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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 17:47

 

Cliquez ICI


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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 10:12

 

Le Getty met en ligne 250 ouvrages accessibles gratuitement


9/3/14 – Internet – Récemment, le Metropolitan Museum proposait ses publications épuisées en téléchargement gratuit (voir la brève du 11/10/12). Désormais, c’est le Getty qui propose ainsi les livres qu’il édite gratuitement, qu’ils soient épuisés ou encore disponibles sur papier1. Pour l’instant, ce sont 250 ouvrages publiés tant par le Getty Museum que par le Getty Conservation Institute et le Getty Research Institute qui viennent ainsi d’être mis à la disposition des internautes. D’autres seront progressivement ajoutés à cette liste.

Parmi les livres proposés, on trouve .... 

 

 

.... la suite ICI

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 18:59
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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 21:37

C'est au musée d'Orsay.

Gustave Doré (1832-1883). L'imaginaire au pouvoir
                     
Gustave Doré est sans doute l'un des plus prodigieux artistes du XIXe siècle. A quinze ans à peine, il entame une carrière de caricaturiste puis d'illustrateur professionnel - qui lui vaudra une célébrité internationale - avant d'embrasser tous les domaines de la création : dessin, peinture, aquarelle, gravure, sculpture. 
L'immense talent de Doré s'investit aussi dans les différents genres, de la satire à l'histoire, livrant tour à tour des tableaux gigantesques et des toiles plus intimes, des aquarelles flamboyantes, des lavis virtuoses, des plumes incisives, des gravures, des illustrations fantasques, ou encore des sculptures baroques, cocasses, monumentales, énigmatiques... 

En tant qu'illustrateur, Doré s'est mesuré aux plus grands textes (La Bible, Dante, Rabelais, Perrault, Cervantes, Milton, Shakespeare, Hugo, Balzac, Poe), faisant de lui un véritable passeur de la culture européenne. 
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28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 14:38

 

la salle de la Dame à la Licorne fait peau neuve 

au Musée de Cluny

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22 janvier 2014 3 22 /01 /janvier /2014 09:04

 

Une exposition au beau musée Carnavalet à Paris

 

Le chic d’une Parisienne de la Belle Epoque aux années 30
17 OCTOBRE 2013 - 16 MARS 2014
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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 12:38

 

 

Regarder une oeuvre d'art est simple, mais a-t-on toujours un regard neuf ? ne nous laissons nous pas influencer par nos aprioris, nos préférences de siècle ou d'auteur ? Nous proposons des visites guidées audio en téléchargement sur vos Iphone, Smartphone ou lecteur de mp3 pour vos visites au Louvre ou dans d'autres musées.



P1140829.JPG   

dans la catégorie Regard
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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 18:30

 

visitesaumusee-lien-Petrus.jpg

Promenez-vous sur ce beau site

et téléchargez ses visites audio du Louvre

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 17:44

Un peu d'air dans une actualité délétère

  

La jeune fille à la baguette

Une oeuvre de Pissaro. Le sujet est d’une simplicité extrême : une fillette s’abandonne à la rêverie au bord d’un cours d’eau; l’on se demande même si elle ne va pas s’endormir, la tête appuyée au creux de son épaule ...

 Les fileuses, de VélasquezUne composition élaborée qui réserve plus d’une surprise Trois scènes différentes, sur des plans différents, sont effectivement aménagées au cœur de la composition symétrique de cette toile. Ce tableau aux scènes multiples est à déchiffrer

La Vénus de Milo ou la splendeur du vraiLa renommée de la Vénus de Milo est telle que tout visiteur du Louvre se sent obligé de venir la contempler; mais peu de gens prennent le temps nécessaire pour la regarder vraiment. 

 

C'est ICI

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 08:40

 

- "Bonne année , bonne santé, le Paradis à la fin de vos jours" entend-on encore parfois en France.

Un petit garçon alla un premier janvier étrenner son grand père et lui souhaita, sans malice : " Bonne année , bonne santé, le Paradis à la fin de l'année ". Ca rimait. Il a quand même eu ses étrennes.

 

Ghirlandajo-vieil-homme.jpg

Cliquez sur l'image, et lisez donc Quand on vieillit... 

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5 janvier 2014 7 05 /01 /janvier /2014 17:55

 

avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode,

ils regagnèrent leur pays par un autre chemin"    

34-Rois mages (13è), Chartes

savez-vous où ça se trouve ?

vos réponses en commentaire...

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5 janvier 2014 7 05 /01 /janvier /2014 17:11

Nous sommes ici deux fois dans l’iconographie chrétienne. D’abord parce que le sujet est religieux ; ensuite parce qu’il est porté par des visages d’hommes et de femmes qui sont autant de portraits, allant de la beauté majestueuse de la Vierge aux trognes populaires des personnages de l’arrière plan qui se penchent pour contempler la scène, derrière saint Joseph. Un Joseph qui, une fois n’est pas coutume, n’est pas représenté sous les traits d’un vieillard. Qui s’en plaindrait ? Il domine de ses larges épaules et de sa force d’homme encore jeune cette rencontre des mages avec l’Enfant et sa Mère et, de sa main largement ouverte, semble en offrir la contemplation au spectateur que nous sommes, comme à l’ensemble de l’humanité.

La composition de ce chef d’oeuvre se dispose selon une grande diagonale qui va des personnages derrière saint Joseph, en haut à droite, jusqu’à Balthazar, le roi noir qui se présente de dos au premier plan à gauche.

Lisez la suite ICI

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28 décembre 2013 6 28 /12 /décembre /2013 20:48

 

File:Giotto di Bondone - No. 21 Scenes from the Life of Christ - 5. Massacre of the Innocents - WGA09199.jpg

 L'Évangile selon Matthieu, chap. 2, versets 16-181 : « Alors Hérode, voyant qu'il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléhem et dans tout son territoire, selon la date dont il s'était soigneusement enquis auprès des mages. Alors s'accomplit ce qui avait été annoncé par le prophète Jérémie ... »

Car dans le livre de Jérémie (31:15)2, on trouve en effet : « Ainsi parle l'Éternel : On entend des cris à Rama, des lamentations, des larmes amères ; Rachel pleure ses enfants ; elle refuse d'être consolée sur ses enfants, car ils ne sont plus. »

lu sur Wikipedia qui n'est pas parole d'Evangile.

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 23:00

 

 

      La vie de saint Etienne, se déroule en images sous nos yeux, telle une bande dessinée, en six petites scènes réparties sur trois fresques. Nous ne sommes pas en présence d’un art savant, destiné aux érudits, mais d’une volonté d’apologétique par l’image ; la vie de saint Etienne est dessinée pour l’enseignement du peuple et doit pouvoir être comprise et être capable de toucher même la partie de ce peuple qui ne sait pas lire. 

Source . Pour voir toute la fresque, cliquez ICI.

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 07:26

 

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 00:07
Regardez donc ICI .

" C’est génial ! Magnifique idée qui mériterait d'être  plus exploitée. En  Hollande, les organisateurs du Rijksmuseum ont eu une idée : Amenons le musée aux gens; espérons qu'ils  viendront ensuite nous voir. Ils ont choisi une peinture de Rembrandt, Ronde de nuit  (1642).Ils ont bâti une mise en scène  autour des personnages de la toile et ils  ont amené ces personnages dans une galerie commerciale. "

Dans un autre genre ... c'est LA .

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 22:00

 

Courbet : Un enterrement à Ornans

" La Toussaint. Le 11 novembre. Le typhon aux Philippines. La mort fait l’actualité en ce mois de novembre. Mais la mort est d’abord un thème universel, tout simplement parce qu’elle fait partie de la destinée humaine. La mort est donc tout naturellement l’un des thèmes majeurs de l’art, depuis toujours. ... 

  »  Lire la suite de l'article de Philippe Vandewyls sur le nouveau site  Cyrano.net

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 23:05
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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 09:30

 

C'est à Roubaix, au musée La Piscine
JPEG - 120.2 ko


De l’or dans la Piscine... Il ne s’agit pas d’une adaptation de Mélodie en sous sol avec Alain Delon abandonnant prudemment quoiqu’à contre-coeur des lingots au fond de l’eau, mais de la nouvelle exposition du musée de Roubaix (ou plutôt l’une des quatre expositions qui ont débuté en octobre) : quelque 200 tableaux du XIXe siècle réunis par un collectionneur français (désireux de rester anonyme) évoquent le siècle d’or danois. Ils seront ensuite montrés au Musée Malraux du Havre. En déclinant les différents genres picturaux (histoire, portrait, scène du quotidien, paysage), le parcours souligne la cohérence et les spécificités d’une peinture, d’une époque et d’un pays. La suite...

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 11:22

 

Vous pouvez aussi la voir ICI et faire des zooms sur le tableau ...

 

Comment ne pas être, aujourd’hui encore, séduit d’emblée par la paix profonde qui se dégage de ce paysage de Jean-Baptiste Corot [Cette huile sur toile de 42cm x 55cm, se trouve au Musée du Louvre.] ? L’univers y semble en parfait équilibre, tout comme l’esprit du spectateur au moment où son regard se promène dans cette magnifique composition où la terre cède aux cieux une bonne partie de la toile, tout en ménageant autour des deux personnages centraux, qui s’éloignent en nous tournant le dos, la trouée d’un chemin semblant écarter les branches des arbres sur leur passage, tandis qu’ils se dirigent tranquillement vers le village et son église.

La raideur brune des troncs dénudés, dressés de chaque côté du chemin dégagé s’élevant doucement en direction de l’église, est adoucie par quelques branches qui viennent sur la gauche barrer de leur oblique l’alignement cérémonieux des troncs déjà prêts à affronter les premiers frimas d’un hiver qui approche.

Au premier plan, un étang dans lequel la lumière du ciel se reflète. S’ajoutant à elle, mais plus incisive que la luminosité du jour se faufilant entre les nuages, cette seconde source lumineuse confère à l’ensemble de ce paysage une légèreté séduisante pour les yeux comme pour l’esprit.

A la droite du tableau, sur la berge de l’étang, une femme est penchée sur ce que l’on devine être la pierre d’un petit lavoir où elle s’active pour y nettoyer son linge. La précision de cette scène conduit à nouveau notre regard sur les deux silhouettes féminines qui s’éloignent sur le sentier au centre du tableau. Notre curiosité découvre alors entre elles deux une masse noire imprécise, mais qui évoque, étant donné le contexte, soit une brouette qu’elles poussent, soit un panier qu’elles portent dans laquelle ou lequel se trouve certainement le linge qu’elles viennent d’achever de laver.

Au cœur de l’harmonie et de la paix de la nature, la sérénité du travail de l’être humain.

               Lisez le commentaire complet ICI .

Une exposition "Corot et les lumières du Nord" nous est proposée à la Chartreuse de Douai.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 13:30

... d'art frais contemporain. 

 

                  

 

      

 

   

           01

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 09:38

La visite de la biennale d'art contemporain de Lyon par "Libé" est commentée par Fabrice Luchini, ou plutôt Laurent Gerra, ICI.  Laurent Gerra

Oreilles sensibles s'abstenir. Sachant qu'il s'agit simplement d'extraits de cet article :   

le b.a.-ba de la biennale
ERIC LORET ENVOYÉ SPÉCIAL À LYON 22 SEPTEMBRE 2013 À 18:06 

Performance «Physique of Consciousnes», de Xu Zhen, le 10 septembre à la Sucrière. Performance «Physique of Consciousnes», de Xu Zhen, le 10 septembre à la Sucrière. (Photo Blaise Adilon)

REPORTAGE

A Lyon, le rendez-vous d’art contemporain, réparti sur cinq lieux, s’intéresse cette année à la narration et s’adresse à tous les publics. Démonstration en forme de rédaction dans la peau d’un écolier.

La Biennale de Lyon, c’est bien. Le directeur artistique est Thierry Raspail, qui dirige le musée d’Art contemporain de Lyon, et le commissaire invité pour cette 12e édition est Gunnar B. Kvaran, qui dirige le nouveau musée Astrup Fearnley d’Oslo. Il y a cinq lieux, 200 000 visiteurs, une navette fluviale, à boire et à manger. D’ailleurs, le café a changé d’étage : avant, il était sur le toit de la Sucrière, maintenant il est en bas.

(...) Dans la salle à côté du café, Xu Zhen a mis plein de vitrines comme dans les vieux musées d’histoire naturelle et dans chaque vitrine, il y a une silhouette en carton d’un mec chauve qui fait des gestes et puis le même geste, découpé sur des photos, dans différentes religions et cultures, par exemple les bras tendus vers le ciel ou le geste d’être couché par terre.

Accouchement. Un enfant avec sa maman demande à son grand frère : «Paul, vient expliquer, s’il te plaît.» Paul dit : «Alors, là, il est couché par terre parce qu’il proteste, parce qu’il y a des pays pas comme en Europe où les gens sont opprimés et alors ils manifestent mais enfin c’est aussi des fois dans les grèves, comme chez nous, il y a des grèves.» Le petit frère de Paul a de la chance d’avoir un grand frère si cool, mais si on n’a pas de grand frère, la Biennale fournit plein de médiateurs jeunes et sympas qui font des visites de groupes à la carte et disent aux gens : «Je vous laisse ressentir d’abord l’œuvre et explorer», après quoi ils pratiquent l’accouchement des idées normalement, en posant des questions du genre : «Qu’est-ce qu’il manque, sur la sculpture ?» C’est bien pour les gens qui ont peur, comme ceux qu’on entend dans le tram ou le bateau qui disent : «J’ai peur de ne pas comprendre», ou «mais s’ils n’avaient pas expliqué, moi, je n’aurais rien compris». Parce que les gens, souvent, ont peur de ne pas comprendre l’art contemporain, alors qu’en fait, la plupart du temps, il n’y a rien à comprendre, contemporain ou pas, il suffit de rester debout ou assis devant l’œuvre ou dedans et de voir si ça marche, s’il se passe quelque chose dans le corps. Parfois, il ne se passe rien, même devant Picasso, mais ce n’est pas grave, ça ne veut pas dire qu’on est bête, juste que ce n’est pas pour nous.

(...)

A certaines heures, dans la salle de MadeIn Company, on peut faire de la gymnastique en enchaînant tous les gestes typiques de l’humanité. Ensuite, dans la pièce d’à côté, Yang Zhen Zhong, lui aussi de Shanghai, expose une grosse maquette de la place Tiananmen en morceaux comme des Lego et quand on la regarde d’un certain côté, elle se reconstitue sous nos yeux, et c’est drôle parce que dans la même salle il y a aussi une statue classique (d’après Canova, ils disent), découpée en morceaux d’une espèce de polystyrène moche et on dirait qu’elle respire ; elle aussi, elle tient ensemble, et puis plus tellement ensemble, comme la place Tiananmen. C’est signé The Bruce High Quality Foundation, ils habitent à New York aux Etats-Unis.

Ensuite, dans la pièce d’à côté, il y a un trou dans le mur avec des oreilles de lapin, comme si des personnages de dessin animé avaient traversé le mur, mais c’est peut-être parce qu’on n’est pas dans le bon sens et qu’on remonte l’exposition vers le début ; puis aussi l’histoire d’une cosmonaute lesbienne, et des fois, il y a des ombres qui apparaissent sur le sol dans des rectangles de lumière de couleur, comme si on se faisait transpercer l’attention par des trucs bizarres, et ça va avec des panneaux sur les murs où c’est écrit en anglais, comme sur une partition ou chez l’ophtalmo, on doit déchiffrer. (...)

(...)

De l’autre côté, il y a un film de Ian Cheng comme un jeu vidéo détraqué avec plein de personnages qui font n’importe quoi, et complètement à l’opposé, un écran comme dans les jeux en réseau, avec des images comme si on était en train de jouer, sauf que c’est que de la bouffe avec des merguez en 3D, des gâteaux et un supermarché japonais vide (Tabor Robak) et puis au bout du rez-de-chaussée, il y a les statues des personnages qui ont traversé les murs de l’expo, c’est Vil Coyote, Roger Rabbit, le Kool-Aid Guy et il y a aussi un homme à poil qui bande allongé par terre, il paraît que c’est Dan Colen, l’artiste.

Au premier étage de la Sucrière, dans la première salle en venant de l’escalier, Karl Haendel a mis plein de photos et de mots découpés de différentes tailles à propos de la tuerie d’Aurora et il y en a une, c’est un godemiché habillé en cow-boy, et puis il y a un livre en anglais qui s’appelle Fear avec toutes sortes de témoignages de gens qui ont peur, par exemple peur que des pieds les touchent ou alors peur d’être trop grosse ou dans les ascenseurs. (...) 

De l’autre côté du mur, il y a une super vidéo d’Ed Atkins, un Britannique : très amusante, mais il faut la regarder en entier, c’est l’histoire d’un pouce qui trempe dans différentes parties du corps avec un chimpanzé qui parle comme un consultant et ça s’appelle Même les têtes de cons, et l’artiste dit à son propos : «Concernant la "dépression" sous ses diverses formes substantives et verbales, je vous invente tel que vous êtes…»

(...) 

Au deuxième étage de la Sucrière, on s’ennuie un peu, sauf au bout, quand on arrive sur l’installation de deux filles, Alice Lescanne et Sonia Derzypolski. C’est une installation un peu ratée, elles disent, il y a des céramiques et des espèces de boîtes Ikea collées sur le mur avec des trous dedans, on dirait un Donald Judd en carton merdique, mais elles promettent d’essayer d’améliorer tout ça lors d’une performance les 19 et 20 octobre.

(...)  sur le premier mur, il y a écrit le titre de la Biennale, «Entre-temps… brusquement», et ensuite, parce que le thème de cette année, c’est le récit visuel et la transmission par ce récit, donc ; sauf que si on a bien compris, la transmission c’est aussi un truc horizontal qui vient perturber la verticalité du récit et donc il peut y avoir des histoires qui ne soient pas des choses autoritaires ni des modèles, surtout à l’heure d’Internet et c’est ça le sujet.

Au premier niveau du MAC, il y a deux super salles de Lili Reynaud-Dewar, tapissées de tissu à fleurs super flippant, comme s’il s’effaçait et comme chez mémé quand elle est morte, avec des projections de vidéos où il y a Reynaud-Dewar nue et peinte en noir qui danse devant des sculptures, on dirait qu’elle est dans un musée, dans une autre vidéo, ça a l’air d’être son atelier, parfois elle s’assoit et elle fume et on dirait qu’elle réalise aussi un objet (il est exposé dans la salle suivante), un lit avec un trou et une fontaine d’eau noire dégueu et on se rappelle, du coup, qu’il y avait déjà un lit avec un trou qui s’effondre dans la vidéo d’Ed Atkins à la Sucrière.

(...)  

Encore après, il y a une pièce entière de marionnettes pédés qui se mettent des poings dans le cul avec la Panthère rose qui encule des bimbos blondes grandeur nature et des lames de scalpel, c’est de Bjarne Melgaard, et au sortir de la salle il y a un cartel qui dit que les images peuvent choquer la sensibilité et aussi qu’il faut bien observer les détails de chaque scène représentée, ce qui est «une double injonction contradictoire», dit un monsieur qui ricane.

Eric LORET Envoyé spécial à Lyon
L'article complet est à lire ICIEt le site de la biennale est LA.
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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 18:20

 

Pour la fin de semaine
Un petit bijou polonais déniché par le salon beige

Voici une vieille église de bois en Pologne, construite par les Allemands, car cette partie de la Pologne avait été allemande jusqu'à la seconde guerre mondiale. Les détails dans cette église sont absolument incroyables.

Utiliser les pointeurs au bas de l'image pour visualiser tous les différents angles, haut en bas et le signe + pour zoomer. Déplacez votre curseur pour voir tout cela.

Par ici la visite.

Ne manquez pas de visiter les autres églises, et de le dire à vos amis, polonais ou pas...

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4 octobre 2013 5 04 /10 /octobre /2013 18:22

 

Corot_Chateau_de_Wagnonville.jpg

Petrus Angel aime bien Corot. 

Ue exposition lui est consacrée à partir du 5 octobre au musée de la Chartreuse de Douai, sur "Corot et les lumières du Nord".

Venu à plu­sieurs repri­ses dans les envi­rons de Douai et d’Arras pour tra­vailler avec ses amis Constant Dutilleux,Charles Desavary et Alfred Robaut, Corot y a laissé de nom­breu­ses œuvres plei­nes de sen­si­bi­lité. Le pay­sage est au centre des préoc­cu­pa­tions de ces artis­tes qui plan­tent leur che­va­let aux envi­rons d’Arras, de Douai, dans la région des étangs autour d’Arleux, de Palluel et sur le lit­to­ral. L’expo­si­tion se veut un témoi­gnage de l’inté­rêt témoi­gné par Corot pour ces pay­sa­ges du Nord, à tra­vers la pré­sen­ta­tion de soixante-dix pein­tu­res, de nom­breux des­sins et cli­chés-verre, évoquant également l’influence que l’artiste a exer­cée sur les pein­tres de la région ainsi que les rela­tions d’amitié que Corot a entre­te­nues avec ses amis douai­siens et arra­geois.

Pour en savoir plus : www.corot­dans­la­lu­mie­re­du­nord.fr

L’expo­si­tion sera ensuite pré­sen­tée au musée des Beaux-Arts de Carcassonne, du 21 février au 21 mai 2014.

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29 septembre 2013 7 29 /09 /septembre /2013 10:15

 

BIENNALE ART NOUVEAU ART DÉCO 2013
05/10/2013 27/10/2013

Biennale Art nouveau Art déco 2013.


Informations pratiques

Divers lieux à Bruxelles

Email : 
info@voiretdirebruxell...

Site web : 
http://biennale-art-no...

 

Durant les quatre week-ends d'octobre, Voir et Dire Bruxelles invite le public à la découverte de la variété architecturale de l'Art nouveau et l'Art déco, deux styles majeurs de l'architecture bruxelloise, ainsi qu'une initiation au modernisme.Quartiers par quartiers, une quinzaine de lieux par week-end ouvriront leurs portes : hôtels de maître d'exception, maisons particulières, appartements, bâtiments scolaires, industriels ou publics ... en tout plus de soixante intérieurs seront ouverts exceptionnellement. Différents lieux liés à HENRY VAN DE VELDE seront également accessibles à l'occasion des 150 ans de la naissance du célèbre architecte. (visites en français, néerlandais, anglais et, dans certains lieux, en allemand)
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