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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 19:12
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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 16:11
Le site de la marche pour la vie ne fonctionne plus (Add)

Hasard?

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Addendum d'un lecteur :

"Pour reprendre un des slogans de la Marche : INFORMATION CENSURÉE = BÉBÉ EN DANGER.
Quand le jour de la Marche Pour La Vie 2017, les sites internet d'En Marche Pour La Vie et de la Fondation Jérôme Lejeune sont inaccessibles ("Error establishing a database connection"/"Erreur lors de la connexion à la base de données"), et que celui de Les Survivants redirige sur ivg.gouv.fr, le site du gouvernement qui ment et cache la vérité sur l'avortement, où est la sacro-sainte liberté d'expression ?
Le gouvernement dissimule la vérité, ceci en est la preuve flagrante !
Pourquoi n'aide-t-il pas de manière concrète les femmes qui décident de garder leur enfant, plutôt que de les forcer à tuer leur enfant en éliminant la possibilité de le garder ?
En créant un délit d'entrave à l'avortement, on punit de telles associations, qui au contraires proposent une écoute, des solutions et de l'aide à ces femmes en difficulté."

Lahire

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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 14:12

Chard Davos

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22 janvier 2017 7 22 /01 /janvier /2017 23:55
Ils sont pleins de vin doux
La vigne et le vin dans la Bible et la tradition chrétienne
Après un regard technique et une analyse détaillée qui révèle l'abondance du vocabulaire utilisé dans la Bible sur la vigne et le vin, l'auteur nous conduit sur des pistes de réflexions très diverses.
II regarde d'abord la place de la vigne, de son fruit et de l'usage du vin dans la vie, profane et religieuse, du peuple d'Israël. De là il nous entraine sur la piste de réflexion biblique, dans l'Ancien et le Nouveau Testament, étudiant tour à tour tous les sens que peuvent prendre, dans les divers textes, la vigne et le vin, de la comparaison à la métaphore et de l'allégorie au sacrement.
La découverte se poursuit avec l'élaboration théologique que font sur ces deux thèmes les évangelistes Jean et Paul.
Il montre ensuite la richesse de la tradition chrétienne, en commençant par les
Pères de l'Eglise, orientaux et occidentaux. Mais l'auteur ne s'arrête pas là et nous
fait decouvrir enfin, par quelques exemples, comment vigne et vin ont été au coeur de la vie — et parfois des controverses — de l'Eglise au cours des siècles, jusqu'à certains aspects de la vie d'aujourd'hui.
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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 11:52

Blanche Streb, directrice des études d'Alliance VITA,

dans le cadre de l'Université de la Vie.

Prochaine soirée lundi 23 janvier

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 10:46
L'avortement (encore et toujours) discuté au sein de l'Assemblée nationale

PDans le Ier Bureau de l’Assemblée Nationale, Jacques Bompard a tenu la 2e journée parlementaire pour la vie, évoquée hier. Après un petit-déjeuner convivial, au cours duquel Christine Boutin (ancien Ministre et Président du Parti Chrétien Démocrate) est revenue sur les engagements en faveur de la vie qui ont rythmé toute sa carrière, les portes du Palais Bourbon se sont ouvertes pour accueillir les près de cinquante personnes que permettait d’abriter le bureau parlementaire.

Des dérives à l’égard de la vie générées par la loi sur la modernisation de notre système de santé (recherches sur l’embryon), aux atteintes menées à l’encontre des trisomiques et des personnes âgées (loi Claeys Leonetti), la Fondation Lejeune a ouvert la journée en rappelant que « La qualité d’une civilisation se mesure au respect qu’elle porte aux plus faibles de ses membres ».

Portant sur le thème de la loi sur le ‘’délit d’entrave à l’avortement’’, la première table-ronde, au cours de laquelle l’assemblée a pu saluer l’arrivée de Jean-Frédéric Poisson, s’adressait à ceux-là ; du mépris de l’enfant à celui de la mère, ce renforcement du « délit d’entrave à l’avortement » risque également de porter atteinte à l’intégrité de la femme, souligne amèrement Cécile Edel. « Aujourd’hui, ce sont ceux qui essaient de sauver la vie qui sont condamnés ! », constatera, amère, la Présidente de Choisir la Vie…L’expression alternative est muselée. Honnie par un gouvernement modelé par le prêt-à-penser, celui-là même qui s’échine, sur son site Internet, à ne désigner l’embryon que par le terme « d’œuf». Désormais encouragé, l’avortement promu à grands renforts de campagnes publicitaires et de censure de toute alternative à son recours constitue une atteinte à la dignité de l’enfant à naître. Un constat partagé par Guillaume Bernard : « la puissance publique publicise l’avortement », a ainsi asséné le maître de conférences HCR à l’Institut Catholiques d’Etudes Supérieures au cours de sa brillante intervention.

« La conquête de la vérité est difficile. Nous sommes trompés par des passions erronées » : introduisant l’après-midi, l’intervention du Père Louis Marie de Blignières (Fraternité Saint-Vincent-Ferrier) sur la clause de conscience constituait un plaidoyer pour la vie à l’aune de son acception théologique. Un discours plus tard renforcé par les argumentations juridiques du Président du Centre Européen pour le droit et la Justice Gregor PuppinckPhilippe Maxence reviendra ensuite sur la clause de conscience refusée aux pharmaciens, dont il soupçonne qu’elle ne fût soutenue que par les « conditionnements autobloquant régulant la vie sociale comme seules normes supérieures ».

Avant de clore la journée avec l’intervention piquante de Gabrielle Cluzel (Boulevard Voltaire), la table-ronde opposant l’Abbé Guillaume de Tanoüarn et Robert Ménard a suscité de vifs débats d’une saine contradiction. « Je ne suis pas contre l’avortement mais je m’indigne qu’il soit davantage remboursé que la contraception », a souligné le Maire de Béziers.

Des membres de la communauté ecclésiastiques, aux élus comme membres actifs de la société civile, cette seconde édition de la journée parlementaire pour la vie constitue, au sein de l’Assemblée Nationale, un rappel aux instances gouvernementales persuadées que la défense de la vie constitue un combat d’arrière-garde.

Un combat d’arrière-garde qui parvient pourtant à réunir des hommes politiques de différents partis.

Un combat d’arrière-garde qui, à l’inverse des innombrables colloques en faveur de la culture de mort, emplie des salles entières.

Un combat d’arrière-garde portée par ses défenseurs de longue date… mais aussi une nouvelle génération qui, massivement présente à ce rendez-vous, se retrouvera avec bonheur dans les rues de Paris pour la Marche pour la Vie dimanche prochain !

Vidéos sur Facebook.

Lu sur le salon beige.

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 09:32
C’est arrivé un 21 janvier…

"A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines." Léon XIII, Rerum Novarum

Alors rappelons-nous ...

 

« Quand on relit Saint-Just et le célèbre pamphlet du Marquis de Sade, on comprend à quel point le meurtre du Roi fut un acte consciemment sacrilège, la profanation volontaire du sacre de Reims, « la messe noire de l'histoire de France », dont nous n'avons pas fini de vivre les ultimes conséquences. C'est un acte symbolique et théâtral, selon le génie de ce peuple, qui domine l'histoire de France, et s'oppose au baptême de Clovis à Reims ou l'aventure triomphale et sacrificielle de Jeanne d'Arc. Ce n'est pas une société profane qui s'est scellée dans le sang de Louis XVI, c'est une contre-chrétienté : en immolant l'Oint du Seigneur, ce peuple en tant que peuple abdiquait la haute espérance du royaume de Dieu. »

R.-L. Bruckberger, dans Dieu et la politique

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 00:12

 

Les petits hommes naissent dans le ventre de leur mère, quelle que soit l'idée que la population tout autour peut bien s'en faire, et il est parfaitement inutile d'imaginer qu'il existe différentes opinions également valables sur ce point. Il n'y a qu'une opinion honnête, à savoir que nous sommes dès le début homme, singe ou animal et que nous restons au niveau où nous avons été créés.(…).

Ce que (nos modernes théoriciens) veulent réellement, c'est détruire ce sentiment profond qu'a chacun de nous pour la réalité du monde, pour la beauté du monde vivant. Et pour la merveille qu'est cette vie qui nous est simplement donnée, qu'aucun de nous n'a fabriquée et que chacun de nous a reçue. (…)

A cet étrange nouveau langage, (la réponse) est simple. Très très simple. (…) Quand on l'emploie, cela marche toujours .Elle n'est pas de moi, c'est dans l'Evangile "Que votre oui soit oui, que votre non soit non". "Est est, non non". L'homme qui vous dit qu'il est en train d'éliminer un conglomérat cellulaire est probablement animé de mauvaises intentions. Celui qui vous dit : "Je vois un homme très petit et je le respecte", est véridique et n'est pas dangereux.

Et la population ne s'y trompera pas; c'est là-dessus, et seulement là-dessus que nous pouvons parler, tenir et gagner.

Car la plus grande leçon de la biologie, c'est justement ce début de l'être humain dans une humilité étonnante, et cette façon de se forger à l'abri de sa mère, martelé par l'inlassable espérance du battement de l'artère-aorte, et excité par le battement rapide de son propre cœur. C'est la leçon même de l'inlassable espérance. Et ce même cœur qui a battu en vous au vingt-et-unième jour de votre existence, c'est à lui que vous devez demander votre ligne de conduite. Chaque jour, il nous faudra refaire cette impossible synthèse entre les vraies valeurs et la dure réalité. Chaque jour, il nous faudra lutter, il nous faudra convaincre, et ce sera difficile, incertain, impossible; seulement n'oubliez pas que l'an dernier déjà, c'était dur, c'était difficile, c'était incertain, c'était impossible.

Cette seule réflexion nous dicte notre seule conduite, elle se résume en une seule phrase : quoi qu'il arrive et quoi qu'il nous advienne, nous n'abandonnerons jamais.

 

Professeur Jérôme Lejeune, au Congrès de Lausanne de l’Office des œuvres de formation civique et d'action culturelle selon le droit naturel et chrétien, 1974

 

Merci à EVR.

 

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20 janvier 2017 5 20 /01 /janvier /2017 23:37

 

La Marche pour la Vie qui partira dimanche à Paris de la place Denfert-Rochereau à 13 h 30 constitue, à y bien réfléchir, une sorte de déclaration ou de manifestation de dissidence. C’est à dessein que j’emploie ce mot qui définissait l’attitude de refus des opposants au régime soviétique dans les années soixante-dix quatre-vingt. On m’objectera que ce rapprochement est incongru, voire scandaleux. Comment peut-on comparer un régime totalitaire avec un régime de liberté garanti par un État de droit ? J’assume pourtant le scandale, sans pour autant opérer une assimilation pure et simple entre deux systèmes d’évidence dissemblables. À propos de scandale, il y a d’ailleurs des précédents, notamment celui de Soljenitsyne interpellant l’Occident depuis Harvard en 1978, pour lui reprocher son manque de courage : « Notre tâche doit être l’accomplissement d’un dur et permanent devoir, de sorte que tout le chemin de notre vie devienne l’expérience d’une élévation avant tout spirituelle, pour que nous quittions cette vie en étant de meilleures personnes que lorsque nous y sommes entrés. »

Peut-être qu’un régime de liberté se caractérise aujourd’hui par la possibilité d’encaisser une mise en demeure aussi directe, aussi radicale ? Mais il faut constater en même temps que ce régime est en train de se fissurer, lorsque notre Parlement adopte une loi soviétoïde pour sanctionner ce qu’on appelle un délit d’entrave à l’IVG. Par ailleurs, une information du Canada est venue renforcer ma perplexité. Nous apprenons que Marie Wagner, une femme de 42 ans, qui totalise déjà quatre ans et demi de prison, vient d’y retourner pour avoir plaidé avec infiniment de délicatesse en faveur de l’enfant à naître auprès de femmes engagées dans un processus abortif. La justice canadienne s’est montrée implacable. Aucune contestation n’est possible, même au tribunal, pour marquer son opposition à la perspective de faire disparaître l’enfant, jusqu’à la veille de sa naissance. Oui, Marie Wagner est une dissidente, une dissidente héroïque. Je crains, à la façon dont se développe chez nous le fanatisme abortif et ses conséquences législatives que nous soyons condamnés à devenir des dissidents, par simple fidélité à notre conscience.

Gérard Leclerc, Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 19 janvier 2017

A écouter ICI.

 

Affichemarche22janvier2017

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18 janvier 2017 3 18 /01 /janvier /2017 18:17

 

(Re) découvrez quelques catégories

de Petrus Angel :

DesInfo RéInfo

Musique

Scène

en Kiosque

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Dans quel album trouve-t-on cette scène ? 

Que dit alors Tintin ?

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16 janvier 2017 1 16 /01 /janvier /2017 12:07

Formation à l’action politique et culturelle avec Ichtus

Ouverture du cycle mercredi 18 janvier

 

Étape 1 : Ouverture – mercredi 18 janvier 2017 - Inscriptions en ligne : Sommes-nous définitivement réduits à combattre sans espoir de vaincre ? Les fondements de l’action politique 

Étape 2 : Penser l’action pour qu’elle soit conforme à son but- Mercredi 22 février 2017
On ne saurait s’y prendre pour construire comme on s’y prend pour démolir.
L’action entre reconstruction et subversion

Étape 3 : Les hommes – Mercredi 15 mars 2017
Nous avons besoin d’hommes peu nombreux mais décidés.
Apprendre à gérer le plus décisif des capitaux

Étape 4 : Quels instruments employer pour une action efficace ? – Mercredi 19 avril 2017
Ayons le goût scrupuleux de l’instrument adapté et de la méthode exacte.
Passer de l’idée à sa réalisation

Étape 5 : Agir par la culture – Mercredi 17 mai 2017
La beauté semble aujourd’hui plus désirée que le vrai.
Entre bataille culturelle et action culturelle

Étape 6 : Comment être acteur de l’action de demain ? – Mercredi 14 juin 2017
Séance de présentation et analyse des projets des participants.

formation-action

Suivez d'autres INITIATIVES sur Petrus Angel !

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 20:31
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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 10:54

 

C'est de saison.

Pour débuter cette série Lire cet hiver, découvrez Bruegel. La ferveur des hivers, de Claude-Henri Rocquet, poète et écrivain (1933-2016).

Le livre est évoqué à travers des illustrations sur le blog A sauts et à gambades.

Les inscrits à la newsletter seront informés de la parution des prochains articles.

 

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 10:40
 

 

Saint Rémi
Archevêque de Reims, apôtre des Francs (438-533)

 

L'histoire de sainte Clotilde nous a appris comment Clovis se tourna vers le Dieu des chrétiens, à la bataille de Tolbiac, et remporta la victoire. Ce fut saint Rémi qui acheva d'instruire le prince. La nuit avant le baptême, saint Rémi alla chercher le roi, la reine et leur suite dans le palais, et les conduisit à l'église, où il leur fit un éloquent discours sur la vanité des faux dieux et les grands mystères de la religion chrétienne.

 

Le saint prédit à Clovis et à Clotilde les grandeurs futures des rois de France, s'ils restaient fidèles à Dieu et à l'Église.

 

Quand fut venu le moment du baptême, il dit au roi : « Courbe la tête, fier Sicambre ; adore ce que tu as brûlé, et brûle ce que tu as adoré. » Au moment de faire l'onction du Saint Chrême, le pontife, s'apercevant que l'huile manquait, leva les yeux au ciel et pria Dieu d'y pourvoir. Tout à coup, on aperçut une blanche colombe descendre d'en haut, portant une fiole pleine d'un baume miraculeux ; le saint prélat la prit, et fit l'onction sur le front du prince.

Cette fiole, appelée dans l'histoire la « sainte Ampoule », exista jusqu'en 1793, époque où elle fut brisée par les révolutionnaires.

 

Outre l'onction du baptême, saint Rémi avait conféré au roi Clovis l'onction royale. Deux sœurs du roi, trois mille seigneurs, une foule de soldats, de femmes et d'enfants furent baptisés le même jour.

 

Saint Rémi s'éteignit, âgé de quatre-vingt-seize ans.

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 09:52

Ce dimanche 15 janvier, l’Église catholique  célèbre la 103e journée mondiale du migrant et du réfugié. L’immigration est un sujet qui « interpelle » les chrétiens dont beaucoup ne comprennent pas le langage naïf de certains de leurs clercs qui ne parlent que d’accueil, de diversité, de richesse … sans vouloir regarder la réalité en face qui est bien souvent moins rose faite de violence, de non intégration, de haine. 

L’immigration sera au cœur de notre future élection présidentielle. Il est nécessaire d’avoir une vision claire du sujet. Olivier Drapé dans le texte ci-dessous nous y aide :

L'immigration doit être tolérée tant qu'elle ne remet pas en cause le bien commun du pays d'accueil; elle ne doit pas non plus mettre en péril l'identité fondamentale de la nation.

L'Eglise enseigne que tout homme a vis-à-vis de ses parents et de sa patrie (deux mots dont la racine est identique) un devoir de piété filiale que résume le IVe Commandement : "Tu honoreras ton père et ta mère" et que la patrie doit faire l'objet d'un véritable amour de prédilection, comme l'énonce Pie XII dans l'encyclique "Summi pontificatus" (20 octobre 1939) :

"Il existe un ordre établi par Dieu, selon lequel il faut porter un amour plus intense et faire du bien de préférence à ceux à qui l'on est uni par des liens spéciaux. Le Divin Maître lui-même donna l'exemple de cette préférence envers sa terre et sa patrie en pleurant sur l'imminente destruction de la Cité sainte. Mais le légitime et juste amour de chacun envers sa propre patrie ne doit pas faire fermer les yeux sur l'universalité de la charité chrétienne, qui enseigne à considérer aussi les autres et leur prospérité dans la lumière pacifiante de l'amour...".

Cet amour de prédilection ne va nullement à l'encontre de la fraternité universelle prônée par l'Eglise :

"L'Eglise, disait le Cardinal Feltin, archevêque de Parisa toujours proclamé que tous les hommes sont frères, quels que soient leur couleur, leur langage ou leur coutume. Elle rejette toutes les formes de racisme. L'Eglise corrige l'interprétation erronée que l'on donne parfois à cette fraternité universelle. Elle déclare en effet que chacun doit aimer particulièrement ceux qui sont nés sur le même sol que lui, qui parlent la même langue, ont hérité des mêmes richesses historiques, artistiques, culturelles, qui constituent dans l'humanité cette communauté spéciale que nous appelons notre Patrie, véritable mère, qui a contribué à former chacun de ses enfants. Elle a droit à un amour de préférence. C'est du reste en vivant dans un groupe défini que j'apprends à connaître et à aimer tous les hommes. Je ne m'élève à l'amour de l'humanité qu'à partir de l'amour du prochain le plus proche et la patrie est le lieu de rencontre privilégié où les communications entre les hommes sont suffisamment faciles, où les problèmes de vie sont assez connexes pour que chacun prenne conscience des problèmes de l'autre.

C'est aussi en servant cette communauté nationale à laquelle j'appartiens, au sein de laquelle j'ai été engendré, qui m'a enrichi de corps et d'esprit, que je sers l'humanité. Car on sert la famille humaine en servant d'abord la famille nationale. Ce service peut aller très loin jusqu'au sacrifice de ma vie personnelle, me commande l'Eglise" (20 avril 1956).

En revanche, cette piété et cet amour de préférence pour la patrie imposent à tous ses fils un impérieux devoir : celui de préserver ou de cultiver l'"héritage"; cet immense patrimoine matériel, moral et spirituel que chaque génération reçoit en dépôt, à charge pour elle de le transmettre, intact ou embelli, aux générations suivantes.

C'est en ce sens que Jean-Paul II s'érige en défenseur des droits de la nation et qu'il proclame : "S'il faut exiger un saint primat de la famille dans l'ensemble de l'œuvre de l'éducation de l'homme. il faut aussi situer dans la même ligne le droit de la nation ; il faut le placer lui aussi à la base de la culture et de l'éducation. La nation est en effet la grande communauté des hommes qui sont unis par des liens divers, mais surtout précisément par la culture. La nation existe "par" la culture et "pour" la culture et elle est donc la grande éducatrice des hommes (...). Protégez-la comme la prunelle de vos yeux pour l'avenir de la grande famille humaine. Protégez-là !" (Discours à l’Unesco2 juin 1980).(…)

 Menacée dans son identité nationale et chrétienne, c'est-à-dire dans son être même, par une immigration si massive qu'elle prend la forme d'une véritable invasion, affaiblie par l'effondrement de sa natalité, subvertie par les utopies du mondialisme (dont l'Europe de Maastricht est une illustration parmi d'autres) et du cosmopolitisme (le mythe de la société "pluri-ethnique" et "multiculturelle"), la France, trahie par ses clercs, ne devra sa renaissance et son salut qu'à la mobilisation des laïcs les plus dévoués au bien commun de la nation. (in revue Permanencesjuin 1993).

 

Merci à EVR. Les surlignés sont de EVR.

 

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14 janvier 2017 6 14 /01 /janvier /2017 10:19
Après "Lire cet automne", c'est parti pour "Lire cet hiver".
A partir de ce dimanche 15 janvier 2017, un livre sera présenté chaque dimanche...

Qu'on se le dise... Merci !

 

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Vous pouvez retrouver les livres de cet automne sur Lire

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13 janvier 2017 5 13 /01 /janvier /2017 16:58

 

Quelques catégories

du blog à (re)découvrir

(et à faire connaître ?)

 

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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 17:51

870879150.jpgLecture-spectacle, avec Violaine Brebion et Pierre Vieille-Cessay (violoncelle). Direction artistique : Gérard Rouzier

 

à PARIS (9e) : dimanche 22, 29 janvier et 5 février 2017 à 17 heures.


Espace Bernanos, 4 rue du Havre, métro Havre Caumartin. Entrée : 15 €, TR : 10 €.

Renseignements et réservations 

à la Compagnie du Sablier

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9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 10:07
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9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 08:08
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8 janvier 2017 7 08 /01 /janvier /2017 22:56
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8 janvier 2017 7 08 /01 /janvier /2017 21:32
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6 janvier 2017 5 06 /01 /janvier /2017 12:02

rois mages

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5 janvier 2017 4 05 /01 /janvier /2017 10:08
 
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3 janvier 2017 2 03 /01 /janvier /2017 18:24

Lucky Luke et Billy le Kid, version originale de 1962 vs réédition de 2017 sans fumeur, ni fessée, ni animal de cirque, ni bois de chauffage trop polluant.

Relayé par Pierre Ange...

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