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3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 08:01

 

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Saint Philippe (portail de la cathédrale d'Amiens)

 

 

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 09:37

     ... Le saviez-vous ?

 

Retouvez Saint Joseph sur Petrus Angel ICI

Et pensez toujours à cliquer sur les images...

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 22:45

 

Catherine de Sienne, co-patronne de l'Europe (29/4)

CatherinedeSienne1.pngDe BENOÎT XVI, lors de l'audience générale du mercredi 24 novembre  2010 :  

Chers frères et sœurs,

Je voudrais aujourd’hui vous parler d’une femme qui a eu un rôle éminent dans l’histoire de l’Eglise. Il s’agit de sainte Catherine de Sienne. Le siècle auquel elle vécut — le XIVe — fut une époque tourmentée pour la vie de l’Eglise et de tout le tissu social en Italie et en Europe. Toutefois, même dans les moments de grandes difficultés, le Seigneur ne cesse de bénir son peuple, suscitant des saints et des saintes qui secouent les esprits et les cœurs provoquant la conversion et le renouveau. Catherine est l’une de celles-ci et, aujourd’hui encore, elle nous parle et nous incite à marcher avec courage vers la sainteté pour être toujours plus pleinement disciples du Seigneur.

Née à Sienne, en 1347, au sein d’une famille très nombreuse, elle mourut dans sa ville natale en 1380. A l’âge de 16 ans, poussée par une vision de saint Dominique, elle entra dans le Tiers Ordre dominicain, dans la branche féminine dite des Mantellate. En demeurant dans sa famille, elle confirma le vœu de virginité qu’elle avait fait en privé alors qu’elle était encore adolescente, et se consacra à la prière, à la pénitence et aux œuvres de charité, surtout au bénéfice des malades.

La suite sur EAQ

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:34

 

Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
Fondateur d'ordres religieux,
Docteur de la médiation de Marie

L

ouis-Marie Grignion de La Bacheleraie naît à Montfort-la-Cane, alors du diocèse de Saint-Malo, aujourd'hui de celui de Rennes, le 31 janvier 1673. Par esprit de religion et d'humilité, il abandonna plus tard le nom de sa famille, pour prendre celui du lieu de sa naissance et de son baptême. Sa première éducation fut pieuse et forte ; il la compléta chez les Jésuites de Rennes, où il acquit la réputation d'un saint Louis de Gonzague.

 

La Providence le conduisit ensuite à Paris, pour y étudier en diverses maisons tenues par les Sulpiciens, et à Saint-Sulpice même. Dans ce séminaire, où il brilla par son intelligence et sa profonde piété, on ne comprit pas assez les vues de Dieu sur lui. Dieu le permit ainsi pour le former à l'amour de la Croix, dont il devait être l'apôtre passionné. C'est à l'école de Saint-Sulpice qu'il puisa toutefois son merveilleux amour de Marie et qu'il se prépara à devenir son apôtre et son docteur.

 

Jeune prêtre, ordonné en juin 1700, il fut d'abord aumônier à l'hôpital de Poitiers, où il opéra une réforme aussi prompte qu'étonnante. Ballotté ensuite pendant quelques temps par les persécutions que lui suscitaient les Jansénistes, il se rendit à Rome en vue de s'offrir au Pape pour les missions étrangères, et il reçut du Souverain Pontife l'ordre de travailler à l'évangélisation de la France.

Dès lors, pendant dix ans, il va de missions en missions, dans plusieurs diocèses de l'Ouest, qu'il remue et transforme par sa parole puissante, par la flamme de son zèle et par ses miracles. Il alimente sa vie spirituelle dans une prière continuelle et dans des retraites prolongées, il est l'objet des visites fréquentes de la Sainte Vierge. Ses cantiques populaires complètent les fruits étonnants de sa prédication ; il plante partout la Croix ; il sème partout la dévotion au Rosaire : il prépare providentiellement les peuples de l'Ouest à leur résistance héroïque au flot destructeur de la Révolution, qui surgira en moins d'un siècle. 

Les cinq années d'avant sa mort en 1716 furent pour Louis-Marie des années d'activité intense. Il était constamment occupé à prêcher des missions et se rendait de l'une à l'autre à pied. Il trouva pourtant le temps d'écrire: le « Traité de la Vraie Dévotion à la Sainte Vierge », « Le Secret de Marie », les « Règles des Filles de la Sagesse (ou de la Providence) », et de nombreux Cantiques qu'il utilisait dans ses missions en les faisant chanter sur des airs de danse de l'époque.

Retrouvez le texte complet sur EAQ

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27 avril 2014 7 27 /04 /avril /2014 22:59

 

... c'est sur Petrus Angel

 


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27 avril 2014 7 27 /04 /avril /2014 11:12

Quasimodo, vous le connaissez sans doute. 

C'est le sonneur des cloches de Notre Dame de Paris, personnage du roman de Victor Hugo.

Selon votre âge et vos goûts, c'est l'acteur Antony Quinn, ou le Bossu du dessin animé de Disney  ou encore la comédie musicale, qui, soit dit en passant, en appelle à Lucifer...

Mais Quasimodo, c'est au départ une fête religieuse, présentée ici par Wikipedia :

Dans le calendrier chrétien, différents termes désignent le premier dimanche après Pâques : fête de la quasimodo, octave de Pâques, deuxième dimanche de Pâques, dimanche in albis, ou dimanche de Saint-Thomas. Dans l'Église catholique romaine, depuis la canonisation de Faustine Kowalska en 2000 par le pape Jean-Paul II, ce dimanche est devenu la fête de la divine miséricorde.

  Les différentes dénominations

L'expression quasimodo est formée à partir des premiers mots latins qui commencent l'introït de ce jour : « Quasi modo geniti infantes, alleluia: rationabiles, sine dolo lac concupiscite,... » (« Comme des enfants nouveau-nés, alleluia : désirez ardemment le pur lait spirituel,... »), dans la Première épître de Pierre.

C'est aussi le jour où on lit le récit de l'apôtre Thomas refusant de croire à la Résurrection.

 

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26 avril 2014 6 26 /04 /avril /2014 10:30

 

Livre des Actes des Apôtres 4,13-21. 

 
Les membres du grand conseil d'Israël étaient surpris en voyant l'assurance de Pierre et de Jean, et en constatant que c'étaient des hommes quelconques et sans instruction. Ils reconnaissaient en eux des compagnons de Jésus,
ils regardaient debout près d'eux l'homme qui avait été guéri, et ils ne trouvaient rien à dire contre eux. 
Après leur avoir ordonné de quitter la salle du conseil, ils se mirent à délibérer : 
« Qu'allons-nous faire de ces gens-là ? Certes, un miracle notoire a été opéré par eux, c'est évident pour tous les habitants de Jérusalem, et nous ne pouvons pas le nier. 
Mais il faut en limiter les conséquences dans le peuple ; nous allons donc les menacer pour qu'ils ne prononcent plus ce nom devant personne. » 
Ayant rappelé Pierre et Jean, ils leur interdirent formellement de proclamer ou d'enseigner le nom de Jésus. 
Ceux-ci leur répliquèrent : « Est-il juste devant Dieu de vous écouter, plutôt que d'écouter Dieu ? A vous de juger. 
Quant à nous, il nous est impossible de ne pas dire ce que nous avons vu et entendu. » 
Après de nouvelles menaces, on les relâcha ; en effet, à cause du peuple, on ne voyait pas comment les punir, car tout le monde rendait gloire à Dieu pour ce qui était arrivé. 


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24 avril 2014 4 24 /04 /avril /2014 16:05

 

« Nous avons besoin d'îles où la foi en Dieu et la simplicité interne du christianisme vivent et rayonnent ; d'oasis, d'arches de Noé dans lesquelles l'homme peut toujours venir se réfugier. Les espaces de protection sont les espaces de la liturgie. Reste que même dans les différents mouvements et communautés, dans les paroisses, dans les célébrations des sacrements, dans les exercices de piété, dans les pèlerinages, etc., l'Église cherche à offrir des forces de résistance, puis à développer des zones de protection dans lesquelles la beauté du monde, la beauté de l'existence possible, devient de nouveau visible en contraste avec tout ce qui est abîmé autour de nous. »

Benoît XVI, Lumière du monde 

vu ici

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20 avril 2014 7 20 /04 /avril /2014 09:52

 

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19 avril 2014 6 19 /04 /avril /2014 10:20

Le Jeudi Saint célèbre l’institution du sacrement de l’amour, le Vendredi Saint vénère la croix, la Nuit Pascale chante la résurrection — mais le Samedi Saint ? Chaque dimanche pourtant, notre Credo confesse le mystère dont ce jour fait tout particulièrement mémoire : «Il est mort et a été enseveli ; il est descendu aux enfers». Oui, à chaque eucharistie «nous annonçons la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’il vienne !» (1 Corinthiens 11,26).


Le «Grand Samedi», comme dit l’Orient, l’Église contemple d’abord le mystère de l’ensevelissement de son Seigneur, le mystère de sa mort, de son silence, de son repos. Comment pourrions-nous célébrer Pâques en sautant le Samedi Saint ? Jésus est vraiment mort. Il n’a pas fait semblant. Il n’a pas joué un jeu. Un jour, il a pris le chemin qui sera aussi le nôtre : il a quitté cette vie, ce monde, notre monde si concret, si digne d’amour ; il est descendu dans l’abîme le plus profond de l’homme, de ce que la Bible appelle le shéol ou l’hadès : les ombres de la mort. 

L'article complet est ICI.

 

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18 avril 2014 5 18 /04 /avril /2014 08:49

 

Le temps est laissé au temps. La Mère et le fils se retrouvent dans un dernier adieu. Cette scène dite de la Pieta, imaginée par les artistes chrétiens, signifie l’union de Jésus et de la Vierge dans le Rédemption du Monde. Au seuil de la Basilique Saint Pierre de Rome, la Pieta de Michel-Ange met immédiatement le fidèle en face de la suprême réalité de la mort et de l’amour. « Oh ! Mort où es ta victoire ?» [Saint Paul]. La suite...

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17 avril 2014 4 17 /04 /avril /2014 22:30

C’est le jour de l’institution de l’eucharistie et du sacerdoce. Ce n’est pas le jour du souvenir de cette double institution. De même que l’eucharistie nous donne réellement le corps et le sang du Christ parce qu’elle EST le sacrifice de la Croix, le jeudi saint EST le jour où le Corps et le Sang nous sont donnés sous la forme qui leur est donnée en CE jour à la Cène.

la suite...


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16 avril 2014 3 16 /04 /avril /2014 21:03

 

L’évangile est la Passion selon saint Luc. Saint Luc qui est évidemment chez lui dans la basilique de la Sainte Vierge dont il est l’évangéliste et le portraitiste. Saint Luc dont la prédication est l’écho de celle de saint Paul. Saint Paul qui fournit le solennel introït de cette messe, préface de la mort et de la résurrection du seul Seigneur : « Qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans le ciel, sur la terre et dans les enfers ; car le Seigneur s’est fait obéissant jusqu’à la mort et la mort de la croix : c’est pourquoi le Seigneur Jésus-Christ est dans la gloire de Dieu le Père. »

Le psaume d’introït est le psaume 101, que l’on retrouvera dans le trait, l’offertoire et la communion. Les versets extraits de ce long psaume sont ceux par lesquels Jésus exprime sa souffrance, en écho des deux lectures d’Isaïe qui sont les deux grandes prophéties de la Passion. 

Tout l'article ICI 


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16 avril 2014 3 16 /04 /avril /2014 08:32

 

Saint Benoît-Joseph Labre 
Pèlerin, mendiant 
(1748-1783)

 

Benoît-Joseph Labre naquit à Amettes, diocèse d'Arras, en 1748 et fut l'aîné d'une famille de quinze enfants. Âgé de douze ans, il fut reçu chez son oncle paternel, curé d'Érin, pour faire ses études en vue du sacerdoce. 

 Après la mort de son oncle, Benoît-Joseph passa chez son oncle maternel, vicaire de Conteville, où il ne fit que grandir dans la mortification et la prière. Son attrait était toujours vers le Saint-Sacrement devant lequel il s'abîmait des heures entières en contemplation. 

Il y avait longtemps que Benoît-Joseph aspirait à une vie plus parfaite : « Être prêtre est bien beau, disait-il ; mais j'ai peur de me perdre en sauvant les autres. » 

Il finit par vaincre les résistances de ses parents et entre chez les Chartreux, espérant y trouver sa voie définitive. Il se trompait, car la Providence permet qu'il soit bientôt renvoyé par ses supérieurs, comme n'ayant pas la vocation de cet Ordre. La pensée de la Trappe, qu'il avait eue d'abord, lui revient ; on ne l'y accepte pas. 

Ballotté de nouveau entre la Chartreuse et la Trappe, il est forcé de s'adresser enfin à Sept-Fons, où ses scrupules, ses peines d'esprit et une maladie sérieuse donnent bientôt lieu à son renvoi.

Toute sa réponse à tant d'épreuves était : « Que la Volonté de Dieu soit faite ! »

La suite sur EAQ

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 18:19

 

Depuis des siècles déjà, l'Écriture annonçait la venue mystérieuse de ce Serviteur, à la fois souffrant et rédempteur. Malgré son sentiment de s'êtrefatigué pour rien, et d'avoir en pure perte usé ses forces, le Seigneur maintenait une immense promesse : Je vais faire de toi la lumière des nations pour que mon salut parvienne jusqu'aux confins de la terre. Et les siècles passaient sans que le peuple de Dieu puisse voir se lever l'aube de ce salut tant attendu. 
        Mais un jour Jésus est enfin apparu. Je suis la lumière du monde ; qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie(Jean 8,12) on sait qu'alors, pour tout une part, les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière parce que leurs œuvres étaient mauvaises. (...) 
       Nous voilà donc au cœur de ce grand combat entre les ténèbres et la lumière qui veut nous révéler un prodigieux mystère : le Mystère de notre salut (Colossiens 1, 24-27) ! Nous voilà enfin arrivés à l'heure tant attendue.

Lisez la suite ICI.

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 21:53

 

File:Bouts anoiting.jpg


Six jours avant la Pâque, Jésus arriva à Béthanie, où se trouvait Lazare, qu'il avait ressuscité des morts. 
Là, on lui fit un souper, et Marthe servait. Or, Lazare était de ceux qui se trouvaient à table avec lui. 
Marie, ayant pris une livre d'un parfum de nard très pur, très précieux, en oignit les pieds de Jésus, et les essuya avec ses cheveux. Et la maison fut remplie de l'odeur du parfum.
Alors, un de ses disciples, Judas Iscariote, celui qui devait le trahir, dit : 
"Pourquoi n'a-t-on pas vendu ce parfum trois cents deniers, pour les donner aux pauvres ?" 
Il dit cela, non qu'il se souciât des pauvres, mais parce qu'il était voleur, et qu'ayant la bourse, il dérobait ce qu'on y mettait. 
Jésus lui dit donc : "Laisse-la ; elle a gardé ce parfum pour le jour de ma sépulture. 
Car vous aurez toujours des pauvres avec vous ; mais moi, vous ne m'aurez pas toujours !" 
Un grand nombre de Juifs surent que Jésus était à Béthanie, et ils vinrent, non seulement à cause de Jésus, mais aussi pour voir Lazare qu'il avait ressuscité des morts. 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 12,1-9. 


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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 22:59

 

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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 22:26

Ca suffit !  par Loïc Mérian

 
Le 20 mars dernier était publiée « la déclaration de la Commission des Épiscopats de la Communauté européenne (COMECE) relative aux prochaines élections européennes ». Il arrive un moment où il faut dire stop ! Voilà un texte qui est certes pétri de bonnes intentions où l’on prône la solidarité, la subsidiarité, le respect de la dignité humaine, du dimanche, des migrants, de la couche d’ozone… Mais enfin à quoi ce genre de texte peut-il donc servir ? Qui peut-il influencer ? Qui est contre la solidarité ? « Nous, les évêques catholiques, plaidons pour que le projet européen ne soit pas mis en danger ni abandonné » ! Mais quel « projet européen » ? Celui qui impose la propagande gay et lesbienne aux politiques publiques à travers la directive Lunacek votée le 4 février ? Celui qui promeut l’avortement et interdit l’objection de conscience ? Celui qui dénonce les références chrétiennes de la constitution hongroise ? Celui qui encourage l’euthanasie pour tous ? Celui qui finance à millions l’idéologie du genre ?… 

Ce « projet européen », nous le voyons se déployer sous nos yeux depuis des années, c’est celui d’une « culture de mort », dénoncée à temps et à contre-temps par les papes, de Jean-Paul II à François, qui s’étend partout en Europe et dont l’UE est un vecteur. Cette culture de mort contre laquelle les laïcs en masses se sont élevés, en France, en Espagne, en Italie, que ce soit sur la question du mariage homosexuel ou de l’avortement, que ce soit par l’initiative Un de nous qui a réuni près de 2 millions de signatures dans toute l’Europe en faveur de la protection des embryons. Et qu’en dit ce texte ? Rien ! Pas un mot, ni sur les avancées inquiétantes de cette « culture de mort » dominante en Europe, ni sur les courageuses réactions des peuples ! Rien que de belles pensées sur la solidarité.
Bien sûr ce texte dit qu’il faut protéger la famille, mais sans même évoquer le fait qu’elle est attaquée de toutes parts ! Alors qu’un combat titanesque se déroule sous nos yeux, la COMECE publie un communiqué totalement inodore comme si tout allait pour le mieux ! Les fidèles catholiques sont en droit d’attendre d’être défendus et soutenus par leurs pasteurs, qui devraient même être en première ligne en se référant à Dieu et non pas sombrer dans un discours d’un horizontalisme affligeant que n’importe qui pourrait tenir !
La société s’effondre sous les assauts d’idéologues destructeurs du genre humain et négateurs de Dieu, et la COMECE discute de la couche d’ozone, le nouveau sexe des anges ! Au fait, dans ce texte, savez-vous qu’il y a un mot qui n’est jamais cité ? Vous l’avez sans doute deviné, c’est Dieu.
Source : La Nef N°258 d'avril 2014
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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 08:57

 

Un article de 2013.
L'Église ne se laisse-t-elle pas abuser par le CCFD ?

Le Motu Proprio Au service de la Charité, du 11 novembre 2012, doit aider à dissiper les ambiguïtés. Et notamment le §3 de l'article 10 :

"En particulier, l’Évêque diocésain doit éviter que des organismes de charité qui sont sous son autorité, soient financés par des entités ou des institutions qui poursuivent des buts contraires à la doctrine de l’Église. De même, afin d’éviter de scandaliser les fidèles, l’Évêque diocésain doit éviter que ces-dits organismes caritatifs acceptent des contributions en faveur d’initiatives qui, dans la finalité ou les moyens pour l’atteindre, ne sont pas en accord avec la doctrine de l’Église."

CChaque Carême, le "Comité catholique contre la faim et pour le développement" (CCFD) invite les chrétiens au partage et quête pour ses œuvres. Mais un publiciste, Jean-Pierre Moreau a démontré naguère l'incompatibilité grave de beaucoup d'actions internes et externes du CCFD avec la Foi et la Mission de l'Église. Ce qui justifie une défiance.

Les constats sont graves : le CCFD soutiendrait inconditionnellement des associations qui font la promotion de l'avortement, la contraception, la théorie du "genre", "l'émancipation" des femmes… Ses principes de développement sont matérialistes. Sur son site Internet, il prône les mêmes thèmes (voir aussiiciiciici).

En réaction, est apparu un "communiqué anonyme" traitant M. Moreau de triste et endurci, criant à la diffamation et au mensonge. Il essaie de prouver que ces constats sont mensongers. Il cite des partenaires au Mexique et en Argentine et des extraits de leurs sites internet.

la suite...

A découvrir, le livre et le site "Le terrorisme pastoral".

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 09:35
La mi-Carême marque le milieu des 40 jours de Carême : le jour où toutes les privations de Carême sont suspendues ! Les crêpes, selon la tradition paysanne, continuent d’égayer le menu de la mi-Carême !

Pourquoi la mi-Carême est-elle toujours un jeudi ?

La Mi-Carême est fêtée par définition « le jeudi de la troisième semaine entière des quarante jours de pénitence ». En faisant un simple calcul (40/2), on pourrait penser que la fête doit tomber le troisième lundi du Carême (vingtième jour à compter du Mercredi des Cendres), mais les dimanches ne faisant pas partie du carême de pénitence, il faut donc rajouter trois jours de la semaine, ce qui tombe un jeudi.

Pourquoi on mange des crêpes ?

Le Carême est un temps de jeûne et les générations passées prenaient très au sérieux cet aspect particulier. Même les œufs étaient interdits. Mais les œufs ne se conservent guère plus de vingt jours, c’est-à-dire la moitié de quarante.

C’est pour ne pas perdre cette denrée précieuse pour beaucoup, qu’on l’utilisait sous toutes les formes possibles. De la même manière, c’est pour vider les réserves qu’on fait des crêpes pour le mardi gras.

Après la mi-Carême, on attend à nouveau vingt jours pour sortir, décorés de joie pascale, les œufs gardés en réserve.

Lu ICI

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 09:33

 

Le 17 mars 461 : décès et fête de Saint-Patrick (date présumée), saint patron de l'Irlande.

Patrick est né en fait au pays de Galles, à la fin de l'époque romaine. Enlevé par des pirates, l'enfant est emmené en esclavage en Irlande où il devient gardien de cochons. Il réussit à s'évader, retrouve ses parents puis gagne la Gaule. A Auxerre, auprès de l'évêque Germain, il reçoit la prêtrise. Devenu évêque, il obtient de revenir en Irlande pour convertir les païens. Le trèfle à trois feuilles lui permet d'expliquer le mystère de la Trinité (trois Dieux en Un). La plante deviendra le symbole de l'île. Infatigable dans son apostolat, il meurt en 461 ou 458 à près de quatre-vingts ans.

On dit aussi de lui qu'il convertit l'Irlande au catholicisme... et au whiskey.

La suite...

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 14:45

 

J’aime pas l’Carême !

J’aime pas l’Carême !

Et là j’suis pas le seul. Évidemment il y a bien quelques moines que nous entendons se réjouir et prétendre que le jeûne est non seulement bon pour l’âme mais aussi pour la santé, et qui vont à la pénitence, heureux comme un salarié le vendredi ; quelques religieuses aussi, catéchistes qui se réjouissent en « tatassant » de l’opération bol de riz qui permettra à leurs consœurs d’Afrique d’avoir des fournitures scolaires. Mais pour la plupart d’entre nous, c’est reparti pour le syndrome de l’âme épaisse, pour le Carême foi de veau : juste assez de conscience pour savoir qu’on devrait le faire, et une volonté ayant déjà abdiqué devant des pulsions vivifiées par la crainte d’un quelconque manque ou la perspective d’un effort à consentir. C’est le temps où, piteux, nous feignons de croire à nos résolutions, dont la fiabilité égale les promesses électorales d’un second tour de présidentielle : « Moi pénitent, je… ». ... la suite...

Pasquin, le 7 mars 2014 

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 10:05

 

Un article écrit le 1er janvier. Extrait.

Le Saint-Père a aussi cette formule qu’ont reprise les Franciscaines de l’Immaculée à l’adresse du « commissaire », détracteur de leur ordre : « Si tu parles mal de ton frère, tu tues ton frère. »  Halte aux vilains mots assassins !

Faire du mauvais bruit autour de quelqu’un, c’est si facile, d’autant plus qu’il est notre voisin. Osons le dire : c’est aussi l’une des tares, hélas ! de notre mouvance et l’une des raisons de son échec par sa désunion et sa division dialectique qui est l’œuvre du Malin. Critiquer, rabaisser, dire du mal (à plus forte raison lorsqu’on est investi d’un pouvoir quelconque), c’est tellement vite fait et c’est tellement dangereux pour une communauté et ses âmes. Ne pas juger selon les apparences, encore moins sans connaître et sans entendre le sujet de l’accusation ! Surtout ne pas juger subjectivement pour ne pas être jugé et découvrir que ce que nous focalisions dans l’œil du voisin était une paille par rapport à la poutre qui est dans le nôtre !

Apprendre d’abord à se taire, tourner sept fois sa langue dans sa bouche ou sa plume dans son encre, avant de parler ou d’écrire un courriel incendiaire. « N’ouvre la bouche que si tu es sûr que ce que tu vas dire est plus beau que le silence ! », enseigne un proverbe arabe. « En ravalant des paroles méchantes, personne ne s’est jamais abîmé l’estomac », constatait autrement Churchill avec humour et il savait de quoi il parlait !

A l’opposé des mondains

Les mérites du silence sont de deux ordres :

Négativement, le silence préserve de beaucoup d’erreurs et de péchés. Toute parole est une pierre qu’on jette dans l’Eternité et qu’on ne reprend plus, affirmait sainte Madeleine de Pazzi à qui Notre-Seigneur demandait de considérer chacune de ses paroles et de ses œuvres comme si elles devaient être les dernières de sa vie. Que d’infamies et de calomnies évitées si l’on pensait ainsi : sus aux langues de vipères !

Positivement, le silence est un éveilleur d’âme : on pense si peu dans le bruit et l’on prie si peu ! Ecouter le silence, c’est être attentif à la voix du Seigneur, faire retraite en soi-même. Dire moins et être plus.

A l’opposé des courtisans et des mondains (honnis par le pape François) qui, pour plaire au monde, se montrent et parlent trop, pour plaire à Dieu, il faut se taire et se cacher : c’est l’appel du silence qui féconde les bonnes décisions et les bonnes paroles autant que les bonnes actions (voir « Les silences de l’Immaculée Conception » du F. Bernard-Marie dans Présent du 7 décembre). « La Vérité parle au-dedans du cœur sans aucun bruit de paroles » (L’Imitation traduite par Pierre Corneille, livre 3, chap. 2.) Chut, plus de bruit ! Pour l’amour de Dieu. Mettons-nous à cette école du triple silence de Noël. C’est notre premier vœu pour l’année qui vient.

Rémi Fontaine, in Présent, 01/01/2014 

« Alors, comme dans une famille, aimons-nous pour ce que nous avons de bon, et supportons-nous les uns les autres pour ce que nous avons de moins bon ; mais marchons ensemble. Fermes et droits. » – Jean Madiran †

Article extrait du n° 8012 du Mercredi 1er janvier 2014

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6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 08:49

 

Le Carême est "le Ramadan des chrétiens" : voilà ce que l'on entend de plus en plus souvent. Confusion du vocabulaire et confusion des démarches, la comparaison est une grave erreur. Eclairage.

 

jeûne

Mardi 4 mars 2014, dans le JT de France 2, un sujet sur Mardi Gras. Entre deux enfants joyeusement déguisés, on découvre soudain à l'image, l'historien Odon Vallet, interrogé sur le Carême. "C'est un peu comme le Ramadan des musulmans", lance-t-il tout de go, "c'était extrêmement contraignant. Pas de fête, pas de danse, pas de plaisir, pas de sexe aussi, et une nourriture quand même très frugale". Une accumulation de clichés et de non-vérités qui nécessitent de revenir sur les similitudes, mais surtout sur les différences entre le Carême et le Ramadan.

ramadanLe Ramadan, mois sacré de la Révélation: conformer sa vie à la volonté d'Allah

Voulant lui-même mettre un terme à ce qui l'appelait "une grave erreur", peu de temps avant sa mort, en 1996, l'ancien évêque d'Oran en Algérie, Mgr Pierre Claverie, expliquait pourquoi on ne pouvait pas appeler le Carême, "Ramadan des musulmans""Le Ramadan est le mois sacré se la Révélation", soulignait-il, "le jeûne est d'abord destiné à disposer les croyants à recevoir la totalité du Coran, récité chaque soir jusqu'à la nuit du Destin". Rappelons que la nuit du Destin est pour les musulmans, la nuit où le Coran fut transmis par l'ange Gabriel au prophète Mahomet. Le Ramadan est don une pratique commandée par le Coran lui-même (2,183-187). C'est d'abord la vertu d'obéissance qui est ainsi appelée à s'exercer dans la jeûne. Une loi divine qui doit s'exercer avec rigueur.

Le Carême : se préparer à recevoir la vie nouvelle par la Résurrection du ChristCareme_1

Dans la tradition chrétienne, le Carême désigne les quarante jours de préparation à la fête de Pâques. Comme les quarante jours que Jésus a passés au désert pour se préparer à sa mission (Matthieu 4, 2). Il s'agit donc d'un temps où chacun doit se garder disponible envers Dieu et les autres, à travers trois moyens: la prière, le jeûne et l'aumône. "Il ne s'agit donc pas d'obéir à une loi", expliquait Mgr Claverie, "mais de se disposer à recevoir la loi intérieure de l'Esprit Saint", afin de nous laisser"transformer par Dieu".

Vu sur Radio Notre Dame

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 08:39

 

« Si vous voulez vivre comme des justes, évitez d'agir devant les hommes pour vous faire remarquer. Autrement, il n'y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux. Ainsi, quand tu fais l'aumône, ne fais pas sonner de la trompette devant toi, comme ceux qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu fais l'aumône, que ta main gauche ignore ce que donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra. Et quand vous priez, ne soyez pas comme ceux qui se donnent en spectacle : quand ils font leurs prières, ils aiment à se tenir debout dans les synagogues et les carrefours pour bien se montrer aux hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra. Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme ceux qui se donnent en spectacle : ils se composent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu'ils jeûnent. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra.

Suite et commentaire de Saint Jean de la Croix ICI

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