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18 septembre 2014 4 18 /09 /septembre /2014 10:00

Ne manquez pas l'article de Nathalie Henry , infirmière anesthésiste et philosophe :

Qui veut une vie de handicap pour son fils ?
Fotolia
Le 17 septembre 2014
Il n’y a de véritable liberté que dans le choix du bien. Le bien de l’enfant, pas celui des parents prioritairement.

« Qui veut une vie de handicap pour son fils ? » Cette phrase est posée tel un choix incongru. Il faut aujourd’hui « choisir » entre l’enfant avec et l’enfant sans handicap. Allons, levez le doigt ceux qui font le choix d’un enfant avec handicap ! Personne… Qui pourrait, de manière purement raisonnable, faire ce choix ? C’est la question posée par la maman de Titouan dont nous avons entendu les pleurs sur les ondes en début de semaine.

Elle dit sa douleur, sa profonde souffrance de voir son fils ainsi abîmé. Elle vient demander, implorer même la mort pour son fils parce qu’elle ne se sent pas capable d’accueillir son tout-petit. Titouan a eu le mauvais goût d’arriver trop tôt, et quand un invité arrive à l’avance, eh bien, tout n’est pas prêt pour le recevoir. C’est le corps de Titouan qui n’est pas prêt, tout immature qu’il est. Et certainement sa maman.

La suite 

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18 septembre 2014 4 18 /09 /septembre /2014 08:20

 

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Phin Lyman n'avait pas imaginé que ses paroles auraient un tel retentissement. Ce jeune Anglais fait la couverture de tous les journaux. La raison: il est vierge et fier de l'être.

Qui aurait pensé qu'un jeune apparaîtrait dans tous les journaux du fait de sa décision de rester vierge jusqu'au mariage ? Nos grands-parents n'auraient probablement jamais pu l'imaginer, mais de nos jours c'est devenu quelque chose de peu commun. C'est en tout cas ce que croit The Guardian, un journal anglais qui n'a jamais été très orienté vers les valeurs chrétiennes. La nouvelle a causé un tel engouement que le même journal a publié trois éditions de la même nouvelle, qui a été reproduite par d'autres grands médias britanniques, notamment The Times et The Daily Breast, l'un des plus lus par le public jeune d'Angleterre.

"Sincèrement, je me demande : quel problème y a-t-il à attendre ? Pourquoi pensons-nous que tout doit être rapide ? Repas rapide, bronzage rapide, sexe rapide." C'est avec ces mots que Phyn Lyman a commencé une lettre ouverte écrite pour The Wellingtonian, une revue publiée dans son école, et qui a eu un si grand impact auprès de ses collègues de cours que les médias ont fait tout leur possible pour en obtenir l'exclusivité.

La suite sur espérance nouvelle

 

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 09:27

 

La photo du jour : quel est le féminin d'“un instituteur gai et gentil” ?

 

Merci au pédopsychiatre Vincent Rouyer qui a relayé cette photo sur sa page facebook – elle vaut le détour. 
Est-elle authentique ?
Ce qui est sûr, c'est que l'exercice en question fait partie de l'« évaluation diagnostique du début de CM1 » en 2010 (voir ici).
Et que l'irrégularité de l'écriture, les fautes d'orthographe et le choix des mots sont tout aussi caractéristiques de l'enfant du XXIe siècle que cette focalisation sur le discours LGBT…
Donc, selon toute probabilité, oui.

Lu ICI
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13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 08:54

 

L'idéologie du gender existe-t-elle ?

Certains catholiques (ici et ), trompés par la propagande des idéologues, en viennent à croire, comme Najat Vallaud-Belkacem, qu'il n'existe pas de théorie du genre mais des théories du genre. Sur la distinction entre la bonne théorie du genre et la mauvaise, je vous renvoie au sketch des Inconnus sur les chasseurs...

Disons le tout net : nous récusons le terme de théorie à ce qui n'est qu'une idéologie. Parler de théorie c'est donner une once de légitimité à un système pervers.

Sur ce sujet, il est utile de lire et relire ce qu'enseigne l'Eglise depuis assez longtemps, soit avant que nous prenions conscience de l'existence et de la nocivité de cette idéologie. Paru en juin 2005, le Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques élaboré par le Conseil Pontifical pour la famille conserve toute sa pertinence aujourd’hui, notamment pour évoquer la question du Gender. Ouvrez-le de la page 559 à la page 594 : vous aurez ainsi exploré dans un détail tout à fait suffisant l’idéologie du Gender, que le Lexique explicite au long de trois articles complémentaires. Et si vous ne l’avez pas, rien n’empêche de se le procurer.

La suite est sur le salon beige (drôle de nom)

Les autres articles de Petrus Angel sur "la théorie qui n'existe pas" sont LA.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 09:30

Rien de tel que les images de synthèse des studios Pixar pour donner le goût du « oui, pour toujours, pour le meilleur et pour le pire ». Et fournir ainsi un bon petit coup de main à la théologie.

 

« oui, pour toujours, pour le meilleur et pour le pire »
Le mariage, ce « pacte d’amour pour la vie entre un homme et une femme » , est une formidable aventure, malgré les aléas inévitables liés à la condition humaine : imprévus, rêves qui tombent à l’eau faute de moyens, épreuves telles que la maladie, le chômage ou celle, terrible, de l’infertilité… Cet extrait de l’histoire de Carl et Ellie, les deux héros de « Là-haut », ce long métrage d’animation des studios Pixar (sorti en 2009 mais résistant au temps et à l’actualité) l’illustre de façon émouvante.
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6 septembre 2014 6 06 /09 /septembre /2014 22:32
Qu'est-ce que dit l’Eglise sur le mariage ? Voici les réponses à neuf des questions les plus fréquentes...
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29 août 2014 5 29 /08 /août /2014 07:55

 

Hollande : les anges de la mort d’Amsterdam

 Ils tournent dans la ville d’Amsterdam, prêts à administrer la mort sur demande. Il s’agit d’unités sanitaires mobiles, composées de médecins et d’infirmières – tous volontaires – disposées à  pratiquer l’euthanasie à domicile. Cette initiative controversée qui s’appelleLevenseinde (Fin de Vie) a été introduite en Hollande par la NVVE, Nederlandse Vereniging voor een Vrijwillig Levenseinde, ce qui signifie : association pour une fin volontaire de vie, un groupement qui avec ses 130 000 membres se vante d’être la première organisation d’euthanasie dans le monde.

Ces anges de la mort douce interviennent lorsque les médecins de famille ne sont pas en mesure de faire ou refusent d’administrer l’euthanasie à leurs propres patients. Un appel téléphonique suffit, ou un e-mail, et dans l’espace de 48 heures les services à domicile arrivent. Ce qui a permis, entre autre, de contourner “l’obstacle” qui dérive de l’objection de conscience. En effet, même si la législation hollandaise en matière d’euthanasie est l’une des plus libérales au monde (les Pays Bas ont été la première nation qui l’ait légalisée en 2002), les médecins peuvent toutefois refuser de pratiquer la mort douce pour des motifs éthiques, philosophiques ou religieux.

Walburg de Jong, le porte-parole de NVVE, explique comment se déroule la prestation ... la suite....

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27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 15:30

    Une idéologue du genre à l'Education nationale : Najat Vallaud-Belkacem

On a toujours tort de penser qu'on a touché le fond. Après Vincent Peillon et sa religion laïque, après Benoît Hamon qui exécutait fidèlement son programme idéologique, voici Najat Vallaud-Belkacem, nouveau ministre de l'Education nationale. C'est un des postes majeurs de tout gouvernement socialiste, lieu stratégique de manipulation des esprits et de prédication capillaire des dogmes révolutionnaires. Cette nomination de l'ex-ministre des Droits des Femmes est une promotion de taille, qui récompense un sans-faute idéologique.
Laissons de côté son parcours politique, socialiste forcément ; proche de Vincent Peillon et d'Arnaud Montebourg, la jeune femme d'origine marocaine s'approche depuis longtemps des centres de pouvoir. Ou de ce qu'il en reste dans une France prisonnière de l'Union européenne, une France mondialisée. On sait bien que les gouvernements changent et que la politique imposée à la France demeure : de ce point de vue-là, la nomination de NVB pourrait laisser indifférent.
Mais voilà. Najat Vallaud-Belkacem est non seulement au service de cette pensée unique, elle en est une pasionaria. Notez que cela laisse ouverte la question de savoir si elle est elle-même une « penseuse » de la pensée unique. Seul importe ceci : elle la répand, la promeut, l'impose. Elle a fait de l'« égalité » un absolu, qui écrase tout sur son passage (ce qui est bien dans la nature de l'égalité révolutionnaire).
A ce titre le poste de ministre des Droits des Femmes lui allait comme un gant. Elle était déjà chargée des droits LGBT au parti socialiste, et s'est engagée en faveur du « mariage » des homosexuels. En quoi elle ne fait qu'exprimer la ligne du parti, pourrait-on dire. Mais ses convictions l'ont menée à inscrire cette lutte dans un ensemble, qui va de la promotion de la parité à la direction d'une mission de lutte contre l'homophobie sous Ayrault ; c'était elle, l'instigatrice des ABCD de l'Egalité.
Que ce soit elle qui prenne maintenant – et malgré les protestations qui ont abouti au « gel » de l'expérimentation autour de ces parcours dans certaines académies – la direction de la rue de Grenelle, c'est tout un symbole. Un pied de nez à ceux qui ont cru que le gouvernement faisait marche arrière.
Najat Vallaud-Belkacem a participé à la révision des lois bioéthiques, qui a consacré le droit de recherche sur l'embryon. Elle a soutenu et promu l'avortement : que ce soit à travers son remboursement à 100 % mis en place comme une priorité par le premier gouvernement de François Hollande, par la création du site officiel sur l'« IVG » pour assurer une bonne « information » des femmes qui risqueraient de changer d'avis en tombant sur des sites parlant des inconvénients de l'avortement et des possibilités d'obtenir de l'aide pour garder leur enfant, et enfin par la suppression du mot « détresse » de a loi sur l'avortement légal dans la loi sur l'égalité promulguée symboliquement le 4 août dernier.

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24 août 2014 7 24 /08 /août /2014 07:01

 

 

Grand athée devant l'Eternel, spécialiste de l'évolution et de l'éthologie, professeur émérite de l'université d'Oxford, Richard Dawkins vient de déclencher une tempête sur twitter en écrivant qu'il serait « immoral » de ne pas avorter un enfant atteint de trisomie 21, rapporte LifeSiteNews.
La « conversation » a démarré par un commentaire de Dawkins à propos de l'affaire qui agite actuellement l'Irlande, où une jeune femme a accouché par césarienne alors qu'elle réclamait un avortement au nom de ses pensées suicidaires. « L'Irlande est un pays civilisé sauf dans 1 domaine », écrivait-il en commentant un article sur l'Eglise catholique qui « préfère la barbarie médiévale à l'avortement moderne. »
L'avortement est-il donc « civilisé » ? Est-il civilisé d'éliminer ainsi les enfants trisomiques ? Oui, répond Dawkins : très. « Il s'agit de fœtus, diagnostiqués avant d'avoir des sentiments humains. »
Une femme lui écrit : « Je ne sais pas honnêtement ce que je ferais si j'étais enceinte d'un enfant atteint de trisomie 21. Un vrai dilemme éthique ». Réponse de Dawkins : « Avortez et essayez de nouveau. Il serait immoral de le mettre au monde si vous avez le choix. »

20 août 2014. La suite...

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19 août 2014 2 19 /08 /août /2014 08:08

 

Dorine Bourneton : Comment j'ai gagné mes ailes malgré mon handicap

Source.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 07:58

 

 

Juanjo Romero d’Infocatolica rapporte que la « gaystapo », comme il le dit, a de nouveau dénoncé l’évêque espagnol Juan Antonio Reig Pla pour propos interdits. Ils avaient été largement diffusés : il s’agissait de son homélie lors de la messe télévisée diffusée le 3 août par la 2e chaîne nationale. C’est donc une plainte pénale qui le vise, pour avoir dit qu’il « existe une différence sexuelle entre l’homme et la femme ».
« Comme aux temps du chef homosexuel des SA, Ernst Röhm, ils recommencent à tenter de réduire au silence quiconque ne se plie pas à la pensée politiquement correcte », commente Romero.
La vidéo de l'homélie est ici.
L’évêque d’Alcala de Henares avait osé dire :
« Tu est fils de Dieu. Tu as été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, tu as été créé en tant qu’homme et en tant que femme. C’est une chose qui est aujourd’hui obscurcie en Espagne. Tant de lois l’ont oublié !
Tant de lois en Espagne, récemment approuvées (…) oublient la différence sexuelle homme-femme. »
Et quelques autres choses sur le respect de la vie depuis sa conception jusqu’à sa fin naturelle, le non respect de la « différenciation sexuelle » à travers la « mal nommée transsexualité ».
Bien que Mgr Reig Pla ait obtenu il y a trois mois une décision de justice reconnaissant sont droit de prêcher ce qu’enseigne l’Eglise sur l’homosexualité, des associations homosexuelles reviennent donc à la charge.
Le voici accusé de « diffuser des discours homophobes comme s’ils étaient neutres » : c’est une « atteinte aux droits de l’homme » ! Son discours représente un « danger pour la vie » des LGBT, fomentant « la haine, l’agression et même l’assassinat ». La diffusion par la télévision publique est une circonstance aggravante : elle aurait dû assortir l’émission d’une mise en garde.
Le premier avis n’aura pas suffi à faire taire le prélat. « Gracias, monseñor », conclut le bloggueur.
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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 09:46

 

Les “acheteurs” de Gammy auraient préféré qu’il soit avorté

 

Le couple d’Australiens accusés d’avoir abandonné Gammy, leur fils trisomique, porté à terme par une Thaïlandaise dans le cadre d’une « gestation pour autrui », a avoué ce week-end qu’il aurait mieux valu selon lui que l’enfant soit avorté.
David Farnell a déclaré au cours de la première interview publique donnée par le couple au journal australien 60 Minutes : « S’il avait été possible de faire “terminer” l’embryon en toute sécurité, nous l’aurions probablement “terminé”. » Je choisis délibérément le terme anglais, violent mais juste, de « terminer » au lieu d’écrire avorter, même si ce dernier mot est plus exact. Car il s’agit bien d’une fin violente. Non d’une « interruption ».
« Je ne crois pas qu’il y ait de parent qui désire un fils ayant un handicap », a-t-il poursuivi, flanqué de son épouse Wendy. « Les parents veulent que leurs enfants soient heureux et en bonne santé et qu’ils puissent faire tout ce que font les autres enfants. »
Mieux : le couple a révélé qu’ils ont demandé à l’agence de gestation pour autrui opérant à Bangkok de leur faire une ristourne parce que l’un des deux enfants portés s’est révélé atteint de trisomie 21. « Je leur ai dit : “Rendez-nous notre argent. Tout cela est de votre faute. » Le couple accuse l’agence d’avoir mal fait son travail parce que le diagnostic de trisomie 21 n’a été fait qu’à un stade avancé de la grossesse, et ils ont donc été avertis très tard. « Nous étions très désemparés et nous leur avons dit : “C’est de votre faute. Vous devez maintenant assumer au moins une part de la responsabilité. »
David et Wendy Farnell assurent néanmoins qu’ils n’ont jamais fait pression sur la mère porteuse afin qu’elle avorte, et qu’ils n’ont jamais abandonné l’enfant. Ils avaient simplement l’intention de retourner plus tard à Bangkok pour le récupérer, ont-ils affirmé. Ils affirment aussi que la mère porteuse semblait vouloir garder la petite fille, elle en parfaite santé : « Nous avons pris peur, nous avons craint de la perdre. Il fallait que nous partions aussi vite que possible avec elle », raconte désormais le père.
Dans cette opération, la mère porteuse, Pattharamon Janbua, a gagné 12.000 $ pour mener la gestation à terme. Devant s’occuper de Gammy, le petit garçon trisomique, elle a lancé un appel à l’aide international qui lui a déjà rapporté, à elle et son mari, quelque 240.000 $. Elle n’entend plus le lâcher. Dans un contexte de marchandisation des êtres humains provoquée par le recours à la GPA, on serait tenté de croire que la maladie de ce petit garçon a elle aussi une valeur marchande… Comment ne pas devenir cynique devant de telles affaires ?
De son côté, David Farnell a dû répondre au cours de son interview à des questions sur ses condamnations à la fin des années 1990 pour agressions sexuelles sur des mineures et même des fillettes d’à peine 7 ans. Ses pulsions, a-t-il répondu, ont cesse « à 100 % ». « Je ne pourrai pas recommencer. Je ne peux pas. Je sais que je n’ai aucune pulsion de cette nature. J’ai su cela depuis 30 ans. Je n’ai aucune pulsion. » Ah…
Le tollé international autour de l’affaire Gammy a quelque chose de surréaliste. Tout le monde sait que la GPA, c’est de la location de ventre : même Pierre Bergé. 96 % des enfants à naître diagnostiqués porteurs (ou plutôt probables porteurs) de trisomie 21 sont avortés en France ; la proportion est semblable dans d’autres pays dits civilités. La « réduction embryonnaire » – l’élimination d’un bébé malformé ou juste de trop au cours d’une grossesse multiple – est elle aussi monnaie courante. L’existence de contrats relevant de l’esclavage dans le cadre de la GPA est elle aussi connue de tous, ou peut l’être avec un minimum de curiosité.
On sait déjà quelle sera la retombée de cette tragédie pour la France : on réclamera l’encadrement légal de la pratique de la GPA afin que les femmes et les couples n’aillent pas l’organiser à l’étranger dans des conditions épouvantables…
Jeanne Smits, 12 août 2014, sur son blog
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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 06:32

 

Déjà trop d'euthanasies en France encouragées par la réduction des dépenses de santé

 Nicole Delepine, responsable de l'unité d'oncologie pédiatrique de l'hôpital universitaire Raymond, publie un dossier dans Economie matin sur le sujet : "L'euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé". Dénonçant déjà trop d'euthanasies en France, elle décrypte le glissement de notre pays vers l'euthanasie, et explique pourquoi il ne faut pas la légaliser, ce projet étant poussé par des raisons plutôt économiques que compassionnelles.

Tout d'abord elle rappelle que l'euthanasie, bien qu'illégale, est déjà pratiquée en France : "3,1% des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8% des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2% seulement à la demande du patient)". Bien qu'illégale, l'euthanasie est pratiquée, selon l'Institut national d'études démographiques (Ined), "dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient [...] et concerne particulièrement les malades souffrant de cancer". Ces trop nombreuses "morts précipitées" interpellent Nicole Delepine. Elle en explique les raisons : "le gouvernement et en miroir les soignants voire les familles ont pris l'habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. Dans les réunions hospitalières  [...]on a l'habitude d'entendre au nom de la toute puissance collégiale :"cette vie ne vaut pas la peine d'être vécue" ou "pourquoi réanimer cette enfant handicapée?". Elle dénonce l'utilisation des souffrances des familles pour les amener à prendre la décision de fin de vie de leur proche qui en réalité a été choisie par les médecins eux-mêmes. Il s'agit, pour elle, d'une véritable mise en condition pour légaliser l'euthanasie.

La suite de cet article de 2013.

Nicole delépine, le site officiel Pédiatre et oncologue, Nicole Delepine anime un blog "pour une médecine humaine".

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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 19:59

 

Cancer des enfants : de bons résultats qui gênent la "mafia pédiatrique"

Dans l'affaire de l'hôpital de Garches, le docteur Nicole Delépine dénonce à la fois la "mafia pédiatrique", qui conteste ses méthodes (alors qu'elle n'a pratiqué aucune amputation en 30 ans pour le cancer des os, et son taux de guérison avoisine les 90%) et l'hypocrisie de l'Etat :

"L’arrêt Mercier (1936) qu’elle cite à plusieurs reprises revient comme fil rouge du combat qu’elle mène depuis trente ans. « Le médecin ne s’engage pas à guérir mais à donner des soins. Des soins non pas quelconques, mais consciencieux, attentifs et conformes aux données de la science. »

Mais cette éthique revendiquée semble déranger l’administration et d’autres médecins. « Le jour où l’on a dit qu’on sortait des essais thérapeutiques de l’EORTC (European Organisation for Research and Treatment of Cancer) pour appliquer d’autres méthodes publiées et certifiées, on est devenu des vilains petits canards, regrette-t-elle. Pourtant, on est l’un des rares services à n’avoir jamais eu de plaintes de patients en trente ans. » Une réputation sulfureuse qui s’étend au-delà des frontières de l’hôpital de Garches. Parfois les parents doivent braver des obstacles pour placer leurs enfants dans son service. « Quand j’ai prononcé le nom du Dr Delépine, on m’a dit que j’emmenais mon enfant dans le couloir de la mort et que j’étais un parent irresponsable », explique Sabrina, la mère de Llya, en rémission depuis un an et demi.

la suite...

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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 19:04

 

Une histoire qui devrait faire réfléchir ceux qui poursuivent l'éradication de ces malades : 

"Il y a quelques jours, les candidats au baccalauréat découvraient s'ils avaient ou non réussi à l'examen. Et c'était un événement.  A Casablanca, au Maroc, une élève atteinte de Trisomie 21 a, elle aussi, créé la surprise en devenant également bachelière. La jeune fille, Jasmine Berraoui, a obtenu l'honorable note de 12,3/20 dans la branche des sciences physiques, ce qui lui vaut la mention Assez Bien. 

En décrochant ce diplôme qui lui ouvre la voie à l'université, la jeune fille a démontré qu'elle pouvait aller au delà de son handicap et vivre comme les autres. Un pied de nez à cette maladie génétique qui a longtemps mis à l'écart un grand nombre de ceux qui en étaient atteints. C'est le message que son père journaliste, Jamal Berraoui a tout de suite voulu faire passer, en écrivant un article élogieux mais aussi plein d'amour pour sa fille" (suite).

Le Salon Beige

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28 juin 2014 6 28 /06 /juin /2014 22:59

 

Tapez sur Google "gay pride", puis Images.

C'est tout.

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 23:25

Pierre Simon

Pierre Simon relate son histoire dans son livre autobiographique “De la vie avant toute chose” publiée chez Mazarine en 1979.

Pierre Simon dans le texte

C’est ce livre que nous allons découvrir maintenant. Ce document est très intéressant car il nous éclaire sur les convictions et la démarche de son auteur. Mieux, il nous présente sa conception de la vie et ce qui a motivé ses travaux politiques pour la légalisation de la contraception, de l’avortement et de l’euthanasie. Et, surprise, nous voyons que la lutte contre les avortements clandestins n’est pas le seul argument qu’il avance pour justifier la loi sur l’IVG. Pierre Simon mentionne aussi… la lutte contre la prolifération des “tares génétiques”. Autrement dit l’eugénisme.

“De fait, longtemps, et dans les pays latins plus qu’ailleurs, la vie fut un don de Dieu dont elle procédait. La médecine officielle en arrivait à confondre déontologie et théologie, comme en France, où l’Ordre des médecins sert de porte-voix à l’Église. Un respect “absolu” -ou plutôt aveugle- de la vie se retourne contre lui-même et, ruiné par les moyens qu’il emploie, dévore ce qu’il entend préserver : la qualité de la vie, l’avenir de l’espèce. La prolifération des tares héréditaires et les avortements clandestins sont les fruits amers de ce fétichisme.”

Le raisonnement de Pierre Simon s’appuie sur une anthropologie originale, une conception de la vie entièrement nouvelle. Selon lui, la vie n’est pas quelque chose de reçu par une entité supérieure (Dieu ou la Nature), elle n’existe pas par elle-même… Son “concept de vie” est que celle-ci est un “matériau” dont les hommes ont la charge. Et quand il dit “les hommes” il entend par là la “société” au sens de corps social, de collectif.

“La vie est ce que les vivants en font : la culture la détermine. Sa trame n’est autre que le réseau des relations humaines. Le fil des jours la tisse. La culture n’est donc pas ce qui s’ajoute à la vie : le concept de vie mûrit en elle. Ainsi -mais ce n’est qu’un exemple- la façon dont les sociétés successives, à l’échelle de l’histoire, abordent des affaires aussi graves que l’avortement, suffit à rappeler la prééminence de la société sur l’individu. Ce n’est pas la mère seule, c’est la collectivité toute entière qui porte l’enfant en son sein. C’est elle qui décide s’il doit être engendré, s’il doit vivre ou mourir, quel est son rôle et son devenir.”

Et il précise :

“Cette vie qui nous vint si longtemps d’un souffle de Dieu posé sur notre argile, c’est comme un matériau qu’il faut la considérer désormais. Loin de l’idolâtrer, il faut la gérer comme un patrimoine que nous avons longuement, patiemment, rassemblé, un héritage venu du fond des millénaires, dont nous avons, un instant, la garde. Telle est à mes yeux la seule façon d’aimer vraiment la vie et de la partager avec les hommes, mes frères. Une richesse, cette vie, confiée à la garde de l’espèce, comme les forêts, les océans, les rivières, mais avec ceci de singulier que chacun d’entre nous en est le véhicule : cette charge de vie a son corollaire ; veiller à ce que le matériau ne se dégrade pas. Ce serait nous dégrader nous-mêmes et ruiner l’espèce.”

Veiller à ce que le “matériau” ne se dégrade pas afin de ne pas ruiner l’espèce… 

 

Ca ne vous rappelle rien ? L'article complet est ICI.

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 09:23

Un moment d'histoire qui n'a évidemment rien à voir avec l'actualité.

 

Quand le destin fait croiser à Brandt la route d’Hitler...

Le destin de Brandt va basculer un jour du printemps 1933 où, roulant en voiture avec sa fiancée Anna Rehborn, il se retrouve derrière la Mercedes d’Hitler qui se rendait au Berghof. La route est sinueuse et le chauffeur du führer perd le contrôle de la voiture dans un virage. Hitler sort indemne de l’accident au contraire du chef de sa garde personnelle, Wilhelm Brückner, qui est gravement blessé à la tête. Mais en lui prodiguant les premiers soins, Brandt lui sauve la vie. Reconnaissant, Brückner intercède l’année suivante auprès d’Hitler pour que celui-ci prenne Brandt comme médecin personnel. Le führer accèder d’autant plus volontiers à cette requête que Brandt est un nazi de la première heures ayant adhéré au parti national-socialiste et à la Ligue national-socialiste des médecins dès 1932.

Promu Sturmbannführer dans la SS en 1937, Brandt est chargé début 1939 de superviser le « Gnadentot » d’enfants handicapés et de diriger avec Philipp Bouhler, le chef de la chancellerie, l’exécution du programme d’euthanasie. Le 14 juillet 1933 Hitler avait déjà publié une loi sur la stérilisation des handicapés mentaux qui n’avait alors rencontré que les critiques du clergé. Le décret secret du 1er septembre 1939 va encore plus loin dans l’horreur. Le texte prescrit non plus de stériliser mais de mettre à mort les handicapés ainsi que les marginaux et les dépressifs ! Le prétexte est de libérer des lits d'hôpitaux pour les futurs blessés de guerre alors que la guerre vient d’être déclarée.

Brandt et Bouhler vont alors débuter leur sinistre activité au n°4 de la Tiergartenstrasse, à Berlin, d'où le nom de code « Aktion T4 ». Les fonctionnaires du T4 expérimentent différents moyens d’extermination dont le poison avant de découvrir le gaz. Dans un premier temps, ils enferment leurs victimes dans un local et y injectent les gaz d'échappement d'un camion. Très vite, le procédé se perfectionne. En janvier 1940, une quinzaine de malheureux sont conduits dans une fausse douche et asphyxiés au monoxyde de carbone. Les cadavres sont ensuite incinérés. Leurs familles sont avisées par lettre de la mort accidentelle de leur parent et invitées à récupérer les cendres.

La courageuse opposition du « lion de Münster »

Cette opération qui devait rester secrète ne le resta pas bien longtemps, mais une fois encore seules les autorités religieuses osèrent s’élever contre le Führer. Monseigneur Von Galen est alors surnommé le « Lion de Münster », principal opposant de l'Église d'Allemagne au Troisième Reich, et s’attire les foudres des nazis après une série d’homélies contre l'euthanasie des invalides, les attaques à l'encontre de l'Église et les atteintes aux droits de l'Homme : « C’est une doctrine effrayante que celle qui cherche à justifier le meurtre d’innocents, qui autorise l’extermination de ceux qui ne sont plus capables de travailler, des infirmes, de ceux qui ont sombré dans la stérilité... N’a-t-on le droit de vivre qu’aussi longtemps que nous sommes productifs ?

 » L’évêque catholique de Berlin condamne lui aussi le décret scélérat de Hitler dénonçant en chaire « les meurtres baptisés euthanasie ». Hitler songera à faire tuer Mgr Von Galen, mais Goebbels l’en dissuadera pour éviter de rentrer en conflit avec les chrétiens. Finalement, le 24 août 1941, le Führer décide de suspendre l’opération « Aktion T4 ». Mais, déjà, près de 100.000 handicapés ont été assassinés en moins de deux ans...

L'article complet

 

 

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 08:16

 

Dans Le FigaroJean-Marie Guénois remarque que nos évêques sont bien silencieux, alors que Vincent Lambert vient d’être condamné par le Conseil d’Etat à mourir de soif et de faim et que, simultanément, le docteur Bonnemaison a été acquitté pour avoir empoisonné des patients. Etrange silence qui rapelle celui lors de la loi Veil en 1974. Nos évêques ont simplement fait publier la note d’un prêtre de Paris. Aucun n’a semble-t-il voulu intervenir dans les médias ou en chaire pour dénoncer, comme en son temps Mgr von Galen, le lion de Münster, qui avait dénoncé fortement l’euthanasie au point de faire reculer le régime hitlérien.

« Aucun évêque de l’Église de France n’a voulu commenter, mardi après-midi, la décision du Conseil d’État à propos de l’affaire Vincent Lambert. À l’exception du cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon qui, sollicité par Le Figaro, a observé: «Devant toute grande souffrance humaine, c’est le silence qui s’impose. Mais devant l’avis du Conseil d’État, nous ne pouvons pas ne pas nous interroger: notre pays gardera-t-il le respect de toute vie humaine comme une norme fondamentale de notre vivre ensemble ? »

 La suite ...

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 13:29

 

Vont se multiplier des homicides larmoyants

Fabrice Hadjadj, écrivain et philosophe, directeur de l'Institut européen d'études anthropologiques Philanthropos, déclare au Figarovox :

"Trois remarques toutefois s'imposent. La première concerne la confusion progressive du métier de médecin et de celui de tueur à gages, parce que, pour ne pas avouer ses limites, on se met à confondre supprimer la douleur et supprimer la personne. Deuxièmement, nous assistons à un intéressant développement du meurtre par compassion: jadis, on éliminait bravement, sans merci ; maintenant, c'est au nom de la pitié, parce qu'il faut se justifier devant une conscience devenue historiquement chrétienne. Nous avons de plus en plus, selon le mot de Bernanos, «la tripe sensible et le cœur dur», si bien que vont se multiplier des homicides larmoyants. Enfin, dès lors qu'on est dans l'évaluation subjective, quelqu'un va se trouver digne ou indigne de vivre à partir des critères de performance actuels: quoi? Tu ne peux plus trimer ni consommer? À la casse! On oublie que le Christ en croix est un tétraplégique, et que tout tétraplégique, même à la conscience diminuée, peut nous rappeler à l'essentiel, nous arracher à l'activisme et à la dispersion, nous tourner vers la simple grâce d'être là, côte à côte, à crier vers le mystère, à aimer au-delà du bien-être. Notre condition est tragique, mais on veut la réduire à un problème technique, soluble d'un seul clic."      

Lu  ICI   

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 07:01

 

cesinstantsprecieux3

Le documentaire "CES INSTANTS PRÉCIEUX" a été réalisé dans les pas des équipes des unités de soins palliatifs qui accompagnent les patients jusqu’au terme de leurs vies. Parmi eux, un jeune homme atteint du sida, une jeune femme arrivée avec une demande d’euthanasie et qui, une fois leurs douleurs physiques traitées, ont redécouvert l’amitié et des raisons de vivre. 
Comme nous le dit ce grand médecin: "Il y a demande d’euthanasie si le patient se sent totalement rejeté de l’espace des vivants." 
Mais derrière cette demande, il y a profondément inscrit dans le coeur des malades cette question : «est-ce que vous m’aimez encore ?» 
Le DVD "ACCOMPAGNER LA FIN DE VIE" est proposé au grand public et aux équipes médicales. Il comporte 3 films : "Ces Instants Précieux", une table-ronde sur la question de l'Euthanasie et le film "Vers une nouvelle approche de la mort". 
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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 22:36

 

Bernanos écrivait : "On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas tout d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure". Quoi de plus vrai à l’heure où un grand nombre de municipalités font tourner de la musique dans leurs rues, où la télévision allumée en permanence ne sert plus qu’à "vendre du temps de cerveau disponible", où chacun se balade avec un casque sur les oreilles, où les supermarchés finiront bientôt par ouvrir le dimanche ? Comment serait-il possible de développer une vie intérieure quand tout est fait pour que la vie extérieure soit une course permanente, sans le moindre temps mort ?

Ne manquez pas tout l'article ICI

 

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 08:17

 

Lors des oraux d’admission au Capes, les candidats présentent deux épreuves : la première dite de « leçon » (trente minutes d’exposé sur un sujet tiré au sort suivies de trente minutes d’entretien) et la seconde dite « épreuve sur dossier ».

Cette épreuve sur dossier se déroule en deux temps :

- Vingt minutes de réflexion et analyse sur un sujet en histoire ou en géographie (selon la matière non présentée à la leçon), à partir de trois documents (suivies de vingt minutes d’entretien)
- Dix minutes de réflexion et analyse sur un quatrième document se référant à cette fameuse compétente « agir en fonctionnaire de l’état de façon éthique et responsable ».

Cette année, le jury a poussé l’idéologie ambiante à son paroxysme. Le sujet posé à de nombreux candidats le lundi 16 juin posait ainsi deux questions à l’épreuve sur dossier en géographie :

- L’étude des discriminations, notamment de sexe et de genre, est-elle pertinente pour aborder les conflits en géographie ?
- En quoi les luttes contre les stéréotypes filles-garçons participent-elles à régler les situations conflictuelle ?

Outre l’absence de lien direct avec les compétences en géographie des futurs enseignants, les documents à l’appui étaient d’une rare objectivité : préface d’un ouvrage Genre et construction de la géographie, extrait du rapport remis en janvier 2014 à Najat Vallaud-Belkacem pour la lutte contre les stéréotypes du genre… Aucune place n'est laissée à la réflexion, dans la mesure où les questions et les documents sont trop orientés et partisans pour permettre un débat contradictoire.

Nous sommes nombreux à avoir eu ce sujet : c'est donc bien la ligne officielle de recrutement des profs et non un dérapage d'un examinateur un peu trop zélé.

C’est donc officiel. Le changement de civilisation promis par Mme Taubira et le changement des mentalités voulu par M. Peillon passent par l’école. École dans laquelle les professeurs seront cette année sélectionnés non en fonction de leurs compétences disciplinaires et pédagogiques, mais bien en fonction de leur adhésion à une idéologie d’État.

Lisez l'article complet ICI.

Heureusement, "la théorie du genre n'existe pas". Nous voilà rassurés.

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 14:56

 

Le président de la République a demandé une loi permettant à un majeur atteint d'une maladie incurable de demander «une assistance médicalisée pour terminer sa vie en dignité». Le texte pourrait être présenté d'ici à la fin de l'année.

En attendant, la propagande pro-euthanasie est de retour avec le nouveau procès de Nicolas Bonnemaison, qui s'ouvre mercredi, devant les assises des Pyrénées-Atlantiques. Poursuivi pour avoir tué 7 patients (au minimum), l'ancien urgentiste avait été radié par l'Ordre des médecins. Il comparaît libre.

Plus de 250 médecins ont dénoncé dans une lettre ouverte à François Hollande la radiation de l'urgentiste. Une pétition en sa faveur a également recueilli 60 000 signatures... Une seule famille de victime s'est constitué partie civile contre Nicolas Bonnemaison. Les six autres n'ont pas estimé devoir le faire.

11/06/2014. Lu sur Culture de mort : Euthanasie 

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 09:45

L'ouverture du procès du Dr Bonnemaison a donné lieu à des reportages tous orientés dans le même sens. 

On y a entendu : "relance le débat", "hypocrisie", "légume", "laisser souffrir", "aider à mourir". 

Comme d'hab'. 

Euthanasie: Alliance Vita veut mobiliser la rue si le gouvernement légifère

Publié le 11.06.2014

L'association Alliance Vita, proche de la Manif pour tous, a prévenu mercredi à l'ouverture du procès du Dr Bonnemaison, à Pau, que "si le  prend le risque de bouleverser l'équilibre de la loi Leonetti" sur la fin de vie, il y aura "une vaste mobilisation unitaire dans la rue".
"Nous participerons à une vaste mobilisation de rue si le gouvernement prend le risque de bouleverser l'équilibre de la loi Leonetti en y introduisant l'euthanasie ou le  assisté", a souligné Alliance Vita, association animant le service d'écoute et d'aide "SOS Fin de vie". 
Nicolas Bonnemaison, 53 ans, comparaît jusqu'au 27 juin devant la Cour d'assises des Pyrénées-Atlantiques pour l'empoisonnement de sept patients en fin de vie.
Adoptée en 2005, la loi Leonetti encadre les conditions de fin de vie et interdit l'acharnement dans la poursuite des soins, le plus souvent pour des personnes en fin de vie ou souffrant de maladies graves et incurables. Mais elle ne permet ni l'euthanasie - qui désigne l'acte d'un tiers pour donner la  - ni le suicide assisté.
"Les personnes âgées ont un besoin urgent de se sentir défendues et protégées au sein même de notre système de santé. Ce sont les premières à pâtir du surmenage du personnel médical, des lacunes en matière de formation voire d'une forme de toute puissance, qui causent de trop nombreuses maltraitances. Or, la maltraitance ultime pour les personnes âgées fragiles, c'est bien l'euthanasie", écrit dans un communiqué le délégué général d'Alliance Vita, Tugdual Derville.
"Notre société serait-elle prête à fermer les yeux sur l'administration de la mort à autrui à partir du moment où la victime est âgée? Certaines personnes âgées fragiles que nous accompagnons subissent déjà une forme d'euthanasie sociale. Parfois, elles sentent qu'elles encombrent leur famille comme si leur vie n'avait plus de valeur, comme si elles avaient +fait leur temps+", a poursuivi M. Derville.

   

 - Lu sur leparisien.fr

Sur Petrus Angel, les idées claires sur l'euthanasie !!!

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