
Le Christ est ressuscité !
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Le Christ est ressuscité !
Au contraire ! Le christianisme a révolutionné les mentalités en affirmant, au sein d’un monde antique pénétré par l’idée d’infériorité de la femme, l’égale dignité des deux sexes aux yeux de Dieu. Saint-Paul n’affirme-t-il pas, dans son épître aux Galates (III, 28) :"Il n’y a plus ni Juif, ni Grec, ni maître, ni esclave ; ni homme, ni femme. Vous n’êtes qu’un dans le Christ Jésus" ? Comme le souligne Monique Piettre : "désormais le rite d’élection n’est plus le signe, exclusivement réservé aux mâles et inscrit dans la chair, qu’était la circoncision hébraïque, mais un sceau invisible imprimé sur les âmes et offert à tous et à toutes : le baptême". Cette égalité de dignité était déjà affirmée dans la Genèse : "Dieu créa l’homme à Son image, à l’image de Dieu Il le créa, homme et femme Il les créa". Par ailleurs, Dieu a tout de même choisi de s’incarner dans le sein d’une femme (Il aurait pu descendre sur terre adulte...), et tout son plan de salut était suspendu au "oui" de cette femme, la Vierge Marie, qu’Il a donnée comme mère à tous les hommes... On devrait méditer davantage les propos de Jean Guitton : "la personne la plus parfaite de notre monde moral se trouve avoir été choisie dans le sexe le plus faible"
Une soirée animée par deux témoignages
et une conférence donnée par Mgr Ravel, évêque aux Armées.
Mardi 16 mars à 20h30
23 bis rue Las Casas Paris 7e
tél 01.4.18.62.63
Lu sur « la Nef »
Il y a tant d’hommes qui meurent sans jamais avoir parlé de Dieu à personne.
(Antoine Martel)
Le nombre des timides est considérable. Surtout lorsqu’il s’agit de faire connaître ses positions religieuses. Si tu t’affirmais franchement, tu ferais taire ton respect humain.
(Raoul Plus)
Nous n’avons pas mission de faire triompher la vérité, mais de témoigner pour elle
(Henri de Lubac)
Le principal péché est celui de ceux qui, étant éclairés, n’éclairent pas.
Ils connaissent le sens de la vie, ils savent la direction,
les points d’eau, les stations où l’on trouve de l’essence, et ne les montrent pas.
(Père Monier)
Annoncer la foi, n’est pas donner la foi.
Nous sommes responsables de parler ou de nous taire.
Nous ne sommes pas responsables de l’efficacité de nos paroles.
(Madeleine Delbrêl)
Seigneur, épargne-moi cette excessive discrétion
qui laisse les âmes dans leur ignorance
et qui n’ose pas seconder l’action de la grâce en chacun de nous !
lu sur
www.serviam.net Carême 2010 sur Internet
le récit des apparitions à Bernadette Soubirous
de la Vierge Marie, à Lourdes, à partir du 11 février 1858
>>> http://jesusmarie.free.fr/apparitions_lourdes.html
"Nous fêterons les ... " : vous avez peut-être remarqué que le mot "saint" ou "sainte" a quasiment disparu depuis quelques années des émissions télé de la météo.
On voit donc par exemple écrit sur l'éphéméride "Philippe" ou "Dominique".
C'est ainsi que, le 10 février, sur l'éphéméride du lendemain, on pouvait lire sur la chaîne France 2 : N-D.
Tous les téléspectateurs auront deviné : "N-D" comme "Notre Dame de Lourdes" ...
Non, il ne s'agit ni d'une bonne bouteille, et encore moins d'un régime politique, mais de ce qui, seul, tient la durée en ce bas-monde : les moines bénédictins de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes (Sarthe) célèbrent cette année son millénaire.
Pour l'occasion, les religieux ont enregistré un disque, "Solesmes 1010-2010 - Le millénaire" et édité un livre, "Mille ans d'histoire à l'abbaye de Solesmes". La communauté s'apprête également à participer au printemps à des rendez-vous religieux et culturels, consacrés au chant grégorien. Le père Paul-Alain Rochon explique :
"La règle de Saint-Benoît est pleine de sagesse et de modération et le goût de la performance n'est pas proprement chrétien."
Le monastère, logé aux confins du Maine et de l'Anjou, a été fondé par Geoffroy Le Vieil, seigneur de Sablé. A la Révolution, les moines sont dispersés. Mais en 1833, Prosper Guéranger, un jeune prêtre, redonne vie au monastère mais aussi au chant grégorien. Aujourd'hui, 60 moines et six novices vivent à Saint-Pierre de Solesmes, entre prière, travaux domestiques, offices chantés sept fois par jour, recherche sur les manuscrits grégoriens et études des textes saints. L'abbaye auto-édite disques et livres de chant et de spiritualité, activité dont elle tire l'essentiel de ses subsides
A l'occasion du millénaire, les fidèles peuvent bénéficier jusqu'au 12 octobre de l'indulgence plénière. Elle exige de se rendre en pèlerinage à l'abbaye, d'y recevoir la communion, de se confesser et de prier à l'intention du pape Benoît XVI. "Cette grâce est gratuite, mais les gens n'aiment pas les choses gratuites, car un don de Dieu oblige et humilie. Et ça, les hommes n'aiment pas beaucoup", regrette Dom Rochon.
lu ici
En retard, désolé ! c'était hier. C'est de qui ? ...
Les Saints Innocents, pauvres comme le Christ pauvre
Non loin d'Etienne, le premier des martyrs, se tiennent les « flores martyrum », les fleurs des martyrs, les tendres bourgeons arrachés avant d'être mûrs pour s'offrir eux-mêmes. Selon une pieuse tradition, la grâce a devancé le développement naturel de ces enfants innocents et leur a donné la compréhension de ce qui leur arrivait afin de les rendre capables d'un don libre d'eux-mêmes et de leur assurer la récompense réservée aux martyrs. Mais même ainsi, ils ne ressemblent guère au confesseur de la foi parvenu à l'âge d'homme qui s'engage avec un courage héroïque pour la cause du Christ. Livrés sans défense, ils ressemblent bien plus aux « agneaux conduits à l'abattoir » (Is 53,7; Ac 8,32).
C'est ainsi qu'ils sont l'image de la plus extrême pauvreté. Ils ne possèdent nul autre bien que leur vie. Et maintenant elle leur est prise aussi et cela s'accomplit sans qu'ils résistent. Ils entourent la crèche pour nous montrer de quelle nature est la myrrhe que nous devons offrir à l'Enfant divin : celui qui veut lui appartenir totalement doit se livrer à lui dans un total dessaisissement de soi-même et s'abandonner au bon vouloir divin comme ces enfants.
Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix [Edith Stein] (1891-1942), carmélite, martyre, copatronne de l'Europe
Méditation pour le 6 janvier 1941 (trad. Source cachée, p. 271)
Lu dans levangileauquotidien
Comment Ignace de Loyola propose de contempler la Nativité dans le livret des "Exercices spirituels":
www.jesuites.com/ignace/nativite.htm
par Benoît XVI
Rome, Palais Apostolique du Vatican, Chapelle Pauline, le 1er décembre 2009
Chers frères et sœurs, les paroles du Seigneur que nous venons d’entendre dans le passage de l’évangile (Luc 10, 21-24) sont pour nous, théologiens, un défi ou peut-être, pour mieux dire, une invitation à faire un examen de conscience : qu’est-ce que la théologie ? Nous, théologiens, que sommes-nous ? Comment bien faire de la théologie ? Nous avons entendu le Seigneur louer le Père d’avoir caché le grand mystère du Fils, le mystère trinitaire, le mystère christologique, aux sages, aux savants - ils ne l’ont pas connu - mais de l’avoir révélé aux tout-petits, aux "nèpioï", à ceux qui ne sont pas savants, qui n’ont pas une grande culture. C’est à eux qu’a été révélé ce grand mystère.
Par ces paroles, le Seigneur décrit simplement un fait de sa vie ; un fait qui commence dès l’époque de sa naissance, quand les Mages de l’Orient demandent aux gens compétents, aux scribes, aux exégètes, quel est le lieu de la naissance du Sauveur, du Roi d’Israël. Les scribes le savent parce que ce sont de grands spécialistes ; ils peuvent dire tout de suite où naît le Messie : à Bethléem ! Mais ils ne se sentent pas invités à y aller : pour eux cela reste une connaissance académique, qui ne touche pas leur vie ; ils restent en dehors. Ils peuvent donner des informations, mais l’information ne devient pas formation de leur vie.
Puis, pendant toute la vie publique du Seigneur, on trouve la même chose. Il est impossible, pour les savants, de comprendre que cet homme qui n’est pas savant, qui est un galiléen, puisse être vraiment le Fils de Dieu. Il reste inacceptable, pour eux, que Dieu, le grand, l’unique, le Dieu du ciel et de la terre, puisse être présent en cet homme. Ils savent tout, ils connaissent aussi Isaïe 53, toutes les grandes prophéties, mais le mystère reste caché. Au contraire il est révélé aux petits, depuis la Vierge Marie jusqu’aux pêcheurs du lac de Galilée. Ils savent, comme le capitaine romain sous la croix sait : celui-ci est le Fils de Dieu.
la suite http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=0712091_magister
Bernadette Soubirous affirme que, le 25 mars 1858, soit quatre ans après
la promulgation du dogme dont elle n'avait pas connaissance, la dame qui lui est apparue s'est elle-même présentée ainsi, en gascon, dans la grotte de Massabielle (à Lourdes) : Que soy era immaculada councepciou (« Je suis l'immaculée conception »).
lu sur Wikipedia
La Conférence des évêques de France vue par un évêque à la retraite...
Monseigneur Maurice Gaidon, ancien évêque de Cahors, dans son livre Un évêque français entre crise et renouveau de l’Église, aux Éditions de l'Emmanuel :
« Je pense que notre langage manque de vigueur et que le souffle prophétique est trop absent de nos textes savamment mesurés et dignes des résolutions votées en fin de “meeting radical-socialiste” ! (...) Un texte se dilue quand il est revu et corrigé dans une assemblée d’une centaine de membres dont certains ne parlent jamais alors que d’autres prennent la parole sans complexes. Dans une assemblée en partie noyautée par de “grosses mitres” qui préparent soigneusement certaines élections et se partagent les “postes clés” de l‘épiscopat (...). Nous n’aimons pas sortir d’un ton conciliant et recherchons avant tout le réconfort d’un consensus mou (…) ».
lu sur e-deo.
au Mont des Cats, en Flandre
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