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24 avril 2023 1 24 /04 /avril /2023 19:59

Entretien
Sylvain Tesson : « L’Arménie est un éclat de nous-mêmes fiché dans l’Orient »

Sylvain Tesson s’est rendu en Arménie en octobre 2022, quelques semaines après l’agression azerbaïdjanaise sur le territoire arménien. Il faisait partie de la délégation culturelle du festival Paris-Stepanakert-Erevan, dont l’objectif était d’organiser des rencontres littéraires, des projections de films et des master class à Erevan et dans le Haut-Karabakh. Une façon d’exprimer sa solidarité avec le peuple arménien, de nouveau menacé, cent ans après le génocide de 1915 par l’Empire ottoman. L’auteur de La Panthère des neiges (prix Renaudot 2019) et de Blanc s’était déjà rendu en Arménie en 2020, au moment de la guerre de quarante-quatre jours, à l’issue de laquelle le dictateur azéri Ilham Aliev avait occupé la majeure partie du Haut-Karabakh, cette région arménienne enclavée à l’intérieur de l’Azerbaïdjan. Alors que l’Europe et l’Occident condamnent et sanctionnent la guerre menée par la Russie en Ukrainel’Arménie est abandonnée à son sort. Dans cet entretien réalisé à Erevan le 7 octobre, Sylvain Tesson dénonce le silence de la communauté internationale et nous met en garde contre les conséquences de cette épuration ethnique.

Qu’est-ce qui vous lie à l’Arménie ?

Sylvain Tesson Ce qui me lie à l’Arménie, ce sont les liens intangibles de la mémoire, de l’esprit, du cœur et de l’âme. Ce qui me lie à l’Azerbaïdjan, c’est un gazoduc. Pour un Français, voyager en Arménie est un peu une négation du voyage : il y a une telle proximité, une telle familiarité, un tel cousinage qu’on se trouve privé de dépaysement ! En 1994, je faisais le tour du monde à bicyclette avec mon camarade Alexandre Poussin. Nous avions 20 ans. Nous revenions de Singapour et nous dirigions vers l’Europe. Après les déserts du Pakistan et de l’Iran, nous avons passé le fleuve Araxe et sommes arrivés en Arménie. Nous ne connaissions pas le pays mais nous avions l’impression d’être rentrés à la maison ! C’étaient des « retrouvailles » avec une terre inconnue mais reconnaissable : une expérience spirituelle en même temps que sensorielle. Les paysages sont orientaux, presque bibliques. Quand le soleil se couche sur les flancs du mont Ararat, on se croirait en Galilée. Pourtant, on a l’impression d’arriver sur le parvis de l’Europe. L’Arménie est un verrou chrétien au milieu de l’ancien Empire ottoman. Aujourd’hui, réduite à peau de chagrin, verrouillée dans l’étau turco-azéri, elle est une anomalie démocratique étranglée par les satrapies. Le destin de l’Arménie ne concerne pas l’Arménie seule. Si on la considère comme une extension, une ombre projetée de l’Europe au seuil de la steppe, un éclat de nous-mêmes fiché dans l’Orient, alors c’est nous-mêmes qui sommes frappés par ses tourments. Si on use d’une image d’architecture militaire, l’Arménie est une échauguette, un avant-poste de l’Europe… Lisons Ivanhoé de Walter Scott : la chute du poste avancé préfigure toujours celle du donjon central.

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24 avril 2023 1 24 /04 /avril /2023 08:05

fêté le 24 avril.

 

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21 avril 2023 5 21 /04 /avril /2023 09:38

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20 avril 2023 4 20 /04 /avril /2023 10:10

Peut être une image de 1 personne

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18 avril 2023 2 18 /04 /avril /2023 15:33

 

" Dans ce livre, je raconte ma propre expérience, qui ne résume en aucune façon celle de tout le monde, mais certains de ses aspects font partie du lot commun. L'Histoire a déterminé ma propre histoire. En choisissant certains épisodes, je voulais restituer, le plus fidèlement possible, à travers le regard d'un enfant d'abord, d'une adolescente ensuite, une expérience vécue. Grâce au regard ironique de l'adulte que je suis devenue, ces événements pouvaient prendre une dimension comique ou grotesque.
Je ne peux qu'espérer que cette vision double permette au lecteur de saisir l'esprit des périodes décrites. Quant à l'auteure de ces lignes, sa vie de 1944 à 1968, ne peut intéresser le lecteur que par la diversité de son expérience qui l'a amenée à survivre à deux "ismes", le nazisme et le stalinisme, et à trouver son salut dans une démocratie libérale. Son destin l'a conduite à franchir plusieurs frontières, à traverser deux fois un océan, pour revenir à Paris et y mener enfin une vie "bien rangée".
Avouez, chères lectrices, chers lecteurs, on connaît des destinées bien plus malheureuses… "

On peut le commander ICI

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16 avril 2023 7 16 /04 /avril /2023 10:06

A l'occasion de la (re)découverte d'une série télé des années 70...

On la retrouve facilement sur Internet ICI ...

 

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12 avril 2023 3 12 /04 /avril /2023 17:35

L'Intelligence Artificielle va-t-elle tuer l'Homme ?

RDV le jeudi 20 avril 2023 à Neuilly S/ Seine

à l’Auditorium Sainte-Anne du Théâtre des Sablons – 70 avenue du Roule – Neuilly . Gratuit pour les étudiants.

Disputatio avec Cédric Sauviat, polytechnicien et président de l’association française contre l’Intelligence artificielle, et Gilles Babinet, entrepreneur, co-président du Conseil national du numérique depuis 2021.

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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 09:00

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10 avril 2023 1 10 /04 /avril /2023 08:54

CE LUNDI DE PAQUES à 18h dans diverses villes de France …

MIRACLES, le film - SERAPHIM
SERAPHIM-MARC-ELIE.FR
Pour la première fois au cinéma, une enquête sur 3 énigmes restées scientifiquement inexpliquées. Ce film documentaire nous entraine sur les traces de la relique la plus analysée au monde, le suaire de Turin, sur une image toujours inexpliquée d’une femme...
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9 avril 2023 7 09 /04 /avril /2023 09:28

ICI

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7 avril 2023 5 07 /04 /avril /2023 09:12

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3 avril 2023 1 03 /04 /avril /2023 10:52

La Semaine sainte est, pour les chrétiens, la semaine précédant Pâques et la dernière partie du Carême. Elle est destinée à commémorer la Passion du Christ. Le Triduum pascal de la Passion et de la Résurrection du Christ commence le jeudi soir de cette semaine et se termine le soir du dimanche de Pâques.

Ces trois jours sont le sommet de l'année liturgique car c'est par Sa mort que le Christ a détruit la mort et c'est en ressuscitant qu'Il a restauré la vie.

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2 avril 2023 7 02 /04 /avril /2023 09:37
 

 (M.R.)

(M.R.)

Dans « Au Royaume du pauvre », la journaliste Myriam Rembaut raconte à la première personne son expérience vécue de ses années de pauvreté sans logement fixe. Entretien.

« Comme journaliste, dans toute cette histoire, je me sens dans une sorte d’entre deux. Un peu comme une pièce sur la tranche, en vivant cette pauvreté mais aussi en la regardant. C’est ce qui m’a poussée à écrire ce livre. » Myriam Rembaut est journaliste. Après avoir longtemps travaillé comme salariée, notamment dans la presse jeunesse, elle a fondé en 2010 une petite société d’édition pour la jeunesse. Mais au bout d’un an, les difficultés personnelles et professionnelles ont commencé à s’accumuler, et sa vie a basculé petit à petit…

Dans « Au Royaume du pauvre », publié en décembre (éditions Ex Aequo), elle raconte à la première personne à son « expérience » directe de dix années de pauvreté, sans revenus ni logements fixes, « en errance ». Alors que la trêve hivernale, qui suspend les procédures d’expulsion, a pris fin ce vendredi 31 mars, elle revient pour « l’Obs » sur les enchaînements qui précipitent la plongée vers la pauvreté et la façon dont le système politique et administratif laisse perdurer ce « piège à l’impossible évasion ».

C’est la fin de la trêve hivernale, qu’est-ce que cette expression vous évoque comme souvenir ?

 

Myriam Rembaut. Lorsqu’on est plongé dans les problèmes au quotidien, noyé dans les demandes administratives lourdes, acculé par les huissiers, la trêve hivernale est une bulle d’oxygène. On l’attend même avec impatience, surtout si on a reçu un « commandement de quitter les lieux » : à cause de cela, jusqu’au 1er novembre, on peut être amené à partir sur le champ. La trêve commencée, plus personne ne peut venir réclamer quoi que ce soit. C’est un temps de pause. Mais un temps trop court pour retrouver un logement. J’ai eu beau multiplier les démarches, les administrations sont saturées et rien n’avance. Et le stress revient vite quand les mois s’écoulent et que rien ne bouge.

Je n’avais pas de biens personnels, pas de famille argentée, ni de patrimoine. J’avais mis toutes mes économies dans mon entreprise. Je devais donc obligatoirement passer par le circuit des services sociaux. Et là, c’est minimum un an d’attente pour espérer une proposition d’habitation. J’ai également regardé vers les foyers sociaux. C’est là que l’ami d’une amie m’a proposé un hébergement en bail gratuit. Une semaine avant la fin de la trêve, j’ai quitté l’appartement dans lequel j’avais vécu dix-huit ans.

Qu’est-ce que ça change de quitter son chez-soi dans ces conditions ?

Soudain, tu te rends compte que tu ne rentreras plus jamais chez toi. On te met dehors et tu n’as rien, pas même une tente. Tu dois te débrouiller seul… C’est d’une violence inouïe. Sans maison, on perd pied. Une habitation, ce n’est pas qu’un abri. Ce sont des souvenirs, des amis, mais aussi une adresse pour recevoir son courrier, un lieu pour travailler…

Comment vous-êtes vous retrouvée dans cette situation ?

J’ai empilé une succession de problèmes. Des difficultés dans l’entreprise que j’avais créée. Je me suis retrouvée seule, gérante majoritaire d’une SARL, avec une couverture sociale insuffisante, un prêt professionnel à rembourser… Ayant tout placé dans mon projet, je n’avais pas d’argent de côté. Sans doute un tort… Et puis on m’a découvert une maladie, qui s’est avérée être un Parkinson. Ma mère est tombée malade et je l’ai accompagnée sur sa fin de vie à Dunkerque.

Pendant six mois, je n’étais pas à Paris. J’ai manqué des courriers de relance, mon compte bancaire professionnel a été du coup supprimé. Les démarches pour recréer un compte auprès de la Banque de France ont été ubuesques. Il fallait un refus officiel d’une banque, j’ai dû faire une quarantaine d’agences pour finir par l’obtenir… Et une fois que je l’ai eu, ça a été la surprise d’apprendre que je n’avais plus de Kbis (inscription au registre du commerce). Le tribunal de commerce avait suspendu ma société, car des courriers arrivaient à l’adresse d’où j’avais été expulsée.

Je me suis retrouvée très vite sans revenus, car impossible de toucher le RSA : il fallait pour cela que je produise un bilan financier certifié de mon entreprise… Or je ne pouvais pas payer un comptable vu que mon compte professionnel était fermé. Sans RSA, pas de CMU, pas de transport… Rien. C’est comme cela que je me suis retrouvée pendant plus de deux ans à vivre sans un euro.

Comment vous êtes vous loggée dans les mois qui ont suivi ?

Le 115 [le numéro d’urgence sociale] est plein, les foyers sociaux tristes à mourir. Personne ne sait quoi faire de toi. Tu deviens un poids mort. Et puis, s’il est facile de donner, il est plus compliqué de recevoir. Mais demander, c’est pire, ça s’apprend ! Il faut mettre son ego dans sa poche. Pour fuir la rue, j’ai tapé aux portes de ceux que je connaissais et parfois de ceux que je ne connaissais pas. C’est une vie d’errance. Il faut se fondre dans les familles, s’habituer aux règles communes qui changent d’une personne à l’autre.

J’ai navigué de foyers en logements, en région parisienne, à Toulouse, dans un village de la Creuse, en Normandie, dans le Nord. Quelques semaines ici, un mois là. Heureusement, il y a eu des périodes assez longues : une amie, par exemple, m’a hébergée pendant cinq mois, sans jamais me faire un reproche. C’est moi qui ai fini par partir pour qu’elle puisse retrouver sa vie. Cette période d’errance a duré près de deux ans et demi. Sans habitation, tu perds ton identité, ta crédibilité, et au fur et à mesure ta dignité. Tu n’es plus grand-chose pour les autres et pour la société.

Pourtant il existe des aides…

Oui, il en existe même une multitude. Mais encore faut-il trouver celle qui correspond à ta situation et être conforme à ce qu’on te demande. On m’a souvent répondu : « Madame vous n’êtes pas dans la bonne tranche d’âge ou de revenu. » Si tu ne rentres pas dans les cases, ton dossier est mort. C’est assez déprimant. Il faut que les gens comprennent que l’administration est une éprouvante machinerie qui rend totalement dépendant.

Il ne faut pas se plaindre, puisque l’on pourvoit à tes besoins. Mais, aujourd’hui encore, je ne peux rien faire sans avoir à lever le petit doigt. Le pauvre, pris en charge, entre dans une sorte de « cage dorée » . A chaque changement d’arrondissement ou de département, il faut tout recommencer. On passe notre vie à remplir des dossiers, à justifier quelque chose, à ajouter un document qui manque systématiquement. On fait et refait, et souvent pour rien, les mêmes choses. Aujourd’hui, je fais une vraie allergie aux dossiers !

Quand on est pauvre, on vit presque quotidiennement Kafka ou la maison qui rend fou d’Astérix, où chaque fonctionnaire fait ce qu’il doit faire, même si ce n’est globalement pas logique et s’il y a des erreurs. Cette semaine encore, j’ai reçu un courrier des impôts, me disant : « Nous allons contacter votre banque pour vous saisir… » Or la banque en question n’est pas la mienne…

Avez-vous parfois dormi à la rue ?

Par chance, j’ai toujours pu trouver une solution. Peut-être parce que je prévoyais en amont le lieu où je pourrais me poser ensuite. Le démuni doit s’inquiéter de tout, tous les jours. Que ce soit pour la nourriture, le logement, l’habillement, les soins… Et donc quémander. La première chose qui s’installe chez le pauvre, c’est la honte. Notre société reposant essentiellement sur l’argent, quand tu n’en as pas, tu es jugé. Il est facile de penser que si tu es dans cette situation, cela doit être de ta faute. Du coup, on s’isole.

Malheureusement, je n’ai pas pu compter sur ma famille ni sur mes amis qui se sont éloignés, par peur. Inconsciemment, je reflétais ce qu’ils pourraient devenir eux aussi. Et puis, soi-même, on s’écarte de tout et de tout le monde. Une personne en pauvreté réclame tellement d’attention qu’elle devient quasiment un boulet.

C’est pour ça qu’il faut être en amont des problèmes, ne pas laisser couler les gens. Quand quelqu’un commence à être en difficulté, pourquoi ne pas réunir, le propriétaire, le locataire, des travailleurs sociaux et chercher une solution la plus satisfaisante pour tous. Ce serait plus constructif que de jeter des gens à la rue. En France, on ne sait pas être dans la prévention, on ne connaît que l’urgence.

Vous pensez à des réformes politiques ?

Nos gouvernants sont totalement hors sujet. A combien de plan pauvreté on en est ? Chaque année, plus de 500 personnes meurent encore dans les rues, dont beaucoup d’inconnus. Les politiques promettent « zéro SDF », « le logement d’abord » et jamais rien n’arrive. Je trouve cela méprisant. Nos politiques parlent et promettent beaucoup, mais ne concrétisent pas ou peu les choses. Le gouvernement vient d’annoncer le budget colossal de 413 milliards pour l’Armée. Or il n’y a jamais un sou pour la lutte contre la pauvreté et le mal-logement. Il faudrait penser à équilibrer les choses. Tout ça est indécent.

Quelle est votre situation aujourd’hui ?

J’ai eu finalement beaucoup de chance. Grâce à la dernière famille chez qui j’ai habité, j’ai pu être aidée par le médiateur du RSI (la Sécu des Indépendants). « C’est le chat qui se mord la queue », m’a-t-il dit après avoir étudié mon dossier. C’est lui qui a fait que j’ai pu enfin obtenir le RSA. Au premier versement, j’ai eu l’impression d’avoir un trésor dans mon porte-monnaie. Depuis un an et demi, j’ai un logement social dans le Maine-et-Loire. Mais je ne peux plus intégrer un poste en entreprise du fait de mes trop nombreux ennuis de santé. Trop de violences et de souffrances psychologiques font que le corps devient source de douleurs. Je suis membre d’une association animalière que j’aide comme je peux. J’écris beaucoup et je peins. Cette activité de loisirs m’aide à contrôler les mouvements involontaires liés à Parkinson.

Désormais, il est important pour moi de m’impliquer pour les autres. Je suis choquée par le nombre de jeunes qui se retrouvent à la rue. Quand je pense au refus d’étendre le repas du Crous à un euro, je trouve cette décision scandaleuse. J’ai décidé de collecter un euro sur chacun de mes livres vendus pour constituer une cagnotte. Celle-ci sera reversée à un réseau qui lutte contre le mal-logement des jeunes.

Et la retraite ?

Pour obtenir une retraite, il faudrait que je paie 49 000 euros de cotisations que je n’ai pas pu régler lorsque j’avais mon entreprise. Je vais avoir 60 ans en mai, mais je n’aurai certainement pas grand-chose, même en ayant commencé à travailler à 20 ans et sans jamais avoir eu de trou dans ma carrière. Jusqu’à ce que je crée mon entreprise.

Au royaume du pauvre, par Myriam Rembaut, éd. Ex Æquo, 116 p., 11 euros. (EDITIONS EX AEQUO)

Propos recueillis par Guillaume Launay pour L'OBS 1er avril 2023.

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2 avril 2023 7 02 /04 /avril /2023 08:39
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1 avril 2023 6 01 /04 /avril /2023 18:05

 

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31 mars 2023 5 31 /03 /mars /2023 11:31
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31 mars 2023 5 31 /03 /mars /2023 08:10
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30 mars 2023 4 30 /03 /mars /2023 11:12

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29 mars 2023 3 29 /03 /mars /2023 18:25

La bêtise, ça ne s'explique pas. Il faut des exemples. A suivre… En vous inscrivant dans "Newsletter", vous aurez la suite … Vous pouvez aussi faire suivre 

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29 mars 2023 3 29 /03 /mars /2023 18:03

Depuis Mao, le loagai, le système concentrationnaire chinois en mode goulag, est au centre du pouvoir exercé par le parti communiste. Mêlant images d'archives et témoignages d’anciens prisonniers, ce documentaire en deux volets retrace l’histoire des camps, à la fois outils de répression et instruments clés de l’économie de la Chine moderne. 

>>> ICI

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28 mars 2023 2 28 /03 /mars /2023 18:16

Conjurer la violence politique ?

Réponses dans "Permanences" Faire vivre le corps et l’âme C’est entendu : sauf exceptions, nous préférons tous être en vie plutôt que mort. C’est entendu également : la vie est sacrée, chaque vie est sacrée. Reste à savoir de quelle vie nous parlons…...  2020

Jésus non-violent ?

Jésus prône la non-violence ? Jamais lu cela dans l’Évangile Monseigneur Luc Ravel, évêque aux armées, répondait dans Il est vivant à une question sur la légitimité pour un chrétien de prendre les armes (entretien publié par Il est vivant ! n°315, mai...  2016

"On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique."

«Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus... 2014

«Bienheureux les doux car ils posséderont la terre »

... plutôt que la non-violence. Sur son blog, Philippe Maxence appelle à résister dans la durée : "[...] Cette résistance sera longue et demandera un engagement dans la durée, avec le même calme, la même détermination, la même paix que ceux qui sont apparus... 2013

La guerre civile qui vient

Yvan Rioufol, journaliste et éditorialiste au Figaro, publiait en début d’année 2016 un livre prophétique, La guerre civile qui vient, aux éditions Pierre Guillaume de Roux. Pour Rioufol, la déconstruction méthodique menée par les élites politico-médiatiques...  2016

De la violence politique à l'amour du Christ….

L es Rencontres de l’Espérance De la violence politique à l'amour du Christ …. Trois témoins pour mieux comprendre : * Frédéric Pichon : ancien militant de la droite radicale, revenu à la foi catholique à l'âge de 23 ans. Avocat engagé dans des activités...  2012

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28 mars 2023 2 28 /03 /mars /2023 11:08

Sergueï Vassilievitch Rachmaninov (en russe : Сергей Васильевич Рахманинов, usuellement désigné dans les pays francophones sous le nom de Serge Rachmaninoff), né le 1er avril 1873 à Semionovo (ru) (Empire russe) et mort le 28 mars 1943 à Beverly Hills (États-Unis), est un compositeur, pianiste virtuose et chef d'orchestre russe, naturalisé américain.

Considéré comme l'un des meilleurs pianistes de son époque, il est en tant que compositeur l'un des derniers grands représentants du romantisme dans la musique classique russe. D'abord fortement influencé par Tchaïkovski, Rimski-Korsakov et d'autres compositeurs russes, il développe un idiome tout à fait personnel — et reste indifférent à l'évolution de son époque. Sa composition est remarquable pour son timbre mélodique, son expressivité et ses riches couleurs orchestrales. Le piano occupe une place prépondérante dans les compositions de Rachmaninov, qui met un point d'honneur à utiliser ses talents d'interprète pour explorer pleinement les possibilités expressives et techniques de l'instrument. Il laisse plusieurs enregistrements de ses propres œuvres.

La suite ...

 

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25 mars 2023 6 25 /03 /mars /2023 07:26

Les récrés de Petrus Angel

 

"C'est tout autant votre boulot que le mien d'aller sonner la cloche ! " 

dessin de ©Jean-Jacques Sempé

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24 mars 2023 5 24 /03 /mars /2023 12:25

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24 mars 2023 5 24 /03 /mars /2023 10:24

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