S’il est un écrivain de la grâce de Dieu par excellence, c’est bien Georges Bernanos. A l’œuvre dans les ténèbres les plus épaisses de la condition humaine, l’écrivain l’a incarnée dans les personnages de ses romans en prise avec le réel de leur temps. Spécialiste de l’œuvre romanesque de l’écrivain, le théologien Benoît Lobet nous décrypte l’essence de la foi chrétienne au prise avec le combat spirituel entre le Bien et le Mal.
"De son premier roman Sous le soleil de Satan à son dernier Dialogues des Camélites en passant par Monsieur Ouine et Journal d’un curé de campagne, L’imposture, La Joie, nous découvrons la courbe de vie et l’arc créatif de Georges Bernanos autour de ce motif récurrent de "la grâce" comme prière, joie, sacrifice, esprit d’enfance… présent au-delà du Mal."
En filmant les lieux et les paysages qu’il a arpentés toute sa vie, Marie Viloin propose dans ce documentaire un cheminement de foi à travers l’œuvre et la spiritualité de Bernanos, tournée vers l'espérance.
* Retrouvez Catherine Salviat, la comédienne qui donne sa voix aux textes de Georges Bernanos, dans le documentaire que Marie Viloin lui a consacré Catherine Salviat, un moment de grâce.
MON ETE AVEC CHESTERTON (FIN): MERCI MONSIEUR!
L’été s’achève. Il est temps pour moi de laisser Gilbert K.CHESTERTON au moins provisoirement de côté. Grand merci à vous Monsieur!
J'écrirai sans doute plus tard une synthèse de cet "été" et de mes réflexions à partir de quelques-unes de mes lectures de cet écrivain parfois difficile d’accès mais d’une telle richesse qu’il est impossible de le méconnaître ou de le négliger.
Avant le mot FIN, alors que je n'ai pas pu tout dire - ce serait impossible - et que mes billets n'ont que la valeur du témoignage d'un "fan", je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager une nouvelle fois l'histoire de "la petite fille rousse"; elle qui il y a plus de 40 ans, grâce à Charles RAMBAUD, me tendit la main pour m'introduire dans l'univers chestertonien.
Dans l'Angleterre victorienne, une loi obligeait à couper les cheveux des petites filles pauvres, à cause des poux…
"Je pars des cheveux d'une petite fille. Ça, je sais que c'est bon dans l'absolu. Si d'autres choses sont contraires à cela, qu'elles disparaissent. Si les propriétaires, les lois et les sciences sont contre cela, que les propriétaires, les lois et les sciences disparaissent. Avec la chevelure rousse d'une gamine des rues, mettons le feu à toute la civilisation moderne. Puisqu'une fille doit avoir les cheveux longs, il faut qu'elle les ait propres; puisqu'elles doit avoir les cheveux propres, il ne faut pas qu'elle ait une maison sale; il faut que sa mère soit libre et qu'elle ait des loisirs; puisque sa mère doit être libre, il ne faut pas qu'elle ait un propriétaire usurier; puisqu'elle ne doit pas avoir un propriétaire usurier, il faut redistribuer la propriété; puisqu'il faut redistribuer la propriété, nous ferons une révolution…
On ne lui coupera pas les cheveux comme à un forçat. Non, tous les royaumes de la Terre seront retaillés et découpés à sa mesure. Les vents du monde seront calmés pour cet agneau, qui ne sera pas tondu. Toutes les couronnes qui ne vont pas à sa tête seront brisées… Elle est l'image sacrée de l'humanité. Tout autour d'elle l'usine sociale doit s'incliner, se briser et s'effondrer; les colonnes de la société s'écrouleront, mais pas un cheveu de sa tête ne sera touché."
Tout Gilbert K. CHESTERTON me semble être dans ce petit conte!
En attendant donc d'autres rencontres voici, en provenance de WIKIPEDIA, une petite biographie qui vous permettra de « situer » le personnage.
BIOGRAPHIE
Chesterton naît à Londres dans une famille bourgeoise. Sa mère, Marie-Louise, née Grosjean, est la fille d'un prédicateur laïc suisse. Son père, Edward Chesterton (1841-1922), dirige une agence immobilière avec son frère.
Il est baptisé à l’âge d’un mois dans l'Église d'Angleterre, bien que sa famille pratiquât l'unitarisme de façon irrégulière. Il a eu une sœur morte en bas âge, et un frère de cinq ans son cadet, Cecil, avec qui il formera un partenariat culturel et familial intense. À la naissance de son frère, Chesterton écrira dans son autobiographie qu'il était content : « J'avais enfin un public à qui parler. »
Alvértos Bourlá(engrec moderne :Αλβέρτος Μπουρλά), connu à l’étranger sous le nom d’Albert Bourla, né leàThessalonique, enGrèce, est un docteur vétérinaire et chef d'entreprise grec. Il est le directeur général dePfizerdepuis le.
Biographie
Alvértos Bourlá naît à Thessalonique, en Grèce, de parentsjuifsayant survécu à laShoah1.
Il obtient un diplôme devétérinairepuis valide un doctorat en biotechnologie de la reproduction à l'université Aristote de Thessalonique. Il rejoint le groupe Pfizer en 1993 en tant que docteur vétérinaire et directeur technique de la division santé animale en Grèce. Son rôle s'étend à l'Europe, l'Afrique puis à l'Asie et l'Océanie à partir de 2005.
Dans les années 2010, Albert Bourla occupe plusieurs rôles exécutifs au sein d'entreprises appartenant à Pfizer2.
Le, il devient le directeur général de Pfizer en replacement deIan Read, nommé président exécutif du comité de direction du groupe3,4.
En 2020, Albert Bourla décide de diriger tous les efforts de l'entreprise pour tenter de trouver unvaccincontreun nouveau virus qui vient d'apparaître en Chineet va frapper le monde5. Un an plus tard, son travail paye, les autorisations de produire et vendre le vaccin Pfizer sont accordées.
En, son nom apparaît dans la presse mondiale après qu'une polémique le concerne au sujet du vaccin contre leCovid-19développé par Pfizer. En effet, il est accusé d'avoir refusé d'essayer le vaccin sur lui-même, accusation qu'il dément6 :
« Dès que je pourrai, je le ferai. Le seul problème c’est que je ne veux pas donner l’exemple de quelqu'un qui veut passer avant les autres. J’ai59 ans, je suis en bonne santé, je ne travaille pas en première ligne, donc mon profil n’est pas recommandé pour la vaccination7. »
En mars 2021, la presse israélienne rapporte qu'il n'avait reçu qu'une injection unique8. Il recevra toutefois la seconde le même mois9,10.
En janvier 2022, Albert Bourla reçoit leprix Genesisde l'année (équivalent à un montant d’un million de dollars) pour avoir réussi avec ses équipes de Pfizer à développer un vaccin contre le Covid-1911.
Le 15 août 2022, il annonce sur Twitter avoir contracté le Covid-19, alors qu'il avait reçu quatre doses de vaccin. Placé à l'isolement il a débuté un traitement de l'antiviralPaxlovid12.
Polémiques
En, Albert Bourla fait l'objet de critiques pour avoir revendu pour 5,6 millions de dollars d'actions qu'il détenait au sein du capital dePfizer, le jour de l'annonce de la fiabilité à 94 % du vaccin contre le Covid-1913. L'opération d'Albert Bourla (imité par sa vice-présidente, Sally Susman, qui a vendu pour 1,8 million de dollars d'actions et par d'autres dirigeants d'autres laboratoires) est jugée peu morale mais est tout à fait légale14,15.
Premier règlement collectif d'indemnisation d'employés mis à la porte ou contraints de se faire vacciner contre le COVID-19
Il y a des jours où on est content de « blogger » (d’autant que je n’ai guère donné de nouvelles ces dernières semaines, toujours faute de temps) : dans l'Illinois, aux Etats-Unis, une entreprise hospitalière comptant cinq établissements, NorthShore University HealthhSystem, va devoir payer plus de 10 millions de dollars à des employés mis à la porte ou contraints de se faire vacciner contre le COVID alors qu’ils invoquaient des « exemptions religieuses », autrement dit, le droit à l’objection de conscience face à des « vaccins » développés en utilisant des lignées de cellules fœtales obtenues par le biais d’avortements.
C’est une « class action » menée par une association de défense de croyants chrétiens, Liberty Council, très active dans le domaine de la protection des libertés face aux vaccinations et aux passes vaccinaux dans le cadre du COVID.
Notez que la société NorthShore n’a pas voulu prendre le risque d’une procédure, préférant trouver un arrangement collectif avec les plaignants, avouant ainsi que sa politique d’obligation vaccinale n’est pas défendable en droit.
C’est une belle victoire. Dommage qu’on ne puisse en imaginer une pareille en France, terre de la « liberté » !
Voici une rapide traduction du communiqué de Liberty Council :
L’association Liberty Counsel a obtenu ce jour un accord de règlement négocié pour un montant de plus de 10,3 millions de dollars dans le cadre du premier recours collectif intenté par des travailleurs du domaine de la santé contre l’obligation vaccinale contre le COVID. Le règlement de l’action collective contre le NorthShore University HealthSystem concerne plus de 500 travailleurs de santé, présents ou passés, qui ont fait l’objet d’une discrimination illégale en se voyant refuser l’exemption religieuse qu’ils réclamaient pour se soustraire à l’obligation vaccinale. L’accord a été déposé dans la foulée auprès du tribunal fédéral du district nord de l’Illinois.
NorthShore a accepté payer un total de 10.337.500 $ (presque autant d’euros) pour indemniser ces personnels de santé qui s’avèrent avoir été victimes de discrimination religieuse, et qui ont été sanctionnés en raison de leurs croyances religieuses, qui leur interdisaient de recevoir une injection associée à des cellules de fœtus avortés.
Il s’agit là d’un règlement historique, le premier du genre en matière de recours collectif contre un employeur privé ayant illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse face aux injections COVID-19.
Le règlement doit encore être approuvé par le tribunal fédéral de district. Les employés de NorthShore qui se sont vu refuser des exemptions religieuses recevront une notification du règlement et auront la possibilité de faire des commentaires, de s’opposer, de demander à être exclus du règlement ou de soumettre un formulaire de demande de paiement à partir du fonds de règlement, le tout conformément aux délais qui seront fixés par le tribunal.
Deux ans et demi après, c’est une phrase choc lâchée par Olivier Véran : «La vérité, c’est que sur les masques, nous nous sommes trompés, ni plus, ni moins». Dans une interview au Parisien-Aujourd’hui en France, l’ex-ministre de la Santé, désormais porte-parole du gouvernement, revient sur la gestion de la pandémie de Covid-19 dont il était l’un des piliers sous la précédente mandature. Le timing de l’entretien n’est pas innocent : Olivier Véran publie ce jeudi un livre confession dédié à cette période, depuis sa nomination au ministère de la Santé en février 2020, à la veille du premier confinement du pays. «Ce livre est aussi l’occasion pour présenter mes excuses», justifie-t-il dans les colonnes du quotidien.
En mars 2020, alors que l’épidémie de Covid-19 déferlait en France, les autorités sanitaires avaient jugé «inutile» l’élargissement du port du masque à l’ensemble de la population. Dans une séquence surréaliste, la porte-parole du gouvernement de l’époque, Sibeth Ndiaye, interrogée sur RMC le 20 mars 2020, arguait que les masques n’étaient «pas nécessaires pour tout le monde». «Et vous savez quoi, moi je ne sais pas utiliser un masque. Je pourrais dire je suis ministre, je me mets un masque. Mais en fait je ne sais pas l’utiliser, parce que l’utilisation d’un masque ce sont des gestes techniques précis […] sinon on a une utilisation qui n’est pas bonne et ça peut être même contre-productif», soutenait-elle.
Les sciences du climat doivent être moins politisées, tandis que les politiques climatiques doivent s’inspirer davantage de la science. Les scientifiques doivent tenir clairement compte des incertitudes et des exagérations dans leurs prédictions de réchauffement climatique, tandis que les dirigeants politiques devraient évaluer de façon dépassionnée les coûts réels ainsi que les bénéfices projetés de leurs mesures.
Des facteurs naturels aussi bien qu’anthropiques causent le réchauffement
Les archives géologiques révèlent que le climat terrestre change depuis que la planète existe, avec des phases naturelles chaudes et froides. Le Petit Âge glaciaire n’ayant pris fin que vers 1850, il n’est pas surprenant que nous connaissions à présent une période de réchauffement.
Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu
Le monde s’est réchauffé à une vitesse moitié moindre que celle que le GIEC avait prévu en se fondant sur la modélisation du forçage anthropique et de l’équilibre radiatif. Cela nous indique que nous sommes encore loin de comprendre le changement climatique.
Les politiques climatiques s’appuient sur des modèles inadéquats
Les modèles présentent de nombreuses lacunes et ne constituent pas, même de loin, des outils valables pour une politique mondiale. Ils exagèrent l’influence des gaz à effet de serre tels que le CO2. De plus, ils ignorent le caractère positif d’une atmosphère enrichie en CO2.
Le CO2 est la nourriture des plantes, le fondement de toute vie sur Terre
Le CO2 n’est pas un polluant, il est en réalité essentiel à la vie sur Terre. La photosynthèse est un immense bienfait. Davantage de CO2 est un bénéfice net pour la nature, car celui-ci verdit la Terre. Le CO2 additionnel dans l’air a favorisé la croissance de la biomasse végétale à l’échelle globale. Il a également un effet positif sur l’agriculture, dont les rendements augmentent dans le monde entier.
Le réchauffement climatique n’a pas accru les catastrophes naturelles
Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifierait les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles, ni qu’il les rendrait plus fréquentes. Il existe en revanche des preuves abondantes que les mesures de limitation des émissions de CO2 sont à la fois néfastes et coûteuses.
Les politiques climatiques doivent tenir compte des réalités scientifiques et économiques
Il n’y a pas d’urgence climatique. Il n’y a donc aucun fondement à la panique ou l’alarmisme. Nous nous opposons fermement aux projets à la fois néfastes et irréalistes qui viseraient à réduire à zéro les émissions de CO2 en 2050. À l’avenir, si la science crée de nouvelles connaissances et la technologie crée de nouvelles capacités, et elles le feront certainement, nous aurons amplement le temps d’actualiser nos politiques. L’objectif d’une politique globale doit être celui de la prospérité pour tous, grâce à une énergie fiable et bon marché. Ce n’est que dans une société prospère qu’hommes et femmes ont accès à une bonne instruction, que les taux de naissances sont modérés et que les gens prennent soin de leur environnement.
L’Incorrect vient de mettre en ligne une enquête d’une vingtaine de pages sur l’avortement, publiées dans son numéro de mars 2021. Propagande du Planning familial et du gouvernement, désolation des mères incitées à avorter, absence de choix, l’envers de la pilule…, en France tout est fait pour inciter les mères à avorter. Contrairement au discours officiel elles n’ont pas d’alternative. À moins de sortir des réseaux officiels.
L’information « parfaitement neutre » délivrée par le site « sûr et officiel » ivg.gouv.fr ne va donc que dans un sens : celui de l’IVG. La « liberté de choix des femmes » prétendument défendue par l’État est bafouée. Car pour choisir en pleine conscience, encore faut-il connaître les risques que l’on encourt et savoir que d’autres solutions existent. Or, lorsqu’elles se rendent dans les structures approuvées par le site, les femmes ne bénéficient d’aucun soutien conjugal ou familial, et ne se verront jamais proposer d’autre choix que d’avorter pour ne pas sombrer dans la précarité.
Pour le chrétien, le repos est souvent un lieu de combat ! Combat face aux idoles actuelles qui exigent une efficacité permanente jusqu'au burn out, à une époque où même les vacances se doivent d'être les plus occupées possibles... Pour autant, nous avons également conscience de la tentation de la paresse qui nous empêche d'avancer... Savoir se reposer est donc à la fois un art et une véritable vertu.