bienvenue sur Petrus Angel !
entrez !
dans un autre genre... avec Fernandel (1951), ce jour sur La 3 à 14h55 ...
Un extrait génial...
La suite de l'extrait.
Ostrov : L'Ile , film de Pavel Loungine, en russe
sous titré
dailymotion.com2 min Un monastère orthodoxe sur une île du nord de la Russie. Un moine perturbe la vie de sa congrégation ... |
Alexandre Soljénitsyne
La presse est le lieu privilégié où se manifestent cette hâte et cette superficialité qui sont la maladie mentale du XXe siècle. Aller au coeur des problèmes lui est contre-indiqué, cela n'est pas dans sa nature, elle ne retient que les formules à sensation. »
texte retrouvé ICI
... c'était hier ...
Trouver du travail avec Saint Joseph c'est possible
http://www.saintjosephtravailleur.net/saint-joseph-livre.html
Permanences n° 478-479
Voici le temps de la "reprise" et de l’engagement
Liberté religieuse et Etat de droit
L’élection présidentielle a déjà commencé...
Vie : avortement, contre-manif
Jacqueline de Romilly nous a quitté
Clair et net : Nouvelles de France
Parlons clerc : Dieu s’est fait homme
Les raisons d’être de l’Etat
Etat : Gouvernement et administration
Etat et démocratie : force et faiblesse
Absolutisme royal et centralisme jacobin
Magistère : Etat et totalitarisme
Pensée et action politique face aux tentations postmodernes
Expo : Rubens, Poussin et les autres
Lire : "Qu’est-ce que la vérité ?" de F. Hadjadj
Lire : "Urgence éducative" de Mgr Rey
La frénésie d'information (faire savoir à chaque instant ce qui se passe dans le monde) va avec l'athéisme et la philosophie actuels. L'information procure à celui qui la fait la satisfaction sadique de croire que la réalité s'exprime uniquement par des faites nus et qu'il n'y a rien à comprendre au-delà. L'information est le divertissement suprême, quelque chose qu'on place entre soi et le néant, un remède à la peur. On n'a plus de parti à prendre, plus d'incertitude, on se borne à rendre compte. On est, à peu de frais , l'ethnologue, l'ethnographe de son propre temps. Et cette grande imposture de l'objectivité, qui a consacré tant de sottises !
Jean Dutourd, in Carnet d'un émigré, 1973
17 mars - Japon. Nagasaki, Vierge des Français. - Saint Patrick Irlande (+ 464)
Les Larmes de sang de la Madone
L'Irlande et la Hongrie ! Deux pays martyrs qui, à travers les siècles, ont souffert pour leur foi et lutté pour leur indépendance. Malgré les nombreuses persécutions, les Magyars et les Irlandais ont gardé un amour indéfectible pour la Mère de Dieu.
La confiance que l'Irlande à mise en Notre Dame n'a pas été déçue. Il en sera de même pour la Hongrie, qui dans la dure épreuve qu'elle traverse garde dans son coeur l'espoir de jours meilleurs. Marie compatit aux souffrances de ses enfants. Le fait suivant en est une preuve. Dans la cathédrale de Gyor, le peuple chrétien vénère une Madone irlandaise. Ce tableau représentant la Vierge à la crèche, fut apporté en Hongrie en 1650, par un évêque irlandais qui avait réussi à échapper à la persécution de Cromwell.
Le 17 mars 1697, à la messe de 6 heures, en la fête de saint Patrick, patron de l'Irlande, à un moment où la persécution religieuse atteignait son maximum en Irlande, la Madone se mit à pleurer des larmes de sang pendant trois heures. On conserve encore à Gyor les dépositions signées des témoins oculaires de ce miracle, notamment du bourgmestre, du commandant militaire, du gouverneur, des ministres calvinistes et luthériens, ainsi que du rabbin de la ville.
Depuis, le culte de la Madone irlandaise s'est maintenu en Hongrie et des foules considérables viennent vénérer, surtout aux fêtes de saint Patrick et de l'Ascension, l'image suspendue au-dessus du maître-autel de la cathédrale.
La Croix du 6 avril 1954
En 1985, des cérémonies furent organisées à Hiroshima et Nagasaki (Japon) en mémoire des victimes des bombes atomiques lancées sur ces deux villes, quarante ans auparavant. Un témoin oculaire de ces célébrations remarque: « À Hiroshima, il y a de l'amertume, du bruit, c'est très politique... Le symbole pourrait en être un poing serré de colère. À Nagasaki, il y a de la tristesse, mais aussi le calme, la réflexion, il n'y a pas de politique, on prie. On n'y blâme pas les États-Unis, mais on y pleure plutôt le péché de la guerre et, plus particulièrement, de la guerre nucléaire. Le symbole: des mains jointes pour prier ». Plus que tout autre, l'influence du docteur Takashi Nagaï explique le climat spirituel qui régnait ce jour-là à Nagasaki. Un prêtre disait de lui: « Si nous avons un peu de cette foi que possédait Nagaï en la providence du Père éternel et en la valeur universelle de la mort du Christ, nous pourrons affronter chaque événement dans la paix ». Qui donc était ce docteur Nagaï?
Takashi Nagaï est né en 1908, à Isumo près d'Hiroshima, dans une famille de cinq enfants, de religion shintoïste. En 1928, il entre à la faculté de médecine de Nagasaki. « Dès mes études secondaires, écrira-t-il, j'étais devenu prisonnier du matérialisme. À peine entré à la faculté de médecine, on me fit disséquer des cadavres... La merveilleuse structure de l'ensemble du corps, l'organisation minutieuse de ses moindres parties, tout cela causait mon admiration. Mais ce que je maniais ainsi, ce n'était jamais que pure matière. L'âme ? un fantôme inventé par des imposteurs pour tromper les gens simples ».
la suite ... http://www.clairval.com/lettres/fr/99/f16juillet99.htm
"Les apparitions de Notre-Dame à Akita se sont déroulées en 1973 ; et reconnues par l'Evêque du lieu Mgr Shojiro It, avec la permission du Cardinal Ratzinger, le 22 avril 1984, jour de la fête de Pâques. Au cours des apparitions, la Sainte Vierge confie trois messages, appelant à la conversion, pour éviter un chatiment sur l'humanité. Du 4 janvier 1975, au 15 septembre 1981, 101 fois, la Sainte Vierge pleurera. Les Editions Téqui ont publié en 1985 un petit livre sur ces apparitions de Notre-Dame au Japon
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Petrus Angel,
mine de rien,
c'est une mine d'informations ...
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écrivez donc
"femme", "carême", "Beau", "pilule",
"Audiard", "Obama", "évolution", "Anouilh",
"Jaurès", "Katyn", "euthanasie", "Pie XII"...
... ou ce que vous voulez ...
Vous verrez.
- Nous portions nos portions. Les portions, les portions-nous ?
- Les poules du couvent couvent.
- Mes fils ont cassé mes fils.
- Il est de l'est.
- Je vis ces vis.
- Cet homme est fier; Peut-on s'y fier ?
- Nous éditions de belles éditions.
- Nous relations ces intéressantes relations.
- Nous acceptions ces diverses acceptions de mots.
- Nous inspections les inspections elles-mêmes.
- Nous exceptions ces exceptions.
- Je suis content qu'ils nous content cette histoire.
- Il convient qu'ils convient leurs amis.
- Ils ont un caractère violent et ils violent leurs promesses.
- Ces dames se parent de fleurs pour leurs parents.
- Ils expédient leurs lettres; c'est un bon expédient.
- Nos intentions c'est que nous intentions un procès.
- Ils négligent leur devoir; moi, je suis moins négligent.
- Nous objections beaucoup de choses à vos objections.
- Ils résident à Paris chez le résident d'une ambassade étrangère.
- Ces cuisiniers excellent à composer cet excellent plat.
- Les poissons affluent d'un affluent de la rivière.
etc., etc.,....
Il y a de quoi perdre la tête ! Vous rendez-vous compte combien notre langue est difficile à apprendre par les étrangers ?
paru sur ce site passionnant : http://deflandres.over-blog.com/ | |||
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Nous avons parlé des omissions dans l'offensive médiatique autour de cette journée : les historiques du Planning familial qui jettent un voile pudique surson histoire agitée; ou les historiques de la journée elle-même qui oublient que la date du 8 mars est d'origine soviétique. Et il y a les statistiques péremptoires, assénées aujourd'hui à longueur d'article ou d'émission. Traitons-en trois :
- "Une femme sur trois sera victime d'un viol ou d'une tentative de viol au cours de sa vie" en France pour ce communiqué des féministes homosexuelles "les Panthères roses". Le chiffre pour les Etats-Unis est d'une femme sur huit (National Crime Survey 2002). Or les Etats-Unis connaissent chaque année 1 viol déclaré pour 3000 habitant, pour 1 pour 6000 environ en France. On peut donc estimer qu'en France une femme sur 15 environ sera victime d'un viol ou d'une tentative de viol au cours de sa vie. Chiffre qui paraît déjà choquant - mais pas assez apparemment pour les féministes.
- Le même communiqué affirme qu'il y a "28 % d’écart salarial entre un homme et une femme pour un même poste". Non - mais au moins, ici, le chiffre est tiré d'une étude sérieuse : celle-ci. Seulement nos militantes homos l'ont mal lu : 28% est la différence horaire brut - pour un même poste, le chiffre est de 12%.
- Christine Ockrent se répand dans la presse, diffusant cette calomnie anti-mariage : "C'est tout de même incroyable que de penser que dans nos pays comme ailleurs, le premier facteur de risque pour une femme, c'est d'être mariée". C'est tellement incroyable que c'est faux : cette étude (aux Etats-Unis, mais certainement applicable à la France) montre qu'une mère mariée a deux fois moins de chances d'être victime de violences qu'une mère non mariée.
Posté le 8 mars 2006 par Le Salon Beige
Petit rappel de 2006 ...
Les médias rivalisent d'enthousiasme pour fêter la "Journée de la Femme", demain 8 mars. Ils se garderont peut-être de rappeler que cette journée est l'idée d'une communiste allemande du début du XXe siècle, et que le premier pays à l'avoir instituée est l'Union soviétique de Lénine dès 1921 - la date du 8 mars commémorait une manifestation-clef de la "Révolution de février" en Russie. Les pays de l'Est l'ont "fêtée" une fois sous la coupe soviétique après la Seconde guerre mondiale, et le gouvernement socialo-communiste l'a officialisée en France en 1982.
Dès lors, on se doute qu'il ne s'agit pas, comme lors de la fête des mères, de rassembler les familles, mais de les diviser. Dans Présent de demain, Jeanne Smits montre comment les thèmes de ces journées, d'apparence inoffensifs ("il faut plus de femmes élues", "il faut que les hommes prennent leur part des tâches domestiques") véhiculent en réalité la subversion destructrice :
Il s'agit de gommer les différences, faire accéder la femme à une (fausse) autonomie qui a pour effet de fragiliser la famille et de la réduire, elle, en esclavage.
La journaliste rapporte l'esprit dans lequel des organismes de l'ONU promeuvent cette fête : en particulier dans ce rapport de la Commission de la condition de la femme du 3 mars dernier (extrait, sur les bienfaits des migrations : "Les femmes migrantes, devenant le soutien familial, font changer les sociétés d’origine et les sociétés de destination, même si, dans certains cas, on peut constater que le rôle du mari reste prédominant.")
PS : Vox Galliae marque, à sa manière, cette journée.
Posté le 7 mars 2006 à 22h37 par Le Salon Beige