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L'un des meilleurs albums d'ALIX de Jacques Martin; le meilleur peut-être.
Disponible en kiosque en ce moment : une intégrale d'ALIX en cours de parution.
www.magnificat.asso.fr
Nous nous sommes tant habitués à voir en la Russie l’ancienne URSS multiethnique que l’idée de nation ne nous effleure pas quand nous pensons à ce grand pays. À juste titre, car la Russie a toujours été un empire. D’où lui vient alors cette tentation nationaliste si perceptible aujourd’hui ? « Le nationalisme c’est la guerre », dit François Mitterrand dans un discours mémorable au Parlement européen. Dans le cas de la Russie, ce serait une guerre nucléaire. Et pourtant, ce livre n’a pas été écrit pour faire peur, mais pour nous aider à comprendre. Il y a tant de stéréotypes qui sont aujourd’hui véhiculés aujourd’hui sur la Russie que l’ouvrage de Marlène Laruelle ne peut manquer d’intéresser tous ceux qui veulent saisir les enjeux de notre temps.
Avons-nous le droit d’aimer la France ?
Que voulait faire Jean Ousset avec l’action culturelle ? Une interview de Myriam Chalom
Juger l’arbre à ses fruits
Quand les artistes nous apprennent à voir la splendeur de la personne humaine
Quand les artistes nous parlent de la dignité de la personne humaine
Quand les artistes nous parlent de la vie en société et du bien commun
Magistère : la grande question de la culture
Lune de Mardi-Gras, tonnerre entendra.
A Mardi gras, qui n'a pas de viande tue son coq - Qui n'a pas de coq tue sa femme.
Quand Mardi gras est de vert vêtu, Pâques met des habits blancs.
Au Mardi gras, l’hiver s’en va.
Mardi gras sous la pluie, l'hiver s'enfuit .
Si le soleil est là pour Mardi Gras, il reparaîtra tout le Carême.
Mardi gras près du feu, Pâques auprès de la porte ; Mardi Gras près de la porte, Pâques auprès du feu.
Mardi Gras, beau temps, beau foin.
Si le soleil luit tôt le matin, semailles de Mardi Gras vont bien
Le soir de Mardi-Gras, il faut danser sur les fumiers pour avoir des navets.
Mardi Gras pluvieux, fait le cellier huileux. (Périgord)
Le jour de Mardi gras si les noyers sont mouillés y'aura des noix. (Charente)
Lune quand tu la verras nouvelle le Mardi gras force tonnerre tu entendras. (Aveyron)
Georges de La Tour , un diaporama à voir !!!
Pour la Saint-Valentin, le moteur de recherche Google a proposé aux internautes occidentaux un « doodle » (gribouillis) qui, lorsqu’on cliquait dessus, se transformait en vidéo. A la fin du petit film, on voit deux hommes le jour de leur « mariage ». « Gay-friendly », ont immédiatement jugé des sites gays comme Tetu.com. Sans relever que les deux hommes étaient rangés aux côtés de « couples » auxquels les gays n’aiment généralement pas être comparés : des animaux (un chat et un chien), une princesse (zoophile) et une grenouille, un astronaute et un alien… et des choses (un cookie et une brique de lait).
lu ici
par Philippe Barthelet le jeudi, 16/02/2012
C’est le dernier chic langagier, et le plus furieusement tête-à-claques : pourquoi faire difficile quand on peut faire compliqué ? Plus de difficultés, désormais, plus rien que des complications : une réélection s’annonce “compliquée”, comme la circulation aérienne un jour de grève des pilotes, la confection d’une omelette aux truffes ou encore, s’il faut en croire les gazettes, comme la grossesse après trente-cinq ans.
C’est à une curieuse supplantation sémantique que nous assistons : “difficile” disparaît à peu près de la langue, partout on lui préfère “compliqué” au risque d’un contresens. La clé de l’énigme est peut-être médicale, “compliqué” voulant dire aussi “sujet à des complications dans l’avenir”. Voir partout des complications en germe est un aveu de notre prudence, les principes moraux de jadis se résumant pour nous désormais au seul principe de précaution. Philippe Barthelet
P.-S. : un lecteur de Neuilly ne comprend pas quel intérêt nous trouvons à l’argot, et nous le fait savoir avec toute l’obligeance requise. Mais encore une fois cher monsieur, et au risque de nous répéter, celui d’être le conservatoire – qui souventes fois s’ignore – de tournures de la langue la plus ancienne et la plus gaillarde. Ainsi – horresco referens, comme dirait notre excellent voisin Basile de Koch – du “chaudasse” qui fleurit ès bouches des cités, qui se trouve déjà dans Brantôme, pour désigner ses dames les plus galantes…
Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais en l'autre
Le 18 février, la Dame s'adresse à Bernadette: «Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours ?» Rayonnante de joie, la petite accepte et la Dame reprend aussitôt: « Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais en l'autre ».
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Dom Antoine Marie osb, abbé de Clairval |
un article de 2005
MANIPULATION DE MEMOIRE
Une chaîne de service public a diffusé, le lundi 7 mars, un téléfilm qui accrédite une série de mensonges sur la déportation de citoyens français en raison de leur homosexualité.
France 2 s’est rendue complice d’une opération de propagande. Cette opération est particulièrement répugnante puisqu’elle porte sur la déportation. Le scandale est d’autant plus grand que le milieu médiatique et deux magazines très lus ont participé à cette manipulation de mémoire.
Programmé dans le cadre de la commémoration de la libération des camps nazis, couronné par cinq prix au Festival international du film de Luchon, présenté comme un « film événement » par France 2, diffusé à une heure de grande écoute (20 h 50) « Un amour à taire » a été présenté comme « une fiction bouleversante » par Le Nouvel observateur, et Télérama (n°2877, p. 99) a vivement recommandé ce « film qui instille les éléments nécessaires à la dissipation d’une occultation historique », selon Marie Cailletet.
L’histoire se déroule à Paris en 1942. Sarah, une jeune juive est cachée par Jean, le fils d’un blanchisseur pétainiste, antisémite et homophobe. L’amant de Jean fournit à Sarah de faux papiers. Sarah aime Jean qui sera arrêté par des policiers français, remis à la Gestapo et envoyé en camp de concentration alors que Sarah échappe à la persécution.
Le scénario ici simplifié fait nettement allusion à l’ouvrage intitulé « Moi, Pierre Seel, déporté homosexuel », présenté comme ouvrage de référence par les militants gays qui se livrent sur Internet à un travail de victimisation exploitant classiquement deux thèmes principaux : la déportation des homosexuels a été occultée ; les hommes au triangle rose ont plus souffert que tous les autres déportés.
Comme ce film est sorti en DVD le 10 mars, il est nécessaire d’établir que cette fiction est le masque larmoyant d’une manipulation méthodique de l’histoire :
1/ La déportation des homosexuels allemands ou considérés comme tels n’a pas été cachée par les historiens. Dans l’ouvrage classique qu’Eugen Kogon a publié en 1946 en Allemagne, en 1947 en France, et qui a été réédité en 1970 en format de poche (1), l’auteur évoque précisément le groupe des homosexuels (page 41) et écrit que « leur sort dans les camps ne peut être qualifié autrement qu’épouvantable ».
2/ L’histoire de Pierre Seel est complexe : ce jeune alsacien, considéré comme citoyen allemand, a été déporté au camp de Schirmeck. Mais il était marqué de la barrette bleue des catholiques. Et il a ensuite été versé dans la Wehrmarcht et envoyé sur le front de l’Est.
3/ Les Allemands n’ont pas déporté de Français en raison de leur homosexualité, hors des territoires annexés. Selon l’étude publiée par la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, 207 personnes homosexuelles habitant les trois départements annexés au Reich ont été déportées. Elles sont naturellement inclues dans l’hommage qui est rendu à tous les déportés lors de la journée nationale de la Déportation. Un triangle rose figure parmi les autres triangles de couleur sur le Mémorial de l’Ile de la Cité (2).
4/ Le pouvoir vichyssois n’a jamais organisé la chasse aux homosexuels, comme il le fit pour les Juifs et les Résistants. Sinon, il lui aurait fallu faire arrêter et remettre aux Allemands Jean Cocteau, grand admirateur du sculpteur nazi Arno Brecker, Robert Brasillach, Lucien Rebatet, Ramon Fernandez et bien d’autres vedettes de la Collaboration. Sans oublier Jean Genêt, sanctifié par Jean-Paul Sartre et l’intelligentsia de gauche, qui admirait Hitler, les SS, les pilotes de Stukas, la Gestapo et la Milice (3).
Il y eut des homosexuels nazis. Il y eut des Résistants homosexuels. Pendant la guerre, les pratiques amoureuses ne déterminaient pas plus qu’aujourd’hui les engagements politiques. Il faut tenir ferme sur cette banalité et l’opposer aux mensonges (4) de la propagande communautariste.
***
(1) Eugen Kogon, L’Etat SS, Seuil, 1970. Collection Politique.
(2) cf. le communiqué de la Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes du 8 novembre 2001.
(3) cf. Ivan Jablonka, Les vérités inavouables de Jean Genêt, Seuil, 2004. 23 €.
(4) pour une analyse plus complète, cf.http://www.communautarisme.net
Article publié dans le numéro 856 de « Royaliste » - 2005.
vu sur le blog de Bertrand Renouveau, royaliste ... ayant appelé à voter Mitterand en 1981, fils de Jacques Renouvin, résistant et déporté.
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cité par le salon beige"On ne bâtira pas la cité autrement que Dieu ne l'a bâtie; on n'édifiera pas la société, si l'Eglise n'en jette les bases et ne dirige les travaux; non, la civilisation n'est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées.Elle a été, elle est; c'est la civilisation chrétienne, c'est la cité catholique. Il ne s'agit que de l'instaurer et de la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l'utopie malsaine, de la révolte et de l'impiété: Omnia instaurare in Christo" ("Tout restaurer en Christ")."
"En séparant la fraternité de la charité chrétienne ainsi entendue, la Démocratie, loin d’être un progrès, constituerait un recul désastreux pour la civilisation. Car si l’on veut arriver, et nous le désirons de toute notre âme, à la plus grande somme de bien-être possible pour la société et pour chacun de ses membres par la fraternité, ou comme on dit encore par la solidarité universelle, il faut l’union des esprits dans la vérité, l’union des volontés dans la morale, l’union des coeurs dans l’amour de Dieu et de son Fils, Jésus-Christ. Or cette union n’est réalisable que par la charité catholique, laquelle, seule par conséquent, peut conduire les peuples dans la marche du progrès vers l’idéal de la civilisation."
"[P]as de vraie civilisation sans civilisation morale, et pas de vraie civilisation morale sans la vraie religion : c’est une vérité démontrée, c’est un fait d’histoire."
L'émission Dieu Merci ! sur Direct 8, consacrée aux chrétiens venus de l'islam, est en ligne :
Au programme, l'actualité religieuse (et notamment l'actualité des persécutions), un entretien avec Me Trémolet de Villers, le témoignage d'anciens musulmans membre de l'association Notre-Dame de Kabylie, un reportage sur Eecho... (durée : 40mn)
Le site : http://www.notredamedekabylie.net/
Voulant "arrêter le chronomètre", il a tout laissé pour passer plusieurs jours dans une abbaye. Tout? C'est surtout ce qui charge désormais notre quotidien en rythmes et en occupations : Twitter, Facebook, blogs, fil d'actualité et autres Iphone, iPod, iMac, Blackberry, etc.
Cet homme qui ne croit pas en Dieu a écrit à son retour de la Trappe. Et qu'importe la date de son article, il existe des enseignements intemporels. Pour découvrir la portée de ce texte, la profondeur de ses rédecouvertes et la place à laisser à l'essentiel, l'idéal est de tout couper comme lui pour se plonger le temps d'une lecture sans coupure, sans bruit et sans pression dans ce profond témoignage et qui peut apporter beaucoup, particulièrement à quelques jours du Carême.
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