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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 11:54

 

6 objections / 6 réponses

>> ICI

Une trop grande souffrance inutile porte atteinte à la dignité humaine. L’euthanasie est le seul moyen d’y faire obstacle.
L’euthanasie doit être légalisée parce que la majorité des Français le souhaitent.
Si un mourant demande à être euthanasié, de quel droit le lui refuserait-on ? On ne peut pas aller contre sa liberté.
Bien souvent, les familles soucieuses du bien du malade réclament pour l’être aimé une mort digne...
L’acharnement thérapeutique, qui transforme un mourant en cobaye de laboratoire, est attentatoire à la dignité humaine. L’euthanasie lui est bien préférable.
Comment un malade incurable pourrait-il attendre la mort sans angoisse puisqu’il devient vite indésirable aux yeux de l’hôpital, voire de ses proches ?
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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 11:40

 

Intervention en vidéo du docteur Xavier Mirabel sur le site aufeminin.com, qui évoque la question de la dignité au moment de notre fin de vie. Perte ou non ? Droit au suicide ? Quelle valeur donne t-on à la Vie ?

docteur Xavier Mirabel sur aufeminin.com

Je signe !


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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 18:59

 

Radio Vatican relaie le soutien de Benoit XVI à la Marche pour la Vie

Lu sur le site de Radio Vatican :

Radio vatican logo 
"Benoît XVI a fait parvenir un message au collectif d’associations qui organise ce dimanche sa septième marche pour la vie à Paris. Dans son message, le Pape encourage toutes les personnes engagées dans le combat pour la vie à contribuer avec constance et courage à instaurer une nouvelle culture de la vie, fruit de la culture de la vérité et de l’amour. Pour aimer et honorer la vie de tout homme et de toute femme, de sa conception à sa fin naturelle, Benoît XVI exhorte les participants à favoriser pour tous une existence digne et fraternelle. La manifestation partira à 14h30 de la place de la République pour rejoindre la place de l'Opéra. Les organisateurs espèrent réunir entre 15.000 et 20.000 participants.(...) Le mot d'ordre de la manifestation est "la protection de toute vie humaine dès la conception", dans une démarche unitaire et apolitique, notamment à la veille de la révision des lois de bioéthique. Les organisateurs veulent aussi promouvoir une politique au service de la vie de la famille visant à une fournir des aides adéquates et des structures d’accueil aux futures mères en difficulté.

A noter que des veillées de prière contre l’avortement et en faveur de la vie seront également organisées aux Etats-Unis ce dimanche.Quelque 10.000 personnes et en particulier des jeunes sont attendus en la basilique de l’Immaculée conception à Washington"

En marche pour la vie 2

Philippe Carhon
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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 01:48

 

Invitée du FC, Cécile Edel répond aux lecteurs. Extraits :

E"A quoi ça rime ? Bonne question.. j’ai envie de citer cette phrase qui me vient à l’esprit au moment où je lis votre question : « Si un jour on ne comprend plus pourquoi des gens peuvent se battre pour une cause qui les dépasse alors il en est fini de la société tout entière »..Je trouve cette citation particulièrement juste. 
Le constat même qu’un enfant sur 5 soit éliminé en France par avortement, justifie à lui seul notre mobilisation. Dans notre pays, il me semble que certains manifestent pour moins que cela ! Lorsque l’on porte en soi, la cause du Respect de la Vie, on ne peut tolérer que soit ainsi éliminés chaque année en toute impunité autant d’enfants et notre devoir est de ne pas nous taire. Si nous nous taisons, nous devenons en quelque sorte complices par notre silence. 1 enfant sur cinq…comment ne pas être révolté ? Doit on vraiment nous justifier de vouloir proclamer notre révolte ?

- Marcher pour la Vie, cela signifie que nous ne nous satisfaisons pas de l’état d’injustice actuel dans lequel notre pays se trouve et plus encore nous nous y opposons. La marche ne constitue pas un objectif en soi mais un moyen pour parvenir à un réveil des consciences, pour réussir à lever le tabou que constitue la question de l’avortement. Non, avorter n’est pas banal et a des conséquences dramatiques que nous entendons dénoncer. 
- Marcher pour la Vie c’est proclamer que jamais l’avortement n’a été une solution, c’est promouvoir l’accueil de la Vie et croire que chaque être humain est unique et digne de respect. C’est aussi proclamer et témoigner que si on choisit le parti de la Vie on n’est jamais déçu. 

[...] Nous connaissons des personnes qui ne savaient pas comment s’investir, quoi faire pour œuvrer pour la cause et puis, en allant à la marche, ces personnes en ont rencontré d’autres et ensemble, elles ont crée un projet d’écoute et d’accueil des femmes enceintes en difficultés, une association…Depuis 2005, vous constaterez également que les évêques se mobilisent davantage sur ces questions là…Je ne dis pas que c’est forcément grâce à la Marche mais cette dernière a contribué à une levée du tabou..elle a en quelque sorte décomplexé !"

Michel Janva

Marche pour la Vie : dossier de presse

Le dossier de presse est en ligne ici. On y trouve quantité d'informations intéressantes : composition du collectif, raisons de la mobilisation, les objectifs de la marche, les horaires précis, l'itinéraire, les contacts pour les média, une foire aux questions, les principaux soutiens et le comité de soutien. 

En marche pour la vie 2

Philippe Carhon 

vu sur lesalonbeige

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 09:52

 

Si vous pensez que la vie mérite d'être vécue,

 si vous pensez que la vie mérite d'être connue,

si vous pensez que la vie mérite d'être défendue, 

ou tout simplement si vous vous posez des questions sur la bioéthique, l'euthanasie et tous les sujets de la Vie, alors n'hésitez pas à participer à la formation en bioéthique que propose tous les ans l'Alliance pour les Droits de la Vie:
4 soirées pour se mettre à jour de l'actualité bioéthique, en comprendre les enjeux, réflechir à travers des exposés, des témoignages, des jeux de roles, des lectures...
Bref, ces soirées sont passionnantes et sans cesse à la pointe de l'actualité, ceux qui les ont suivies les années précedentes vous le confirmeront...
D'autant plus qu'avec la loi de bioéthique qui doit etre votée en début d'année et la prosition de loi sur l'euthanasie*  débattue le 26 janvier, cette formation tombe à pic!
  
Cycle de 4 soirées de formation bioéthique TOUT PUBLIC
Université de la Vie - Paris
 
Les lundis 17, 24, 31 janvier et 7 février 2011 à 20h30 précises   
 
Intervenants : Docteur Xavier Mirabel, Tugdual Derville, Caroline Roux
 
Les 3 sources de la formation « Université de la Vie  », initiée par l’Alliance
pour les Droits de la Vie  :
-    Des témoignages des services d’écoute
-    Des rapports et études officielles
-    L’Encyclique l’Evangile de la vie de Jean-Paul II
 
 Information et inscription obligatoiresur www.universitedelavie.fr
Renseignements : contact@universitedelavie.fr ou tél 01 45 23 08 29
 
* n'oubliez pas de signer l'appel www.fautpaspousser.com ; nous aimerions atteindre les 60.000 signatures pour avoir encore plus d'impact, or nous en sommes à 38.000. Soyez certains que chaque signature a une vrai importance pour ce type de débat. 
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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 09:49

 

L’affaire du professeur de Manosque mis à pied pour avoir utilisé une vidéo montrant des avortements, dans un débat sur des sujets de société qu’il doit organiser dans le cadre des programmes officiels, pose en réalité une question essentielle. Suffit-il, aujourd’hui, de débattre de cette question avec des mots ? A quoi s’ajoutent des questions d’opportunité – avec qui, dans quelles circonstances – qui doivent pouvoir se poser dans un climat serein. Pour le professeur de Manosque, il n’y a rien eu de tout cela. Une opposition frontale de la hiérarchie : celle-ci lui a signifié qu’il n’est pas autorisé de débattre à propos d’une loi existante (avec de tels raisonnements, remarquez, la loi Veil n’aurait jamais vu le jour !). Ce qu’on lui a reproché, au fond, ce n’est pas tant la violence des images qu’il a proposées à ses classes de seconde, mais le fait qu’il ait remis en cause le discours officiel sur la « santé reproductive », y compris en attirant l’attention sur les dangers de la pilule contraceptive et son caractère potentiellement abortif, et sur le caractère systématiquement abortif du stérilet. Il a brisé un tabou.


Est-il possible aujourd’hui d’ouvrir un débat avec des jeunes qui ont subi le discours monolithique en faveur de l’avortement, présenté comme un « droit » de la femme, en ayant seulement recours à la parole et aux textes écrits ? A l’argumentation raisonnable ? L’expérience du professeur de Manosque – qui organise tout de même ces débats depuis 15 ans, et d’autant plus que ses élèves les lui réclament ! – est que la parole ne suffit pas. Elle ne change même rien, puisque nous vivons dans une « culture » de l’image et que les élèves en sont au fil des ans de plus en plus imprégnés.

Organiser un débat suppose d’en présenter les différents aspects. Le pour et le contre. Dans le cadre scolaire, il est entendu que les élèves de seconde sont censés eux-mêmes apporter les différents éléments pour que la discussion s’engage. L’ennui, c’est que le discours monolithique imposé aux jeunes sur la question de l’avortement (mais ce n’est pas la seule qui soit ainsi « verrouillée »), soutenu dans le cas du lycée Les Iscles par des interventions régulières du Planning familial dans les classes, faisait que les élèves n’apportaient pour ainsi dire jamais d’éléments pour contredire le postulat : « L’avortement est un droit de la femme. »

Mais le plus effarant, c’est que même mis en présence de textes écrits de réflexion ou de description des procédures de mise à mort des tout-petits, même confrontés à une parole autre que celle qui leur est habituellement servie, les jeunes lycéens ne semblent pas en saisir le sens. La discussion ne s’engageait véritablement que si des images d’avortement étaient montrées en début de séance. Comme si un verrou sautait.

C’est la preuve, s’il en fallait, du degré de « décervelage » opéré chez tant de jeunes par des pédagogies qui, dès les plus petites classes et toutes matières confondues, les habituent à travailler en mode visuel, parole coupée, ou alors par repérage et comparaison à travers des tâches qui n’exigent pas d’analyse. C’est la mécanisation des intelligences dénoncée par Elisabeth Nuyts, celle qui aboutit, lorsqu’elle est pleinement « réussie », à faire réagir les jeunes à des mots-clefs en rendant insignifiant tout ce qui ne va pas dans le sens de ce qui leur a été imposé. Les mots glissent, ou activent des réflexes pavloviens. Avortement ? Droit ! Pro-vie ? Extrémiste !

Pour briser ce carcan, cette pensée unique totalitaire, pour permettre – comme ils disent – au débat de s’instaurer, quelle autre solution que d’adopter le langage que ces jeunes comprennent ? Celui de l’image… C’est finalement le seul électrochoc qui puisse encore agir. Voir la réalité. Une réalité si énorme, si évidente – et habituellement si cachée – qu’elle pénètre nécessairement au fond de la conscience.

On parle de la « civilisation de l’image ». Le mot est mal choisi : qu’est-ce qu’une « civilisation » où l’image se déverse à flots, mais soigneusement triée, la plupart du temps virtuelle, souvent fausse, trafiquée, détournée pour cacher la réalité des choses, et où l’absence de parole et de recul coupe si souvent net toute tentative de réflexion et de jugement critique selon les critères objectifs du beau, du vrai et du bien ?

On peut s’interroger sur l’opportunité de montrer à des jeunes de 14, 15 ou 16 ans des images de tout petits enfants démembrés, déchiquetés, brûlés, jetés par la volonté de leurs mères (qui, si souvent, ne savent pas ce qu’elles font) et exécutés froidement par des médecins qui sont faits pour soigner, avec l’aide et l’assistance des pouvoirs publics qui organisent le massacre.

Oui, ces images sont traumatisantes. Parce qu’elles sont vraies. Parce qu’elles mettent violemment le spectateur en face d’une réalité bien plus violente encore, que l’on cherche à tout prix à maintenir cachée. C’est ce qui explique le tollé des associations qui se disent « pro-choix » : comment peut-on « choisir » cela ?
Mais il faut arrêter l’hypocrisie. Il ne faut pas oublier que la génération des jeunes qui est aujourd’hui sur les bancs du lycée a été abreuvée d’images « gore », de scènes de viols et de meurtres, de pornographie souvent, de noirceur et de désespoir. Tout ce qu’il y a de plus monstrueux, de plus bizarre, de plus ignoble, ils y ont accès par le cinéma et les clips, et surtout par Internet, autant qu’ils le veulent. La désespérance est le lot quotidien des lectures qui leur sont imposées par l’école. La cruauté, l’insensibilité, le sentiment de toute-puissance aussi leur sont accessibles par un nombre incalculable de jeux vidéos dont l’ultra-violence n’émeut pas trop les pouvoirs publics. Qui d’ailleurs dégagent des subventions rondelettes pour les concepteurs de ces mêmes jeux, au nom de la Culture…

Alors, que les jeunes soient encore frappés par des images de tout petits enfants d’hommes massacrés dans le ventre de leurs mères, c’est plutôt rassurant. Mais arrêtons de dire que c’est une atteinte intolérable à leur sensibilité, qui est si facilement agressée par ailleurs, et, pour beaucoup, plus émoussée sans doute que celle des générations qui les ont précédés. Et le traumatisme qu’elles provoquent, ces images, est-il mauvais ? Est-ce si terrible de faire prendre conscience que l’avortement tue ? Est-ce si scandaleux, à un âge où ces lycéens ont déjà, souvent, une vie sexuelle active et où les adolescentes peuvent être amenées à avorter, même à l’insu de leurs parents ?

Une conversation avec le professeur de Manosque m’a permis de mieux comprendre les choses. Je l’ai interrogé sur le trouble que provoquaient effectivement les images d’avortement sur les jeunes qui, rappelons-le, acceptaient de les voir en toute connaissance de cause. La seule réaction de vrai choc qu’il ait vue, m’a-t-il répondu, était chez une jeune fille qui effectivement, avait avorté. Il s’était excusé auprès d’elle, n’ayant pas eu l’intention de blesser. Mais il se trouve qu’elle est devenue son meilleur soutien. La vérité l’a libérée.

Pour les autres, qui sont tout de même dans une classe d’âge où ils n’ont pas eu directement affaire à l’avortement, l’absence de culpabilité change aussi la donne. Ils n’ont pas participé au massacre. Ne s’en sentent pas responsables.

C’est d’ailleurs sans doute cela qui explique les réactions si démesurées de la presse, de la hiérarchie éducative, de ceux qui prônent le droit des femmes de disposer à leur guise de la vie qu’elles portent en elles. La honte, la tristesse, le remords qui font trop mal, alors on refuse de voir la vérité en face.
Peut-être, aussi, la peur du regard d’une jeune génération, pas encore complice, et soudain témoin d’un massacre que leurs aînés justifient et organisent…

Article paru dans Présent daté du vendredi 3 décembre dans la chronique “Génération décervelée”.

© leblogdejeannesmits

Professeur de Manosque : le tabou de l'avortement
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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 09:38

 

L'intérêt du patient c'est une thérapeutique qui marche, et le plus vite possible.
L'intérêt de l'humanité c'est une science qui respecte chaque homme,
dès l'aube de la vie.
Les cellules du sang de cordon répondent à ces deux exigences.
COMPARAISON A CE JOUR (septembre 2007) 
CELLULES SOUCHES EMBRYONNAIRES
CELLULES SOUCHES DU SANG DE CORDON

1 - Pas greffables

1 - Greffés avec succès chez des patients depuis plus de 20 ans (maladies du sang et immunitaires)

2 - La majorité des cellules embryonnaires sont cultivées sur des animaux : ne sont pas transplantables sans risques pour l'homme

2 - Cultivées sans produits animaux

3 - Ces lignées de cellules ont des mutations in vitro : dangereux de les utiliser cliniquement

3 - Les greffes combinant plusieurs sangs de cordon et utilisant du sang congelé sont possibles

4 - A ce jour aucun patient n'a jamais été traité avec des cellules embryonnaires

4 - 85 maladies traitables à ce jour :

. Maladies liées au système sanguin (leucémies)

. Maladies liées au système immunitaire (bébé bulle)

. Pathologies touchant la moelle osseuse, le système nerveux ou le métabolisme (comme le diabète juvénile)

5 - Nécessité d'avoir beaucoup d'embryons disponibles (d'où la volonté d'en fabriquer et de faire du clonage)

5 - 130 millions d'enfants naissent chaque année dans le monde : 130 millions de cordons disponibles

6 - L'embryon neurt, il est détruit

 6 - Aucun rique pour la mère ni l'enfant (le cordon est récupéré après la naissance)

consultez le site de la  http://www.fondationlejeune.org/

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 20:34

 

Les soins palliatifs : une alternative au meurtre de l'euthanasie

Tandis qu'un sondage tente de remettre l'euthanasie au coeur du débat politique (une proposition de loi a été déposée en même temps au Sénat et qui sera discutée le 16 novembre), profitant de façon morbide du moment où l'on va fleurir la tombe de ses ancêtres, un documentaire apporte un témoignage intéressant sur les soins palliatifs.

L'histoire est celle d'un fils qui accompagne son père en fin de vie. Ce dernier lui fait promettre de mettre fin à ses jours au moment où il le lui demandera. Ce à quoi son fils est disposé. Son père est aux soins palliatifs de la maison médicale Jeanne Garnier dans le XVe arrondissement de Paris. Jamais il ne lui demandera de le tuer. Et pour cause. Ce documentaire est à voir en avant-première mercredi 3 novembre à 20 heures.

Michel Janva ICI

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 20:34

 

Les leaders du mouvement pour l’euthanasie n’accordent pas de prix à la vie

L’Alliance pour les Droits de la vie dénonce l’orchestration opérée par le lobby de l’euthanasie pour légaliser l’euthanasie, en France et lancera le mardi 2 novembre un Appel au monde politique sur ce sujet. Une nouvelle fusée à trois étages est aujourd’hui lancée par les partisans de l’euthanasie :

  • Un sondage habile : il joue sur la confusion des esprits pour la définition de l’euthanasie, car ce que les Français refusent, c’est l’acharnement thérapeutique et les souffrances inutiles ;
  • Une récupération indécente du jour dédié à la commémoration des défunts, le 2 novembre, jour de silence et de pudeur pour les familles endeuillées,
  • Une Nième offensive législative avec la proposition de loi socialiste visant à légaliser l’euthanasie en France qui sera débattue au Sénat le 16 novembre prochain.

Le docteur Xavier Mirabel dénonce :

"Le texte de la proposition de loi socialiste doit être décrypté avec attention car il utilise des formulations habiles, propres à attraper les indécis."

  1. Le texte ne parle pas d’euthanasie, mais d’ «aide active à mourir» ;c’est une dissimulation de la réalité de l’acte qui consiste à mettre fin aux jours d’une personne malade ou dépendante et désespérée ;
  2. On prétend promouvoir «une loi visant non pas à dépénaliser purement et simplement l’euthanasie mais à reconnaître une exception d’euthanasiestrictement encadrée par le code de la santé publique.» Or, en entrouvrant la porte à l’euthanasie, c’est bien «le droit de choisir sa mort» qu’on veut imposer. Quand on les pousse dans leur retranchement, on découvre que les leaders du mouvement pour l’euthanasie n’accordent pas de prix à la vie d’une personne handicapée ou dépendante. Ils n’hésitent pas non plus à avancer des raisons économiques à la société de l’euthanasie qu’ils désirent instaurer.
  3. L’euthanasie envisagée pourra être administrée à «toute personne majeure, en phase avancée ou terminale d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable, infligeant une souffrance physique ou psychique qui ne peut être apaisée et qu’elle juge insupportable.» Cela signifie que cette euthanasie ne se limiterait pas à des personnes en fin de vie, mais à toute personne gravement malade ou dépendante, et qu’il suffirait qu’elle se considère comme endurant une souffrance psychique insupportable… L’Alliance dénonce ici le suicide assisté, sans véritable encadrement, quelles que soient les précautions oratoires utilisées.
  4. L’exposé des motifs du texte valorise des exemples étrangers qui, en réalité, n’ont pas fait leur preuve. Au Pays-Bas, en Belgique et en Suisse, les scandales et dérives se multiplient : euthanasie des mineurs, développement de l’euthanasie clandestine en marge de la loi, mises en garde de l’ONU contre ces outrances, et même émigration de certaines personnes âgées dans des pays limitrophes (en Allemagne notamment) qui craignent pour leur existence.

Par son service d’écoute www.sosfindevie.org l’Alliance constate qu’il y a un grand malentendu : beaucoup de Français imaginent que la seule façon d’échapper à l’acharnement thérapeutique, c’est l’euthanasie. La vraie réponse à leur peur se situe dans le développement d’un accompagnement de fin de vie qui soit respectueux de la dignité des personnes devenues vulnérables, jusqu’au terme naturel de leur vie. C’est le sens de l’Appel qu’elle lancera demain, 2 novembre au monde politique.

Michel Janva  ICI 


Retrouvez les chroniques radio du Dr Mirabel  ICI

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 07:17

 

 

Témoignage sur la liberté et l'amour

par Dominique Morin.Dominique Morin

"Comment croire à l'amour et à la vie dans le monde actuel et face à l'épreuve ?"

> Conférence le mardi 12 octobre 2010 à 20h30 en l'église Saint Honoré d'Eylau, 66 bis avenue Raymond Poincaré dans le XVIème arrondissement de Paris (stations Victor Hugo sur la ligne 2, Boissière sur la ligne 6, Trocadéro sur les lignes 6 et 9).

Thibaud sur e-deo

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 07:16

 

Hélène Périvier, économiste, coresponsable du Programme de recherche et d'enseignement des savoirs sur le genre à Sciences Po Paris, a répondu aux questions des internautes du Monde :

Pourquoi Sciences Po a décidé de rendre obligatoire un cours consacré aux différences sexuelles ?

D'abord, il faut préciser que le terme "obligatoire" n'a pas vraiment de sens au collège universitaire à Sciences Po Paris. Ce qui va être proposé à la rentrée 2011, pour les étudiants de deuxième année, c'est une offre pédagogique large sur les questions liées au genre et aux inégalités entre les sexes, dans l'ensemble des grandes disciplines majeures de Sciences Po. C'est-à-dire histoire, droit, économie, sciences politiques et sociologie.

Dans l'ensemble de ces majeures sera proposé aux étudiants un grand cours sur ces questions. D'une certaine façon, il sera donc difficile aux étudiants sortant du collège universitaire de Sciences Po de ne pas avoir eu un enseignement sur ces questions, quelle que soit l'approche disciplinaire.

(...) ce thème (...) devient désormais l'un des thèmes structurants de l'enseignement à Sciences Po.

Pour mieux combattre la théorie du genreil faut la connaître.

Thibaud sur http://e-deo.typepad.fr/

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 11:01

 

Un Nobel qui pose question

mercredi 6 octobre 2010

En attribuant le Prix Nobel de Médecine au professeur Edwards, c’est la technique de la fécondation in vitro, dont il est le pionnier, qu’on présente comme un progrès pour l’Humanité. Or, si la FIV est indéniablement une prouesse technique, l’Alliance pour les Droits de la Vie tient à en souligner les enjeux éthiques qui demeurent entiers : on présente comme une victoire de la vie les 4 millions d’enfants qui ont pu voir le jour grâce au rapprochement des gamètes en laboratoire. Mais, pour cela, il a fallu concevoir artificiellement plus de 80 millions d’embryons (278 000 annuellement en France, pour que naissent 14 500 enfants). Cette surproduction embryonnaire impliquant la destruction d’une vingtaine d’entre eux pour chaque naissance a fait entrer les pays développés dans le déni de l’humanité des embryons.

Pour l’Alliance pour les Droits de la Vie, la fécondation in vitro demeure donc une transgression éthique d’une particulière gravité. Aucun scientifique n’a pu démontrer que les embryons humains conçus en laboratoire étaient dépourvus de dignité humaine. Par ailleurs, la fécondation in vitro a ouvert un cycle de nouvelle dérive : congélation des embryons, exploitation par la recherche, tri des embryons à caractère eugénique. On commence à en mesurer les lourdes conséquences.

L’Alliance pour les Droits de la Vie, engagée dans l’écoute des couples vivant l’épreuve de l’infertilité, demande une autre politique de santé publique, qui puisse concilier le respect de la vie déjà conçue avec la lutte contre la stérilité, notamment par :

- une meilleure connaissance des causes de l’infertilité ;

- une recherche visant à la soigner véritablement.


L’attribution du prix Nobel de médecine à l’inventeur de la fécondation in vitro, Robert Edwards, a été très sévèrement critiquée par le Vatican. Selon le président de l’Académie pontificale pour la vie, monseigneur Carrasco de Paula, Robert Edwards est responsable de l’existence de millions d’embryons qui risquent pour la plupart d’être abandonnés ou détruits. L’évêque espagnol a également dénoncé, lundi, "le commerce d’ovocytes".

http://www.lepoint.fr/monde/

http://www.la-croix.com/afp.static/pages/101004171131.o0bftsy8.htm

Nobel de médecine : Réactions de Mgr Carrasco de Paula

http://www.zenit.org/article-25609 ?l=french

La revue de presse de la fondation Lejeune

http://www.genethique.org/revues/revues/2010/octobre/20101005.2.as

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 08:07

 

PAlors que le gouvernement philippin financera la contraception des couples les plus pauvres qui la réclameront, en dépit de la forte oppposition de l'Eglise catholique, Jeanne Smits pose la question, au lendemain de la journée mondiale de la contraception :

"Mais qu'attendent les écolos pour protester contre cette débauche d'hormones relâchés dans la nature après être passés (avec quels effets secondaires) dans les corps des femmes ?"

Nous l'avons souvent écrit ici : la pilule contraceptive a depuis des années des effets dévastateurs sur l'environnement en relâchant des tonnes d'hormones dans la nature à travers les urines des femmes qui la prennent. Les écologistes convaincus ne mangeraient pour rien au monde des chips contenant la moindre trace de pesticide. Mais c’est pour eux un droit sacré de consommer des produits synthétiques qui modifient les fonctions biologiques naturelles de la femme. Même si cette pratique menace la vie aquatique innocente dans le ruisseau voisin.

C'est bien joli de se scandaliser de la pollution pétrolière outre-atlantique, mais si on ne balaie pas devant sa porte, c'est tout à fait hypocrite.

 lu sur le salon beige
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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 22:42

 

"L'ultime liberté ?"

Alors que le dépôt du Rapport Leonetti apparaît à certains comme la fin (toujours provisoire) du débat sur l’euthanasie qu’elle n’est pas, puisqu’elle est le prélude à une modification législative et, donc, à un débat public, Axel Kahn apporte ici sa contribution, celle d’un athée notoire engagé à gauche au demeurant, ce qui n’est pas si accessoire puisque, dans la droite ligne de notre propos d’hier, la réception d’un raisonnement peut étonnamment dépendre de son émetteur.

A cet égard, Axel Kahn souligne à plusieurs reprises ne pas « sacraliser la vie« , reconnaissant même ne pas pouvoir exclure aujourd’hui l’éventualité qu’une fin de vie marquée par le déclin ne l’amène à souhaiter mettre fin à ses jours, mais « sans transférer à la loi la responsabilité de la mise en œuvre d’une telle décision« .

Axel Kahn rejette l’idée même que l’euthanasie puisse constituer une liberté et, de surcroît, « l’ultime liberté« . Il relève toutefois que la volonté de contrôler la fin de sa vie peut se prévaloir d’une longue tradition « philosophique« , stoïcienne, sans en partager l’esprit. La liberté exige en effet, selon lui, l’absence de contrainte, ainsi que la possibilité de modifier son choix. Or, le choix de mettre fin à ses jours répond toujours à la présence d’une contrainte, d’ordre physique ou psychologique. Psychologique, lorsqu’aucune affection n’est en cause. Physique, lorsque la personne est malade. 

Dans chacun des cas, le suicide, l’euthanasie, n’est envisagée que parce que la personne ne peut imaginer une issue favorable, qu’il s’agisse de la personne dépressive ou seulement désespérée, ou de la personne en fin de vie, qui ne voit se profiler qu’une plus ou moins lente dégradation intellectuelle et/ou physique, assortie d’un sentiment d’indignité. Dans de tels cas, si je comprends bien Axel Kahn, la personne fait certes un choix mais elle n’exerce pas sa liberté, de surcroît ultime, puisque son choix est contraint.

notre regard sur nous-mêmes n'est jamais indépendant du regard porté sur nous

Dans ses développements relatifs à la dignité, je retrouve chez lui le même désaccord sur le nom même de l’ADMD, dont le nom mêmequi peut laisser penser que certains malades seraient objectivement indignes. La dignité, l’indignité, ne peuvent être qu’éminemment subjectifs, dans la perception de la personne, dans celle de ses interlocuteurs, comme dans la seule idée que la personne se fait de la perception que ses interlocuteurs -voire la société entière – ont de sa propre dignité. « Notre regard sur nous-mêmes n’est jamais indépendant du regard porté sur nous« . Axel Kahn voit avec raison, dans cette conception de la dignité, dans ce regard, un véritable enjeu de société :

« L’indignité ne s’installera-t-elle pas dès lors que la personne s’éloignera des critères de la vie désirable véhiculés par notre société à travers ses médias, sa publicité, l’air du temps ?Le grand âge et la maladie tournent le dos aux icônes de celle-ci : l’idéal de jeunesse, de beauté, d’efficacité, de force et de productivité. Revendiquer le droit de mourir dans la dignité équivaudrait donc à revendiquer celui de disparaître avant de s’engager dans cette déchéance de l’indignité. De là à l’établir en tant que norme… »

Axel Kahn s’intéresse aussi aux grandes affaire médiatiques, et ce qu’il en évoque est troublant.

  • L’affaire Vincent Humbert ? Il est, déjà, troublant d’apprendre que son livre a été lancé par un éditeur militant de l’ADMD, avec une campagne de promotion indiquant qu’au jour de la publication, « Vincent sera peut-être mort, sa mère aura, enfin, exaucé ses voeux« , et que celle-ci a effectivement procédé à l’injection le jour de la sortie du livre. Mélange désagréable entre la promotion et la mort. On peut, toutefois, l’expliquer. Ce que l’on ne peut pas expliquer, en revanche, ce sont les doutes persistants sur la volonté réelle de Vincent Humbert, comme sur le fait qu’il ait pu écrire lui-même, ou effectivement dicter ce livre. Axel Kahn fait ici référence aux doutes de son équipe soignante, et au témoignage de son kiné, Hervé Messager (qu’il faut lire et écouter), auquel Emmanuel Hirsch, directeur de l’espace éthique AP-HP, fait également référence ici.
  • L’affaire Tranois-Chanel ? On ne peut passer sous silence le fait que le docteur Tranois a non seulement délégué le geste qu’elle entendait exécuter, mais qu’elle a procédé à l’injection létale sans même avoir consulté la famille.
  • L’affaire Chantal Sébire ? Chacun sait, ou devrait savoir maintenant, que sa demande de suicide assisté n’est intervenue que parce que Chantal Sébire a refusé tout traitement. Elle n’entendait être soignée que par la médecine douce, refusant de prendre autre chose que du paracétamol. Comme le docteur Jean-Louis Béal, chef de l’unité de soins palliatifs du CHU de Dijon, en a témoigné à deux reprises (dansLa Croix et Le Parisien), elle refusait tous les antalgiques : « elle m’a dit que la morphine, c’était de la chimie, donc du poison« . C’est pourtant à la suite d’une disposition si personnelle, si spécifique, que la France est sommée de modifier sa loi.

Vous savez qu’à ces affaires, j’ajoute personnellement le cas de Rémy Salvat dont il est aberrant de faire un porte-drapeau posthume du suicide assisté, lorsque l’on sait qu’il a vécu de la prime adolescence à sa mort avant la conscience que sa propre mère considérait qu’il valait mieux mourir que vivre la vie qu’il vivait.

comment ne pas trouver troublant que, dans chacun de ces cas, l’ADMD occulte des éléments essentiels ?

Comment ne pas trouver troublant que tous les cas ainsi mis en exergue par l’ADMD soient de tels contre-exemples ? Comment ne pas trouver troublant que, dans chacun de ces cas, l’ADMD occulte des éléments essentiels ? N’est-il pas révélateur que l’ADMD ne soit pas parvenue à présenter des cas non faussés ? N’est-ce pas révélateur de ce que son discours est en décalage avec la réalité de la demande des malades en fin de vie ?

Cette réalité, je l’ai entendue d’une amie infirmière en soins palliatifs, lue sous la plume de Bernard Debré, sous celle de Marie de Hennezel, et lue encore sous celle d’Axel Kahn :

« Selon moi, poser comme une exigence première de rendre possible l’exercice d’une liberté est une évidence humaniste qui repose sur la certitude que celui qui demande à mourir envoie toujours un message d’une extraordinaire gravité. Il demande à être entendu. Il dit : « la vie m’est à ce point insupportable qu’il m’est impossible de ne pas l’interrompre« . Dans cette situation, réintroduire la dimension du libre arbitre exige de rétablir les paramètres d’une vie non seulement supportable, mais aussi désirable. »

Je ne me dissimule pas ce que ce propos peut avoir d’illusoire. Rendre désirable la vie d’un malade en fin de vie… Mais c’est bien là que doit se situer le véritable défi posé à la société, le seul qui vaille, le seul qui fait effectivement de nous une société et une société solidaire. Et puis – même si cette faculté me laisse circonspect – n’oublions pas que la loi Leonnetti, dont on prétend sans la connaître qu’elle est insuffisante, permet de mettre en place une sédation dans l’hypothèse d’une souffrance morale persistante.

Axel Kahn se prononce également contre l’ »exception d’euthanasie« , en ces termes :

« Lorsque la loi interdit de tuer, il ne me semble pas satisfaisant qu’elle prévoie les conditions dans lesquelles ce principe excellent peut être battu en brèche. »

Je serais plus réservé sur la proposition qu’il formule à la fin de son livre, quant au traitement judiciaire des cas d’euthanasie. Si je suis parfaitement d’accord sur le fait que la société et les tribunaux doivent prendre en compte avec humanité les cas qui lui sont présentés – et c’est ce qu’ils font – l’idée de prévoir un mécanisme juridique permettant de s’orienter rapidement vers un non-lieu, à l’image de la légitime défense, me semble revenir somme toute à une exception d’euthanasie. N’oublions pas que l’on évoque précisément, en droit, l’ »exception de légitime défense« . Et que la société a pleinement intégré qu’un meurtre en état de légitime défense n’est pas condamnable. Par ailleurs, dans les faits, un tel dispositif ne paraît pas nécessaire : les affaires ayant donné lieu à un renvoi effectif devant une Cour d’assises sont rares (Marie Humbert et le Docteur Chaussoy ont ainsi bénéficié d’un non-lieu) et, qu’il s’agisse du Docteur Tranoy ou de Christine Malèvre étaient marqués par des circonstances particulières justifiant un tel renvoi : absence de consultation de la famille dans un cas, nombre de cas d’euthanasie dans l’autre.

lu sur    koz toujours
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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 09:33

     Pourquoi le Collectif Les Amis d’Eléonore ?

Le 21 mars 2010 avait lieu à Paris la Journée Internationale de la Trisomie 21. De nombreux parents étaient présents, ainsi que des chercheurs qui travaillent sans relâche pour trouver un traitement pour nos enfants. Mais ils manquent de moyens. Pourtant, la recherche avance et nous redonne confiance pour que la vie de nos enfants s’améliore.

En cette année 2010, le gouvernement révisera les lois de bioéthique. À cette occasion, nous demandons que les personnes atteintes de trisomie 21 fassent l’objet de toute son attention.

Nous demandons au gouvernement :

  • de financer la recherche médicale pour traiter les patients atteints d’une trisomie 21 et améliorer leur vie quotidienne.
  • de refuser la stigmatisation de la maladie par l’élargissement du DPI à la trisomie 21.

Nos enfants ont droit au bonheur !

Le Collectif Les Amis d’Eléonore invite tous les parents d’enfants atteints d’une trisomie 21, tous leurs proches, et tous ceux qui veulent  soutenir l’Appel du 25 mars à les rejoindre pour que leurs voix soient entendues.

Il suffit de s'inscrire à la rubrique "soutien" du site.

http://www.lesamisdeleonore.com/

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 09:49

 

L'Evangile de la Vie, si belle, si précieuse et si utile

EvVoici plusieurs voyages du Pape dont nous relayons les discours en quasi-direct grâce à l'œuvre si belle et si réactive du père Hubert Lelièvre, l'Evangile de la Vie, dont le site est en lien dans notre colonne de gauche.

Cette famille missionnaire mérite d'être connue et  davantage soutenue et propose en outre un colloque particulièrement relevé ces 15 et 16 mai prochain dans ces murs à Bollène sur le thème "La vie est la lumière des hommes". Les renseignements sont accessibles ici

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7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 11:22
Liberté sexuelle : les femmes sont-elles vraiment plus heureuses ?

Déclaration de Joëlle Brunerie-Kauffmann, Gynécologue, présentée comme une militante pour le droit à l'avortement :

"Quand vous avez débuté, à la fin des années 1960, quelle sexualité avaient les femmes ?

Elle était secrète, niée. En raison du poids de l'Église, mais aussi de l'absence d'informations. Beaucoup de femmes arrivaient complètement sottes à leur nuit de noce, sans savoir à quoi ressemblait le sexe d'un homme. Certaines avaient des amants, vivaient dans la peur de la grossesse. À cette époque, les avortements étaient interdits. Les femmes devaient se débrouiller seules. À l'hôpital, nous n'avions pas le droit de les aider. Vous pensez bien que, dans ces conditions, la notion de plaisir n'existait pour ainsi dire pas. Il y avait beaucoup plus de femmes frigides qu'aujourd'hui, à cause d'un avortement ou parce qu'elles avaient eu tellement mal lors de leur premier rapport qu'elles avaient peur.

Quel a été l'élément déclencheur : l'arrivée de la pilule ?

Pas seulement. Selon moi, les femmes ont gagné leur liberté sexuelle grâce au travail. À partir du moment où elles ont gagné un salaire, elles sont devenues moins dépendantes de leurs maris."

Déclaration idéologique niant la réalité des situations. Cette pseudo-liberté connaît moult revers, qui sont de véritables tabous (bien que des journalistes tentent de crever l'abcès) :

  • divorces en hausse avec les effets désastreux sur la famille, les enfantset la société
  • pauvreté :explosion des familles monoparentales, qui sont les premières touchées par la pauvreté (67% des enfants de 6 à 17 ans accueillis par le Secours catholique vivent dans une famille monoparentale)
  • la contraception est inefficacedangereuse et mène à l'avortement
  • l'avortement crée un traumatisme (ici)
  • ...

Michel Janva   ICI 

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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 09:22

"La pilule réduirait le risque de cancers et augmenterait la chiffre d'affaires des marchands de pilules." (Le Journal).




" 1968, c'est l'arrivée de la pilule dans notre pays, synonyme de libération de la femme.
Des millions de femmes deviennent consommatrices pour avoir, enfin, seulement les enfants qu'elles désirent. 1988, le Dr Ellen Grant, gynécologue véritable apôtre de la contraception hormonale, sonne le tocsin avec son livre " Bitter Pill ". Elle dénonce les dangers de phlébite, d'accidents vasculaires cérébraux, d'infarctus du coeur chez des femmes jeunes, de cancers du sein et de l'utérus: "Prenez-la le moins longtemps possible!" Ce livre est courageusement préfacé par le Professeur Lucien Israël qui confirme la mise en garde.
Mais, désinformation oblige, aucun grand média ne reprend l'information. Les directeurs de magazines féminins refusent de la diffuser jusqu'au jour où plusieurs de leurs collaboratrices très jeunes sont atteintes de cancer du sein. Le nombre de nouveaux cas de femmes atteintes de cancer du sein ne cesse de croître. En 1975, 7 000 cas sont découverts. En 2008 nous en sommes certainement à 53000 nouveaux cas, découverts chez des femmes de plus en plus jeunes.
2008, en 20 ans, le livre du Dr Ellen Grant n'a pas pris une ride. Toutes ses données scientifiques ont été confirmées. Ce qu'écrivait le Professeur Lucien Israël dans sa préface est devenue réalité. La pilule est vraiment dangereuse pour la santé ! Même mini-dosée "

Pour en savoir plus ... 
http://jeunes-anciennes-de-saintjoseph.over-blog.com/article-33321640.html
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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 11:07

Le 18 mars de cette année 2010, demain, Simone Veil sera reçue sous la Coupole parmi les Immortels, à l’Académie française. On se demande quels sont les titres littéraires qui justifient une telle réception. Poser la question c’est y répondre. Ce n’est ni un romancier, ni un essayiste, ni un auteur dramatique que reçoit l’Académie. C’est une femme politique, ancien ministre – garde des Sceaux – ancien président du Parlement européen, ancien membre du Conseil constitutionnel et, accessoirement, vedette féminine des sondages d’opinion.

D’où vient cette célébrité ? D’une loi, dénommée abusivement la loi Veil, alors qu’elle devrait s’appeler, en toute exactitude, la loi Giscard-Chirac-Veil, mais qu’elle a portée à l’Assemblée et dont elle a été, pour la nation comme pour le Parlement, le rapporteur.

Cette loi, qui commençait par proclamer le principe du respect de la vie – ce que n’avait jamais fait auparavant aucune loi, tellement ce principe était évident – organisait – c’était son véritable but – une exception légale à ce principe, en matière d’avortement. L’exception était provisoire. L’avortement, quant à lui, avait disparu. On ne parlait plus que d’interruption volontaire de grossesse. Cette périphrase était fausse puisque l’interruption, comme son nom l’indique, ne fait qu’interrompre. Les juristes connaissent l’interruption de la prescription qui, lorsqu’elle s’achève, permet au délai de cette prescription, de courir à nouveau. Un discours interrompu, reprend, après l’interruption. « Mon cher collègue, me permettez-vous de vous interrompre ? » n’a jamais signifié « je vais vous supprimer ». L’interruption volontaire de grossesse achève la grossesse en tuant l’enfant. L’exception momentanée – cinq ans – non seulement s’est renouvelée, mais elle s’est étendue jusqu’à devenir, comme cela arrive souvent en matière législative, le principe de droit.

Le principe légal, aujourd’hui – Roselyne Bachelot l’a rappelé avec force – est que le droit existe de supprimer une vie humaine innocente, à condition de commettre ce meurtre dans un certain délai et selon certaines formes. Les médecins et infirmiers requis pour cet acte de mort ont le droit d’objecter la loi de leur conscience, preuve, s’il en était besoin, qu’il s’agit bien d’un meurtre.

Les pharmaciens ne se sont pas vu reconnaître ce droit.

Ainsi, aujourd’hui, à l’heure où Simone Veil va rentrer sous la Coupole, l’exception est devenue le droit ; le droit est devenu, pour les hommes de l’art une obligation, sauf pour eux à faire valoir, s’ils le peuvent, l’objection que leur dicte leur conscience.

Quand j’ai commencé ma vie professionnelle, l’une des premières affaires pénales que j’ai plaidées était la défense d’une femme qui avait eu recours, dans un mouvement de grande détresse, aux services de ce qu’on appelait alors une « faiseuse d’anges », sage-femme qui, pour améliorer ses fins de mois, pratiquait clandestinement mais professionnellement des avortements. Trente ans plus tard, je plaidais pour des pharmaciens à qui était refusé le droit de ne pas vendre des produits qu’ils savaient abortifs. Les deux – la malheureuse de mes débuts, et les malheureux du temps présent – furent condamnés. L’articulation de cette révolution des principes est l’œuvre législative de Simone Veil.

Je sais qu’elle a aussi souffert pendant la guerre, qu’elle a été déportée et qu’elle est revenue très éprouvée de cette déportation. Mais sa célébrité n’est pas due à cette souffrance qui, malheureusement, fut partagée par beaucoup. Sa célébrité est due à cette loi que les maîtres de l’heure – Giscard et Chirac – lui ont demandé de défendre et de faire adopter, parce qu’elle était femme, qu’elle avait souffert des persécutions antijuives, qu’elle avait du talent, et que sa voix, ses yeux et son sourire ajoutaient du charme à ce talent.

Or, nombreuses sont les femmes que le Ciel a dotées de telles qualités et qui n’entrent pas à l’Académie française. Nombreuses aussi sont celles qui allient à ces qualités un vrai talent littéraire, et qui, cependant, n’entrent pas, non plus, à l’Académie française. Que l’on songe à Annie Kriegel ou à Geneviève Poullot, pour ne citer que deux résistantes éminentes, qui ont, chacune dans leur genre, écrit beaucoup plus d’articles et de livres que Simone Veil. Donc ce n’est ni la souffrance, ni la déportation, encore moins l’origine juive ou les faits de résistance, ni même le talent qui lui valent, à eux seuls, cet honneur.

Serait-ce d’avoir été ministre, de la Justice, puis de la Santé ? Mais si tous les anciens ministres de la Justice et de la Santé pouvaient prétendre entrer à l’Académie, les quarante fauteuils n’y suffiraient pas ! Non ! Ne cherchons pas plus loin : c’est la nouveauté, la révolution, le changement de civilisation que saluera, demain, en recevant Simone Veil, Monsieur Jean d’Ormesson, au nom de l’Académie fondée par le cardinal de Richelieu, siégeant dans le Palais construit par le cardinal Mazarin.

Je n’éprouve aucune antipathie pour Madame Veil. Ce que je sais d’elle et des siens entraînerait plutôt ma sympathie. Mais au degré de la réflexion où nous conduit son avènement dans une des plus anciennes institutions de notre histoire, les considérations personnelles sont sans importance. On peut paraphraser à son sujet une formule célèbre : sa personne n’est rien, le principe qu’elle représente – peut-être malgré elle – est tout.

Giscard, avant elle et plus qu’elle, est responsable de cette légalisation de la culture de mort. Mais l’entrée de Giscard à l’Académie n’a pas revêtu la même importance de principe. Parce que Giscard est un homme ? Que c’est un ancien président de la République ? Ou, tout simplement, parce que des trois – Giscard, Chirac, Veil – c’est indiscutablement la troisième – l’académicienne de demain – qui a effacé les deux autres.

Et donc la responsabilité de cette consécration de la culture de mort n’est pas tant celle de la candidate aujourd’hui élue que celle des académiciens qui, majoritairement, ont porté au rang des Immortels, celle dont le nom reste attaché à la première cause de mortalité légale en France, depuis trente-cinq ans.

Cela pourrait être triste si ce n’était pas, d’abord, d’une absurdité drolatique et d’un humour terriblement profond. Car la vision de ces vieux messieurs-dames qui vont, comme nous tous mais probablement avant, passer de leur fauteuil d’immortel au caveau d’où on n’a jamais vu revenir un académicien, en train de recevoir solennellement parmi eux, celle qui rapporta la loi permettant de tuer les enfants, est le tableau presque trop achevé de l’écroulement d’un monde parvenu au bout de sa propre dérision.

Mais les gloires du monde passent plus vite que l’eau de la Seine sous les ponts de Paris et, dans le printemps de la France qui vient, les yeux tournés vers Notre Dame, toute rose dans le soleil du matin, nous pousserons, joyeux, sur la passerelle des Arts, les berceaux où sourient, encore étonnés d’être vivants, les bébés rescapés de la loi Veil.

Jacques Tremolet de Villers 


Article extrait du n° 7053 de Présent
du Mercredi 17 mars 2010

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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 19:40

Dans son éditorial, Jean-Pierre Denis critique la dernière mesure de Roselyne Bachelot :

"certains jugent l’avortement trop peu "lucratif" – voilà le terme que je trouve le plus souvent utilisé dans la presse, à ma constante stupéfaction –, ce qui découragerait des médecins de le pratiquer. Un récent rapport de l’Igas, l’Inspection générale des affaires sociales, confirme pourtant ce que l’on sait depuis longtemps : le nombre d’interruptions de grossesse ne diminue pas en France. Au contraire, il est stable, autour de 200 000, pour 800 000 naissances. L’argument consistant à dire qu’il devient difficile d’avorter est donc tout simplement faux.

La ministre connaît et admet ce chiffre. Et elle promet désormais que "d’importants progrès peuvent encore être accomplis". Que faire de plus ? a-t-on ingénument envie de lui demander : 250 000 ? 300 000 ? On a pourtant déjà glissé de l’avortement comme ultime recours (le moindre mal de la loi Veil) à son utilisation comme moyen de contraception. On est passé du délai de 10 semaines à 12. On a évolué de la prise en compte de la détresse de certaines femmes ou de certains couples vers un eugénisme qui élimine la quasi-totalité des trisomiques.

Pourquoi "l’effort considérable" qu’annonce la ministre ne porte-t-il pas plutôt sur la prévention, comme on devrait le faire dans tous les domaines de la santé publique ? Je m’étonne qu’aucune proposition ne soit esquissée pour informer et aider les nombreuses femmes dont la grossesse n’est pas désirée, mais qui ne souhaitent pas nécessairement avorter. [...] On pourrait évoquer aussi le récent bilan de la Halde, qui pointe les pressions et les injustices au travail que subissent des femmes enceintes. La réponse ne passe donc pas forcément par une surenchère éliminatoire. Ne relève-t-elle pas davantage de mesures d’accompagnement social qui permettraient, pour le coup, de promouvoir vraiment la fameuse "liberté de choix" ?"

Posté le 16 mars  | Lien permanent |

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 13:43
par Elizabeth Montfort*

Le tintamarre complaisant autour de la sortie du livre d’Élisabeth Badinter sur le « conflit » entre la femme et la mère est très instructif sur l’état du féminisme aujourd’hui. Mais l’adoption d’une résolution européenne par les députés français, le 23 février, pour aligner le droit des femmes françaises sur les législations européennes les plus progressistes, est autrement plus grave.

http://www.libertepolitique.com/respect-de-la-vie/5873-le-feminisme-dans-tous-ses-etats
* Elizabeth Montfort est ancien député européen, présidente de l’Alliance pour un Nouveau Féminisme européen.

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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 17:10
Vient de paraître ...
"Permanences" n°468-469 

pour en savoir plus : www.ichtus.fr

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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 16:44


La Présidente du
"Collectif pour l' Enfant" Béatrice Bourges répond à quelques questions de l'association "CITE & CULTURE". L'idéologie du "genre" étant à la source des revendications des lobbys féministes et homosexuels. Béatrice Bourges ayant particulièrement étudié cette question du "genre", son éclairage est important dans le combat pour la protection de la famille et de l'enfance.

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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 15:56
Eric Zemmour s'est exprimé sur l'avortement (IVG) dans l'émission "Z comme Zemmour" de Vincent Parizot sur RTL le 3/2/2010. S'arrêtant sur les 200 000 avortements (IVG) annuels depuis la loi Veil...   

S'arrêtant sur les 200 000 avortements (IVG) annuels depuis la loi Veil, Eric Zemmour constate que ce sont aujourd'hui "7 millions de personnes" qui ne sont pas là.

Eric Zemmour pense que la loi de 1975 sur l'IVG (avortement volontaire) était une "loi de pis-aller compassionnel" qui tolérait l'avortement comme un moindre mal. Mais "on est passé de la loi compassionnelle à un droit acquis" à l'IVG (avortement) regrette Eric Zemmour.

"Aujourd'hui on atteint des sommets" estime Eric Zemmour avec la campagne sur la contraception et l'avortement (IVG) réalisée par la région Ile-de-France. "Roselyne Bachelot veut faire de l'IVG (avortement) une 'composante obligatoire de l'offre de santé' [...] comme si tomber enceinte était une maladie grave". Eric Zemmour se dit choqué par l'expression "offre de santé" utilisée par le ministre de la Santé pour l'IVG : "on en parle avec l'air détaché qu'on prendrait pour parler de l'opération de l'appendicite". Zemmour pense que cela prend des allures un peu macabres.

On songe, effrayés, que nous avons tous été des foetus, dit Eric Zemmour et comme en France, "on peut le tuer tant qu'il n'est pas sorti du ventre de sa mère", on se dit donc rétrospectivement "qu'on l'a échappé belle".
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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 23:39

 

Mobilisation : retour d'une loi sur l'euthanasie

Enz On peut la qualifier avec les mots que l'on veut, l'emballer dans les plus belles expressions, la plus grande émotivité, l'euthanasie n'est ni plus ni moins que le meurtre, la mort donnée à une personne jugée indigne de poursuivre sa vie. Lire ici la définition de l'euthanasie : "l’élimination de « vies indignes d’être vécues »". Les critères de ce jugement de dignité de la vie peuvent varier : les nazis, fondateurs de cette idéologie décretant que des êtres ne méritaient plus de vivre, les qualifiaient de "sous-hommes".

Qu'ils soient des "sous-hommes" raciaux (comme le jugeaient les nazis), des "sous-hommes" politiques (idées jugées mauvaises), des "sous-hommes" économiques (ils coûtent trop cher - lisez ce petit problème de maths posé dans les écoles nazies, on se croirait en France aujourd'hui! - ), des "sous-hommes" sociaux (leur vie est inutile à la société), etc, ils sont toujours victimes de la même idéologie : il est décrété que leur vie est indigne. L'image à gauche provient de ce site est n'est ni plus ni moins que la loi nazie sur l'euthanasie des enfants.

Etz 2 Malgré cet éclairage souvent rappelé, la France veut poursuivre dans cette voie et rendre ce meurtre légal. (l'image de droite tirée de ce site qui en fourmille évoque la "vie sans espoir" - toujours les mêmes recettes - pour justifier l'euthanasie des nazis). La mobilisation est possible, urgente... et peut-être obligatoire en conscience :

"Une proposition de loi sur l’euthanasie vient d’être déposée par 120 députés socialistes à l’Assemblée nationale. Elle sera discutée le 19 novembre prochain. Ces dernières semaines, certains députés de la majorité se sont déclarés favorables à une légalisation de l’euthanasie.

Il est urgent de se mobiliser pour manifester une forte opposition contre toute tentative de légalisation de l’euthanasie.

Signez l’appel contre l’euthanasie et pour la charte des droits des personnes en fin de vie

Cette pétition sera adressée dès le 17 novembre à tous les partis politiques et responsables des groupes parlementaires. Nous devons agir très vite pour obtenir le plus de signatures possible.

Mobilisez autour de vous : découvrez les 10 clés du débat.

Alliance pour les Droits de la Vie - www.adv.org

Site de la campagne : www.fautpaspousser.com

Sur cette photo on voit des militants pour la vie jouant une scénographie amusante sur le thème de l’euthanasie : il faut bien attirer l’attention d’une opinion tout à fait endormie sur ce sujet où les partisans d’une loi sur l’euthanasie lui mentent grossièrement…"

 le 7 novembre sur lesalonbeige

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