Vous avez fait une crèche magnifique ? Envoyez nous votre photo à l’adresse suivante : concours@actuailes.fr avant le 31 décembre. L’ensemble des photos sera publié sur la page Facebook d’Actuailes. Votez et faites voter pour votre crèche préférée !
Des exemplaires de Recettes pour cuisiner en famille, à Noël, à Pâques, le dimanche et autres fêtes carillonnées, de Mathilde Ray, offerts par les éditions Mame, sont à gagner ! Et en bonus : un santon pour la crèche arrivée en première place !
Vingt siècles se sont écoulés, et la date de naissance du Christ, perdue dans le temps, a été maintes fois remise en question. Mais la découverte des Manuscrits de la Mer Morte va apporter un éclairage nouveau et permettre de rééxaminer les faits.Parcourant les fragments de Qumrân, les écrits bibliques et profanes, étudiant les données astronomiques de la Nasa, à l'aide de l'Archéologie, la Numismatique, la Paléographie et des révélations privées de saints reconnus, cette enquête minutieuse va nous faire découvrir que l'Eglise n'a rien laissé au hasard. A partir de faits établis, on est étonné de voir les dates des fêtes chrétiennes se déduire les unes des autres et apparaître aux dates précises auxquelles elles sont déjà fêtées depuis plus de deux mille ans.
Henriette Horovitz Horovitz-Marquebreucq. Née à Gand de père juif non pratiquant et de mère gantoise baptisée non pratiquante, elle a demandé le baptême à l’âge de 18 ans en l’église Saint-Bavon.
Parmi ses multiples lectures en vue de trouver des cohérences chronologiques dans l’abondance des renseignements discordants, elle est marquée par la lecture de « la Cité Mystique » de Marie d’Agreda.
Elle passe quarante années a étudier la Bible, les manuscrits de Qumran et rassembler une multitude de faits qui la conduisent à élaborer une étude qui montre que l'année de l'Incarnation est bien celle que nous fêtons encore aujourd'hui.
Ichtus box : faire un don avec reçu fiscal et offrir le parcours Socrate : que faut-il dire aux hommes ? 200,00€100,00€
C’est Noël !
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"Je suis professeur et parent. Ce parcours a changé ma vie. Jacques Tremolet de Villers sous le mode de la conversation nous fait découvrir la richesse de la culture européenne et comment elle répond à nos attentes les plus profondes. Un grand moment de culture que l’on voudrait partager avec tous !" - Claire
Exposition Bruegel unique en son genre, jusqu'au 13 janvier 2019
À l'occasion du 450e anniversaire du décès de Pieter Brueghel l'Ancien, le Kunsthistorisches Museum Vienne organise la première grande exposition monographique au monde sur l'œuvre de cet artiste d'exception.
De son vivant déjà, Pieter Bruegel l'Ancien était un artiste très convoité et ses œuvres se vendaient à des prix jamais atteints pour l'époque. Pour célébrer le 450e anniversaire de sa mort, le Kunsthistorisches Museum Vienne consacre une exposition particulière au peintre flamand le plus influent du XVIe siècle. C'est la première grande exposition monographique au monde de son œuvre. Il nous reste actuellement un peu plus de 40 peintures et 60 dessins du maître. Avec ses 12 tableaux, le Kunsthistorisches Museum Vienne possède la plus grande collection de Bruegel au monde. Le fait que les Habsbourg surent apprécier dès le XVIe siècle l'extraordinaire qualité et l'originalité de l'univers pictural de Bruegel y est pour quelque chose – ils se sont par la suite efforcés d'acquérir de prestigieuses œuvres de l'artiste.
Prêts sensationnels
Forte de quelque 90 œuvres, l'exposition à Vienne donnera pour la première fois un aperçu de l'ensemble de l'œuvre de Pieter Brueghel l'Ancien : avec presque 30 peintures (soit les trois-quarts de son œuvre) et la moitié des dessins et croquis restants, l'exposition offre une occasion unique de plonger dans l'univers complexe de l'artiste, de comprendre son évolution stylistique, son processus de création et ses méthodes de travail, et de découvrir l'esprit de son œuvre et son don unique pour peindre une histoire. Parmi les pièces phares à admirer dans cette exposition, on trouve Le Triomphe de la Mort, prêté par le Prado de Madrid, et La Tour de Babel, arrivant du Musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam. La plupart de ces fragiles tableaux en bois n'avaient jusqu'alors jamais été prêtés pour une exposition.
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La banque de France n’est pas la banque de la France, elle est bien déjà privée, ce qui conduira Napoléon à une citation importante.
Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence; leur unique objectif est le gain.
Le chant de Noël "Douce nuit" a deux cents ans, mais c'est seulement il y a un siècle qu'il est devenu réellement populaire lorsqu'il parvint, en 1914, à interrompre la guerre des tranchées lors d'une trêve de Noël entrée dans l’histoire.
Poème du prêtre Joseph Mohr mis en musique en 1818 par Franz Xaver Gruber, le chant de Noël "Douce nuit" affiche fièrement ses deux cents ans, mais c'est seulement il y a un siècle, à la faveur d'un épisode célèbre de la Première Guerre mondiale, qu'il est devenu réellement populaire. Aujourd'hui traduit dans plus de trois cents idiomes du monde entier, cet hymne a en effet inauguré, le 24 décembre 1914, une incroyable nuit de trêve dans les tranchées, observée spontanément par les troupes allemandes, françaises et britanniques. De Salzbourg à New York en passant par Londres et Berlin, le documentaire part sur les traces d'une chanson entrée en 2011 au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco.
À l’occasion de la sortie du livre de Sophie Roubertie, "Apprendre à voir - La vie dans l’art", Sophie Roubertie évoque l’éducation à l’émerveillement et à la vie affective.
Le 24 février dernier, le Pape invitait les membres de la « Diaconie de la beauté » à « faire connaître la gratuité de la beauté », à « encourager un style de vie prophétique et contemplatif, capable d’aider à apprécier profondément les choses sans être obsédé par la consommation » et « à servir la création et la préservation « d’oasis de beauté » dans nos villes trop souvent bétonnées et sans âme ». Prendre le temps de regarder une œuvre d’art, n’est-ce pas un bon début pour revenir au beau ? Sophie Roubertie, rédactrice culture dans le magazine adressé aux enfants Actuailes et formatrice pour le parcours sur « l’éducation affective par l’art » proposé par Ichtus, utilise les œuvres d’art pour amener les jeunes à découvrir les secrets de la beauté et ses bienfaits. C’est aussi un moyen de s’arrêter pour prendre le temps de voir et de s’émerveiller. Son livre répertorie quarante œuvres choisies et les décrit par des textes courts parfois poétiques. Une base solide pour une bibliothèque destinée à parcourir le temps, à partager entre petits-enfants et grands-parents, à l’école ou en solitaire, dans un dialogue avec l’artiste.
Aleteia : Que contient votre livre Apprendre à voir, comment sont présentées les œuvres d’art et à qui s’adresse-t-il ? Sophie Roubertie : J’ai repris les chroniques écrites depuis cinq ans dans Actuailes et a germé l’idée d’en regrouper un certain nombre dans un livre car cela correspondait à une demande. Certains lecteurs les imprimant mais la qualité de l’image n’est pas la même. Le magazine s’adresse aux 10-15 ans, mais les parents lisent aussi les articles, pour savoir ce qui est dit à leurs enfants mais aussi pour avoir des discussions familiales autour des sujets abordés. Certains enseignants les utilisent en classe notamment. Le fait de regrouper un certain nombre de chroniques en un livre permet d’avoir un véritable outil dans les familles ou dans les classes. La majeure partie des œuvres d’art abordées sont des grands classiques, même si elles sont généralement liées à l’actualité d’une exposition, et constituent donc une bonne base. Certaines sont moins connues, comme La Boxe, de Maurice Denis. Le livre se présente avec des doubles pages, avec l’œuvre, sa carte d’identité et une analyse de l’œuvre dans le souci d’apprendre à voir. Le regard peut toujours s’ouvrir. Je ne suis pas dans une démarche d’histoire de l’art, mais dans une démarche d’observation et d’émerveillement. Par ailleurs, le livre peut être lu par un enfant, mais aussi par un adulte qui le lit à un plus petit.
Ce blog est le récit de mon pèlerinage effectué à pied et à vélo entre le 27 mai 2010 et le 14 janvier 2011 de la ville de Québec au Sanctuaire Notre Dame de Guadalupe à Mexico. Ce pèlerinage se voulait être une route d'évangélisation et un pèlerinage offert à Dieu pour la défense de toute vie humaine depuis sa conception jusqu'à sa fin naturelle telle que l'enseigne le magistère de l'Église Catholique. N'ayons pas peur des mots : un pèlerinage offert pour obtenir la fin de l'avortement.
Un témoignage de ma foi et une hymne à la vie, chantée avec les pieds (et non comme un pied !).
Un livre relatant ce voyage est sorti aux éditions Téqui :
J'y mêle une réflexion sur le respect de la vie en m'inspirant essentiellement des textes de Jean-Paul II.
Une recension dans La Renaissance du Loir et Cher :
"Anne-Marie Michel, française, est « Aventurière pour la vie ». Elle a randonné pendant neuf mois de Québec à Mexico, où se trouve la Vierge de Guadalupe. Ce pèlerinage fut organisé pour promouvoir la Vie, contre l’avortement. Elle su trouver des accueils généreux auprès de familles ou de prêtres. A chaque présentation, elle parlait de Jésus, de la vie et du pèlerinage qui reste un concept étranger aux américains. Elle témoigne sur la route, chez ceux qui la reçoive, mais aussi à la radio et la télévision. En arrivant devant la Vierge, elle pria pour tous
ceux qui lui permirent de réaliser ces cinq mille kilomètres."
La photo officielles des trente candidates à Miss France 2019. —Benjamin Decoin / Sipa
Cette année, la moitié des candidates à Miss France 2019 sont noires et métisses.
L'élection faisant partie des programmes télé les plus regardés de l'année, nous nous sommes demandé si cela signifiait une avancée de la diversité à la télévision.
L’avez-vous remarqué ? Cette année, la moitié des candidates à la couronne deMiss France2019 sont noires, métisses ou issues de l’immigration. Près de 8 millions de téléspectateurs vont donc assister à un concours plus proche de la société telle qu’elle est alors que latélévision ne montre quasiment que des blancs. Cette soirée peut-elle porter un message ?
Du côté des miss concernées, on n’en est pas convaincues. Miss Guadeloupe, Ophély Mézino, et Miss Picardie, Assia Kerim, partagent plutôt l’avis de Miss Guyane, Laureline Decocq, pour qui « c’est important d’être nombreuses parce que la France d’aujourd’hui c’est beaucoup de métissages. On montre toutes les facettes de la beauté française. »
le 11 décembre 1947: troisième apparition de Notre Dame à l’ile bouchard : « Je donnerai du bonheur dans les familles. »
En se réveillant, le jeudi 11 décembre, Jacqueline s’aperçoit que ses yeux ne sont pas collés comme à l’ordinaire, et qu’elle voit parfaitement bien sans lunettes. «Comme tous les matins, raconte-t-elle, Maman monte de l’eau bouillie pour me décoller les yeux, mais ce matin, je n’ai plus les yeux collés, plus de croûtes, plus d’humeur… et je vois au loin, je n’ai plus besoin de lunettes. Maman appelle Papa et, devant un tel miracle, ils pleurent et disent merci. On me donne un journal à lire. Papa court chercher monsieur le Curé. En voyant mes yeux guéris, il s’agenouille et pleure. Les voisins sont ahuris et émus, car depuis ma plus jeune enfance, je leur faisais pitié.»
À 1 heure de l’après-midi, il y a environ deux cents personnes dans l’église Saint-Gilles. Les quatre fillettes arrivent et, ne trouvant aucune place libre sur les prie-Dieu, elles viennent s’agenouiller devant la Sainte Table, face à l’autel de la Sainte Vierge. Le Curé, agenouillé sur une marche du grand autel, assiste pour la première fois aux apparitions, ainsi que les trois religieuses de Sainte-Anne.
Notre Dame explique pourquoi elle est venue là et non ailleurs. Elle promet ensuite :
«Il y aura du bonheur dans les familles, répond la Dame, qui ajoute: Chantez maintenant le “Je vous salue Marie”.»
Nous reprenons ici l’analyse donnée par Jean-Pierre Maugendre, délégué général de Renaissance catholique , à propos de la crise actuelle que traverse la France et que révèle les manifestations des Gilets jaunes.
Au soir de la prise de la Bastille le 14 juillet 1789 Louis XVI interroge le duc de La Rochefoucauld : Est-ce une révolte ? Avec beaucoup de perspicacité celui-ci répond : Non, sire, c’est une révolution ! Nul doute que dans les cercles du pouvoir tout le monde aujourd’hui se pose une question analogue. Le mouvement des « gilets jaunes » est-il un simple accès de mauvaise humeur que quelques charges de CRS, un report des hausses de taxes et la promesse de vagues comités de réflexion suffiront à régler ou s’agit-il d’un mouvement de fond qui risque de tout emporter ?
Le Seigneur m'a possédée au commencement de ses voies, avant qu'il fît quelque chose dès le principe.
J'ai été fondée dès l'éternité, dès le commencement, avant les origines de la terre.
Il n'y avait point d'abîmes quand je fus enfantée, point de sources chargées d'eaux.
Avant que les montagnes fussent affermies, avant les collines, j'étais enfantée.
Lorsqu'il n'avait encore fait ni la terre, ni les plaines, ni les premiers éléments de la poussière du globe.
Lorsqu'il disposa les cieux, j'étais là, lorsqu'il traça un cercle à la surface de l'abîme,
lorsqu'il affermit les nuages en haut, et qu'il dompta les sources de l'abîme,
lorsqu'il fixa sa limite à la mer, pour que les eaux n'en franchissent pas les bords, lorsqu'il posa les fondements de la terre.
J'étais à l'œuvre auprès de lui, me réjouissant chaque jour, et jouant sans cesse en sa présence,
jouant sur le globe de sa terre, et trouvant mes délices parmi les enfants des hommes.
" Et maintenant, mes fils, écoutez-moi ; heureux ceux qui gardent mes voies !
Ecoutez l'instruction pour devenir sages ; ne la rejetez pas.
Heureux l'homme qui m'écoute, qui veille chaque jour à mes portes, et qui en garde les montants !
Car celui qui me trouve a trouvé la vie, et il obtient la faveur du Seigneur. "
Évêque de Myre (Asie Mineure) au IVe siècle, Nicolas aurait ressuscité des enfants mis au saloir par un méchant aubergiste. Ce saint est encore aujourd’hui très populaire en Russie, en Pologne, dans les pays germaniques ainsi qu’en Lorraine, en Alsace, en Belgique et aux Pays-Bas. Patron des enfants, il est connu dans ces pays sous les noms de Saint Nicolas, Sankt Niklaus, Saint Niclaus ou encore Sinter Klaas.
En Belgique francophone, la Wallonie, en Flandre et dans le Nord de la France, il est aussi le patron des passeurs d’eau et des bateliers.
Le jour de sa fête, Saint Nicolas rencontre les enfants et distribue des bonbons aux plus sages… Les garçons reçoivent des cartes de Saint Nicolas (tout comme les filles ont pu recevoir des cartes de Sainte Catherine quelques jours plus tôt).
En Pologne, les enfants déposent la veille leurs chaussures à la porte de leur chambre. À leur lever, ils trouvent de petits cadeaux, surtout des bonbons et du chocolat. Ils reçoivent aussi un petit diable en fourrure de lapin, attaché à une fine branche dorée, symbole de punition. En Lorraine, dont il est le patron, ainsi qu’en Alsace, Saint Nicolas a coutume de parcourir les rues le jour de sa fête avec le père Fouettard. Le premier récompense les enfants sages, l’autre menace d’emporter dans sa hotte les enfants désobéissants. À Fribourg, en Suisse romande, la Saint Nicolas donne lieu à un grand défilé. Ces traditions ont pris aux États-Unis la forme du Père Noël (Santa Claus pour les Américains).