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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 08:16

... de Moissac à Orisson ...    

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Retrouvez ces lieux ...

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22 août 2012 3 22 /08 /août /2012 09:28

 

 " Tu fais quoi pendant les vacances ?  "

 

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22 août 2012 3 22 /08 /août /2012 09:20

 

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22 août 2012 3 22 /08 /août /2012 07:01

 

« S’il est un pays au monde où gastronomie et culture sont indissociablement liéesc’est cette France où la géographie a dicté les plats comme elle a tenu la plume des écrivains. Parce que, sous ces latitudes, en ce point du monde bercé par le Gulf Stream et caressé par le soleil de Méditerranée, baigné par le Rhin austère ou la Loire nonchalante, la diversité des lumières et des vins a multiplié les saveurs en dessinant des terroirs. Des terroirs, c’est-à-dire des entités géographiques et culturelles, des lieux où, durant des siècles, les hommes ont approfondi ces caractères géoclimatiques en se transmettant de génération en génération les savoir-faire qui les magnifiaient. » 

Natacha Polony

Extrait d'un portrait lu  ICI

 

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6 août 2012 1 06 /08 /août /2012 04:00

 

Le pèlerin chrétien par Jacques CLOUTEAU
Jacques Clouteau, l'auteur bien connu de la série des Miam-miam-dodo, nous fait découvrir dans son nouveau livre "Compostelle Mode d'Emploi" ** sa description du pèlerin chrétien d'aujourd'hui et cette approche venant d'un laïque passionné du chemin de Saint-Jacques, nous a touché et nous avons souhaité vous la faire partager.

 

Dentelles du pèlerin en marche
Dentelles du pèlerin en marche
** Retrouvez tous les guides Miam-Miam-Dodo et Compostelle Mode d'Emploi sur le site de notre partenaire TREIA ICI 

Pour un Chrétien, aller à Compostelle, c'est d'abord se rendre sur le tombeau d'un apôtre. C'est approcher au plus près les restes d'un homme qui a vécu plusieurs années auprès du Christ. C'est toucher du doigt une Histoire vieille de 2.000 ans qui a bouleversé à jamais l'humanité. 
Souvenons-nous : Jacques était pêcheur avec son frère Jean, sur le lac de Tibériade. On ne sait ce que Jésus leur a dit, mais ils ont tout abandonné pour le suivre. Avec Pierre, ils étaient les apôtres les plus proches de Jésus, ceux auxquels a été donné le privilège de voir les miracles les plus fameux, ainsi que la transfiguration et l'agonie du Christ. Il existait parmi les apôtres un autre Jacques, appelé dans les Ecritures le frère du Seigneur et connu ensuite sous l'appellation de Jacques le Mineur, pour le différencier de notre Jacques le Majeur. Après la Pentecôte, qui lui donne le don des langues, Jacques s'en va prêcher en Hispanie. Son ministère porte peu de fruits et il revient vite en Palestine. Il y sera décapité par ordre du roi Hérode Agrippa en l'an 44. La légende rapporte ensuite que ses disciples chargèrent sur une barque le corps de leur maître et le conduisirent en Galice où ils l'enterrèrent. La sépulture tomba dans l'oubli durant huit siècles jusqu'à ce que, en l'an 813, des phénomènes surnaturels se produisent et qu'on redécouvre le tombeau de l'apôtre. Et ce fut le début de la formidable aventure compostellane. Jacques est un symbole dans l'Eglise puisqu'il fut le premier apôtre à mourir par le martyre. Il devenait encore plus fort mort que vivant. C'est pourquoi ses compagnons dirent à la reine Louve, en débarquant en Galice : « Le Seigneur t'envoie le corps de son disciple, afin que tu reçoives mort celui que tu n'as pas voulu recevoir vivant ». 
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5 août 2012 7 05 /08 /août /2012 09:05

Des lectures pour cet été ... Lu sur le site d'Elisabeth Bourgois.

 

"  L’actualité relance aussi le débat sur l’EUTHANASIE depuis cet été 2011. En 2006, j’en avais écrit  un roman : « Les assassins sont si gentils » (Ed Salvator), car c’est un sujet que je connais bien en tant qu’ancienne infirmière. Le titre est provocateur sans doute, mais donner volontairement la mort est bien un « assassinat » en droit. Peut-on  faire cet acte par compassion ? Que se passe-t-il dans les hôpitaux ? Quel est le rôle des lobbies ? Dans ce roman, je n’ai rien inventé, les faits sont réels… et j’ai cherché à redonner le sens des mots utilisés dans ce débat. Ce livre est aussi un roman avec une histoire forte et du suspense. Il plonge le lecteur dans une réalité de vie qui peut être la sienne.

Mes deux derniers romans historiques « Le courage vient du ciel » et « la mémoire d’un coquelicot »  (Ed Salvator) vous offrent eux, une plongée dans le monde de la mer,  de l’aviation et de la médecine au début du XXè siècle dans la région de Boulogne-sur-mer.

« La Manche libre » sept 2011 à propos de « La mémoire d’un coquelicot »:Avril 1918 : dans une plaine du Nord gorgée du sang des soldats, un survivant. Un seul. Un homme blessé, hagard, ne sachant plus qui il est ni d’où il vient. A l’hôpital où l’on a soigné ses plaies, une jeune veuve, châtelaine, demande à le recueillir, dans l’espoir d’une guérison…  Rien à faire. La mémoire de l’inconnu semble à jamais enfouie. Qui sait si la bonne samaritaine ne va pas s’éprendre de cet étrange amnésique ? Mais Elisabeth Bourgois sait dépasser le romanesque sentimental et, de cette situation initiale tragiquement réaliste, nous propulse dans un passionnant roman de l’identité perdue où l’intrigue jamais ne perd en force et en puissance émotionnelle.
Le lecteur, entre passé et présent, est mené de révélations en retournements, et ce roman est de ceux dont on sent qu’une fois le livre fermé ils ne nous lâcheront plus.  "

-1

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4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 23:00


C’est la course… À Londres, aux J.O., sur les routes du Tour de France, dans les stades de l’Euro Football. Elle court, elle court, la vie. Et si nous profitions des vacances pour faire une pause, prier plus longuement et nous arrêter en Dieu ? Souffler et retrouver son Souffle... avec l’Esprit.

Zoom
© Bruno Ehrs_GETTY

Dans une grande ville, par une nuit d’été. Un homme d’une cinquantaine d’années gare sa voiture pour acheter des cigarettes, et murmure à l’oreille de sa femme : « Je reviens tout de suite, chérie ». Il sort du bar lorsqu’une bande de jeunes le prend en chasse. Dans cette société-là, les jeunes ne supportent plus les vieux (on l’est à partir de quarante ans) ; alors, le soir tombé, ils les traquent et les tabassent. L’homme passe la nuit à fuir, à courir. En vain. À l’aube, la meute le cerne, le frappe, l’achève. Mais cette nuit a duré, en fait, le temps d’une vie : c’est très court, surtout vers la fin. Le chef de bande, croisant son reflet dans une vitrine, constate avec effroi qu’il est devenu vieux à son tour. Et des jeunes se lancent à ses trousses…

Quel rapport entre cette lecture de vacances – une nouvelle choc (voire choquante) de Dino Buzatti, tirée de « Le K » (Livre de Poche) – et la grande fête des J.O. qui bat son plein ? L’accélération contemporaine. L’enchaînement des instants d’un temps qu’on ne maîtrise pas et qui semble filer plus vite qu’un sprint d’Usain Bolt (cf. notre dernier supplément). Cette précipitation distille une angoisse qu’on ne soigne que par la multiplication des divertissements qui, elle-même, nous épuise.
Car même dans le sport, c’est la course. Normal, direz-vous, puisque la course, c’est du sport. Mais nous n’avons plus le temps de souffler tant les compétitions s’enchaînent à un rythme endiablé. Souvenez-vous : on a dribblé de Roland Garros à Wimbledon, l’Euro de football a fait la passe au Top 14 qu’on a plaqué pour le Tour de France qui a pédalé à toute allure jusqu’aux actuels J.O. qui multiplient les épreuves… C’est exaltant mais éreintant. Si ce rythme était imposé par le nouvel entraîneur de l’équipe de foot « nationale », les Bleus n’auraient même pas l’occasion de cracher sur leur maillot : ils cracheraient leurs poumons.

Les vacances offrent comme une mi-temps qui permet de s’interroger sur l’ami temps : ce don de Dieu qu’il nous offre pour le rencontrer, et que nous ne prenons plus le temps de recevoir. Peut-on vraiment souffler sans retrouver son Souffle ? (Lire à ce propos notre série d’été sur les dons de l’Esprit saint). Vous êtes nombreux à profiter de l’été pour recharger vos « batteries », lors de sessions, retraites, ou en pratiquant tout simplement la liturgie des Heures. Celle-ci offre de s’arrêter en Dieu, et de retrouver en sa Présence, dans ce Cœur qui bat au rythme de l’Éternel, le sens d’un temps redevenu dense.
Devoir de vacances « Cet été, vous essayez de pratiquer la liturgie des Heures pendant une semaine – seul, en couple, ou en famille. Et vous racontez. » Je ramasse les copies à la rentrée. En prenant mon temps.

Luc Adrian, Famille Chrétienne, 04/08/2012, Numéro 1803

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4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 08:47

          Guide spirituel des chemins de Saint-Jacques

sous la direction de Gaële de LA BROSSE

 

 

Ce véritable compagnon de route - à consulter avant le départ, puis au fil des pas, et enfin au retour pour continuer à cheminer au quotidien - donnera au pèlerin de Compostelle les clés de lecture et de compréhension du Chemin de Saint-Jacques, et nourrira sa méditation.

Vingt chapitres évoquent les différentes étapes spirituelles et psychologiques, ou « paysages intérieurs », du pèlerinage. Chacun d'eux, qui développe un thème particulier, comprend un texte introductif, un récit de pèlerin, un entretien avec une personnalité, un extrait de la Bible commenté, un épisode d'une vie de saint, des citations d'écrivains et de maîtres spirituels, et une histoire du Chemin « à lire sous les étoiles ».

Des annexes pratiques clôturent l'ouvrage avec une liste d'accueils chrétiens, des prières spécifiques, la présentation d'initiatives liées à la spiritualité du pèlerinage, un lexique et une bibliographie choisie.

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 22:33

« Pourquoi je vis, pourquoi je meurs… ? »

 

En réponse à ce tube de l’opéra rock Starmania, rien ne vaut une retraite selon la pédagogie de saint Ignace de Loyola. Ces Exercices spirituels du fondateur des Jésuites sont particulièrement adaptés aux jeunes qui se lancent dans l’existence.              Stéphanie Combe

Au programme : silence, prière, méditation de scènes de l’Évangile et topos de l’accompagnateur, pendant cinq, huit ou trente jours de retraite. Rébarbatif ? Pourtant, chaque année, des centaines d’adolescents et de jeunes adultes choisissent ce type de retraite, temps privilégié de prière et de discernement. Certains y reviennent même…

Avec deux retraites à son actif et la prochaine déjà planifiée, Guillaume en rit : «Quand on a choppé le virus, difficile de s’en dépêtrer !» Étudiant en droit de 26 ans, il y retourne afin d’«éclairer certains pans de ma vie ; le Seigneur donne la bonne direction. J’en sors plus converti à chaque fois».

Éprouvée il y a quatre siècles auprès des jeunes gens désireux d’entrer dans la Compagnie de Jésus, la méthode de saint Ignace reprend les bases de la foi de façon pédagogique, en quatre temps (cf. encadré «Quatre éléments du cheminement»). Une plongée dans l’Évangile, qui montre l’amour du Seigneur pour la Création. Et souligne que l’homme est fait pour Dieu et pour l’éternité.

Aujourd’hui encore, ce rappel n’est pas un luxe et donne une colonne vertébrale. «Même dans des milieux privilégiés, comme parmi les lecteurs de Famille Chrétienne, une formation globale de la foi fait souvent défaut», souligne, espiègle, le Père Guy Vénard. Ce prêtre Coopérateur paroissial du Christ Roi (CPCR) donne des Exercices spirituels en Bretagne depuis vingt-cinq ans.

Jean-Paul II assurait même que «les Exercices sont une expérience presque nécessaire, particulièrement lors de certains moments délicats de la croissance, si nous voulons que les jeunes demeurent chrétiens». Le Père Vallet, fondateur des CPCR, en fut un exemple vibrant. À 20 ans, déboussolé par certains courants de pensée, l’étudiant espagnol traverse une crise profonde dans sa foi. Quatre ans plus tard, il se convertit lors d’une retraite prêchée : «Les Exercices m’ont ressuscité à la vie de l’Esprit», écrira-t-il. Il renonce à sa carrière d’ingénieur et entre chez les jésuites. Jeune prêtre, il élabore une retraite de cinq jours qui résume les Exercices ignatiens normalement développés en un mois. Avec un but nouveau : faire des hommes de vrais chrétiens.

LIRE ET DÉCOUVRIR L’ÉVANGILE AUTREMENT

«On adhère avec plus de fermeté, approuve Guillaume, issu d’une famille catholique, scout à Poitiers. Notamment grâce à l’approche sensible qui aide à mettre le doigt sur l’essentiel.» En effet, certains Exercices spirituels engagent à découvrir l’Évangile autrement, par le biais de l’imagination. Bénédictin de l’abbaye Saint-Joseph-de-Clairval à Flavigny, le Père Emmanuel-Marie explique ce recours inattendu : «Saint Ignace prend en compte toutes les capacités de l’homme, y compris la puissance imaginative. Alors qu’on essaie d’entrer en prière, elle peut nous emmener n’importe où, à un match de foot ou à la piscine ! Or, si nous la canalisons nous pouvons en tirer parti».

Selon les scènes évangéliques, le retraitant est donc invité à se projeter parmi la foule en Galilée, à écouter le Christ qui enseigne, à humer le parfum répandu sur ses pieds par la pécheresse ou à ressentir l’allégresse de la Résurrection, comme la chaleur du feu en hiver…

la suite...

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 21:31

 

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 21:28

 

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 21:23

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 21:21

      vu sur Belgicatho

Un évêque sans langue de buis

images.jpgIl s’agit du nouvel évêque d’Ajaccio, Mgr Olivier de Germay à propos du mariage homosexuel que la gauche au pouvoir s’apprête à instituer en France :

« Il est difficile pour l’Eglise de ne pas réagir face à l’annonce faite par le gouvernement d’un projet de loi visant à élargir le mariage aux couples homosexuels. Pour beaucoup, il s’agit là d’une évolution inéluctable face à laquelle il faudrait faire preuve d’ouverture d’esprit, voire de résignation. Quelles que soient les intentions – qu’il ne nous appartient pas de juger – des promoteurs de ce projet, c’est en réalité la destruction d’un des piliers fondamentaux de notre société qui est programmée.

Loin d’épuiser ce vaste sujet de société, je voudrais simplement donner ici quelques repères et réflexions qui pourraient guider ou inspirer notre façon de réagir et de nous mobiliser.


Dans ce débat, les arguments de bon sens ne suffisent plus. L’évidence selon laquelle le mariage naturel concerne un homme et une femme a été laminée par le relativisme. Il faut donc que nous soyons capables d’expliquer en quoi l’union durable d’un homme et d’une femme pour fonder une famille n’est pas l’invention d’un type particulier de société mais est profondément inscrit dans la nature même de l’être humain. De même, nous devons pouvoir montrer que si l’Etat est habilité à légiférer sur un mariage qui, en donnant potentiellement naissance à des enfants, construit la société, il n’a pas à donner un statut équivalent à un mode d’union qui est stérile par nature et relève de choix privés.

Les conclusions d’une telle réflexion sont rendues plus évidentes grâce à l’éclairage de la foi chrétienne, mais nous devons être capables de la mener avec des arguments de raison pour pouvoir entrer en dialogue avec ceux de nos compatriotes qui ne partagent pas notre foi.

Dans ce dialogue, il y a un piège dans lequel nous ne devons pas tomber. Ceux qui revendiquent un statut pour les couples homosexuels – et qui à vrai dire sont souvent à court d’arguments – accusent facilement leurs opposants d’homophobie. Ainsi, pour ne pas passer pour homophobes, nous évitons le débat. Il faut au contraire proclamer avec force que refuser le « mariage » homosexuel n’a rien à voir avec l’homophobie. Nous pouvons avoir un grand respect pour les personnes homosexuelles tout en contestant le fait que le couple homosexuel soit présenté par l’Etat comme un modèle social au même titre qu’un couple marié. Cette capacité à désapprouver un acte tout en respectant la personne est d’ailleurs un des héritages du christianisme. Soyons donc toujours très attentifs à ce que nos propos sur la question de l’homosexualité ne soient pas perçus comme méprisants ou blessants par les personnes concernées.

Ne perdons pas de vue le fil conducteur qui motive ce genre de lois. Lors du débat sur le Pacs, on disait qu’il s’agissait simplement de défendre la dignité des personnes homosexuelles et qu’en aucun cas on envisageait l’adoption d’enfants par ces mêmes personnes. Aujourd’hui, toujours sous couvert de non-discrimination, le projet de loi sur l’adoption est annoncé. Interdire d’emblée à un enfant d’avoir un papa et une maman n’est pas considéré comme une discrimination… Mais ne nous y trompons pas, ce ne sera pas le dernier épisode. Nous sommes sous la mouvance d’un courant idéologique qui ne compte pas en rester là. L’étape suivante a commencé à se dévoiler au travers de la théorie du genre. Il s’agit de faire passer l’idée selon laquelle la différence sexuelle n’est que de l’ordre du biologique et ne concerne donc pas l’identité profonde de la personne. Chacun peut donc choisir son orientation sexuelle (hétéro, homo, bi, trans, etc.) indépendamment de son sexe. Il sera par conséquent interdit – car considéré comme de l’embrigadement – de donner à un garçon des repères éducatifs masculins et à une petite fille des repères éducatifs féminins. Ce serait aller contre une liberté individuelle toute-puissante revendiquant son affranchissement vis-à-vis de la nature…

Les idéologies des trente dernières années ont fait un travail souterrain qui, pour une bonne part, a conduit à l’éclatement de la famille ; les nouvelles idéologies vont permettre la déstructuration de la personne elle-même. Dans les deux cas, c’est la société tout entière qui se délite.

Aussi affligeant soit-il, ce constat ne doit pas nous décourager. La déconstruction annoncée n’est pas une fatalité. L’histoire a montré qu’une société possède souvent en elle-même une capacité à réagir dans des situations catastrophiques. Nous devons donc nous mobiliser. A la fois en nous intéressant à ces questions, en étant capables de dénoncer les idéologies, mais aussi en annonçant la Bonne Nouvelle. Et la Bonne Nouvelle que nous voulons annoncer, c’est qu’il est possible d’aimer en vérité, c’est la beauté de la sexualité et du mariage vécus, grâce à l’Esprit Saint, en conformité avec le projet de Dieu. Il y a un travail énorme à réaliser pour aider les enfants et les jeunes à s’éveiller à la beauté de leur corps et de leur sexualité, à repérer et écarter les contrefaçons de l’amour qui leur sont si souvent proposées, et à épanouir l’extraordinaire potentiel à aimer qui est en eux.

Avec charité et détermination, mobilisons–nous ! C’est un grand service que nous avons à rendre à notre humanité.

+ Mgr Olivier de Germay
Evêque d’Ajaccio »

Ici : Vers le mariage homosexuel ?

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 21:03

 

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 09:18

 

Une soirée théâtre exceptionnelle. Mais c'est terminé  .  Bientôt en DVD ? On peut toujours lire la pièce (en poche en Folio,  ou à la Pléiade ...) , lire la non explication d'Anouilh, écouter Michel Bouquet parler de lui, et retrouver d'autres articles et extraits parus ici.

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 09:08

 

HERGE-Bergeron--Image-2.png

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 08:33

 

en kiosque aussi ...

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 08:30

 

En kiosque en ce moment ...
Secrète AndalousieL'Art de vivre à Séville, Grenade et Cordoue...
couverture hors-série andalousie 
 
L’Andalousie est un monde de couleurs et de passions, une terre de feu.

 

Les arabes avaient voulu en faire le paradis d’Allah ; de victoire en victoire les princes chrétiens ont transformé les minarets en clochers. De cette tension religieuse et politique est née l’Andalousie moderne.

 

Tant de couleurs et de passions ne pouvaient qu’enchanter les peintres et les poètes. Goya y fut amoureux, Murillo y exalta la gloire de Dieu, Federico Garcia Lorca y a perdu la vie.

 

Dans un numéro exceptionnel le Figaro Hors-série a poussé les grilles des palais de Séville, montré les splendeurs de la Cordoue médiévale, saisi les beautés cachées de l’Alhambra de Grenade.
Un tourbillon d’églises, de mosquées, de palais, de ruelles ombragées d’orangers, de jardins où coule une eau fraîche.

 

Michel de Jaeghere
Directeur de la rédaction du Figaro Hors-séries

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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 12:45

 

En ce 31 juillet, fête de saint Ignace, c'est l'occasion de rappeler le "principe et fondement" inaugurant les fameux "exercices spirituels" proposés par le fondateur de la Compagnie de Jésus (les jésuites) :

L'homme est créé pour louer, honorer et servir Dieu, notre Seigneur, et, par ce moyen, sauver son âme. Et les autres choses qui sont sur la terre sont créées à cause de l'homme et pour l'aider dans la poursuite de la fin que Dieu lui a marquée en le créant. D'où il suit qu'il doit en faire usage autant qu'elles le conduisent vers sa fin, et qu'il doit s'en dégager autant qu'elles l'en détournent. Pour cela, il est nécessaire de nous rendre indifférents à l'égard de tous les objets créés, en tout ce qui est laissé au choix de notre libre arbitre et ne lui est pas défendu; en sorte que, de notre côté, nous ne voulions pas plus la santé que la maladie, les richesses que la pauvreté, l'honneur que le mépris, une longue vie qu'une vie courte, et ainsi de tout le reste; désirant et choisissant uniquement ce qui nous conduit plus sûrement à la fin pour laquelle nous sommes créés.

 Pour en savoir plus, ICI par exemple ...

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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 08:25

 

 

 

 

Grand Angle Le Mont-Saint-Michel vu du ciel 6760

Le grand angle "Le Mont-Saint-Michel vu du ciel " (11 pages) est à lire dans Pèlerin  n°6760 du 21/06/12

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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 08:24

 

Thierry Roland est venu présenter au Furet du Nord de Lille son dernier livre : "Mes plus grands moments de football" publié aux éditions Larousse, et ce, la veille de son départ prévu pour l’Euro 2012. "Si on m’avait dit, quand j’avais 20 ans, que durant 57 ans j’allais faire ce métier-là, je ne l’aurais évidemment pas cru !" De ses débuts à la radio en 1955 jusqu’au retour du célèbre duo avec Jean-Michel Larqué en 2011, cet ouvrage original et étonnant fait revivre le parcours riche d’anecdotes, de rencontres, de souvenirs émouvants et drôles du commentateur. A travers de nombreuses illustrations et portraits de ses footballeurs préférés, Thierry Roland nous plonge dans des moments uniques. Voici sa dernière apparition publique ce mardi 5 juin 2012

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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 08:20

 

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c’est  ICI
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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 08:10

 

Saint Ignace de Loyola, fondateur des Jésuites (1491-1556)

Fondateur de la Compagnie de Jésus, saint Ignace naquit au château de Loyola, en Espagne. Il fut d'abord page du roi Ferdinand V ; puis il embrassa la carrière des armes. Il ne le céda en courage à personne, mais négligea complètement de vivre en chrétien, dirigé uniquement par l'orgueil et l'amour des plaisirs.

De ce chevalier mondain, Dieu allait faire l'un des premiers chevaliers chrétiens de tous les âges

Au siège de Pampelune, un boulet de canon brisa la jambe droite du jeune officier, qui en peu de jours fut réduit à l'extrémité et reçut les derniers sacrements. Il s'endormit ensuite et crut voir en songe saint Pierre, qui lui rendait la santé en touchant sa blessure. A son réveil, il se trouva hors de danger, quoique perclus de sa jambe. Pour se distraire, il demanda des livres ; on lui apporta la Vie de Jésus-Christ et la Vie des Saints. Il les lut d'abord sans attention, puis avec une émotion profonde. 

Il se livra en lui un violent combat ; mais enfin la grâce l'emporta, et comme des hommes de cette valeur ne font rien à demi, il devint, dans sa résolution, un grand saint dès ce même jour. Il commença à traiter son corps avec la plus grande rigueur ; il se levait toutes les nuits pour pleurer ses péchés. Une nuit, il se consacra à Jésus-Christ par l'entremise de la Sainte Vierge, refuge des pécheurs, et Lui jura une fidélité inviolable.

Marie lui apparut une nuit, confirmant sa conversion

Une autre nuit, Marie lui apparut environnée de lumière, tenant en Ses bras l'Enfant Jésus. Peu après, Ignace fit une confession générale. Puis à la façon des chevaliers de l'époque, ce sera la veillée d'armes à l'autel de Notre-Dame de Montserra. Ensuite, il et se retira à Manrèze, pour s'y livrer à des austérités qui n'ont guère d'exemple que dans la vie des plus célèbres anachorètes : vivant d'aumônes, jeûnant au pain et à l'eau, portant le cilice, il demeurait tous les jours six ou sept heures à genoux en oraison. Le démon fit en vain des efforts étonnants pour le décourager. C'est dans cette solitude qu'il composa ses Exercices spirituels, l'un des livres les plus sublimes qui aient été écrits par la main des hommes. 

Passons sous silence son pèlerinage en Terre Sainte et différents faits merveilleux de sa vie, pour rappeler celui qui en est de beaucoup le plus important, la fondation de la Compagnie de Jésus (1534), que l'on pourrait appeler la chevalerie du Christ et le boulevard de la chrétienté. Cette fondation est assurément l'une des plus grandes gloires de l'Église catholique ; sciences profanes et sciences sacrées, enseignement, apostolat, rien ne devait être étranger à la Compagnie d'Ignace : "Ad majorem Dei gloriam! "A la plus grande gloire de Dieu!"

 

("Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950).


 

vu ici


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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 08:14

       

Icône de la Vierge de Vladimir


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Un peu d'histoire... : C'est dans les ateliers impériaux de Constantinople que fut peint au début du XIIe siècle le tableau original de cette icône. Peu de temps après, la maison impériale en fit cadeau au Duc de Kiev . En 1155, elle fut transportée en Russie dans la ville de Vladimir qui lui donna son nom. On la retrouve 240 ans plus tard à Moscou, vénérée dans la cathédrale de l'Assomption avant d'être placée dans la galerie d'art Tretiakov de cette ville, le musée d'icônes le plus célèbre du monde.
Cette Vierge “Éléousa” qui signifie "de la tendresse" est l'icône que le peuple russe chérit le plus : sans doute y contemple-t-il la tendre affection de la Vierge Marie et de l'Enfant-Jésus, dont les visages se rejoignent en une douce expression d'intimité. C'est à cette Mère pleine de tendresse qu'il aime adresser cette prière :
« Pauvres pécheurs accourons auprès de la Mère de Dieu avec ferveur et tombons à genoux avec repentance en lui disant du fond du coeur : O Notre Dame, prends pitié et aide-nous, hâte-toi car nous sommes accablés par le grand nombre de nos péchés ; ne nous renvoie pas, nous n'avons que toi pour seul espoir.»
(Office liturgique pour la fête de la Vierge de Vladimir)

                                      http://www.traditions-monastiques.com/fr/

 

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26 juillet 2012 4 26 /07 /juillet /2012 16:58

 

Gratuit

Anonyme si vous voulez

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Petrus Angel

 

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