l’agencement détermine la nature même du château aristocratique face à l’avènement de la maison de campagne bourgeoise.
L’approche nouvelle et originale proposée ici se fonde sur des sources inédites et une relecture minutieuse des traités d’architecture de XVIIIe siècle, auxquelles s’ajoute une riche iconographie.
Format 24x16cm, 127 illustrations NB, 16 planches couleur, prix : 35 €
L’ouvrage est en vente aux Publications de la Sorbonne, 212 rue Saint-Jacques, 75005 Paris
ici le Bon de Commande
Lien qui renvoie directement à la présentation du livre par l’éditeur, avec le texte intégral du sommaire, de la préface et de la conclusion :
http://www.univ-paris1.fr/IMG/pdf/580_Morin_Au_service_du_chateau.pdf
L'Absinthe, la Fée verte à Montmartre | |
| Du 1er avril 2008 au 30 juin 2008 Cette exposition permet d'aborder l'histoire de cette liqueur populaire, qui dépassa la consommation de vin à la fin du XIXeme siècle, son influence sur les artistes et la société |
Quand le talent du peintre et la force de son art sont à l’extrême opposé de ce qu’ils représentent, à savoir la déchéance...
la suite : L’absinthe de Degas
DAUMIER, Honoré, "En chemin de fer. Un voisin agréable, 1862"
La BNF expose Daumier : http://expositions.bnf.fr/daumier/
Scénario et Dessin Jacques Terpant. D’après l’œuvre de Jean Raspail
Prospère et lumineuse autrefois, la ville est presque abandonnée. Le télégraphe est coupé. Plus aucun train n’arrive à la gare, ni plus aucun navire au port.
La population s’est enfuie. Des bandes incontrôlées errent à travers le pays. Du monde extérieur aucune nouvelle ne parvient depuis déjà de nombreux mois. C’est la vie qui s’en est allée. Le Margrave héréditaire ne règne plus que sur son Château et sur une poignée de fidèles que l’ombre est sur le point d’effacer.
Pour rompre ce mortel encerclement. Pour savoir où est passée la vie, à quoi ressemble ce qui les entoure et quelle est la signification de tout cela, sept cavaliers quittèrent la ville au crépuscule, face au soleil couchant, par la porte de l’ouest qui n’était plus gardée.
Album Tome 1 : Sept Cavaliers - Le margrave héréditaire
Illustrations J. Terpant - Éditions Robert Laffont - Collection "Fantastique"
Le phénomène Ch'tis : fiers d'être Français
Le succès du film Bienvenue chez les Ch'tis fait écrire à Jacques Duquesne "Nous sommes tous des Ch'tis". Si le film connaît un tel engouement, c'est peut-être parce qu'il met "en valeur les qualités d'une région" française. Contrairement au dernier Astérix, qui subit un échec, sans doute parce qu'il ne met en valeur que la jet-set française... Et cette catégorie sociale n'attire pas, ne rejoint pas, ne comprend pas le Français.
Ne faut-il pas voir dans le succès des Ch'tis l'attachement des Français à leur identité ? Au cours de l’émission Cdans l’air du 5 mars, le sociologue de gauche Michel Wievorka (nommé par Sarkozy à la tête d'une «mission d’études sur la diversité dans l’enseignement », auteur d'ouvrages sur le racisme, dont “La France raciste” et président du conseil scientifique du CRAN), a critiqué le film, le jugeant trop franchouillard. Voici ce qu'en dit Duquesne :
"il fait rire. [...] Et c'est un rire dont personne n'a secrètement honte, parce que ses auteurs et ses interprètes ne tombent pas dans la vulgarité, les plaisanteries graveleuses, les sous-entendus obscènes. Il fait rire et il met en valeur le courage. [...] Et si les Français, tous les Français, de Marseille à Strasbourg ou à Brest, font un tel succès à ce film, c'est qu'ils se reconnaissent dans ces hommes et ces femmes, c'est qu'ils se sentent meilleurs qu'on ne le dit, meilleurs qu'ils ne le croient eux-mêmes bien souvent et capables de faire mieux. Fiers d'être Français en somme. Avec le sourire."
" Si nous voulons aider avec zêle notre prochain, nous ne devons réserver pour nous-mêmes ni heure, ni lieu , ni saison " Saint-Philippe Néri
Aujourd'hui, des pans entiers de notre culture sont devenus incompréhensibles pour la plupart de nos contemporains et pour nous mêmes.
Pourquoi ? Parce que cette culture est pour une grande part chrétienne, et que les français ont de moins en moins de connaissances de la religion chrétienne.
Le livre de Michel Bouvier, " Savoirs mieux. Rudiments de culture chrétienne "
répond donc à un besoin.
Si ce livre s'adresse d'abord aux étudiants en lettres, il intéressera sans aucun doute aussi tout ceux qui sont concernés par l'histoire, la sociologie, les débats d'idées.
Sans oublier ceux qui ont tout oublié de leur catéchisme...
Au sommaire : Fondements ; Principes ; Dogmes ; L'Eglise ; La vie religieuse ; Débats.
Un ouvrage de 128 pages - Disponible en librairie ou au P.U. du Septentrion
Faites suivre s.v.p., en particulier auprès de vos amis étudiants ou professeurs de lettres.
Laissons-nous guider, soyons calmes, calmes ? Laissons-nous porter par Marie, c'est elle qui pensera à tout, qui pourvoira à tous nos besoins d'âmes et de corps, donnons-lui chaque difficulté, chaque peine et ayons confiance que Marie songera à nous mieux que nous.
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Mère Térésa | ||
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MULTIMEDIA : |
Che Guevara : La fin du mythe ?
"Nous avons fusillé, nous fusillons et nous fusillerons" (Che Gevara, à la tribune des Nations-Unies). On estime entre 200 et 500 les exécutions que Che Gevara a ordonnées à la tête du Comité d'épuration, et à 2000 l'ensemble des exécutions perpétrées sous sa responsabilité.
au pied des pistes.
" Ma femme et moi étions assis dans le lit la nuit dernière, discutant des choses de la vie. Nous parlions de l’idée de vivre ou mourir.
Je lui dis :
“Ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, dépendant d’une machine ou de potions quelconques. Si tu me vois dans cet état, débranche tous les éléments qui me maintiennent en vie”
Sur ce, elle s’est levée, a débranché le cable de la TV et m’a enlevé ma bière. "
illustration ...
De Benoît XVI dans un discours improvisé :
"La vraie jeunesse n'est pas une question d'âge ou de vigueur physique. Malheureusement, certains jeunes en âge sont vieux au-dedans. Etre jeune signifie avoir découvert les choses qui ne passent pas au fil des ans. Si un jeune découvre les vraies et grandes valeurs, alors il ne vieillit jamais même si le corps suit ses propres lois. [...] seul celui qui est bon et généreux est réellement jeune [...] les modes finissent en un clin d'œil, dans une course frénétique et précipitée. La jeunesse, en revanche, celle de la bonté, reste pour toujours. Elle sera alors parfaite et resplendissante au Ciel avec Dieu [...] Mais hélas, il y a des jeunes qui sont vieux intérieurement tout en ne manquant pas de biens terrestres. Ce qui leur manque, c'est la chose la plus importante, ce quelque chose qui remplit vraiment l'âme".
"La jeunesse a encore tout l'avenir devant elle. Aujourd'hui, cependant, il est plein de menaces pour beaucoup, surtout la menace d'un grand vide. On se demande : ‘Est-ce que je trouverai un emploi ? Est-ce que je trouverai une maison ? Est-ce que je trouverai l'amour ? Quel sera mon véritable avenir ? C'est pour cela que beaucoup veulent arrêter le temps par peur d'un avenir vide. Ils veulent consommer immédiatement toutes les beautés de la vie, et ainsi, l'huile de la lampe est consommée au moment où la vie devrait commencer. Qui a choisi Dieu a encore dans la vieillesse un avenir sans fin, et sans menaces devant soi. Il est important de choisir les vraies promesses, celles qui ouvrent l'avenir, même par des renoncements. Et le premier choix fondamental doit être Dieu".