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12 juin 2019 3 12 /06 /juin /2019 17:02

Pause musicale

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12 mai 2019 7 12 /05 /mai /2019 12:55

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23 février 2019 6 23 /02 /février /2019 12:23

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22 janvier 2019 2 22 /01 /janvier /2019 09:00
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10 janvier 2019 4 10 /01 /janvier /2019 19:22

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3 janvier 2019 4 03 /01 /janvier /2019 08:35

 

Il était peintre, graveur, écrivain et compositeur. Michel Ciry est tombé amoureux de la Normandie. Dans les années 60, l'artiste s'installe à Varengeville-sur-Mer en Seine-Maritime. C'est dans son domicile normand que l'artiste s'est éteint ce mercredi 26 décembre à l'âge de 99 ans.

 

Il allait avoir 100 ans. Michel Ciry s'est éteint mercredi 26 décembre dans l'après-midi à La Bergerie, la demeure normande de Varengeville-sur-Mer dans laquelle il s'était installé en 1964.
Une vie de près d'un siècle entièrement dévouée à ses inspirations artistiques. Michel Ciry était un touche-à-tout.

Dès le plus jeune âge, il se tourne vers l'art sous toutes ses formes. Élève à l'école des arts appliqués à Paris de 1934 à 1937, Michel Ciry grave son premier cuivre en 1935 et débute à l'exposition « Artistes de ce Temps » au Petit Palais en 1938.

Grand mélomane, élève de Nadia Boulanger, il s’est consacré à la composition musicale, notamment religieuse parallèlement à la création picturale.
A partir de 1958, le dessin, la gravure, la peinture prennent une place prépondérante dans sa vie.
Ses œuvres sont qualifiées de sombres, mais sobres. Michel Ciry, aujourd'hui internationalement reconnu était un maître des couleurs inspiré par l'univers religieux, les paysages, les natures mortes, les femmes et les hommes. Ses personnages qu'il a peint sont souvent solitaires. 

 
 
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17 décembre 2018 1 17 /12 /décembre /2018 22:35

A voir !

Le chant de Noël "Douce nuit" a deux cents ans, mais c'est seulement il y a un siècle qu'il est devenu réellement populaire lorsqu'il parvint, en 1914, à interrompre la guerre des tranchées lors d'une trêve de Noël entrée dans l’histoire.

Poème du prêtre Joseph Mohr mis en musique en 1818 par Franz Xaver Gruber, le chant de Noël "Douce nuit" affiche fièrement ses deux cents ans, mais c'est seulement il y a un siècle, à la faveur d'un épisode célèbre de la Première Guerre mondiale, qu'il est devenu réellement populaire. Aujourd'hui traduit dans plus de trois cents idiomes du monde entier, cet hymne a en effet inauguré, le 24 décembre 1914, une incroyable nuit de trêve dans les tranchées, observée spontanément par les troupes allemandes, françaises et britanniques. De Salzbourg à New York en passant par Londres et Berlin, le documentaire part sur les traces d'une chanson entrée en 2011 au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco.

 
https://www.arte.tv/fr/videos/079462-000-A/douce-nuit/
52 min
Disponible du 16/12/2018 au 22/12/2018
Disponible en direct : oui
Prochaine diffusion le lundi 24 décembre à 06:15
Version française
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7 décembre 2018 5 07 /12 /décembre /2018 21:48
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7 décembre 2018 5 07 /12 /décembre /2018 21:31

Pour avoir des nouvelles des gilets jaunes

dans les prochains jours,

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13 octobre 2018 6 13 /10 /octobre /2018 19:18
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13 juillet 2018 5 13 /07 /juillet /2018 09:39
Défaite de la musique à l'Elysée

Techno à l’Elysée, Hellfest… Quelle identité musicale ?

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Par Thierry Bouzard, journaliste, collaborateur du quotidien Présent et historien de la musique et de la chanson ♦ La musique rend compte de l’état des liens unissant les communautés. Elle est aussi devenue un outil de conditionnement d’autant plus pernicieux que ceux qui le subissent n’ont généralement pas conscience de ses modes d’action ni de sa puissance. Que Pigasse rachète le festival Rock en Seine en 2017 ne relève pas du mécénat ni de la philantropie : « C’est aussi un projet politique : nous utilisons l’éducation et la culture pour changer le monde ».

On croit généralement que la musique relève de choix personnels sans considérer que l’on ne fait que choisir dans l’offre qui est présentée, suggérée, et surtout imposée. La démarche relève du plaisir et ne semble pas porter à conséquence : ses implications politiques entrent rarement en ligne de compte. Traduisant cette attitude, les politiques défenseurs de l’identité nationale n’interviennent pas dans ce qu’ils considèrent relever exclusivement de choix privés. Inutile de créer des clivages dans un domaine où l’offre morcèle les communautés sans fournir de réponse simple. Le terrain culturel musical a donc été littéralement abandonné par les nationaux au profit de l’Etat et d’intérêts financiers. Si le réflexe identitaire fonctionne encore un peu dans l’alimentation et le vêtement, il a totalement déserté le terrain musical. La musique commerciale a envahi l’espace public et privé. Pas de lieu public, transport, zone commerciale sans musique mondialisée : les troupes d’occupation culturelle règnent sans partage. Les plus ardents militants pour la défense de l’identité française et européenne ont adopté ces musiques sans y déceler la moindre contradiction avec leur engagement. Dans le domaine musical, on consomme joyeusement sans aucun discernement. La jouissance d’abord !

13 JUILLET 2018 | POLÉMIA

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22 juin 2018 5 22 /06 /juin /2018 15:13

 “Fils d’immigré, noir et pédé” : la Fête de la musique surréaliste de l’Elysée

"Français de souche, blanc et hétérosexuel": peut-on seulement imaginer un chanteur disant ça ?...

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22 juin 2018 5 22 /06 /juin /2018 13:59

 


J’ai passé une vingtaine d’années de mon existence à écouter des musiques extrêmes. Cela a commencé avec du métal plutôt soft pour ensuite dériver vers d’autres sonorités plus rapides, plus ténébreuses et plus haineuses. Trash, Death, Black Metal tout y est passé et même plus puisque j’ai encore vagabondé du côté des musiques industrielles, noise etc. Bref, je crois pouvoir dire que j’ai à peu près fait la totale. Ce d’autant plus que j’ai pas mal bourlingué de soirées  en concerts en passant par des festivals. Bref, j’ai bien donné en la matière.

 
En toute franchise je n’ai jamais rien vu de mal à ce que je faisais. Il me semblait que je me défoulais simplement sur de la bonne musique. Ni plus ni moins. Avec une bonne grosse dose d’alcool, la fête était encore plus folle. On délirait bien, on riait bien. Et tant pis pour ceux qui se la jouaient trop sérieux. Après tout, j’avais ma propre personnalité et ce n’était certainement pas des musiciens qui allaient me dicter ce que je devais penser ou faire. C’est tout du moins ce que je croyais alors. J’en étais même certain.
 
Avec un peu de recul, je me rends compte que je me suis fait un tout petit peu avoir. Tenir à mon originalité propre ne m’a quand même pas empêché d’acheter toute la panoplie du parfait petit soldat métalleux. Les bottes, le cuir, les clous et tout et tout. Comme tout le monde dans cet univers quoi. Question originalité, on repassera…Et tout cela sans parler des goûts artistiques qui eux non plus n’ont plus grand-chose d’exotique dès lors qu’on les compare à ceux des autres membres de la tribu.
Pis même au niveau des idées, il m’a quand même fallu les laisser dériver un peu vers certaines formes d’extrémisme. Juste ce qu’il faut pour garder bonne conscience tout en allant suffisamment loin pour entrer dans la peau du personnage. Etonnamment, quand la musique s’est tue, la raison est revenue. Suffisamment pour ne pas sombrer dans le politiquement correct non plus. On peut bien mettre ça sur le dos de la crise d’adolescence, il n’empêche qu’elle a quand même sacrément bien coincider avec la fréquentation de cet univers. Coincïdence, vous avez dit ?
 
Mais au fond, ce sont là des faits qui ne me sont pas vraiment venus à l’esprit à cette époque. Je savais très bien qui j’étais et ce que je faisais. Bien entendu, si j’explosais de rage régulièrement c’était uniquement à cause des autres. A cause de ceux qui me jugeaient sans connaitre, de tous ceux qui se comportaient mal. Moi j’avais juste un caractère bien trempé c’est tout. Rien à voir avec une personne colérique ou autre. Ni d’ailleurs avec la musique puisqu’elle, elle me défoulait ! Cela dit, avec le recul, une fois sorti de là et après un certain cheminement dans une autre direction, je vois les choses un petit peu différemment.
 
N’ayant aucune conscience de tout cela, je n’avais aucune chance d’en sortir par moi-même. On ne quitte pas un état dont on ne voit que les côtés positifs. Par chance, On m’y a aidé. C’est en tout cas mon avis, même si je sais parfaitement que nombreux seront ceux à me considérer avec scepticisme.
 
Rentrant d’un festival, je me suis retrouvé seul et pris d’épouvantables crises d’angoisse dans un train bondé pour un trajet de plus d’une dizaine d’heures. Je vous assure que la situation est plutôt inconfortable puisqu’il n’est pas vraiment possible de hurler ni même de faire quoi que ce soit pour se soulager. La seule chose qu’il me restait était la prière. Et celle de certains de mes proches contactés en désespoir de cause. Sur le coup, ça a mis du temps à se calmer, beaucoup de temps, mais j’ai quand même réussi à finir ce foutu voyage dans un état presque acceptable.
 
Après ça, il m’a fallu réfléchir un peu sur ma vie. Car ces crises revenaient régulièrement. Plusieurs fois par jour au début. C’était horrible. Ceci dit, cela m’a permis de comprendre que quelque chose ne tournait pas rond avec la musique et qu’il allait falloir m’en séparer. Ce que je n’ai fait que la mort dans l’âme si j’ose dire.
 
Avec le temps les crises se sont espacées. On m’a également persuadé d’essayer de revenir un peu dans la foi (j’avais été élevé catholique plus jeune) et j’ai même recommencer à aller à la messe. Là aussi, c’était assez étonnant puisque les premiers temps j’ai ressenti systématiquement des crises au début de la messe, durant les 5 premières minutes. Celles où on demande pardon. C’était toujours extrêmement fort, j’étais à chaque fois à deux doigts de quitter l’église en hurlant. Mais j’ai quand même réussi à tenir bon. Et avec le temps tout cela a disparu.
 
Oh ça a mis du temps. Beaucoup de temps. Un temps durant lequel j’ai ressenti en moi des choses très étranges. Je me souviens avoir eu, durant plusieurs jours consécutifs, l’impression de sentir dans ma poitrine du poison s’écouler. C’était bizarre. Très bizarre. Et pas agréable. Mais ça s’est purifié. Mes crises d’angoisse étaient de plus en plus rares. Mais j’en avais des remontées en fréquentant des personnes provenant de ces milieux. Fort heureusement, elles ont disparu et je suis maintenant en paix.
 
Je ne peux pas voir autre chose dans ce parcours que l’intervention de Dieu. Un Dieu aimant qui est venu me chercher dans ma misère et qui m’a fait comprendre qu’il fallait que j’arrête mon cirque. J’avais alors parfois besoin d’un bon coup de pied au c… pour avancer. Et Il le savait.
Depuis, ma situation n’a cessé de s’améliorer. Avec des hauts et des bas comme tout le monde, mais dans l’ensemble je suis nettement plus heureux. Je vois les choses d’une manière beaucoup plus positive, mes colères ont disparu et je ne suis plus enchaîné à l’appartenance de ce milieu. Je suis réellement libre et Dieu m’a même offert de fonder une merveilleuse famille.
 
Alors certes, je sais parfaitement que ce n’est là que mon vécu, que ces manifestations me sont propres et ne se retrouvent pas forcement chez autrui. Tout comme la chance de vivre pareille aventure/transformation d’ailleurs. Mais ce dont je suis sûr, c’est que la musique n’est pas innocente. Si vous pensez que ce que vous écoutez en boucle ne vous impacte pas d’une manière ou d’une autre, eh bien vous avez tort. Il faudra vraisemblablement du temps pour vous en rendre compte, pour percevoir ce qui a changé en vous. Pour autant bien sûr que cette chance vous soit donnée. Et je vous le souhaite sincèrement. D’une manière plus tranquille certes, mais effectivement.
 
Pour finir, j’aimerai encore simplement vous inviter à tourner les yeux vers le haut. A regarder vers votre Créateur. Vous n’y croyez peut-être pas, c’est votre choix, mais laissez-Lui au moins l’occasion de vous prouver Son existence. Ouvrez-lui votre cœur et appelez-Le à agir en vous. Honnêtement et en toute simplicité. Soit vous serez conforté dans votre conviction de néant, soit vous découvrirez Quelqu’un qui vous aime et qui ne veut que votre bonheur. Dans tous les cas, vous êtes gagnant…

SM.

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22 juin 2018 5 22 /06 /juin /2018 13:29

Le genre de créature à se damner que l'on peut croiser au Hellfest.

 © Franck Dubray / Photo PQR Ouest-France / MaxPPP

 

>>> Vu sur Petrus Angel

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22 avril 2018 7 22 /04 /avril /2018 16:45

Ol'Man River par Paul Robeson , qui aurait 120 ans...

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3 avril 2018 2 03 /04 /avril /2018 17:01

 

Quand tu manques d’élan, écoute Strauss, le père et le fils.
Quand tu manques de flamme, écoute Brahms ou Dvorak.
Quand tu manques de cœur, écoute Schubert ou Debussy.
Quand tu manques de tendresse, écoute Chopin.
Quand tu manques de lyrisme, écoute Tchaïkovsky.
Quand tu manques de joie, écoute Offenbach ou Satie.
Quand tu manques de densité, écoute Wagner.
Et quand tu manques d’amour et de bon sens, écoute Edith Piaf.

Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine, in Au diable la tiédeur

Lu sur InfoCatho

 

 

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31 mars 2018 6 31 /03 /mars /2018 09:56
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17 mars 2018 6 17 /03 /mars /2018 16:46
 
Missa Luba - 10 Kenyan Folk Melodies by Muungano National Choir Kenya on Apple Music
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4 février 2018 7 04 /02 /février /2018 11:48
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15 janvier 2018 1 15 /01 /janvier /2018 10:15
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30 décembre 2017 6 30 /12 /décembre /2017 09:25

J. Strauss : Polka champagne, La Chauve-Souris ouverture
Moussorgski : Gopak
Tchaïkovski : Pas de deux, Trepak, extraits de Casse-Noisette
Ponchielli : La Danse
Grieg : Dans l’antre du roi de la montagne extrait de Peer Gynt
« Joululaulu » (Kuula, arrangement Gustafsson), « O Magnum mysterium » (Lauridsen), chants de Noël finnois
Rimski-Korsakov : La Marche des nobles
Bizet : La Marche des Rois
Fauré : Pie Jesu
« We wish you a Merry Christmas » cantique anglais de Noël
Holst : Christmas day
Anderson : Sleigh ride
Haendel : Hallelujah, extrait du Messie

 

En partenariat avec Chrétiens d’Orient

Grand Concert de Noël de Radio Classique au Théâtre des Champs-Elysées

 

 

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24 décembre 2017 7 24 /12 /décembre /2017 17:30
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24 décembre 2017 7 24 /12 /décembre /2017 15:52
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24 décembre 2017 7 24 /12 /décembre /2017 14:48

 

Où diable est passé le forgeron ? C'est pourtant la plus belle nuit de Noël. L'air est si pur que les étoiles scintillent sur le velours du ciel. Sous l'éclat de la lune, la neige étincelle. Par les rues du village, filles et garçons en bandes joyeuses et dissipées s'apprêtent à glorifier le Christ. Mais où diable est passé le forgeron ? Car il y a bien du diable là-dessous... 

D'abord, c'est la lune qui disparaît, plongeant le village dans des ténèbres à vous crever les yeux. Puis une tempête de neige à geler touts les enfers s'abat sur la campagne. La belle Oksana elle-même réclame les souliers de la Tsarine ! Et le forgeron dans tout ça ? Peste soit de Satan ! Car c'est la plus belle nuit de Noël mais c'est aussi la plus folle... 

Et si le forgeron était tombé aux mains du diable ? Ou pire encore, si le diable en personne était tombé entre les siennes ?... 

 

D'après Une nouvelle de Gogol . Le texte est ICI.

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2 décembre 2017 6 02 /12 /décembre /2017 15:36

En même temps ... Petrus Angel était à l'opéra et au cinéma

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