Face à la conspiration du monde moderne contre la vie intérieure, le message spirituel de Bernanos n’a rien perdu de son actualité. Voici une merveilleuse introduction à l’œuvre du romancier catholique à travers la méditation de ses thèmes de prédilection : l’appel à la sainteté, l’enfance spirituelle, ou l’invincible espérance.
14 juin : La Fête-Dieu
ou Fête du Saint Sacrement du Corps et du Sang du Christ
Solennité
Nous devons l'origine de la « Fête-Dieu » ou « Fête du St sacrement du corps et du sang du Christ » à une révélation faite à Sœur Julienne du Mont Cornillon vers l'an 1210. Cette révélation demandait l'institution d'une fête annuelle en l'honneur du Saint Sacrement de l'autel. Malgré une vive persécution contre Sœur Julienne et ceux qui souhaitaient que cette fête se répande, le diocèse de Liège l'institua vers l'an 1245 puis l'Eglise universelle ajouta cette fête au calendrier liturgique par le pape Urbain IV qui la rendit obligatoire pour l'Eglise entière en 1264.
Pierre Loti, officier de marine et écrivain français, est mort il y a 100 ans.
Pêcheur d'Islandea sans doute souffert de son succès, considérable, et l'on ne relit plus beaucoup cette histoire d'amour qui fit tant pleurer nos grands-mères. Le chef-d'œuvre de Loti n'en recèle pas moins de nombreuses qualités. Avec une construction savante, soigneusement équilibrée, un style sobre, à la limite de l'épure ("La mer, la mer grise"), des phrases ciselées, polies comme des galets, Loti accomplit un véritable travail d'artiste et de peintre pour évoquer ces horizons blancs, immensément vides, qui déchirent le ciel d'Islande. Lumières polaires irisées, brumes blafardes, soleils sans chaleur, impassibles et cruels, répondent aux tourments des cœurs, annoncent les amours brisées par la mort, les noces du marin et de la mer. Artisan scrupuleux, Loti trouve ici le chemin d'une poésie à la fois simple et profonde, où son chant s'épanouit en toute plénitude. --Scarbo
La Marie, navigue vers l'Islande emmenant à son bord les pêcheurs bretons qu'on appelle les "Islandais". Pourtant, la mer du Nord est dangereuse, et chaque année, certains équipiers ne reviennent pas. Après avoir vécu à Paris, Gaud, une belle et douce jeune femme, revient vivre en Bretagne. Elle tombe alors éperdument
amoureuse de Yann, marin sur La Marie. Mais, lui, n'aime que la mer…
Le drame glaçant qui s'est produit à Annecy, jeudi 8 juin, lors de l'attaque au couteau qui a blessé gravement quatre enfants, a révélé l'intervention de plusieurs personnes pour arrêter l'assaillant. Parmi eux, Henri, 24 ans, qui effectue un tour de France des cathédrales. Aleteia l'avait rencontré il y a quelques semaines.
L’horreur s’est abattue en une fraction de seconde sur Annecy, le 8 juin, lorsqu’un ressortissant syrien armé d’un couteau s’est précipité sur des enfants. Après avoir blessé gravement quatre enfants âgés de 22 mois à 3 ans, l’assaillant a poursuivi sa course effrénée, qui aurait bien pu ne pas s’arrêter si plusieurs personnes n’étaient pas venues s’interposer avant l’arrivée des forces de l’ordre. Parmi elles, Henri, 24 ans, que le lecteur d’Aleteia connaît sans doute déjà puisqu’il avait témoigné il y a quelques mois de sa belle initiative : faire un tour de France des cathédrales.
A plusieurs reprises, malgré le danger et le risque encouru, Henri s’est interposé pour éviter que ne soient touchées d’autres personnes. Chargé de son sac à dos, on peut le voir se placer directement devant l’homme, se protégeant avec un autre petit sac pour esquiver les coups, avant de le poursuivre.
Un pèlerin amoureux des cathédrales
Âgé de 24 ans, diplômé en philosophie à l’IPC et titulaire d’un master de management, le jeune homme avait décidé il y a deux mois de se lancer dans un tour de France des cathédrales. Fervent catholique, passionné de marche et amoureux du patrimoine religieux de la France, il avait expliqué à Aleteia vouloir faire découvrir au plus grand nombre la beauté des cathédrales françaises, dans une démarche à la fois spirituelle et pédagogique. « C’est aussi un moyen de poser la question de la vocation de la France, fille aînée de l’Église », avait-il témoigné.
Ainsi des juges ont rattrapé Nicolas Sarkozy et ont satisfait leur vengeance. François Mitterrand avait coutume de dire « Méfiez-vous des juges, ils ont tué l’Ancien Régime, ils tueront la République. »
Il n’est pas certain que cette décision de la cour d’appel de Paris tue la République mais elle a une valeur de symbole. Jacques Chirac avait été mis en examen mais la mort lui a évité de comparaître comme prévenu. Son successeur a eu droit à l’instruction comme mis en examen au tribunal, et à la cour d’appel comme prévenu et condamné. Dans notre constitution, le président de la République préside le Conseil supérieur de la magistrature. Il est celui à qui s’adresse le recours en grâce. Il est donc le juge suprême, héritier en cela du roi dont il tient l’autorité régalienne.
Le pouvoir ne connaît plus aucun frein
Lorsqu’un président de la République doit aller au commissariat de police pour faire régler son bracelet électronique qui est l’aménagement de sa peine, il perd rétroactivement toute autorité et dépouille par là-même l’institution de ce qui lui restait de majesté. Il n’y a plus donc en France qu’un seul pouvoir, c’est le pouvoir judiciaire. François Mitterrand avait raison, une telle solitude n’annonce rien de bon. Les juges eux-mêmes devraient y prendre garde. Nous savons depuis toujours que le vrai pouvoir de justice est un pouvoir délégué : « Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir s’il ne t’avait été donné d’en haut », dit Jésus à Pilate.
Lorsque cette délégation n’existe plus, ni dans le droit constitutionnel, ni dans un droit divin, le pouvoir qui dispose de la force armée, des prisons et des sanctions pénales ne connaît plus aucun frein. Là est le vrai danger : une justice, rendue au nom du peuple français, pourra se voir demander des comptes par ce même peuple qui n’a plus d’institution qui le représente.
Le 22 avril 1970, c'était le jour de la Terre. Et ces experts disaient : 😉
"La civilisation périra dans 15 ou 30 ans à moins que quelque chose ne soit fait immédiatement pour résoudre les problèmes de l'humanité." 🫣
Biologiste de Harvard George Wald
"La population dépassera inévitablement et complètement les petites augmentations de l'approvisionnement alimentaire que nous ferons.
Le taux de mortalité augmentera jusqu'à ce qu'au moins 100 à 200 millions de personnes par an meurent de faim au cours des dix prochaines années." 🫣
Paul Ehrlich, biologiste à l'Université de Stanford
"La plupart des personnes qui mourront dans la plus grande catastrophe de l'histoire de l'humanité sont déjà nées...
D'ici 1975 certains experts conviendront que les pénuries alimentaires ont augmenté les niveaux actuels de faim et de famine dans le monde jusqu'à des niveaux de famine dans des proportions incroyables."
"D'autres experts, plus optimistes, pensent que l'ultime choc alimentaire-population ne se produira pas avant les années 1980." 🫣
Paul Honnête
"Il est déjà trop tard pour empêcher une famine massive" 🫣
Denis Hayes, organisateur en chef du Jour de la Terre
"Les démographes s'accordent presque à l'unanimité sur le sombre calendrier suivant :
la famine généralisée commencera en Inde en 1975 ; celles-ci s'étendra à travers l'Inde, le Pakistan, la Chine, le Moyen-Orient et l'Afrique d'ici 1990.
La famine régnera en Amérique du Sud et centrale d'ici l'an 2000 ou peut-être plus tôt...
D'ici l'an 2000, dans trente ans, la famine touchera le monde entier sauf l'Europe occidentale, l'Amérique du Nord et l'Australie." 🫣
Professeur Peter Gunter de la North Texas State University
"Dans une décennie, les citadins devront porter des masques à gaz pour survivre à la pollution de l'air ... d'ici 1985, la pollution de l'air aura réduit de moitié la quantité de lumière solaire atteignant la terre." 🫣
Magazine de la vie
"Au rythme actuel d'accumulation d'azote, ce n'est qu'une question de temps avant que la lumière ne soit filtrée de l'atmosphère et pas un seul morceau de terre ne sera utilisable." 🫣
Écologiste Kenneth Watts
"D'ici l'an 2000, si les tendances actuelles se maintiennent, nous consommerons tellement de pétrole qu'il n'y aura plus de pétrole. Ils s'arrêteront à la station-service et diront :
«Fais le plein, mec», et il dira :
«Je suis vraiment désolé, nous n'avons plus d'essence.»" 🫣
Écologiste Kenneth Watt
Rudolfina Steindling (10 septembre 1934 – 27 octobre 2012) était une femme d’affaires et philanthrope juive autrichienne accusée d’avoir volé un quart de milliard d’euros.
Biographie
De 1959 à 1969, elle est membre du Parti communiste d’Autriche et est surnommée « Red Finney ». En 1973, elle a été nommée directrice de Novum et a été l’unique fiduciaire de la société de1978 à 1992. La société était enregistrée en Allemagne de l’Est communiste et servait d’intermédiaire pour les entreprises et les hommes d’affaires de l’Ouest qui voulaient conclure des accords en Allemagne de l’Est. Après la réunification allemande, elle a été pendant des années considérée comme une donatrice et proche des cercles de gauche en Israël, ainsi que de l’homme d’affaires Martin Schlaff.
À partir des années 90,elle s’installe à Tel Aviv. Steindling était membre du conseil d’administration de l’Université de Tel Aviv, de l’Association du Centre Yitzhak Rabin, du Conseil d’administration international de l’Institut Weizmann des sciences et membre honoraire du Centre interdisciplinaire Herzliya.
Finney a été accusé d’avoir fait passer de l’argent d’une entreprise publique sur des comptes privés en Suisse. En2010, un tribunal a statué que Steindling devait restituer 230 millions d’euros d’un compte bancaire suisse à l’Allemagne.
La chronique de Gaspard Proust : «L’écriture inclusive, cette machine à exclure»
"(...) Comme tous les concepts accouchés par le progressisme, il faut aller chercher dans le dictionnaire officieux laissé par Orwell la véritable définition de l’écriture inclusive. On t’y expliquera que la guerre c’est la paix, que la liberté c’est l’esclavage et que l’écriture excluante c’est l’écriture inclusive. Car la voilà la vérité grasse, il n’y a sans doute pas plus excluant que l’écriture inclusive. Outre la laideur congénitale de ces hiéroglyphes pour Champollion à QI d’huître, elle est d’abord et avant tout une formidable machine à exclure. La diversité humaine étant par nature infinie, la prétention de vouloir inclure tout le monde est une chimère absolue.
Il suffit de prendre le sigle LGBT pour s’en convaincre. Au fil du temps, c’est toute une inflation de signes alphanumériques qui se sont collés à ces initiales dans le seul but de ne surtout pas mettre de côté la plus rocambolesque des pratiques. Entre les Q+, les Y- et les triple A dièse, l’homme de la rue a du mal à suivre. Évidemment, il en souffre. Un bonheur terrestre est-il vraiment envisageable sans être à jour sur le mystère « fornicatoire » de la chambre à coucher du voisin ? Qui peut sérieusement imaginer un monde meilleur en ignorant qu’au rez-de-chaussée de son immeuble s’ébroue joyeusement un « trouple » dont l’un des protagonistes piaffe d’impatience à l’idée d’enfin allaiter bébé par lactation pectorale grâce aux inestimables progrès de la chirurgie de genre ?
S’il fallait inclure par les mots tous les êtres humains riches de leurs petites fantaisies, alors il faudrait sans doute ajouter 8 milliards de signes alphanumériques au mot LGBT, sans oublier la lettre H du mot « hétérosexuel ». Après tout, quoi de plus subversif pour un homosexuel que de revendiquer une sexualité hétéro ? On tiendrait là un sommet de subversion !
Il est une phrase que j’aime beaucoup et qui dit que « Dieu a fait l’homme à son image ». Les athées la moquent régulièrement, y trouvant par l’évidente misère de l’homme la preuve flagrante de l’inexistence de Dieu. Il s’agit pourtant de la phrase la plus inclusive qui soit. Elle sonne comme une déclaration d’amour faite à la singularité des hommes : « Vous êtes presque 8 milliards, pas l’un de vous ne ressemble à l’autre, mais tous vous portez quelque chose de mon visage. »
En vérité, le délire inclusif est la négation absolue de la diversité humaine ; une illusion de singularité dans un océan de conformisme. Il pense promouvoir des différences alors qu’il ne fait que multiplier des cases. Il prétend pouvoir dire toutes les possibilités de l’homme par des mots abscons qui ne seront jamais ni suffisamment abscons, ni suffisamment nombreux pour contenir le monde. En vérité, l’écriture inclusive n’est pas une écriture, mais une comptabilité. Un poème enfermé dans une case Excel. Respectueusement."
11 mai, Fête de Saint Mamert, archevêque de Vienne en Dauphiné, confesseur ; Anniversaire de la translation des reliques de Saint Antoine le Grand (cf. > ici) ; Anniversaire de la victoire de Fontenoy (cf. > ici).
Ah ! Les fameux « Saints de glace » !!! Même ceux qui ne croient plus trop aux saints et à leur pouvoir d’intercession, s’ils vivent en dehors des grands centres urbains (déconnectés des cycles de la nature) et s’intéressent un peu au jardinage, y prêtent attention chaque année, car les bulletins météorologiques de la radio ou de la télévision y font allusion, voire les citent.
Il y a toutefois un problème : les saints en question ont figuré dans les calendriers liturgiques pendant plus de mille ans, et au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe, leurs noms étaient écrits dans tous les almanachs populaires, dont l’incontournable « Almanach des P.T.T. »que l’on trouvait accroché en bonne place dans quasi toutes les cuisines de nos campagnes… Mais il y eut le concile vaticandeux, avec ses prémisses – dès 1950 – et ses conséquences, qui ont bouleversé bien des habitudes… et le calendrier lui-même : des saints, jadis très populaires, se sont trouvés relégués au second rang ou changés de place, quand ils n’ont pas été purement et simplement éliminés, tandis que les « curés modernes » n’en parlaient plus ou traitaient de superstitions les dictons populaires attachés à leurs fêtes. S’adaptant aux « mentalités modernes », le calendrier des Postes a modifié les noms des saints de chaque jour, au grand dam des jardiniers;
Mais bref ! Revenons à nos Saints de glace si redoutés : qui sont-ils ? et pourquoi sont-ils craints ?
En fait, l’expression « les Saints de glace » désigne en premier lieu une période climatologique observée depuis le haut Moyen-Age d’une manière assez générale en Europe occidentale vers la mi-mai : période au cours de laquelle les dernières gelées sont encore possibles en plaine (puisque, évidemment, en zone montagneuse elles peuvent arriver plus tard).
Ces gelées tardives peuvent avoir des effets désastreux dans les jardins où les jeunes pousses, encore très fragiles donc, peuvent être irrémédiablement endommagées ; de même dans les vergers où, après la floraison, les fruits commencent à se former.
Dans une civilisation profondément chrétienne, où les dates des fêtes des Saints – surtout si ces derniers sont très populaires – constituent des repères pour toute la société, il était naturel que les Saints fêtés en ces jours redoutés des jardiniers donnassent lieu à des dictons très mnémotechniques, avec des variantes selon les provinces, rappelant aux cultivateurs trop pressés combien il importe qu’ils restent très prudents tant que ces jours des dernières gelées ne sont pas passés.
Dans la plupart des provinces, ce sont donc les 11, 12 et 13 mai, qui sont appelés jours des « Saints de glace », mais en certains lieux on ne parle pas du 11 et l’on mentionne le 14.
Trois jours qui se suivent donc… Mais on oublie fréquemment le quatrième et dernier jour redouté des jardiniers : le 25 mai, fête de Saint Urbain 1er, pape et martyr.
- Le 11 mai est la fête de Saint Mamert, archevêque de Vienne (en Dauphiné), mort le 11 mai, probablement en 475, il est demeuré célèbre pour avoir institué les prières des Rogations, qui se célèbrent les lundi, mardi et mercredi qui précèdent la fête de l’Ascension.
- Le 12 mai, est fêté un jeune saint de 14 ans originaire de Phrygie, martyrisé en 304, pendant la persécution de Dioclétien : Saint Pancrace. On fête en même temps que lui les Saints Nérée et Achillée, martyrs eux aussi, et Sainte Domitille, vierge et martyre, qui, elle, vécut à la fin du premier siècle et appartenait à la famille impériale.
- Le 13 mai, le martyrologe des Eglises des Gaules mentionne Saint Servais de Tongres, premier évêque de cette cité, objet d’une grande vénération populaire, qui rendit son âme à Dieu le 13 mai 384. Son nom n’étant toutefois plus très répandu, il est parfois confondu avec Saint Gervais, frère de Saint Protais, dont la fête est célébrée le 19 juin.
- Avec le pape et martyr Saint Urbain 1er, déjà mentionné, voilà donc le groupe traditionnellement nommé « Saints de glace », illustrés par ce dicton très facile à mémoriser : « Mamert, Pancrace et Servais sont les trois saints de Glace, mais Saint Urbain les tient tous dans sa main ».
Est-il nécessaire de préciser que ces bons Saints ne sont pas les responsables (ni les coupables) des gelées tardives qui peuvent se produire en cette période critique de la mi-mai ? Quelques mécréants, toujours prompts à accuser l’Eglise et les dévots, le croient peut-être, tandis que les personnes pieuses, elles, profitent de l’occurrence de la fête de ces Saints avec les jours des dernières gelées possibles pour demander leur protection et leur intercession…
Qu’ils veillent donc sur vos jardins et vos vergers, sur vos semis et vos jeunes pousses, et puissiez-vous éprouver en ces petites choses de chaque jour combien nous avons de nombreux et puissants amis dans le Ciel !
En 397, saint Martin meurt après avoir évangélisé la Gaule. Cent ans plus tard, dans la nuit de Noël de l'an 496, Clovis, roi des Francs saliens, reçoit le baptême et donne à l'Église catholique le premier royaume barbare. Un siècle après, en 587, Récarède, roi des Wisigoths, abjure l'arianisme et proclame l'Espagne royaume catholique.
Ce n'est qu'à l'issue de dix nouvelles années, en 597, qu'Éthelbert, souverain du royaume jute de Kent, reçoit le baptême catholique des mains du moine romain Augustin, envoyé là par saint Grégoire le Grand. Cette cérémonie marque la première étape de la seconde conversion de l'île de Bretagne, qui devait rallier au Christ les féroces envahisseurs anglo-saxons.
Mais il faudra encore plus d'un siècle pour que l'Angleterre, divisée entre cinq communautés religieuses différentes, déchirée par des rivalités et des haines inexpiables, trouve l'unité religieuse et la paix sociale dont avait rêvé le pape Grégoire en voyant des Angles sur un marché aux esclaves.
Ivan Gobry, historien et philosophe, nous raconte cette belle et longue histoire du baptême de l'Angleterre, à l'occasion du quatorzième centenaire de l'événement.
"La civilisation périra dans 15 ou 30 ans à moins que quelque chose ne soit fait immédiatement pour résoudre les problèmes de l'humanité." 🫣
Biologiste de Harvard George Wald
"La population dépassera inévitablement et complètement les petites augmentations de l'approvisionnement alimentaire que nous ferons.
Le taux de mortalité augmentera jusqu'à ce qu'au moins 100 à 200 millions de personnes par an meurent de faim au cours des dix prochaines années." 🫣
Paul Ehrlich, biologiste à l'Université de Stanford
"La plupart des personnes qui mourront dans la plus grande catastrophe de l'histoire de l'humanité sont déjà nées...
D'ici 1975 certains experts conviendront que les pénuries alimentaires ont augmenté les niveaux actuels de faim et de famine dans le monde jusqu'à des niveaux de famine dans des proportions incroyables."
"D'autres experts, plus optimistes, pensent que l'ultime choc alimentaire-population ne se produira pas avant les années 1980." 🫣
Paul Honnête
"Il est déjà trop tard pour empêcher une famine massive" 🫣
Denis Hayes, organisateur en chef du Jour de la Terre
"Les démographes s'accordent presque à l'unanimité sur le sombre calendrier suivant :
la famine généralisée commencera en Inde en 1975 ; celles-ci s'étendra à travers l'Inde, le Pakistan, la Chine, le Moyen-Orient et l'Afrique d'ici 1990.
La famine régnera en Amérique du Sud et centrale d'ici l'an 2000 ou peut-être plus tôt...
D'ici l'an 2000, dans trente ans, la famine touchera le monde entier sauf l'Europe occidentale, l'Amérique du Nord et l'Australie." 🫣
Professeur Peter Gunter de la North Texas State University
"Dans une décennie, les citadins devront porter des masques à gaz pour survivre à la pollution de l'air ... d'ici 1985, la pollution de l'air aura réduit de moitié la quantité de lumière solaire atteignant la terre." 🫣
Magazine de la vie
"Au rythme actuel d'accumulation d'azote, ce n'est qu'une question de temps avant que la lumière ne soit filtrée de l'atmosphère et pas un seul morceau de terre ne sera utilisable." 🫣
Écologiste Kenneth Watts
"D'ici l'an 2000, si les tendances actuelles se maintiennent, nous consommerons tellement de pétrole qu'il n'y aura plus de pétrole. Ils s'arrêteront à la station-service et diront :
«Fais le plein, mec», et il dira :
«Je suis vraiment désolé, nous n'avons plus d'essence.»" 🫣
Écologiste Kenneth Watt