Succès d'Ariane 5
Investiture d'Alassane Ouattara
Cannes 2011
Attentat contre un hôpital militaire de Kaboul
La fin du monde était prévue pour 18h
Tour cycliste d'Italie
Journée européenne de l'obésité
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Succès d'Ariane 5
Investiture d'Alassane Ouattara
Cannes 2011
Attentat contre un hôpital militaire de Kaboul
La fin du monde était prévue pour 18h
Tour cycliste d'Italie
Journée européenne de l'obésité
1. Dieu ne demandera pas quelle marque d’auto tu conduisais.
Il demandera combien de personnes tu as transporté
2. Il ne demandera pas quelle était la grandeur de ta maison
Il demandera combien de personnes tu as reçu dans ta maison
3. Dieu ne demandera pas ce que tu avais dans ta garde-robe
Il demandera combien de personnes tu as aidées à se vêtir
4. Dieu ne demandera pas quel était ton salaire le plus élevé
Il demandera si tu as fait des compromis pour l’obtenir
5. Dieu ne demandera pas quel était ton titre
Il demandera si tu as fait ton travail au mieux de tes possibilités.
6. Dieu ne demandera pas combien tu avais d’amis
Il demandera combien t’ont choisi comme ami
7. Dieu ne demandera pas dans quel quartier tu vivais.
Il demandera comment tu traitais tes voisins
8. Dieu ne demandera pas la couleur de ta peau.
Il demandera la qualité de tes valeurs.
9. Il ne demandera pas pourquoi tu as pris autant de temps
pour trouver le salut.
Il t’accueillera avec amour à la porte du paradis.
10. Dieu ne demandera pas à combien de personnes
tu as transmis ce message.
Il connaît déjà ta décision
Saint Philippe Néri ...
Philippe naquit à Florence le 22 juillet 1515. Dès son enfance, on l'appelait le bon petit Philippe, tant il était bon, doux et aimable. Vers l'âge de dix-huit ans, il renonça à la fortune d'un de ses oncles pour aller à Rome étudier les sciences ecclésiastiques. Rien de plus édifiant que sa vie d'étudiant: pauvreté, mortification, prière, travail, silence, vie cachée, habitaient sa modeste cellule.
Après plusieurs années d'étude opiniâtre dans les universités, il travailla seul, quelques années encore, dans le silence et la solitude, et quand, devenu prêtre par obéissance, il commença à se livrer au ministère des âmes, son esprit facile et profond avait acquis une science fort remarquable.
Philippe visitait les hôpitaux, soignait les malades, assistait et instruisait les pauvres, passait de longues nuits dans la prière, aux catacombes, sur les tombeaux des martyrs. Partout et à toute occasion, il cherchait à gagner des âmes à Dieu. Il aimait surtout les jeunes gens; il les attendait à la sortie des écoles, se mêlait à leurs rangs et conversait avec eux; il les abordait sur les places publiques, les cherchait jusque dans les ateliers et les magasins, en confessait une multitude, en retirait un grand nombre du vice. "Amusez-vous bien, leur disait-il souvent; mais n'offensez pas le bon Dieu!" Aussi Philippe exerçait-il sur l'enfance et la jeunesse un ascendant irrésistible…
Emporté par l'amour de Dieu à un degré rare, Philippe Néri avait des extases. Il était saisi intérieurement par une telle présence de Dieu, avec une telle force, qu'il ne pouvait plus bouger. Cela lui arrivait souvent en disant la messe, après la consécration. En général, il disait sa messe quotidienne seul, avec un servant de messe. Quand celui-ci voyait qu’il était emporté par l'extase, il le laissait sur place, sortait en mettant un écriteau à la porte : "Le Père dit sa messe", et allait vaquer à ses occupations. Tout le monde savait ce que cela signifiait, et on laissait Philippe tranquille. Plus tard, au moment du déjeuner, le servant de messe revenait, faisait un peu de bruit, Philippe sortait de l'extase, terminait sa messe, et allait déjeuner avec sa communauté.
En privé, cela n'avait pas d'inconvénients, mais en public ? Philippe Néri avait prévu la chose. Il aimait beaucoup un recueil d'histoires drôles arrivées à un curé napolitain, le Piavonno Arlotto. Il faisait placer le livre sur l'autel, à côté du missel. Quand l'extase arrivait, il ne fallait pas qu'il soit immobilisé devant tout le monde. Il poussait alors le missel, et lisait une ou deux histoires drôles. Cela le distrayait, et il pouvait reprendre sa messe. Bien entendu, les gens se demandaient pourquoi la messe durait plus longtemps à certains moments et quelles prières le prêtre pouvait bien dire.Malheureusement, au bout d'un moment, Philippe connaissait par cœur toutes les blagues du brave curé napolitain. Mais il avait un chat familier. Il la faisait donc placer sur l'autel. On l'amenait sur un coussin, sous les yeux inquiets et interrogateurs de l'assistance, et Philippe commençait la messe. Le chat était très sage, et ne bougeait pas. Il regardait son maître officier. Quand l'extase venait, Néri caressait le chat qui était ravi et faisait mille câlineries. Cela aussi le distrayait et il pouvait alors reprendre l'office.
Restait le cas des processions où il portait, dans les rues de Rome, le Saint Sacrement. Une ou deux fois, il fut surpris par l'extase en pleine rue. Le Corps du Christ était porté sous un dais, escorté de Gardes suisses. Néri, se voyant immobilisé par la violence de l'amour de Dieu, eut l'idée de tirer la barbe d'un garde. Celui-ci, sidéré, se mit à pousser des cris, à la grande joie de la foule. Néri put se reprendre un peu et continuer la procession.
Philippe jouait pour ainsi dire avec les miracles, et les résurrections de morts ne coûtaient rien à cet homme extraordinaire. Il se regardait, malgré tout, comme le plus grand des pécheurs, et disait souvent à Dieu: "Seigneur, défiez-Vous de moi, car j'ai peur de Vous trahir!" Philippe mourut à l'âge de quatre-vingt ans, le 26 mai 1595.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n’étaient rien d’autre qu’un signal
lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus
dans le fait de forcer une situation ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
et j’ai arrêté de faire de grands plans,
j’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime
quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s’appelle… la Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.
Charlie Chaplin
Lancement le mardi 24 mai à Paris du parcours "Politique et responsabilité" assuré par Bruno de Saint-Chamas, Président d'ICHTUS, auquel vous êtes chaleureusement convié, et surtout auquel nous vous proposons d’inviter largement autour de vous amis, jeunes professionnels et étudiants.
Jean-Paul II et Benoît XVI appellent les chrétiens à s'engager dans la cité. La béatification de Jean-Paul II remet en lumière la Doctrine Sociale de l’Eglise au centre de la Nouvelle Evangélisation, montrant combien l’Eglise a la vérité sur l’Homme et nous révèle le chemin du bonheur. Le Parcours Jean-Paul II, « Politique et responsabilité » permet de découvrir en 4 soirées la cohérence de cet enseignement avec un éclairage particulier sur sa mise en œuvre dans la Cité.
Faire de la politique en chrétien nécessite de connaître l’enseignement social de l’Eglise fondé sur le Droit naturel et l’expérience. Juste place de l’homme dans la société, dans l’économie, liberté nécessaire à l’amour, bien commun, destination universelle des biens, principes non-négociables, liberté religieuse, autorité en politique... autant de « fondements de la Cité » que chacun a besoin de connaître pour nourrir sa vie, ses engagements, et exercer ses responsabilités.
Voici le retour d’un parcours précédent par un participant en 2ème année de préparatoire HEC :
« Intéressant à la fois pour les athées et les catholiques convaincus » ; « L’enjeu était de nous faire découvrir l’enseignement de l’Église tel qu’il s’applique dans notre vie quotidienne » ; « Cet approfondissement met bien en évidence la cohérence interne de la doctrine sociale de l’Église, mais aussi sa cohérence avec le réel, et son caractère indispensable pour faire bon usage de notre liberté » ; « Je souhaite en particulier à beaucoup d’autres jeunes d’avoir la chance d’entendre ce témoignage, car il est profondément enrichissant. Il restera pour moi un jalon important dans l’approfondissement de ma foi et le choix de mes orientations professionnelles ».
mardi 24 mai
Ouverture : le désir du bonheur
Premier pas : La dignité de la personne Humaine
L’homme à l’image de Dieu pour aimer
L’homme corps et âme
La liberté nécessaire à l’amour
La liberté pour chercher la vérité et connaître la loi naturelle
Le péché et les structures de péchés contre l’homme
La source ultime des droits de l’homme
Le droit à la vie
31 mai
Deuxième pas : la civilisation de l’amour
7 juin
Troisième pas : le pouvoir de l’homme sur la création
14 juin
Quatrième pas : l’Etat et les institutions politiques
Toutes les informations :
http://www.ichtus.fr/article.php3?id_article=565
Une promenade de 5 km vous est proposée. Nous évoquerons le grand roi Saint Louis. Il a fait l’admiration des musulmans eux-mêmes, qui l’appelaient « le roi saint ».
Nous évoquerons également en arrivant au château la fin tragique du Duc d’Enghien, fusillé dans le fossé.
Informations pratiques
Rendez-vous samedi 21 mai à 15 h au M° Porte-Dorée, côté bois.
Tarif visite guidée 5 euros
Inscription IMPERATIVE à courrier@ichtus.fr ; tel 01.47.63.97.84 ou sur le lien suivant : Formulaire d’inscription
c'est sur Petrus Angel
Joseph Fadelle :
"Je suis un témoin vivant de la persécution"
Lorsque Mohammed Moussaoui, jeune Irakien aîné d’une grande famille chiite, se retrouve contraint de partager la chambre d’un chrétien à l’occasion de son service militaire, sa vie bascule. Fasciné par la bienveillance de ce dernier, ...
lire la suite du témoignage
26 Avril 2011
L’Aide à l’Eglise en Détresse (AED) organise le 4 mai 2011, sur le parvis de Notre-Dame de Paris, l’opération « la Palme de la Liberté », en faveur du respect de la liberté religieuse dans le monde.
L’AED estime que ce sont actuellement 200 millions de chrétiens, mais aussi des hindous et des musulmans, qui font l’objet d’humiliations, de discriminations, parfois d’hostilités violentes et même de véritables persécutions à cause de leur foi. C’est le cas en Irak, en Egypte, en Turquie, en Inde, au Pakistan, en Chine ou encore en Corée du Nord... « Aujourd’hui, une personne sur deux vit dans un pays où la liberté religieuse n’est pas pleinement respectée », rappelle Marc Fromager, directeur de l’AED.
Selon l'article 18 de la Déclaration universelle des droits de l'homme, « toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites. » Il est aujourd’hui manifeste que « le droit à la liberté de pensée, de conscience, et de religion » n'est pas respecté partout dans le monde : la Palme de la Liberté veut le rappeler.
Au programme :
Point de vue humanitaire
Point de vue. Ben Laden est-il vraiment mort ?
Barack Obama a donc annoncé la mort de Ben Laden tué lors d’une opération menée par des forces spéciales US à proximité d’Islamabad. La disparition de cette créature nord-américaine formée, équipée, financée et armée par la CIA du temps de l’Union soviétique ne nous émeut guère. Pourtant, les conditions de cette mort et la disparition du corps posent question.
Ben Laden vivait dans une « grande demeure » à deux heures d’Islamabad. Il aurait été repéré par les services nord-américains au mois d’août dernier. Les autorités pakistanaises et leurs services secrets ne pouvaient pas ne pas être informés de la présence de Ben Laden sur leur territoire. La CIA aussi. Pourquoi avoir attendu tant de mois avant de déclencher l’opération ?
Ben Laden mort, il ne plus parler. Pourquoi ne pas l’avoir arrêté au lieu de lui placer une balle, une seule, dans la tête, selon la version officielle. Un procès n’aurait-il pas permis d’en savoir en peu plus sur les relations entre le chef terroriste, les services pakistanais et les gouvernants US?
Le corps de Ben Laden a été immergé en mer, nous dit-on pour éviter les « possibles célébrations ». Si cette version correspond à la vérité, le responsable de tant de morts ne pourra jamais être interrogé et témoigner. Les anciens et actuels gouvernants US peuvent dormir tranquilles à Washington.
Témoignage d'un ex-musulman dans La Nef :
"En demandant le baptême, obtenu enfin en 1970, mon choix était fait : il n’y a qu’un seul Jésus, l’unique, le vrai, celui qui, revenant dans la gloire jugera les vivants et les morts, y compris Muhammad. En m’efforçant de vivre, comme tout disciple, dans la fidélité à l’Évangile, ce ne fut pas un long fleuve tranquille. [...] Car l’accueil chaleureux n’était pas au rendez-vous dans les paroisses et dans les mentalités catholiques. En effet, dans mon exaltation, je n’avais pas réalisé l’évolution qu’avait subie l’Église catholique vers les années 1970. J’appris, par exemple, plus de dix ans plus tard, que le curé qui m’avait baptisé avait défroqué.
Évangéliser était passé de mode ; certains prêtres s’étaient frottés aux œuvres sociales auprès des travailleurs immigrés, dans les bidonvilles à Nanterre comme à Villeurbanne, et l’idée se répandit que la solution était l’enfouissement et le silence de rigueur pour sa foi. Alors que, naïvement, je voyais en chaque catholique un missionnaire en puissance, je dus déchanter et constater à l’aube de la montée islamiste et prosélyte, suscitée par l’Iran de Khomeiny, que les seuls chrétiens osant annoncer l’Évangile, ici comme en Algérie, étaient les protestants.
C’est tout ce parcours de plus de 30 ans, qui m’amena à remarquer l’abandon des «convertis» ex-musulmans ou de ceux qui voulaient les imiter. J’ajoute que les idées, fort répandues, qu’un «Algérien = un musulman», ou «Arabe = musulman», que les Kabyles sont tous des musulmans, me poussèrent à me pencher sur le passé chrétien de l’Afrique du nord. S’il m’apparut nécessaire de tordre le cou à ces équations «raciales» en religion, il était encore plus urgent de créer des structures d’accueil et de soutien aux convertis et aux catéchumènes. Ce fut donc ce que nous entreprîmes, à partir des années 1999-2001."
Il s'agit de l’association Notre-Dame de Kabylie.
Michel Janva
« Les remparts culturels tombent les uns après les autres comme les murs de Jéricho à l'appel de trompettes multinationales, et l'individu, privé des défenses naturelles de la famille, de la tribu, de l'artisanat, de la nation, de la religion, de la langue, de ce que j'ai appelé le nous opposé au je , sombre dans le on informe d'une humanité non différenciée : sous prétexte d'ouverture au monde, il demeure seul et sans défense devant son poste de télévision, cet entonnoir universel de la désinformation. »
Vladimir VOLKOFF , « Petite histoire de la désinformation » Ed . du Rocher, 2001