« Le chrétien moderne se sent professionnellement obligé à se montrer jovial et blagueur, à sourire complaisamment en exhibant sa denture, à affecter une cordialité niaise, pour prouver à l'incrédule que le christiannisme n'est pas une religion "sombre", une doctrine "pessimiste", une morale "ascétique".
Être chrétien à la mode actuelle consiste moins à nous repentir de nos péchés qu'à nous repentir du christianisme.
Le chrétien progressiste nous empoigne la main en arborant un large sourire électoral. »
Nicolás Gómez Dávila, Les Horreurs de la démocratie, trad. Michel Bibard, éd. Éditions du Rocher, coll. « Anatolia », 2003
Flash Mob à la fin de la messe, sur un air de Glorious!! L’Eglise est jeune!!