à Valenciennes
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à Valenciennes
de Vélasquez aussi
La reddition de Breda, au Prado de Madrid
C'est une merveille à examiner de près.
Il s'agit d'un drame, la bataille fait encore rage
dans le fond gris du lac ;
la composition est remarquable, particulièrement bien équilibrée.
Notez la somptuosité du paysage en arrière plan, qui est sensationnel.
Remarquez les expressions des visages, le gars qui est au-dessus de la queue du cheval qui regarde vers nous, le personnage à gauche qui est distrait.
Et surtout les deux personnages centraux. Celui qui tend la clé, le vaincu, et celui qui, en armure noire, l'accueille. Remarquez la beauté de son visage, et pourtant ces gars se sont battus jusqu'à s’entretuer. Il y a des morts et des blessés. Ce ne sont plus des adversaires ni des ennemis : ce sont deux hommes qui se regardent avec bienveillance. Comparez cela avec la photo de la reddition de l'Allemagne à Reims : il est certain que cela démontre deux styles de civilisation. Même si toutes les redditions ne se sont pas passées comme celle de Breda, il est significatif que ce soit justement celle-là qui soit pour ainsi dire montrée en exemple par le peintre qui trouve digne qu’on en fasse mémoire : encore un signe de civilisation.
la suite ici : http://www.ichtus.fr/article.php3?id_article=314
"Cet exceptionnel tableau historique destiné au Salon des Royaumes du Palais de Buen Retivo commémore la bataille de Breda. La scène se passe au moment où Justin de Nassau, chef des troupes hollandaises, remet les clés de la ville à Ambroglio Spinola, commandant de l’armée espagnole. Ce dernier dans un geste de suprême élégance, empêche le vaincu de s'agenouiller. Cette composition extrêmement complexe, donne cependant une impression d'instantanéité. Pourtant chaque détail est rendu avec une précision parfaite, les tissus, les ors, les plumes des chapeaux etc... Les deux groupes qui se font face, constitue une véritable galerie de portraits. La profondeur de la scène est rendue par une succession de plans, par une gamme variée d'effets lumineux. " (in "Grand Alpha de la peinture", n° 29).
Aussi beaux, aussi différents soient-ils, édifices et monuments romains ont une grandeur que seul le témoignage des siècles permet de saisir en profondeur. Ainsi ce n'est plus uniquement l'oeuvre que l'on voit mais le message qu'elle porte, ce ne sont plus seulement des vestiges que l'on découvre mais la mémoire d'un passé, ce n'est plus simplement l'art que l'on apprécie mais l'au-delà vers lequel il nous conduit.
Renouvelés dans notre regard, comment pourrons-nous rester insensibles à la majesté des basiliques, à la pureté des fresques des catacombes, à l'enchantement des couleurs des mosaïques ?
S'appuyant sur la foi des premiers Apôtres Pierre et Paul, sur les écrits de saint Grégoire le Grand, Dominique Perrin inscrit ici la démarche culturelle dans une dimension spirituelle.
Facile à emporter, cet ouvrage, abondamment illustré, allie cartes et plans avec des conseils de parcours pour 3, 5 ou 7 jours dans plus de 40 lieux de visites, des plus prestigieux aux plus méconnus.
Richesses de Rome, de Dominique Perrin , chez Tequi
100 oeuvres commentées du Palais des Beaux-Arts de Lille
http://www.pba-lille.fr/spip.php?rubrique8
Echappées nordiques... dans le Nord,
au Palais des Beaux-Arts de Lille
autour de l'exposition : concerts, cinéma, conférences
pour en savoir plus ... http://www.pba-lille.fr/spip.php?rubrique71
Montmartre s'affiche dans ses collections
L’exposition ici présentée propose une sélection d’affiches parmi celles que conserve le musée de Montmartre dans ses collections permanentes.
Ce nouvel accrochage tend à mettre à l’honneur un aspect jusqu’alors peu exploité : la collection exemplaire d’affiches lithographiques conservée par le musée autour de personnalités représentatives : Toulouse Lautrec, Steinlen, Chéret, Willette, Forain, Grün…
La présentation permet d’approcher les grands établissements qui ont fait la renommée de Montmartre à la fin du XIXeme siècle et au début du XXeme, ce par le biais des premières « réclames ». A cette période, on assiste à l’explosion artistique de la Butte : les lieux de divertissements se multiplient ; on voit toutes les classes sociales se côtoyer au sein de ces nouvelles institutions. Cabarets, théâtres, cirques…, tous ont recours à la publicité et le développement de l’affichage en ville s’accélère.
C’est l’époque à laquelle Toulouse Lautrec se passionne pour la lithographie et offre au Moulin Rouge ainsi qu’à Bruant, La Goulue, Yvette Guilbert ou Jane Avril, leurs lettres de noblesse. Steinlen s’illustre au Cabaret du Chat Noir. La frénésie gagne tous les artistes montmartrois comme les établissements. Chacun veut son affiche. Celle-ci révolutionne le monde de la publicité ainsi que la physionomie des rues parisiennes.
« L’affiche devient un art à part entière ; un révélateur social. »
au Musée de Montmartre : http://www.museedemontmartre.fr/
Femme à la balustrade
Monaco accueille une exposition Van Dongen
http://www.nmnm.mc/
Églises romanes, havre de fraîcheur et de paix
L'été chaud, coloré, riant et… quelquefois bruyant, est enfin arrivé. Personne ne s'en plaindra. Un instant, plus ou moins long, échapper aux rayons solaires brûlants et retrouver la fraîcheur et le calme pour repartir comme « ressourcé », c'est la pause culturelle (et cultuelle pour certains) qu'offrent chaque dimanche après-midi les églises romanes St-Julien (dans le vieux Sennecey) et St-Martin (sur la colline du même nom).
En effet, tout au long de l'été, des bénévoles assurent chaque après-midi des dimanches et jours fériés, de 15 heures à 18 heures, l'ouverture de ces édifices romans classés au patrimoine des monuments historiques.
L'église St-Julien date du XIe siècle, elle a été transformée au XVe siècle avec la réalisation de deux chapelles seigneuriales et du chœur dont les fresques d'origine, en état exceptionnel de conservation, (représentant les quatre évangélistes) ont été débarrassées des badigeons qui les masquaient lors de travaux de restauration en 2003/2004. Son clocher carré comprend 2 étages, sa toiture à pans est couverte de laves. Cette église accueillera du 10 au 22 juillet une exposition « Restauration du patrimoine et métiers d'art ».
L'église Saint-Martin de Laives trouve elle aussi son origine au XIe siècle, elle surplombe les plaines de la Saône et de la Grosne ce qui l'a fait appeler « phare de la Bourgogne du sud », offrant une magnifique vue panoramique aux visiteurs. Le village qui entourait l'Église a disparu définitivement au XIVe siècle en raison des guerres et des épidémies de peste. Les murs présentent plusieurs arcades lombardes réunies par de petites arcatures, décorations spécifiques du premier art roman. Le clocher lombard comportait à l'origine trois ouvertures symbolisant La Trinité.
Dans le transept se trouve la première coupole sur trompes de Bourgogne. L'acoustique renommée de l'édifice est due à la configuration du chœur et à la présence de pots de résonance enfouis dans les parties supérieures de la nef. Dimanche 6 juillet à 10 h 30, la messe sera célébrée à St Martin comme annuellement et un concert sera proposé à 17 heures.
S.P.
Pour tous renseignements, contacter l'Office de tourisme tel 03 85 44 82 54.
Le journal de Saône et Loire
relevé par le site d'UNITAS : http://www.unitas.fr/
Epluchage des légumes en communauté (détail) |
On désherbe (détail) |
La fin de la récréation (détail) |
Buanderie : on vide la machine (détail) |
Avec l’un des plus beaux logos qu’il m’ait été donné de voir sur le moteur de recherche, Google célèbre aujourd’hui l’anniversaire de la naissance de Diego Rodríguez de Silva y Velázquez, incroyable peintre espagnol du XVIIe Siècle. Le logo choisi pour cet évènement est une libre interprétation de sa toile la plus célèbre, les Ménines, représentant l’infante Marguerite d’Espagne entourée de ses dames d’honneur :
http://www.search-engine-feng-shui.com/2008/06/06/logo-google-fete-la-naissance-de-diego-velasquez/
L'Absinthe, la Fée verte à Montmartre | |
| Du 1er avril 2008 au 30 juin 2008 Cette exposition permet d'aborder l'histoire de cette liqueur populaire, qui dépassa la consommation de vin à la fin du XIXeme siècle, son influence sur les artistes et la société |
Quand le talent du peintre et la force de son art sont à l’extrême opposé de ce qu’ils représentent, à savoir la déchéance...
la suite : L’absinthe de Degas
DAUMIER, Honoré, "En chemin de fer. Un voisin agréable, 1862"
La BNF expose Daumier : http://expositions.bnf.fr/daumier/
Vu à la télé : l’expo « Monumenta » au Grand Palais à Paris :vous pouviez voir dans le reportage une « médiatrice culturelle » chargée de vous expliquer ce que vous pourriez ne pas comprendre par vous-même.
Lu sur le site de Monumenta : « Magnifique. Très beau montage, sobre, lyrique, poétique à la fois. »
Qui a dit f... de g... ?
La Bibliothèque Nationale de France célèbre le « Michel-Ange de la caricature » à l'occasion du bicentenaire de la naissance de l'artiste (1808-1879). Une sélection de deux cent vingt pièces issues de ses collections met en lumière l'évolution de l'écriture lithographique d'Honoré Daumier, aussi personnelle dans sa graphie qu'universelle dans le message contenu. Elle permet de comprendre comment ses innovations techniques et stylistiques, ses partis pris esthétiques l'ont inscrit dans l'histoire de l'art parmi les « maîtres de l'estampe ».
www.bnf.fr
Honoré Daumier, Croquis pris au théâtre, "On dit que les Parisiens sont difficiles à satisfaire, sur ces quatre banquettes pas un mécontent..."
© BnF, dpt. Estampes et photographie
en deux scènes - c'est de la BD - cherchez bien !
réponse sur http://catholique-rouen.cef.fr/spip.php?article1518
Ce qui nous séduit d’entrée de jeu dans cette toile, car c’est la démarche naturelle de l’oeil humain que de prendre d’abord en compte les informations qu’il puise dans les couleurs perçues, c’est le chatoiement des couleurs fraîches et gaies, élégamment dégradées du vert au bleu. Tonalité générale de couleurs froides qui portent aisément l’éclat léger de la lumière des matinées de printemps, certainement en Normandie, comme le suggère le toit de chaume de la demeure qui figure en arrière-plan de ce tableau.
Un arbre apparemment en fleurs cache en partie la chaumière familiale. Des arbustes eux aussi en fleurs séparent la demeure de la terre que l’on travaille. Des draps blancs sur une corde flottent au vent léger et reflètent l’éclat de la lumière du soleil qui se pose sur eux. Tout le bonheur de vivre à la campagne, au coeur de la nature nourricière, s’engouffre dans ce décor séduisant, dont le charme touche aujourd’hui plus que jamais nos âmes de citadins fatigués des villes, de leur stress et de leur pollution.
la suite ici: http://www.ichtus.fr/article.php3?id_article=380
Leonardo Da Vinci, Raphael - Raffaello, Titian - Tiziano Vecellio, Sandro Botticelli, Giovanni Antonio Boltraffio, Albrecht Dürer, Lucas Cranach the Elder, Antonello da Messina, Pietro Perugino, Hans Memling, El Greco, Hans Holbein, Fyodor Stepanovich Rokotov , Peter Paul Rubens, Gobert, Caspar Netscher, Pierre Mignard, Jean-Marc Nattier, Élisabeth-Louise Vigée-Le Brun, Sir Joshua Reynolds, Franz Xaver Winterhalter, Alexei Vasilievich Tyranov, Vladimir Lukich Borovikovsky, Alexey Gavrilovich Venetsianov, Antoine-Jean Gros, Orest Adamovich Kiprensky, Amalie, Jean-Baptiste Camille Corot, Édouard Manet, Flatour, Jean Auguste Dominique Ingres, William Clark Wontner, William-Adolphe Bouguereau, Comerre, Leighton, Blaas, Renoir, Millias, Duveneck, Cassat, Weir, Zorn, Alphonse Mucha, Paul Gaugan, Henri Matisse, Picabia, Gustav Klimt, Hawkins, Magritte, Salvador Dali, Malevich, Merrild, Modigliani, Pablo Picasso.
Oui, ca va un peu vite !