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"Non, rien" écrit une amie Facebook...
« C’est pour nous ouvrir la porte du ciel par son ascension qu’il est ressuscité dans son corps et monté aux cieux avec son corps » (Chromace d’Aquilée, Sermon 1, 95-101).
Célébrer l’Ascension ?
Égérie, qui nous a guidés à Jérusalem durant le Carême et les fêtes pascales, ne mentionne pas de célébration liturgique de l’Ascension le quarantième jour après Pâques, alors que chaque fois qu’une cérémonie a lieu à l’Imbomon, sur le mont des Oliviers, elle ne manque pas de rappeler que c’est le lieu d’où le Seigneur s’est élevé au ciel en présence de ses disciples. Pourquoi ce silence ?
En fait cette Quadregesima Ascensionis comme l’appelle plus tard Augustin, parallèle de la quadragésime du carême, commence à être célébrée à la fin du IVe siècle seulement ; jusque -là l’Ascension du Seigneur prend place dans la célébration de la Pentecôte ; c’est le cas à Jérusalem en 384.
En Orient, les premières attestations d’une fête de l’Ascension au quarantième jour sont celles de Grégoire de Nysse, à Constantinople, en 388, et de Jean Chrysostome, à Antioche, à la même époque.
Chromace, évêque d’Aquilée de 388 à 408, est le plus ancien témoin occidental, avec Filastre de Brescia (mort avant 397), de la célébration liturgique de l’Ascension le quarantième jour après Pâques, par un sermon qu’il prononça pour cette fête mais dont on ne peut préciser l’année ; leur contemporain Maxime de Turin reste fidèle à la célébration de l’Ascension lors de la Pentecôte. La célébration de l’Ascension séparée de la Pentecôte se généralisa ensuite assez vite.
Parce que c’est peut-être la première fois que cette célébration a lieu à Aquilée, Chromace l’exalte tout particulièrement commençant son sermon par le mot sollemnitas : « La solennité de ce jour porte en elle une grande grâce festive. C’est en effet en ce quarantième jour après sa résurrection, comme votre Dilection vient de l’entendre dans la présente lecture, que notre Seigneur et Sauveur, en présence de ses disciples, et sous leurs yeux, est monté au ciel avec son corps. » (Sermon 8, 1)
Le Christ est monté au ciel avec son corps charnel
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Présent vient de publier un hors-série de 24 pages consacré à l’écologie.
Réalisé sous la direction d’Anne Isabeth, il présente de nombreuses originalités. Il fait litière de cette image qui colle à la peau de ce thème, à savoir que
Ce Hors-Série est en vente en kiosques à compter du 3 mai et disponible en ligne
Ce sont seize religieuses carmélites (cloîtrées) condamnées à mort en juillet 1794 par le Tribunal révolutionnaire pour motif de « fanatisme et de sédition ». Arrêtées et condamnées pendant la Terreur, elles avaient, deux ans auparavant, fait le vœu de donner leur vie pour « apaiser la colère de Dieu et que cette divine paix que son cher Fils était venu apporter au monde fût rendue à l’Église et à l’État ». Leur mort paisible sur l’échafaud impressionne les foules. C’est en pleine période de séparation de l’Église et de l’État, alors que l’Etat saisit les biens de l’Église et expulse les congrégations religieuses de France qu’elles sont béatifiées par le pape Pie X. Par ailleurs, leur martyre va inspirer Francis Poulenc pour écrire son opéra : Dialogues des Carmélites.
D'autres 27 sont ICI
Nous, hommes et femmes responsables, refusons l’instrumentalisation indécente de la situation de Vincent Lambert. Nous refusons que chaque développement de cette affaire fasse l’objet d’une récupération politique et militante.
Depuis 2002, des unités spécialisées existent. Certaines ont proposé en vain une place à Vincent pour lui prodiguer les soins adaptés à son état et des petits gestes simples : l’asseoir dans un fauteuil, des séance de kiné, le promener dans un parc, lui faire ressentir la fraicheur du soir qui tombe.
Nous savons qu’il est insoutenable pour des parents de savoir que leur enfant va mourir, par privation d’eau et de nourriture, même si des médecins disent que c’est mieux comme ça.
C’est pourquoi, malgré la décision de la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme), quelle que soit l’évolution de la législation sur l’euthanasie et quelle que soient les distinctions subtiles que fera le législateur ou les juridictions entre les soins et les traitements, il demeure une réalité incontournable : Viviane Lambert aime son fils et propose même avec son mari et l’aide de certains de ses enfants de recueillir Vincent à la maison. Au nom de quoi le lui refuse-t-on ? Au nom de quel principe faudrait-il que Vincent meure lorsqu’il peut vivre sous le regard aimant de sa famille et avec les soins dont il a besoin ?
Avec Vincent, nous voulons soutenir les 1700 personnes en état de conscience altérée en France mais aussi toutes les personnes atteintes de handicap. En situation de grande vulnérabilité, Vincent est pour nous un intouchable.
Comme nous, rejoignez le Comité de soutien à Vincent Lambert.
Wikipedia nous dit ce qu'il faut savoir.
La grossophobie est un néologisme désignant l'ensemble des attitudes et des comportements hostiles qui stigmatisent et discriminent les personnes grosses, en surpoids ou obèses. Elle a pour origine des préjugés et des stéréotypes négatifs selon lesquels le fait d'être gros est une question de volonté personnelle et que les personnes grosses seraient ainsi les seules responsables de leur surpoids, en négligeant les autres facteurs à l'origine du surpoids.
(...)
La grossophobie peut être subie par un individu de manière simultanée à d'autres formes de discriminations : sexisme, racisme, âgisme, validisme…
Le 2 septembre 1793, la Convention ordonne de détruire partout les portraits et effigies des Rois de France. La cathédrale, dont la façade porte alors les statues de plusieurs monarques, est menacée. Le 15 octobre, la municipalité fait fermer plusieurs églises de la ville pour les transformer en magasins de fourrages. Le 27 brumaire de l’an II (17 novembre) le maire Monet annonce que l’édifice de l’église cathédrale servira à la célébration du culte national et porterait désormais le nom de « Temple de la Raison ».
Le récit officiel dit ceci : « Ce temple avait été pendant quinze siècles le théâtre de l’imposture. À la voix de la Philosophie, il fut purifié en trois jours de tous les ornements ridicules du fanatisme ».
Pour éviter la destruction de la flèche, l’édifice le plus haut du monde jusqu’en 1874, exigée par la stupidité égalitaire des révolutionnaires, la municipalité a l’idée de la couvrir d’un Bonnet phrygien. Les travaux commencent le 12 mai. Ce bonnet reste en place jusqu’au 17 avril 1802.
Devoir de mémoire.
''puis vint cette voix
environ l'heure de midi
au temps de l'été
dans le jardin de mon père''
A voir ICI
Dans la catégorie DésInfo / RéInfo ( "Fake News" disent-ils), "la journée du dépassement" ...
selon Wikipedia et les médias presque unanimes
selon Slate et Contrepoints
Les élections européennes auront lieu bientôt. Les Français semblent s’y désintéresser et beaucoup voient l’Europe de Bruxelles comme une grande machine bureaucratique qui ne leur apporte rien. Et pourtant il serait temps de remplacer ce « monstre » par une Europe qui laisserait plus de libertés aux nations et voter pour des députés qui rejettent cette religion « européiste » dont nous parle Régis Debray (*) dans le texte ci-dessous :
Cette construction idéale (d’une Europe sereinement unie) s’avère en fait fuyante, errante et sans corps. Une non-personne. (…)
Par bien des côtés, l’européisme est l’opium de nos élites, à la fois expression de leur détresse politique et protestation contre cette détresse. Je pastiche la formule marxienne, mais à côté du communisme et du nationalisme, le supplément d’âme du techno fait une religion séculière très faible, qui ne mobilise aucun affect, ne se souvient d’aucun passé et ne définit aucun avenir. «En nationalité, c’est tout comme en géologie, la chaleur est en bas», disait Michelet. Pour l’Union européenne, la chaleur est en haut et ne descend pas. C’est une locomotive sans wagons, constate justement Védrine. Le pékin s’en fout, et les élections européennes, c’est en réalité un sondage d’opinion grandeur nature, à usage domestique, et qui n’intéresse que les professionnels, politiciens et médias.(…)
Le petit nombre de fidèles (à l’européisme), et la mollesse des adhésions de plus en plus perplexes, me semble avoir plusieurs causes. Le monde a changé depuis le traité de Rome, en 1957. Il s’est globalisé dans sa dimension et renationalisé dans sa composition – ceci expliquant cela. Que la mondialisation techno-économique débouche sur une balkanisation culturelle et politique, avec une fragmentation croissante des ensembles organisés, c’est une évidence. (…) Ensuite, nous ne sommes plus à l’âge des blocs politico-militaires, et il n’en existe plus, à part l’Otan. Il y avait alors un ennemi, un rideau de fer, un créneau à tenir. Face à Staline, faire bloc se justifiait. Aujourd’hui l’Union européenne est un anachronisme: trop petite pour les défis mondiaux, économique, écologique et autres, et trop grande, à 27, pour une quelconque cohérence. C’est devenu un carcan, non un tremplin. (…)
L’Europe des fondateurs a commencé par être américaine, dans son inspiration et son financement plus ou moins secret, et elle est devenue à prépondérance allemande, après l’élargissement, qui a déplacé à l’est le centre de gravité. Il est normal qu’une Europe fondée sur la primauté de l’homo L'homo œconomicus soit dominée par la première économie du continent. L’homo œconomicus américain s’adosse à une croyance en Dieu, in God we trust. Et chez nous, il se veut autosuffisant. Comparez un billet de 10 dollars, qui articule une métaphysique sur une histoire concrète et une géographie précise, avec un billet de 10 euros, qui est un billet de Monopoly sans devise, sans visage et sans lieu, et vous comprendrez tout. Pas une silhouette sous ces arches en suspension entre ciel et terre, telles des apparitions fantomatiques. D’un côté, un peuple, donc une histoire. De l’autre, un agrégat, hors sol et hors histoire.(…)
Ce n’est pas l’Europe de Bruxelles qui a fait la paix, c’est la paix mondiale qui a fait cette Europe, quand la dissuasion nucléaire a gelé de part et d’autre les conflits dans chaque camp, chaque suzerain, États-Unis et URSS, n’ayant aucun intérêt à voir ses protégés se déchirer. Et ladite Europe a dû en appeler aux États-Unis pour ramener la paix dans l’ex-Yougoslavie, qu’elle a été incapable de restaurer par elle-même. Elle ne peut ni faire la guerre ni faire la paix. C’est dommage.(…)
C’est peut-être l’«anglobal» le grand et seul fédérateur. (…) Si vous allez à Bruxelles, vous verrez que c’est devenu une ville anglophone, alors que Genève est restée francophone. À force de vouloir accueillir toutes les identités, l’Europe n’a plus d’identité. (…)
L’opposition entre nationalistes et progressistes a été théorisée, il n’y a pas si longtemps, par Drieu la Rochelle, éminent progressiste qui demandait à «l’Europe nouvelle» de transcender les vieux nationalismes mortifères. C’est pourquoi, disait-il, lui ainsi que nombre d’intellectuels et d’académiciens de cette époque, pour se libérer des chauvinismes étriqués qui nous ont fait tant de mal, il fallait défendre tous ensemble la forteresse Europe contre les hordes bolcheviques, ce dont se sont chargés en 1944 les Waffen SS de la division Charlemagne, avec ses 7000 volontaires. On devrait rouvrir nos livres d’histoire, mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Il n’y a pas que l’économie dans la vie. (…).
(Il n’existe pas un peuple européen), même si on met la charrue avant les bœufs, en pensant qu’un Parlement peut engendrer un peuple. Un peuple, ce n’est pas seulement une communauté d’intérêts économiques mais une communauté imaginaire. Celle-ci suscite une affectio societatis, une solidarité affective, intime et instinctive. Un Calaisien est concerné par ce qui se passe à Marseille. Un Français n’est pas concerné par ce qui se passe en Pologne ou en Estonie. Il y a un cinéma américain mais il n’y a pas de cinéma européen, faute d’une langue commune et de vedettes qui parlent à tous les pays. «Les seuls acteurs que l’on a en commun en Europe sont américains», note Jean-Jacques Annaud. C’est un symptôme intéressant, quoiqu’un peu triste.
(dans Le Figaro des 30 & 31 mars 2019)
(*) : écrivain, ancien conseiller de François Mitterrand, qui vient de publier L’Europe fantôme (Collection « Tracts » Gallimard, 48 p, 2019)
... d'Ukraine.
Château de Versailles en 3D.... Magnifique !
Les étapes de la construction du château de Versailles...pour les amoureux de l'Histoire, et les curieux...
Férus d'histoire ou pas, cette visite virtuelle du Château de Versailles vous enchantera !
De la 3D qui se rapproche du réel, c'est bluffant.
De Louis XIII à la Révolution
Versailles après la Révolution
Des jardins aux châteaux de Trianon.
Je vous salue Joseph
Je vous salue Joseph, vous que la grâce divine a comblé. Le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux. Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’enfant divin de votre virginale épouse est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail jusqu’à nos derniers jours et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.
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