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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 09:54

 

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Prise Legrand 2 P + T. Prise Céliane complète


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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 09:44
10 mythes antichrétiens : l'histoire répond

 

 Une réfutation magistrale des mythes de l'histoire antichrétienne :

La vérité sur les croisades, par Sylvain Gouguenheim

Histoire d'une âme, par André Gabbar

Non, le chevalier n'était pas une grosse brute, par Martin Aurell

Le spectre de l'Inquisition, par Eric Picard

Les Borgia : l'Histoire réelle, par l'abbé C.-P. Chanut

Le scandale des indulgences, par André Gabbar

Le "malentendu" de l'affaire Galilée, par Eric Picard

Les Guerres de religion vues par les philosophes, par William Cavanaugh

Les missionnaires : colonialistes ou évangélisateurs ? par Yves Chiron

L'Eglise catholique allemande face au nazisme, par l'abbé Eric Iborra

Le processus de désinformation. Entretien avec Jean Sévillia

10 mythes antichrétiens, n° hors série de'l'Homme Nouveau" 
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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 09:41

 

31 juillet - Eglise Ethiopienne. Fête de la Densata (Conception de Marie) - Saint Ignace de Loyola

     
 

Après neuf mois en convalescence de mars 1522 à février 1523, à Manrèse, près du monastère bénédictin de Montserrat (Espagne, diocèse de Barcelone), suite à une blessure de guerre, Saint Ignace de Loyola eut une vision qu’il relate dans son autobiographie. Etant éveillé une nuit, il vit clairement une image de Notre-Dame avec le saint Enfant Jésus ; de cette vue, qui dura un espace de temps notable, il reçut une très excessive consolation et il demeurera avec un tel dégoût de toute sa vie passée, et spécialement des choses de la chair, qu’il lui semblait qu’on avait enlevé de son âme toutes les images qui y étaient peintes auparavant. Ainsi depuis cette heure jusqu’en août 1533, où ceci est écrit, il n’eut jamais plus même le plus petit consentement aux choses de la chair. Sans indiquer l’origine de cette vision, il en note simplement les fruits et le fait, dans sa sobriété, n’a jamais été mis en doute. 

 
 

Saint Ignace de Loyola
Autobiographie, dite Récit du pèlerin » (Ecrits, 1991, 1022-1023).
Cité par le doctionnaire des Apparitions de l’Abbé Laurentin, Fayard 2007

 

 

 

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Une minute avec Marie aujourd'hui   

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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 23:51

Les Schtroumpfs: une communauté fermée, nazie et stalinienne

Quelle fureur s’est emparée de l’esprit d’Antoine Buéno pour assassiner moralement à ce point les Schtroumpfs? Un vrai désir d’analyse? Ou un coup de pub? Monsieur Buéno se définit prospectiviste. Il souhaite explorer dans l’écrit ce que pourrait devenir la société, en particulier suite à la transition induite par les chocs énergétique, démographique et climatologique.

 

schtroumpf02-m.jpgMais alors que vient faire cette monographie sur les Schtroumpfs dans ce projet? Le lien n’est pas apparent. Peu importe, concentrons-nous sur le sujet. Et en préambule sur cette affirmation:

«Dans mon livre, je montre en quoi le village des schtroumpfs nous présente un archétype d’utopie totalitaire emprunt de stalinisme et de nazisme.»

Rapidement ses arguments sont les suivants:

- le fait de vivre en autarcie, sans contact avec le monde extérieur, fermé aux autres;
- la couleur unique qui laisse entendre une impossibilité à vivre la différence;
- le racisme, en particulier dans l’histoire du Schtroumpf noir;
- le racisme encore, avec une Schtroumpfette aux cheveux trop blonds,
- racisme toujours avec le sorcier Gargamel qui ressemblerait à un juif
- stalinien et nazi à cause de la société collectiviste dirigée de manière autoritaire par un grand Schtroumpf.

Voilà...

Mais voyons ce qu’il dit précisément des Schtroumpfs noirs:

«La coloration noire du derme est la marque d'une dégénérescence dangereuse. De plus, le comportement des schtroumpfs noirs est caractéristique. Ils ont perdu toute forme d'intelligence. Réduits à l'état d'êtres primitifs, ils se déplacent en faisant des bonds et en hurlant "Gnap! Gnap! Gnap!". C'est à peu près la manière dont pouvaient parfois être perçus les Africains par les blancs colonisateurs au XIXe siècle, surtout les Belges comme Peyo. Les schtroumpfs noirs sont plus probablement des schtroumpfs nègres. Et ce, d'autant plus que leur unique obsession est de "croquer" les schtroumpfs bleus, métaphore grossière du cannibalisme. Il est remarquable que, chronologiquement, le tout premier danger contre lequel les schtroumpfs aient à se prémunir soit une dégénérescence raciale présentée comme une maladie contagieuse. Dans cette histoire, la corruption des organismes fait peser sur le groupe entier un risque d'extinction. La pureté du sang est vitale.»
schtroumpf2-hf1v44ta.jpg
Le mot «noir» devrait-il être banni du langage? Et jaune aussi alors? Et brun? Et puis blanc tant qu’on y est, vu que le blanc serait le grand méchant? Plus sérieusement le mot noir est inscrit dans l’inconscient comme signifiant l’obscurité, la peur, le danger, la menace. On dit bien «idées noires». Si l’on disait «idées bleues» ou «idées vertes» cela n’aurait pas le même sens.

On a même des connotations paradoxales autour du noir. Ainsi Zorro est habillé de noir, masque compris. Il est pourtant justicier et agit pour le bien. La menace de justice! Le noir n’est donc pas simplement synonyme de mal, de cannibalisme ou de maladie contagieuse. On voit que les choses ne sont pas aussi simplistes que présentée par Antoine Buéno.

Sur le monde corporatisme en vigueur chez les nazis l’auteur dit ceci:

«La société nazie, et l'Italie fasciste avant elle, étaient organisées sur un modèle corporatiste. C'est aussi le cas du village des schtroumpfs. Comme nous l'avons vu, la majorité des schtroumpfs sont indifférenciés. Mais lorsqu'ils ne le sont pas, c'est souvent par leur profession qu'ils sont désignés. Leur rôle social les définit.»

Les Schtroumpfs sont des êtres plus assimilables à un troupeaux de petites bêtes gentilles qui singent un peu le monde humain, mais s’en distinguent nettement par justement le sens de la communauté. Sens de la communauté que l’on retrouve presque à l’identique dans Astérix quand le village gaulois est attaqué ou quand il se retrouve pour le banquet final. On ne prétend pourtant pas qu’Astérix soit un modèle nazi.

Chez les Schtroumpfs le principe du chef débonnaire donne plus l’idée d’une unité et d’une communauté de type aborigène dirigée par un sage que celle d’un führer. Il faut vraiment pousser loin et tordre l’image pour en arriver à une vision aussi violente des Schtroumpfs.

L’auteur analyse également l’aspect «nature et beaux sentiments» des Schtroumpfs, les comparant au romantisme allemand et au Moyen-Âge, qui auraient été les fondements de l’idéologie nazie. Donc si l’on aime la nature, si l’on imagine comme dans l’animisme que les arbres représentent des entités, on serait assimilables à des nazis?

L’analyse est singulièrement superficielle. C'est typique d'une grille de lecture exclusivement politique et idéologique, et qui ne sait plus mesurer les choses à leur réelle importance. Ah, pauvres Schtroumpfs, à quelles fins êtes-vous utilisés?

Heureusement je doute fort que cette monographie aboutisse à mettre leurs aventures à l’index, et je n’ai pas vu qu’un enfant ou un adulte qui les lit finit un album en levant la main droite!

"La Tribune de Genève" , 7 mai 2011

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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 20:25

 

Archéologie : La tombe de l’apôtre Philippe aurait été découverte en Turquie

 

La tombe de Saint Philippe, l’un des douze apôtres du Christ, aurait été découverte au sud-ouest de la Turquie, à Pamukkale, anciennement Hiérapolis (station thermale créée vers la fin du IIe siècle av. J.-C., inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco).

 

turquie berceau de la religion

 

“Nous tentons de retrouver depuis des années la tombe de Saint Philippe (…) Nous l’avons finalement trouvé dans les décombres d’une église”, informe Francesco d’Andria, responsable de l’équipe d’archéologues à l’origine de la découverte.

Cependant, la tombe n’a pas encore été ouverte. “Un jours elle le sera sans doute. Cette découverte est d’importance majeure pour l’archéologie et le monde chrétien”, ajoute l’archéologue cité par l’agence Anatolie. Pour le moment, seules la structure et les inscriptions semblent indiquer que le tombeau est bien celui de Saint Philippe.

Il faudra attendre la datation des ossements au carbone 14 pour savoir s’il ne s’agit pas  d’une “fausse tombe”. S’il était avéré qu’il s’agit bien de celle de Philippe, l’apôtre du Christ, cette découverte pourrait ajouter à la crédibilité historique des Evangiles et devenir une destination majeure de pèlerinage pour les chrétiens.

L’agence Anatolie, qui a révélé cette découverte, a rappelé que Philippe aurait évangélisé la Grèce et la Syrie. Après la Pentecôte, il se serait arrêter en Phrygie, dans l’actuelle Turquie et aurait été lapidé puis crucifié par les Romains dans la cité antique de Hiérapolis, l’actuelle Pamukkale. Selon la légende, une tombe octogonale appelée « le Martyrium », aurait été érigée pour lui après sa mort, à l’endroit même de son martyr.

Retrouver notre article “Turquie : berceau de la religion“, dans notre numéro du mois de Juillet et sur notre site internet.

 

Marie Dias-Alves, nationalgeographic29 juillet 2011 

Merci au petit placide 

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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 00:23
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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 00:09

 

 CLASSES LABORIEUSES, CLASSES BAIGNEUSES … 

Il fait chaud, le ciel est d’un bleu d’opéra-comique, les Parisiens ont été remplacés par des touristes danois de toutes origines venus des quatre coins du monde, et même souvent de Paris, dans des cars géants à rétroviseurs de béliers mérinos, et les plus hautes sommités continuent à se demander comment refonder, recomposer, rénover, revivifier, recréer, ranimer, repriser, ressusciter enfin, et faire resplendir, l’ancien Parti du progrès universel et pluriel aujourd’hui en difficulté. 

Ils devraient écouter les plagistes de la Mairie de Paris. Ce sont eux qui ont trouvé la solution. Elle tient dans le parasol, le transat et la glace en cornet. Dans la cabine de plage et le palmier en pot. Dans le chouchou, dans le beignet et dans l’esquimau. Dans le sable de synthèse et la pelouse au mètre. Et dans les grands brumisateurs destinés à créer des nuages d’eau éclairés en bleu. À côté d’un tel programme, le reste est balivernes. On disait la gauche en panne de projet ? Incapable de refaire son unité autour d’une thématique renouvelée ? De surmonter ses clivages internes et de mettre au point des propositions originales et crédibles ? Et Paris-Plage alors ? Et les transats ? Et les cabines à rayures ? Et les murs de varappe, les palmiers, le boulodrome, les spectacles assurés par la « scène techno » ? Et les parasols ? Contre le parasol, il n’y a pas une fracture culturelle, une fracture sociale, une fracture urbaine qui tiennent. Le Front national lui-même recule devant le front de mer. 

Cet été, les plagistes de la Mairie de Paris ont résolu de parasoliser Paris. Et de le palmiériser. Et de le boulodromiser. Et de le transatiser. Et de le littoraliser. Sur trois kilomètres. Entre quai Henri-IV et Tuileries. Trois kilomètres pour commencer. On verra par la suite. On généralisera le concept, puisqu’il ne s’agit que d’un concept. D’un bain de concept. Même pas d’un bain de pieds puisqu’il n’est pas permis de plonger fût-ce un orteil dans l’eau. Le concept a ceci d’avantageux qu’on peut l’étendre à l’infini sans soulever des tempêtes de protestations. Pourquoi, dans ces conditions, ne pas ensabler aussi la rue de Rennes et parasoliser le boulevard de Sébastopol ? Puisque tout cela n’existe que par les mots employés ? 

Bien entendu, il n’y a pas davantage de plage, aujourd’hui, sur les bords de la Seine qu’il n’y en avait huit jours avant. L’important est de vérifier si les gens vont accepter d’y croire. Car tout cela n’a rien de futile. Ça s’appelle un programme. Innovant. Plein de hardiesse et de fougue. Et piaffant d’audace. Contrairement à ce que l’on imagine, Paris n’est pas une enclave pittoresque où résisteraient les derniers adeptes du Parti du progrès universel et pluriel en difficulté. C’est un laboratoire. C’est un terrain d’expérience qui a l’avenir devant lui. Le maire nourrit d’amples ambitions. De son propre aveu, il souhaite réussir une « nouvelle alchimie » dans la capitale. On ne saurait mieux s’exprimer. « Il faudra, déclare-t-il aussi, qu’on puisse encore dire du bien dans trente ans de ce que nous décidons maintenant » (mais pourquoi faudrait-il attendre si longtemps pour en dire du mal ?). Ses grands projets se résument à couvrir tout ce que la sensibilité exquise de la modernité ne veut plus voir : périphérique, parkings, hangars de stockage, entrepôts du service municipal des Pompes funèbres. En gros, le réel. Delanoë le fourre sous dalle. Et, par-dessus, il plante tout ce qui fait rêver : murs d’escalade, squats d’artistes, promenades vertes, multiplexes créatifs, lieux d’éducation aux arts de la rue, espaces d’initiation à la musique hip-hop. 

Et parasols. 

Car il s’agit aussi de réconcilier le Parisien avec son fleuve. Il paraît que jusqu’alors le Parisien tournait le dos à la Seine, ses eaux noires moirées de mazout et ses courants d’air. De temps en temps, il s’accoudait aux parapets pour regarder un suicidé en train de gagner le large avec nonchalance. C’est tout ce qu’il avait comme distraction. Quel chemin parcouru depuis. Maintenant, il peut bronzer en bordure de concept et s’initier à la fabrication des nœuds marins dans une station balnéaire non figurative où tout est stylisé, le sable, les pelouses, les oriflammes, les nœuds marins, les murs d’escalade, sa propre personne. Exactement comme dans un quartier piétonnier. Transformer les berges de la Seine en quartier piétonnier idéal, voilà l’exploit des plagistes de la Mairie de Paris. Je le sais, j’étais sur place le dimanche de l’ouverture du concept. On s’y marchait dessus. La réconciliation des Parisiens avec leur fleuve s’effectuait au pas de charge. Le test semblait en bonne voie de réussite. Nul ne manifestait la moindre épouvante. Nul n’avait l’air de se rendre compte qu’il était en train de marcher dans un livre d’images pour tout-petits. La grande métamorphose était accomplie. 

Quel besoin, dans ces conditions, de chercher à bricoler une nouvelle thématique, un projet, des propositions originales et crédibles ? Pour séduire qui ? Les gens d’avant ? Ceux qui auraient ricané à l’idée de se balader dans un concept soutenu par une idée, elle-même suspendue à une théorie ? Ils n’existent déjà presque plus. Le réaménagement abstrait du territoire est en train de forger son peuple.

 

Philippe Muray, Exorcismes spirituels III , 2002


paris-plage--644181891.jpg 

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28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 08:37

 

Disponible en DVD : Out of the Darkness

 

« Out of the Darkness, love is the answer » a obtenu le prix « Mystère de l’amour 2011 » au dernier Festival du film Jean-Paul II. On y découvre le témoignage poignant de Shelley Lubben, ancienne prostituée et « actrice » porno qui a tenté de se suicider avant de découvrir la foi chrétienne. Aujourd’hui mariée au fils d’un pasteur (« Dieu a le sens de l’humour », reconnaît-elle), elle milite à la Pink Cross Foundation qui aide les jeunes femmes à quitter l’industrie du porno. Mark Houck, co-fondateur de The King’s Men, une association qui « aide les hommes à mener une vie chrétienne et à développer une masculinité authentique », jette un regard sans concession sur ses 16 années de dépendance à la pornographie. Les interventions du Dr Richard Fitzgibbons, psychiatre et directeur de l’Institute for Marital Healing près de Philadelphie et du Dr Judith Reismanauteur et experte sur ​​les questions relatives à la pornographie et à l’éducation sexuelle mondialement connue pour avoir dénoncé au grand public les mensonges d’Alfred Kinsey permettent un éclairage complémentaire sur cette difficile question.

Acheter le DVD

vu sur Nouvelles de France

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28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 08:34

 

Quelques leçons ...

 

Jeux vidéo et violence
Il y a dix jours, un jeune chauffard, sous l'emprise du cannabis, renversait volontairement quatre collégiens à Marseille. Christian Combaz, dans VA de demain, relate les faits, puis décrit les derniers jeux vidéo violents à la mode.Quel es 
» suite
Les jeux vidéos ne sont pas inoffensifs
Encore un exemple d'un mineur qui confondant jeu vidéo et réalité, agresse trois personnes. La confusion entre le virtuel et la réalité, l'imaginaire et la vérité est une des conséquences réelles les plus graves pour les adeptes des jeux vi 
» suite
Jeux vidéos : où s'arrêter?
On sait les effets néfastes sur la santé morale, psychologique et physique que peuvent provoquer les abus de jeux vidéos et les simulations informatiques. Etait-il utile d'inventer et de commercialiser ce nouveau gadget, un gilet qui permet 
» suite
Le satanisme en hausse
La Croix s'inquiète des profanations et constate que les jeunes sont adeptes du satanisme. 1er avril, 51 tombes juives du cimetière de Lille-Sud sont dégradées. Le 19 avril, 52 stèles musulmanes du cimetière militaire Notre-Dame de Lorette, 
» suite
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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 22:43

 

Mon petit livre à moi - OC-7089-15032

à partir de 6 mois

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 22:22

 

Tome 1

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 18:38

 

"Si dure était alors la persécution musulmane à Cordoue que beaucoup de chrétiens devaient feindre de devenir musulmans s'ils voulaient garder la vie sauve. C'était ainsi pour Aurèle et sa femme  Nathalie ainsi que pour leurs cousins Félix et sa femme Liliose. Or un jour, ils rencontrèrent un chrétien, juché sur un âne, le visage tourné vers la queue de la bête. Il avait été mis à nu et les deux bourreaux qui l'escortaient, le fouettaient jusqu'au sang tandis qu'un crieur public dénonçait ses crimes religieux et que les passants le tournaient en ridicule. Aurèle et Nathalie, dès lors, cessèrent de feindre et pratiquèrent ouvertement leur foi. Nathalie et Liliose parurent dans les rues sans le voile que les femmes devaient porter sur leur visage selon les obligations musulmanes. Un moine quêteur, Saint Georges, fut, comme eux arrêtés et tous cinq furent décapités."

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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 10:58

 

 

Mgr Ravel : l’hommage aux soldats français morts en Afghanistan, 20 Juillet 2011

A l’occasion de l’hommage national rendu aux Invalides aux 7 soldats français morts en Afghanistan, Mgr Luc Ravel, évêque aux Armées, a accueilli les familles dans la cathédrale Saint Louis pour une célébration religieuse. Nous reproduisons ses paroles >>> ICI

La vidéo ICI


 

 

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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 08:53

il est ... ICI

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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 08:45

      Les reliques de Ste-Thérèse de Lisieux...

     La cathédrale du Puy reçoit ce lundi les reliques de Sainte-Thérèse de Lisieux. A cette occasion, la pièce intitulée “Histoire d'une âme”, qui retrace la vie de cette carmélite normande, elle sera jouée deux fois par jour cette semaine à la chapelle du Grand Séminaire. Des conférences seront animées par Mgr Henri Brincard et le Père Emmanuel Gobilliard.

 

 25 au 28 juillet au PUY EN VELAY - 30 juillet à RODEZ - 1er au 2 août à CONQUES -  4 et 5 août à ANNECY - 7 au 12 août à VÉZELAY - 15 au 21 août au MONT SAINT MICHEL - 18 août à ST MALO - 

 

4 septembre : départ pour LOS ANGELES ...

 

 

>>>  "Pas de chichi avec Thérèse"

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 17:42

NL

 

NL comme Newslettter qui vous informe sur les nouveaux articles

au fur et à mesure, et vous donnera quelques informations inédites ...

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 10:01

 

Derrière les imprécations d'Alain Paucard, Président à vie du Club des Ronchons, le tableau d'un univers totalitaire : la société des loisirs.Alain Paucard est écrivain. Il est né et ne vit qu’à Paris. Président à vie du Club des Ronchons, qui se propose "d’étudier l’horreur du bonheur" et dont la devise est "en arrière toute !", il a publié à ce jour vingt ouvrages : pamphlets (Les Criminels du béton ; Le Cauchemar des vacances ; La Crétinisation par la culture), essai (Éloge de la faiblesse), mémoires (Le Roman de Paris) et fictions (Lazaret ; Le Roi créole).

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 09:18

 

 

 

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 08:59

 

Vacances ? Gender ? Harry Potter ? SIDA ? Obama ?

Beauté ? iPad ? Bernanos ? Bastille ? Inconnus ? 

Pour retrouver un article, utilisez "Recherche" dans la colonne de droite ...


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22 juillet 2011 5 22 /07 /juillet /2011 19:19
BOOK révolution techno
Cliquez sur le bonhomme, puis voyez aussi, si vous appréciez,  Dany Book
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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 14:23

 

 

C’est le temps des vacances . En août 1972 , le cardinal Albino Luciani , patriarche de Venise et futur pape Jean-Paul I donnait ses conseils aux vacanciers.

Voici des extraits d’une de ces lettres « La Frénésie des Vacances », rassemblées dans le livre Humblement vôtre paru en 1978. 

 

Moi, pasteur d'âmes, je dois dire un mot de quelques-uns des problèmes de conscience que posent cette migration, ce vagabondage, cette bougeotte que l'on appelle au choix week-end, long week-end, congés, vacances, tourisme, villégiature. (…)

Pétrarque qui fut aussi alpiniste et voyagea autant qu'il était possible à son époque en Italie et à l'étranger, « en quête de lieux chers, d'amis chers, de livres chers ». Voyager convenait plus à sa curiosité et à sa soif de connaissances qu'à ses finan­ces, au point que Monte, son intendant, lui reprochait souvent : « Tu es continuellement sur les routes,ne t'étonne pas si tes poches sont toujours vides ».

Voici une première réflexion : n'y a-t-il pas un gaspillage injustifié à voyager ainsi, sans limites raisonnables ? Et cela n'est pas l’'exception, la « frénésie des vacances », qui fait faire des pas plus longs que la jambe est au moins aussi connue aujourd'hui que du temps de Goldoni ; les devoirs de conscience sont négligés et avec eux les vertus familiales d'économie, de sens de la mesure, d'épargne.

Une autre réflexion. On assure que l'on voyage pour apprendre, pour augmenter sa culture, pour être à même d'entretenir honorablement une conversation, pour élargir son esprit par les beautés artistiques et naturelles de l'étranger. Tout cela est vrai, à condition que l'on voyage dans le calme, avec les haltes opportu­nes, la préparation nécessaire, l'oeil attentif aux élé­ments utiles, essentiels.

Il est certain que la découverte de la grandeur et de la beauté du monde peut aider à s'améliorer moralement, à se sentir plus humbles de­vant Dieu, plus proches de lui et plus reconnaissants, elle peut contribuer à renforcer l'unité avec nos frères les hommes.(…)

Il y a ceux qui paraissent imperméables à l'his­toire locale, tel le guide qui avait accompagné Fucini dans sa visite de Sorrente. « Maintenant — dit l'écri­vain — pendant que je mange un bout, allez un peu demander où se trouve la maison du Tasse ! » Le guide partit, revint et rendit compte : « Monsieur, ce monsieur n'habite pas ici ! ». Il existe aussi le touriste fanfaron, qui exagère, invente, stupéfie en décrivant des incidents ou des curiosités comme s'il était Marco Polo, Pigaffeta ou Cabot... 

Vacances supposent détente, repos. Mais savoir se reposer n'est pas donné à tout le monde. C'est com­me pour la poussière : certaines ménagères croient l'enlever alors qu'elles la déplacent simplement d'un lieu à un autre. La famille qui pour être dans le vent débarque, en plein mois d'août, dans une station grouillante, quand les hôtels sont pleins à craquer, et qui doit s'entasser dans une chambre ou sur des lits de fortune, billard ou transat, ne se repose sûrement pas ; elle échange une fatigue contre une autre fatigue, un ennui contre un autre ennui.(…) Combien rentrent des congés fourbus et ennuyés parce qu'ils ont choisi un lieu trop mondain ou trop bruyant, qu'ils n'ont pas su se limiter dans les excur­sions ou se sont laissés entraîner dans des divertisse­ments, des conversations, des discussions excitantes et fatigantes.

(…)

Les dommages spirituels causés par le mauvais exem­ple. Le vacancier, le touriste, sont observés d'un oeil admiratif ou au moins curieux, spécialement par les plus pauvres et les plus jeunes. Généralement le touris­te fait ce raisonnement : « Maintenant, je suis hors de chez moi, je peux donc prendre un peu de liberté avec la morale ». Ce devrait être le contraire. « Hors de mon milieu, je suis plus observé, je serai donc encore plus irréprochable que chez moi ».(…) J'aimerais qu'on choisisse pour les vacances des régions tellement chrétiennes — par l'esprit, les traditions, la vie réelle — qu'on puisse en dire ce que la première sainte des Etats-Unis, Élisa­beth Seton a écrit d'un village toscan où elle avait sé­journé un peu : « Je vous assure que devenir catholi­que (auparavant elle était protestante) fut la consé­quence naturelle de mon séjour dans un pays catholi­que ».

Je pense à la manière de s'habil­ler, (…) On dit pour les vêtements : « Désormais tous le font » ! Ce n'est pas vrai, tous ne le font pas, même si je dois admettre avec amertume que des familles qui semblent saines, sont en train inexplicablement de cé­der sur ce point. Et quand bien même beaucoup ou la plupart le feraient,

une chose mauvaise reste mauvaise même si tous la font. On dit aussi : « Il fait chaud ! » Mais il y a sur le marché des tissus si légers qu'ils permettent parfaitement de se défendre de la chaleur, mê­me en allongeant les vêtements de quelques dizaines de centimètres. (…)

Il y a quelques années, un évêque allemand re­commandait de ne pas exploiter injustement les touris­tes.

Cette recommandation n'est pas sans fondement. (…)La vertigineuse montée des prix dans certaines stations aux périodes de pointe est en revanche bien réelle. On considère les vacanciers sous le seul point de vue commercial : ils « apportent de l'argent », ils « ont de l'argent » et « peuvent payer ». On oublie qu'ils ont travaillé toute l'année à l'usine, au bureau, dans les villes humides et enfumées, qu'ils n'ont que deux ou trois semaines d'arrêt et éprouvent un besoin réel de repos, d'air, de soleil. On ne se souvient pas ou pas assez qu'ils sont des frères et qu'on leur doit une charité sincère, doublée d'une hospitalité cordiale.

Saint Pierre nous recommande avec force de « prati­quer l'hospitalité les uns envers les autres, sans murmurer » on pourrait à cette occasion faire cet ajout : « Sans murmure et sans... coup de fusil ! »

Une dernière réflexion : si nous allons en vacan­ces, le Seigneur, lui, ne se met pas en congé. Il ne veut pas que son jour, le dimanche, soit négligé et encore moins profané. Il s'agit non seulement d'une marque extérieure de respect, mais aussi de notre propre inté­rêt. Quand je dis « son jour », je ne pense pas uniquement à ce petit morceau de journée que dure une messe. Le dimanche chrétien est une journée complète qui englobe diverses réalités (…) Le dimanche est la récompense et la garantie de notre vie d'hommes. Car si nous sommes capables de bien vivre le dimanche, il est presque certain que nous vivrons bien le reste de la semaine. C'est pour cela que le Seigneur y tient tellement et que nous devons tout faire pour ne pas l'abandonner.

Tourisme ou pas, congé ou pas, notre âme d'abord et avant tout !

 

merci à EVR...     

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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 13:35

 

JOURNAL D'UN CURÉ DE CAMPAGNE

Du 8 au 31 Juillet à 11h40 - Durée 1h10

"Maxime d'Aboville touché par la grâce" - Le Figaro

Une pièce de Georges Bernanos, Adaptéemise en scène et interprétée par Maxime d'Aboville

Avec naturel, simplicité et sensibilité, Maxime d'Aboville (nommé aux MOLIÈRES en 2010 et en 2011) fait revivre sous nos yeux l’histoire d’un jeune prêtre hors du commun qui nous parle de l'homme, de sa fragilité et de la force qui peut en naître... Un texte d’une rare profondeur, capable de toucher au coeur chacun d'entre nousUn spectacle lumineux et plein d’humanité !

TELERAMA - Il incarne son personnage de manière très subtile.

NOUVEL OBSERVATEUR - Très émouvant.

PARISCOPE – Admirable.

VALEURS ACTUELLES – Bouleversant !

LA CROIX - Un spectacle de grande qualité.

FIGARO MAGAZINE - Inoubliable !

LE VAUCLUSE - Un acteur véritablement habité.

GILLES COSTAZ - D'Aboville rejoint les meilleurs interprètes du rôle.

RADIO CLASSIQUE – Quelle beauté, quelle intensité !

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17 juillet 2011 7 17 /07 /juillet /2011 22:17

 

Quelle est la sainte patronne des Charlottes ?

On répond souvent que c'est un saint patron puisque 15 saints et bienheureux ont porté le nom de Charles, qui signifie "fort" (karl) selon l'étymologie germanique. Il y a pourtant une sainte Charlotte. Elle fait partie du groupe héroïque des 16 Carmélites de Compiègne. Arrachées à leur Carmel de l'Oise sous la Terreur, elles furent amenées à Paris et guillotinées sur la place du Trône puis inhumées au cimetière de Picpus. Leur doyenne était soeur Charlotte, née Anne-Marie Thouret, qui était âgée de 79 ans. C'était le 17 juillet 1794.

Évoquer le martyre des Carmélites de Compiègne, c'est rappeler la célèbre nouvelle de Gertrud  von Lefort, "La dernière à l'échafaud" et la pièce de Georges Bernanos dont fut tirée un film, "Le Dialogue des Carmélites". Le thème en est la marche au martyre des 16 Carmélites de Compiègne. Bernanos conservé la ligne générale de cette trame tout en développant un thème qui est au coeur de son oeuvre : la peur, face à la mort. En exergue de "Dialogues des Carmélites", il écrivit : "La Peur est tout de même la fille de Dieu, rachetée la nuit du Vendredi Saint". Dans la sinistre charrette qui les menait au supplice, les Carmélites chantaient des cantiques. Sauvées de la peur par la foi au Christ Vainqueur de la mort, elles gravirent les marches de l'échafaud en chantant le "Veni Creator". Un employé de la prison avait dit : "Elles avaient l'air d'aller à une noce".

Rédacteur : Frère Bernard Pineau, OP

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17 juillet 2011 7 17 /07 /juillet /2011 10:11

De et par Jacques Mougenot,  Prix du public au festival de Dax

Un "off" à Avignon

LE FIGARO - Un spectacle en tout point impeccable.

FRANCE CULTURE (Philippe Meyer) - Je recommande vraiment d'aller voir l'affaire Dussaert.

LE PARISIEN - Ironique, intelligent et comique.

LE CANARD ENCHAÎNE - Un regard exceptionnel d'intelligence et de cruelle lucidité sur l'escroquerie postmoderniste à la pensée.

PARISCOPE – Passionnant, pertinent, plein d'esprit et d’humour. A ne pas manquer.

LE FIGAROSCOPE - Un spectacle réjouissant.

SPECTACLES SÉLECTION - La conférence est passionnante, drôle, déroutante.

ELLE - Une soirée instructive, drôle et burlesque. Tout un tableau ! 

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16 juillet 2011 6 16 /07 /juillet /2011 10:08

Bilan-de-competence---Solesmes.jpg 

Les moines de l’abbaye bénédictine de Solesmes accueilleront des personnes en session de bilan de compétences les semaines du 18 au 22 juillet et du 22 au 26 août 2011.

Ces 2 sessions sont destinées chacune à des personnes qui ont exprimé le désir de relire leur vie professionnelle pour prendre un nouveau départ. Ses sessions sont animées sous le regard de Dieu, en petit groupe et avec un accompagnement personnalisé par des consultants expérimentés.

Le Père Guy Frénod o.s.b. apportera quotidiennement de brefs enseignements ainsi qu’une aide au discernement.

Les consultants du cabinet Oplus-conseil assurent quant à eux l’accompagnement professionnel.

Si vous-même ou votre entourage êtes intéressées par cette démarche, n’hésitez pas à prendre directement contact avec le cabinet Oplus : cyril@oplus-conseil.fr

 

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