Soirée *spéciale Thibon* puisque c’est, cette année, les 20 ans de sa mort !
Nous vous proposons donc le visionnage du film sur Thibon « Il était une fois » par Patrick Buisson, suivi de quelques mots au sujet de ce philosophe sous le nom duquel nous nous réunissons !
Pour terminer la soirée et comme d’habitude, nous nous retrouverons pour un moment franchouillard autour de bons produits du terroir ! (Pour ceux qui viennent sur place, pensez à prendre de la monnaie.)
Vous trouvez ça normal de priver des enfants de père délibérément ?
Vous trouvez ça normal d'utiliser le corps des femmes comme couveuse ?
Vous trouvez ça normal : les embryons génétiquement modifiés, chimères, gamètes artificiels...?
Alors, que faites-vous les 30 et 31 janvier ?
Nous vous invitons à vous joindre en masse aux manifestations qui se dérouleront le WE prochain. Quelle que soit votre région d’habitation, une manifestation aura lieu près de chez vous, le samedi 30 ou le dimanche 31 janvier !
Alors que nos dirigeants s’interrogent sur l’opportunité d’un troisième confinement, l’heure est-elle vraiment à la poursuite de l’examen du projet de loi « bioéthique » qui n’est ni bio ni éthique ? Comment justifier de l’urgence ou de la priorité accordée à ce projet de loi qui efface le rôle du père et ouvre la porte à la GPA ?
Malgré un contexte sanitaire qui met notre système de santé en tension et génère une vie démocratique fortement dégradée, le gouvernement veut avancer sur un projet de loi clivant, inutile et dangereux. Mais l’impossibilité d’organiser de grandes manifestations nationales n’empêchera pas de le dénoncer dans la rue, comme le 10 octobre dernier où plus de 60 manifestations avaient eu lieu partout en France, rassemblant des dizaines de milliers de personnes.
Toutes les informations pratiques se trouvent sur le site de Marchons Enfants !
Alors que le projet de loi bioéthique revient au Sénat en commission dès le 19 janvier, la Marche pour la Vie organisée ce dimanche revêt une importance toute particulière.
On pourrait s’interroger, année après année, sur la pertinence d’un tel événement. Initiée au début des années 1990 pour dénoncer une législation sur l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) toujours plus permissive, la Marche pour la Vie, qui rassemble en temps normal près de 50.000 personnes d’après les organisateurs et qui est maintenue malgré le contexte sanitaire ce dimanche 19 janvier à 15h au Trocadéro (Paris), se trouve cette année doublement d’actualité.
Il y a d’abord ce chiffre accablant. 232.000 IVG ont été pratiquées en France en 2019, souligne la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees). Il s’agit de son plus haut niveau en 30 ans.
Pour les livres, les films, les CD, les jeux, objets religieux, etc.etc.
Et si on privilégiait les "petites" librairies ? A condition qu'elles restent professionnelles bien sûr !
Vos suggestions sont les bienvenues en commentaires ci-dessous ... Elles pourront faire l'objet d'un prochain article ... Vous pouvez le dire à vos amis. Merci.
Prière et action ... De la part d'un abonné, une initiative.
" Devant la stupéfaction provoquée par les événements tragiques récents et compte tenu de la grave crise morale et spirituelle que traverse la France ( et de ses conséquences socio-économiques), nous vous invitons vivement à participer à la neuvaine pour la France qui se déroulera du 15 au 23 novembre 2020.
Nous demanderons l'intercession de notre patronne secondaire Sainte Jeanne d'Arc dont nous fêtons cette année le centenaire de sa canonisation.
Elle s'articulera autour deux points :
1) Récitation quotidienne d'une dizaine de chapelet
Aujourd'hui jeudi 5 novembre (ou en différé) , Diane-Elisabeth AVOT GARRIGOU-GRANDCHAMP nous invite à l'écouter à 10h30 sur le thème de la mythologie dans l'iconographie, tandis que Michel PETROSSIAN nous parlera de la peinture russe à 15h30.
Vous trouverez tous les renseignements pratiques ICI.
Samedi 10 octobre, des associations familiales et de défense de la vie appellent à manifester partout en France contre le projet de loi bioéthique qui doit être examiné au sénat dans les prochaines semaines. Nous serons nombreux à exprimer notre refus de la marchandisation de l’humain sous couvert de bioéthique !
Dans le texte ci-dessous, le philosophe et mathématicien, Olivier Rey, auteur de Leurre et malheur du transhumanisme (Desclée de Brouwer, 2019, 196p), s’interroge sur ce « progressisme » qui nous gouverne et ces lois de bioéthique qui semblent n’être que des chambres d’enregistrement du « progrès » technique :
Pour les «progressistes», des innovations sociétales (…) sont absolument nécessaire , parce que c'est à peu près tout ce qui reste pour faire croire que malgré les difficultés qui s'accumulent pour la plus grande partie de la population, les choses « avancent ».(…)
Dans un entretien accordé (le 3 mars 2018) à Valeurs actuelles, Jean-François Delfraissy, l'actuel président du CCNE (Comité consultatif national d’éthique), a fait cette confidence étonnante : « Je ne sais pas ce que sont le bien et le mal. » Le dictionnaire définissant l'éthique comme la science du bien et du mal, il apparait que Delfraissv n'est sans doute pas à sa place à la présidence d'un comité d'éthique. En réalité si, il est à sa place, si l'on prend conscience que la bioéthique n'a pas été inventée pour soumettre les biotechnologies à des principes éthiques mais pour faire en sorte que l'éthique ne vienne pas entraver le développement des biotechnologies. En clair : la bioéthique est là pour approuver ce que l'éthique tout court réprouve. (…) Comme l'a résumé Jacques Testart : « La fonction de l'éthique institutionnelle est d'habituer les gens aux développements technologiques pour les amener à désirer bientôt ce dont ils ont peur aujourd'hui. [...] Le Comité d'éthique est d'abord un comité de bienveillance de l'essor technoscientifique. Certaines technologies seraient très mal acceptées aujourd'hui, mais si, dans quinze ou vingt ans, elles sont bien acceptées, ce sera en partie grâce aux comités d'éthique, qui auront dit : "Il faut développer la recherche, il faut faire attention, il faut attendre un peu, il faut un moratoire..." Toutes sortes de propositions qui n'ont rien à voir avec un interdit et qui permettent de s'accoutumer à l'idée. » Autrement dit, l'état de l'opinion censé justifier l'évolution de la législation «bioéthique» est une opinion habilement travaillée, notamment par cet outil que sont les comités d'éthique qui doivent préparer le terrain, donner l'impression que tout est mûrement réfléchi et « strictement encadré ».(…)
Dans les années 1930, des eugénistes américains ont adressé une lettre à leur gouvernement pour l'alerter sur les efforts que déployaient les Allemands en matière d'eugénisme, et sur le danger que couraient les Etats-Unis à se laisser distancer dans ce domaine. Comme on voit, l'argument « ça se fait dans d'autres pays » peut servir à tout et n'importe quoi. Jean-François Delfraissy, dans l'entretien précédemment cité, remarquait : « En Chine, il y a une science qui avance, il y a des ruptures vis-à-vis des grands principes qui prévalent chez nous. » De là à penser que nous devrions nous-mêmes rompre avec ces principes, pour continuer à avoir « une science qui avance », il n'y a qu'un pas. Nous devrions aussi adopter le droit du travail chinois, pour avoir « une industrie qui avance », etc. (…) Par ailleurs, quoi de plus bête que la perpétuelle hantise du « retard français » ? Nous sommes très en retard sur ceci, nous sommes très en retard sur cela... Il y a une phrase de Sartre que j'aime bien : « Dans nos sociétés en mouvement, les retards donnent parfois de l'avance » (Les Mots).(…)
L'exploitation à outrance de la nature et sa sanctification sont les faces opposées d'une même médaille. Le point commun entre les deux attitudes, c'est une situation d'extériorité et de domination vis-à-vis de la nature : dans un cas pour l'asservir, dans l'autre pour la prendre sous sa protection. Cette situation d'extériorité empêche les protecteurs de la nature de reconnaître que nous sommes nous-mêmes porteurs d'une nature à respecter. Et leur hubris transformatrice, ne pouvant plus se tourner vers le monde, se retourne contre l'humain - comme si nous étions de la pâte à modeler, prête à épouser n'importe quelle forme. Qu'il appartienne aux hommes de se donner les lois qui régissent leurs cités n'implique pas qu'ils puissent se donner n'importe quelles lois, au mépris des données naturelles et des enseignements durement acquis de la tradition.
Ne pas être soumis à l'ordre des choses ne signifie pas en être indépendant, et la violence à l'égard de la nature en l'homme donnera des résultats aussi désastreux que la violence à l'égard de la nature extérieure. Il est regrettable que les plus farouches pourfendeurs du second type de violence puissent être aussi d'ardents promoteurs du premier. Sur le fond, nous ne devrions pas avoir à «protéger» la nature, nous devrions vivre en bonne intelligence avec elle.(…)
La fin des idéologies avait été décrétée, et (…) nous sommes plus que jamais dans le règne de l'idéologie et du parti dévot qui la porte. Il y a les bons, les progressistes, et les lépreux, à isoler derrière un cordon sanitaire. Les progressistes ont coutume de dénigrer ceux qui ne partagent pas leurs vues en les accusant de céder à la « peur », qui engendre cette horrible chose qu'est le « repli sur soi ». Mais premièrement, ce n'est pas pour rien que la peur fait partie des émotions de base : elle est loin d'être toujours mauvaise conseillère. Ensuite, il me semble que les progressistes d'aujourd'hui sont moins des parangons de courage que des gens si désemparés de voir leurs convictions se fracasser contre le réel qu'ils préfèrent se réfugier dans le déni, et criminaliser ceux qui ne partagent pas leur aveuglement.
Le Club des Amis de l’Art Lyrique et sa conférencière Julia Le Brun vous invitent à la découverte de grandes figures féminines du répertoire lyrique, à travers l’analyse de 11 œuvres issues de diverses périodes de l’histoire de l’opéra.
Héroïne, rédemptrice, victime sacrifiée, gracieuse soubrette, dangereuse séductrice… La diversité des personnalités féminines à l’opéra est absolument fascinante. Leur tempérament, le rôle qu’elles sont amenées à jouer dans l’action dramatique, tout cela est le reflet à la fois du cadre social dans lequel l’œuvre a vu le jour, mais aussi des préoccupations et idéaux personnels des compositeurs : les femmes de Mozart ne sont pas celles de Wagner ni de Massenet ou Puccini.
Ce cycle de conférences se propose donc d’explorer en détails la diversité et l’évolution des images de la femme véhiculées par l’opéra à travers les siècles et les pays, de l’époque baroque jusqu’au début du XXème siècle.
25 sept. 2020 - Alcina de Haendel : magicienne amoureuse… et dangereuse
2 oct. 2020 - La Flûte Enchantée : un appel de Mozart à la réhabilitation de la femme
13 nov. 2020 - Lucia di Lammermoor de Donizetti : le refuge dans la folie
Bousculés par un confinement qui a chamboulé notre rapport au temps, il est sans doute nécessaire de faire le point, au calme, au grand air et sous le regard de la Vierge Marie. Enseignements par le père Ludovic Frère, recteur du sanctuaire, auteur des livres « je n’ai pas le temps » et « l’éloge de la vertu de patience ».
SE FORMER EN LIGNE POUR “RETROUVER LE SENS DE L’ESSENTIEL”
Pendant cette période de déconfinement, Ichtus vous propose chaque jour, en accès libre, des textes, des audios et des vidéos ainsi que des liens utiles pour retrouver le sens de l’essentiel”.
Découvrez ces thèmes. Il y en a pour tous les goûts et tous les âges. De la formation culturelle à la formation plus doctrinale en passant par des exercices physiques, des prières, des livres pour les jeunes, de la musique, des musées, des livres d’arts …
À bord d’un majestueux voilier, l’écrivain voyageur Sylvain Tesson part en Méditerranée sur les traces d’Ulysse, héros de l’"Odyssée" d’Homère. Première étape : le jour où, par orgueil et démesure, Ulysse et ses troupes pillent et massacrent les Cicones. Puis il vogue en direction de Mykonos, temple des paradis artificiels.
Dans les vestiges d'Hissarlik, en Turquie, où se dressa peut-être jadis l'antique cité de Troie, Sylvain Tesson cherche les traces de la longue guerre que le héros de l’"Odyssée" laisse derrière lui pour regagner Ithaque. Perché au sommet du mât principal de son voilier, l'auteur d'"Un été avec Homère" rappelle la première étape du périple d'Ulysse : le jour où, par orgueil et démesure, le héros et ses troupes pillent et massacrent les Cicones.