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12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 09:54

 

Bon, c'était en fait le 6 décembre, fête de Saint-Nicolas, mais on l'avait un peu oublié, lui aussi... Les premiers articles ...

 

  • Noël aura-t-il lieu ? 
    On imagine très bien les hommes s'interrogeant entre eux un matin du 26 décembre: « Mais, dites donc, n'était-ce pas hier Noël ? - Noël ? Voyons, voyons, nous étions hier le 24, consultez le ...
  • les nuits les plus longues... 
    Voici les derniers mois de l'année.Voici les nuits les plus longueset les jours les plus tristes.La télé et les journaux nous déversentleur flot quotidien de violence.A désespérer ! Allume la ...
  • le dénombrement ? 
    Regardez ce tableau. On est en hiver, il a neigé. Des maisons; des charrettes; des étangs gelés; des enfants qui jouent sur la glace. A gauche des personnages font la queue à un guichet. Un groupe ...
  • Noël raconté par Saint-Luc 
    1 En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre. 2 Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. 3 Tous allaient se ...
    Dites-le à vos amis...

 

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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 09:49

 

L’affaire du professeur de Manosque mis à pied pour avoir utilisé une vidéo montrant des avortements, dans un débat sur des sujets de société qu’il doit organiser dans le cadre des programmes officiels, pose en réalité une question essentielle. Suffit-il, aujourd’hui, de débattre de cette question avec des mots ? A quoi s’ajoutent des questions d’opportunité – avec qui, dans quelles circonstances – qui doivent pouvoir se poser dans un climat serein. Pour le professeur de Manosque, il n’y a rien eu de tout cela. Une opposition frontale de la hiérarchie : celle-ci lui a signifié qu’il n’est pas autorisé de débattre à propos d’une loi existante (avec de tels raisonnements, remarquez, la loi Veil n’aurait jamais vu le jour !). Ce qu’on lui a reproché, au fond, ce n’est pas tant la violence des images qu’il a proposées à ses classes de seconde, mais le fait qu’il ait remis en cause le discours officiel sur la « santé reproductive », y compris en attirant l’attention sur les dangers de la pilule contraceptive et son caractère potentiellement abortif, et sur le caractère systématiquement abortif du stérilet. Il a brisé un tabou.


Est-il possible aujourd’hui d’ouvrir un débat avec des jeunes qui ont subi le discours monolithique en faveur de l’avortement, présenté comme un « droit » de la femme, en ayant seulement recours à la parole et aux textes écrits ? A l’argumentation raisonnable ? L’expérience du professeur de Manosque – qui organise tout de même ces débats depuis 15 ans, et d’autant plus que ses élèves les lui réclament ! – est que la parole ne suffit pas. Elle ne change même rien, puisque nous vivons dans une « culture » de l’image et que les élèves en sont au fil des ans de plus en plus imprégnés.

Organiser un débat suppose d’en présenter les différents aspects. Le pour et le contre. Dans le cadre scolaire, il est entendu que les élèves de seconde sont censés eux-mêmes apporter les différents éléments pour que la discussion s’engage. L’ennui, c’est que le discours monolithique imposé aux jeunes sur la question de l’avortement (mais ce n’est pas la seule qui soit ainsi « verrouillée »), soutenu dans le cas du lycée Les Iscles par des interventions régulières du Planning familial dans les classes, faisait que les élèves n’apportaient pour ainsi dire jamais d’éléments pour contredire le postulat : « L’avortement est un droit de la femme. »

Mais le plus effarant, c’est que même mis en présence de textes écrits de réflexion ou de description des procédures de mise à mort des tout-petits, même confrontés à une parole autre que celle qui leur est habituellement servie, les jeunes lycéens ne semblent pas en saisir le sens. La discussion ne s’engageait véritablement que si des images d’avortement étaient montrées en début de séance. Comme si un verrou sautait.

C’est la preuve, s’il en fallait, du degré de « décervelage » opéré chez tant de jeunes par des pédagogies qui, dès les plus petites classes et toutes matières confondues, les habituent à travailler en mode visuel, parole coupée, ou alors par repérage et comparaison à travers des tâches qui n’exigent pas d’analyse. C’est la mécanisation des intelligences dénoncée par Elisabeth Nuyts, celle qui aboutit, lorsqu’elle est pleinement « réussie », à faire réagir les jeunes à des mots-clefs en rendant insignifiant tout ce qui ne va pas dans le sens de ce qui leur a été imposé. Les mots glissent, ou activent des réflexes pavloviens. Avortement ? Droit ! Pro-vie ? Extrémiste !

Pour briser ce carcan, cette pensée unique totalitaire, pour permettre – comme ils disent – au débat de s’instaurer, quelle autre solution que d’adopter le langage que ces jeunes comprennent ? Celui de l’image… C’est finalement le seul électrochoc qui puisse encore agir. Voir la réalité. Une réalité si énorme, si évidente – et habituellement si cachée – qu’elle pénètre nécessairement au fond de la conscience.

On parle de la « civilisation de l’image ». Le mot est mal choisi : qu’est-ce qu’une « civilisation » où l’image se déverse à flots, mais soigneusement triée, la plupart du temps virtuelle, souvent fausse, trafiquée, détournée pour cacher la réalité des choses, et où l’absence de parole et de recul coupe si souvent net toute tentative de réflexion et de jugement critique selon les critères objectifs du beau, du vrai et du bien ?

On peut s’interroger sur l’opportunité de montrer à des jeunes de 14, 15 ou 16 ans des images de tout petits enfants démembrés, déchiquetés, brûlés, jetés par la volonté de leurs mères (qui, si souvent, ne savent pas ce qu’elles font) et exécutés froidement par des médecins qui sont faits pour soigner, avec l’aide et l’assistance des pouvoirs publics qui organisent le massacre.

Oui, ces images sont traumatisantes. Parce qu’elles sont vraies. Parce qu’elles mettent violemment le spectateur en face d’une réalité bien plus violente encore, que l’on cherche à tout prix à maintenir cachée. C’est ce qui explique le tollé des associations qui se disent « pro-choix » : comment peut-on « choisir » cela ?
Mais il faut arrêter l’hypocrisie. Il ne faut pas oublier que la génération des jeunes qui est aujourd’hui sur les bancs du lycée a été abreuvée d’images « gore », de scènes de viols et de meurtres, de pornographie souvent, de noirceur et de désespoir. Tout ce qu’il y a de plus monstrueux, de plus bizarre, de plus ignoble, ils y ont accès par le cinéma et les clips, et surtout par Internet, autant qu’ils le veulent. La désespérance est le lot quotidien des lectures qui leur sont imposées par l’école. La cruauté, l’insensibilité, le sentiment de toute-puissance aussi leur sont accessibles par un nombre incalculable de jeux vidéos dont l’ultra-violence n’émeut pas trop les pouvoirs publics. Qui d’ailleurs dégagent des subventions rondelettes pour les concepteurs de ces mêmes jeux, au nom de la Culture…

Alors, que les jeunes soient encore frappés par des images de tout petits enfants d’hommes massacrés dans le ventre de leurs mères, c’est plutôt rassurant. Mais arrêtons de dire que c’est une atteinte intolérable à leur sensibilité, qui est si facilement agressée par ailleurs, et, pour beaucoup, plus émoussée sans doute que celle des générations qui les ont précédés. Et le traumatisme qu’elles provoquent, ces images, est-il mauvais ? Est-ce si terrible de faire prendre conscience que l’avortement tue ? Est-ce si scandaleux, à un âge où ces lycéens ont déjà, souvent, une vie sexuelle active et où les adolescentes peuvent être amenées à avorter, même à l’insu de leurs parents ?

Une conversation avec le professeur de Manosque m’a permis de mieux comprendre les choses. Je l’ai interrogé sur le trouble que provoquaient effectivement les images d’avortement sur les jeunes qui, rappelons-le, acceptaient de les voir en toute connaissance de cause. La seule réaction de vrai choc qu’il ait vue, m’a-t-il répondu, était chez une jeune fille qui effectivement, avait avorté. Il s’était excusé auprès d’elle, n’ayant pas eu l’intention de blesser. Mais il se trouve qu’elle est devenue son meilleur soutien. La vérité l’a libérée.

Pour les autres, qui sont tout de même dans une classe d’âge où ils n’ont pas eu directement affaire à l’avortement, l’absence de culpabilité change aussi la donne. Ils n’ont pas participé au massacre. Ne s’en sentent pas responsables.

C’est d’ailleurs sans doute cela qui explique les réactions si démesurées de la presse, de la hiérarchie éducative, de ceux qui prônent le droit des femmes de disposer à leur guise de la vie qu’elles portent en elles. La honte, la tristesse, le remords qui font trop mal, alors on refuse de voir la vérité en face.
Peut-être, aussi, la peur du regard d’une jeune génération, pas encore complice, et soudain témoin d’un massacre que leurs aînés justifient et organisent…

Article paru dans Présent daté du vendredi 3 décembre dans la chronique “Génération décervelée”.

© leblogdejeannesmits

Professeur de Manosque : le tabou de l'avortement
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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 09:39


Samedi 11 décembre à partir de 17h à la mairie de Neuilly-Plaisance,

conférence de Véronique Hallereau sur Soljénitsyne (durée : 1h) 

avec dédicace de son livre après la conférence.

 

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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 00:09

 

 

>>> la répétition

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10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 12:24

 

 

(JPEG)

Editorial :

Des rollers aux charentaises

Evénement :

Grèves et manifestations : la France en otage

Actualité :

Vie - Maintien du droit à l’objection de conscience

Société : Le « mariage » homosexuel n’est pas un droit

Net et clair : Boguez couverts

Homoparentalité :

Parlons clerc : Des femmes dans l’Eglise

Dossier :

La France, malade de son Etat

L’Etat en France : qui trop embrasse, mal étreint

Le modèle capétien

L’Etat peut-il être neutre ?

Souveraineté ou anarchie ?

L’Etat vu par l’Eglise

Culture :

AAV : Auguste et Julien l’apostat

Voir : Monet : un certain style du bonheur

Voir : Des hommes et des dieux

Lire : Mensonge soviétique et vérité romanesque

Lire : Ni laïques, ni musulmans

Lire : Notre métier a mal tourné

Chroniques :

Quand la gauche censure

On les a retrouvés

COMMANDE ICI

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9 décembre 2010 4 09 /12 /décembre /2010 22:38

 

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 14:32

 

Vous avez quel âge ? de Françoise Dorin

jean_piatLa question de l'âge qui fait peur ou qui rassure cache une sourde angoisse chez les êtres. Se traduisant par un jeu de rôles puéril qui laisse au final apparaître que le sujet est plus tabou qu'il n'y parait. jusqu'à ce que Françoise Dorin vienne y mettre son grain de sel, son grain de scène !

 

Jean Piat a des considérations sur son métier que chacun pourra  retrouver dans un de ses livres – Les plumes des Paons, chez Plon 1980 – mais c’est aujourd’hui dans Vous avez quel âge ? qu’avec verve et pétulance, il prolonge les multiples anecdotes de son métier et de la vie qui passe.

 

Mais au fait, quel âge a t-il ? Né le 23 septembre 1924 à Lannoy dans le Nord, indique-t-il. Vous prenez l’air étonné et sincère «Mais, vous ne les faites pas ! ». Et voilà ! En posant cette question sans avoir voulu la poser, vous êtes dans la nouvelle pièce écrite par une compagne-écrivain qui le connaît parfaitement pour le pratiquer depuis presque trente ans. Tout est là, tout est dit, sans fard, dépouillé,  avec complicité et ricanements échangés entre Jean Piat aux facétieuses coquineries et son public venu au Théâtre des Champs-Élysées  retrouver son Cyrano, son Comte d’Artois, pour un enième épisode jubilatoire.

 

« Comme vous devez le savoir, je suis avec Jean Piat, mais on vit chacun de notre côté. Je trouve que c’est la solution idéale pour qu’un couple dure » confie Françoise Dorin pour dire qu’elle a le temps de prendre son temps. Elle écrit des propos bien caustiques sur cette question de l’âge que l’on fait ou de celui que l’on a. Ce débat philosophique éternel, elle le poursuit sur la scène du théâtre des Champs-Élysées avec son texte humoristique à en pleurer de rires de connivence.

 

Dans Vous avez quel âge ? un conférencier, depuis son bureau, ose proposer à un gouvernement qui le prend au mot de créer un secrétariat d’état à la Vieillesse, à l’instar de celui à la Jeunesse. Les situations sont truculentes et donnent un petit cours d’histoire de l’âge qu’ont les anciens, justement à travers les âges.

Mais quel âge a donc François Dorin ? Quatre années de moins que Jean Piat...

 

« Alors ? Comment le supporter, ce compagnon de voyage incontournable ? En suivant ses tours et détours dans le miroir joyeusement déformant de l’humour » Françoise Dorin

 

En 1986, Françoise Dorin faisait paraître L'Âge en question qui fut donné avec Jean Piat au Théâtre des Variétés. Et de Vous avez quel âge ? elle explique  que « c’est une  question qu'hier on ne se permettait pas de poser (surtout aux dames) et qu'aujourd'hui on lance avec désinvolture... aux dames comme aux messieurs ! Question apparemment légère et pourtant lourde de complexes et d'angoisses. Question que l'on vous pose, enrobée de sourires, comme pour les enfants on enrobe les purges de confiture ! Question urticante sur laquelle on pose ici le baume apaisant  et nécessaire  de l'humour. » [Editeur  L’Avant-Scène Théâtre Collection Quatre-vents-2010]

 

La démonstration se fait jour, c’est une évidence qui veut que tant que vous êtes vivant la vie vous appartienne, en conséquence, plus on sera vieux et plus on s’installera dans la vie… Il suffit de le prouver ! La mise en scène de Stephane Hillel rappelle, s’il faut le dire encore, que seul le théâtre du sentiment  n’exige pas d’artifices

 

Jean Piat est un des rares comédiens dont on connaît davantage les personnages qu’il incarne que l’homme public qu’il est également. Comme Jean Marais qu’on évoque en Capitan, en chevalier Henri de Lagardère dit Le Bossu !
Et il y a un deuxième Jean Piat qui mérite d’être davantage connu, c’est pourtant le même, c’est l’écrivain aux véritables bonheurs littéraires, lisez-les ! Croix. Dix siècles d'histoire, 1972 — Prix Georges Goyau (décerné par l'Académie française) Les Plumes des paons, 1980 — Prix Broquette-Gonin (décerné par l'Académie française)Le Parcours du combattant, 1989 La Vieille dame dans la librairie, 1991 Veille de fête, 1992 Le Dîner de Londres, 1994 La Jeune Fille à l'avant-scène, 1995 Les Silences et les mots, 1996 Derniers mots d'amour : anthologie de correspondances avec Daniele Volle, 2001 Je vous aime bien, monsieur Guitry, 2002 — prix Saint-Simon.
Beaumarchais, un intermittent du spectacle, 2004 — Médaille de vermeil — Académie française Vous n'aurez pas le dernier mot ! : petite anthologie désinvolte des plus belles réparties, avec Patrick Wajsman, 2006.

Pat.d.come

 

Avec JEAN PIAT à la COMÉDIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES
Mise en scène de Stéphane HILLEL Musique : François PEYRONY
Lumières : Lilian BLAISE


COMÉDIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES
15 avenue Montaigne - 75008 Paris - Métro : Alma-Marceau
TARIFS : 38 €, 28 €, 24 €, 17€
Jeunes -26 ans : 10 € du mardi au jeudi
Location : 01 53 23 99 19 ou 
www.comediedeschampselysees.com

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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 09:38

 

L'intérêt du patient c'est une thérapeutique qui marche, et le plus vite possible.
L'intérêt de l'humanité c'est une science qui respecte chaque homme,
dès l'aube de la vie.
Les cellules du sang de cordon répondent à ces deux exigences.
COMPARAISON A CE JOUR (septembre 2007) 
CELLULES SOUCHES EMBRYONNAIRES
CELLULES SOUCHES DU SANG DE CORDON

1 - Pas greffables

1 - Greffés avec succès chez des patients depuis plus de 20 ans (maladies du sang et immunitaires)

2 - La majorité des cellules embryonnaires sont cultivées sur des animaux : ne sont pas transplantables sans risques pour l'homme

2 - Cultivées sans produits animaux

3 - Ces lignées de cellules ont des mutations in vitro : dangereux de les utiliser cliniquement

3 - Les greffes combinant plusieurs sangs de cordon et utilisant du sang congelé sont possibles

4 - A ce jour aucun patient n'a jamais été traité avec des cellules embryonnaires

4 - 85 maladies traitables à ce jour :

. Maladies liées au système sanguin (leucémies)

. Maladies liées au système immunitaire (bébé bulle)

. Pathologies touchant la moelle osseuse, le système nerveux ou le métabolisme (comme le diabète juvénile)

5 - Nécessité d'avoir beaucoup d'embryons disponibles (d'où la volonté d'en fabriquer et de faire du clonage)

5 - 130 millions d'enfants naissent chaque année dans le monde : 130 millions de cordons disponibles

6 - L'embryon neurt, il est détruit

 6 - Aucun rique pour la mère ni l'enfant (le cordon est récupéré après la naissance)

consultez le site de la  http://www.fondationlejeune.org/

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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 08:53

    Harry Potter ensorcelle les sorties ciné

Par Amélie Bertrand  

 

 

http://www.europe1.fr/Cinema/Harry-Potter-ensorcelle-les-sorties-cine-316141/


      Un autre point de vue ...

 

HARRY POTTER ET L’ORDRE DES TÉNÈBRES, Dénonciation chrétienne d'un phénomène sans précédent, par Mme Mona MIKAËL
édition originale, qualité 3, 1 volume 20,5x28,5, 446 pages  :
 38 € 

lire un extrait : introduction et table des matières

Préface de M. Arnaud de Lassus

Sous le nom de Harry Potter est désignée une opération de grande envergure présentée comme un divertissement pour la jeunesse : six livres (et bientôt sept) édités depuis 1997 et mondialement diffusés, et cinq films. Sous couvert de fiction, il s’agit en fait d’initier les jeunes à l’occultisme et à cette forme particulière d’occultisme qu’est la magie.

          Depuis les années 1970, l’occultisme, autrefois réservé à de petits cercles d’initiés, a été répandu dans le grand public grâce au Nouvel âge pour les adultes et grâce au satanisme culturel (musique) pour les jeunes. Depuis 1997, l’opération Harry Potter (livres et films) apporte un puissant renfort pour ce même objectif : banaliser l’occultisme.

          Il était donc très important de bien montrer qu’Harry Potter n’est pas une nouvelle fable pour temps modernes, aussi innocente que les contes de Perrault, mais une action subversive qui mérite d’être étudiée à fond.

           Tel est le but que s’est proposé Mona Mikaële dans son livre « Harry Potter et l’Ordre des Ténèbres » et qu’elle a parfaitement atteint. Ce faisant, elle a mis en pratique la recommandation bien connue de Joseph Lémann :

             Pour bien juger en histoire, il faut tenir compte non seulement de la Providence, mais aussi de l’Enfer (…).  Qui ne tient pas compte, en histoire, non seulement de la Providence, mais de l’Enfer, n’aura jamais que des vues indécises et ne fournira que des explications incomplètes.

           Signalons deux mérites particuliers du livre :  

          - L’auteur utilise, sans en abuser, son érudition en langue anglaise comme en langue française. C’est ainsi qu’elle s’appuie sur les grands auteurs contre-révolutionnaires français (Mgr Delassus, Léon de Poncins, Jacques Ploncard d’Assac…) et sur les auteurs américains ayant bien analysé le Nouvel âge (Constance Cumbey, Randall N. Baer…).

           - L’auteur a le souci de relier l’affaire Harry Potter aux autres formes actuelles de subversion, qu’il s’agisse de subversion culturelle du même type (Dan Brown et son Da Vinci Code) ou de l’action plus générale du Nouvel âge et de la franc-maçonnerie.

           Ainsi, en analysant avec précision un aspect de la révolution culturelle qui touche directement nos enfants, le livre Harry Potter et l’Ordre des Ténèbres permet d’acquérir un meilleur sens de l’ennemi. Il devrait par là rendre un très grand service.

 Arnaud de Lassus

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3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 22:20

 

du 3 au 8 décembre à Bobigny

 

 

Bernanos : les “Écrits de combat” mis en scène pour la première fois


Le spectacle Compagnons inconnus... de Samir Siad et Valérie Aubert d'après les Écrits de combat de Georges Bernanos, est joué à la MC93 de Bobigny du 03 au 08 décembre prochain. Une mise en scène audacieuse qui mérite le détour et notre soutien.

Les textes mis en scène par la compagnie du Théâtre en partance, ont été rédigés pour la plupart après la Seconde Guerre mondiale (La Liberté pour quoi faire ?, La France contre les robots...). Bernanos y scrute avec une acuité et une actualité extraordinaires le monde de demain et s'interroge avec angoisse sur la place qui y sera laissée à l'homme libre. 

Samir Sead a été conquis par l’œuvre de vérité et de liberté d’un écrivain qui a toujours lutté contre toutes les formes de totalitarisme et d’aliénation de l’homme. Pour lui, Bernanos est avant tout un Français qui nourrissait pour son pays un amour absolu, dénué de tout esprit cocardier, et dont la parole vivante a quelque chose à dire au XXIe siècle. 

« Le monde moderne, disait Bernanos, regorge aujourd’hui d’hommes d’affaires et de policiers, mais il a bien besoin d’entendre quelques voix libératrices. Une voix libre, si morose qu’elle soit, est toujours libératrice. Les voix libératrices ne sont pas des voix apaisantes, des voix rassurantes. Elles ne se contentent pas de nous inviter à attendre l’avenir comme on attend le train. L’avenir est quelque chose qui se surmonte. On ne subit pas l’avenir, on le fait. »

Le spectacle de Samir Siad et Valérie Aubert pourra surprendre, mais il résonne comme un émerveillement, l'hommage du théâtre moderne à l'enracinement de la liberté dans la vérité, sans concession.

Tarif Liberté politique

Les lecteurs de Liberté politique peuvent bénéficier du tarif préférentiel (14 € au lieu de 26 €) en précisant comme contact : Pascal Reverte, 06 20 31 13 29. 

Compagnons inconnus…

D’après les Ecrits de combat de Georges Bernanos
Conception, adaptation, mise en scène et scénographie : Samir Siad et Valérie Aubert
Avec Cédric Altadill, Fabrice Hervé, Vincent Reverte, Samir Siad
Coproduction MC93 Bobigny, Le Théâtre En Partance

Du 03 au 08 décembre prochain à 20h30 et le dimanche à 15h30 
MC93 - Théâtre / Salle Christian-Bourgeois

1 Bd Lénine Bobigny (93)
Durée : 1h40

Renseignements
 : www.mc93.com

Le spectacle
Contact : site@mc93.com 

relevé ici ici

 

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3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 19:52

 

      le texte de Pierre-Olivier Arduin qui a fait surgir le débat en 2006…

«Il n’est plus possible de participer au Téléthon»

DANS QUELQUES SEMAINES se tiendra le fameux Téléthon sur lequel notre Commission souhaite apporter un éclairage éthique. S’il ne nous appartient pas de juger les Français dont l’élan annuel de générosité et de solidarité est bien souvent sincère, disons tout de suite qu’il ne semble plus possible aujourd’hui de participer au financement de ce grand show médiatique.

Le philosophe Jean-Claude Guillebaud avait dès 2003 tiré la leçon de nos ambiguïtés : «Avons-nous conscience de l’ambivalence de nos choix ? Nous affichons une compassion envers les personnes souffrant de handicaps, de maladies génétiques, et nous les soutenons, y compris matériellement, dans des manifestations médiatiques spectaculaires du type Téléthon, et simultanément nous demandons aux médecins de se dépenser sans compter pour essayer de dépister ces personnes avant leur naissance ; nous leur demandons en somme de nous aider à leur éviter de naître.»

Nous savons en effet que c’est l’AFM (Association française contre les myopathies), organisatrice du Téléthon, qui a obtenu par son militantisme la publication des décrets d’État concernant le diagnostic pré-implantatoire (DPI) dont l’objectif est de trier les embryons pour éliminer ceux qui sont malades. Le DPI est venu appuyer le diagnostic prénatal (DPN) dans une grande stratégie eugéniste mise en scène de manière triomphale : les “bébéthons” — qui sont sains parce que n’ayant jamais été malades — ne sont que les survivants d’avortements programmés in vitro ou in utero.

Déployant cette logique mortifère jusqu’au bout, les nouvelles orientations de la recherche biomédicale promue par les organisateurs consistent à développer les expérimentations sur les embryons humains tout en persévérant dans un lobbying auprès des responsables politiques pour que le clonage soit rapidement dépénalisé.
C’est en 2004 que s’opère ce nouveau tournant, puisque cette année-là, le Téléthon permet de financer le tout nouvel Institut de recherche dédié aux cellules souches embryonnaires, l’I-STEM. Ceci est doublement contestable.

D’abord, sur le plan de la pure vérité scientifique qui vient d’éclater à Rome lors du congrès tenu sur les cellules souches adultes, sous l’égide de l’Académie pontificale pour la Vie, associée à la Fondation Jérôme-Lejeune et à la Fédération internationale des médecins catholiques. Des scientifiques du monde entier réunis par l’Église ont pu faire part des progrès étonnants réalisés dans le domaine des cellules souches non embryonnaires, à tel point que ce colloque à été relayé par toute la presse française, sidérée de la désinformation qui régnait jusqu’alors. En Angleterre par exemple, pas une avancée ou le moindre début de résultat à se mettre sous la dent en quinze années d’autorisation de clonage dit thérapeutique et de recherche sur les cellules souches de l’embryon. Sans compter les observations d’instabilité de l’ADN et de prolifération tumorale anarchique décrites dans les expériences animales !

Pendant ce temps, les découvertes inattendues s’engrangent avec les cellules de la moelle osseuse, de cordon de bébé, de l’épithélium olfactif, même le dogme de l’absence de cellules souches au sein du cerveau adulte et de leurs populations neuronales vient de tomber. Mais le point essentiel est bien que le droit fondamental et primordial à la vie de l’enfant embryonnaire dès sa conception est intangible ainsi que l’a rappelé Benoît XVI aux congressistes.

Or, dans le cas d’un principe qui n’admet ni dérogation, ni exception, ni compromis, les chrétiens doivent comprendre qu’est en jeu l’essence de l’ordre moral de la société et que leur engagement n’en devient que plus évident. Ils ne peuvent coopérer au mal mais doivent précisément s’y opposer. Le Saint-Siège ne vient-il pas nous conforter en rompant totalement ses soutiens financiers à Amnesty International parce que le bureau de direction avait voté la promotion du droit à l’avortement dans le monde ?
N’avait-il pas fait de même dans les années 90 lorsque Jean-Paul II avait décidé de stopper toute aide matérielle à l’Unicef qui finançait des programmes de santé en faveur des « droits reproductifs » ?

Oui, «l’opposition est frontale et définitive à la recherche détruisant des embryons humains» selon l’expression forte de Mgr Sgreccia, président le l’Académie pontificale pour la Vie. Mais parce que les résultats scientifiques sont là comme pour conforter la cohérence éthique du magistère de l’Eglise – «la recherche sur les cellules souches somatiques mérite l’approbation et l’encouragement quand se conjuguent heureusement ensemble le savoir scientifique, la technologie la plus avancée et l’éthique qui postule le respect de l’être humain à chaque stade de son existence» a pu déclarer Benoît XVI — , l’appel est d’ores et déjà lancé pour un engagement et une collaboration «des forces économiques qui sont intéressées» pour le développement d’une médecine régénérative moderne et éthique.

Pierre-Olivier Arduin

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3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 19:47

 

Tel est-on…

Je n’ai jamais donné pour le téléthon et je ne suis pas prêt de donner. Suis-je un affreux méchant ? Un sans coeur qui ne voit pas la souffrance des malades et surtout celle de ces enfants qui savent que rien n’arrêtera la maladie en l’état des connaissances actuelles ? Peut-être suis-je simplement un catholique obscurantiste… C’est ça et aussi un peu le reste ! Fin de l’histoire…

Eh bien non… ce n’est pas ça ! D’abord, la grande cérémonie du téléthon est une forme de chantage émotionnel insupportable qui prétend imposer certaines orientations fondamentales à la recherche. Parmi elles, la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires. Cette voie est encore souvent présentée comme la seule envisageable alors qu’elle n’a rien donné depuis 20 ans à l’étranger et qu’il existe des alternatives éthiques à la recherche sur l’embryon (PO Arduin). Ne venez pas dire que c’est une nécessité en France pour rattraper notre retard sur l’Angleterre ou les Etats-Unis… Ces pays ont effectivement pris de l’avance en matière d’échec ! Quant à la recherche sur les cellules souches adultes et surtout sur le sang de cordon, qui donne déjà quelques résultats, elle reste minimisée pour des raisons obscures. La raison et l’humanité devraient inviter à promouvoir les recherches les plus prometteuses et qui ne présentent pas de difficultés éthiques. L’Eglise de ce point de vue est favorable à la recherche scientifique au service de l’homme et notamment des malades.

D’ailleurs, qui sait que des enfants que l’on prétend sauvés de la maladie ne sont en réalité que les rescapés d’un diagnostic pré implantatoire (DPI en termeeuphémisant) ? En réalité, ils n’ont jamais été malades. Les embryons malades n’ont pas été implantés et sont souvent utilisés pour la recherche. Le téléthon est la pompe (piège?) à dons qui finance transgression sur transgression.

Le minimum serait justement de permettre l’orientation des dons. Solution qui est refusée avec une constante fermeté par l’AFM. Sans doute, cela n’est-il pas facile mais il s’agit d’une exigence éthique minimum qui ne peut être écartée pour de simples raisons de coût ou d’organisation. En réalité, cette proposition minimale est refusée parce que la volonté de favoriser la recherche sur l’embryon est une donnée fondamentale de la politique de recherche de cette association. Les liens de l’AFM avec Marc Peschanski et son laboratoire I-Stem (spécialisés dans la recherche, illégales à mon sens, sur les cellules souches embryonnaires) sont notoires.

Face au téléthon, les Français et notamment les catholiques devraient davantage s’informer et peser en faveur d’une recherche éthique au service de l’homme et respectant l’humanité notamment dans son représentant le plus faible. En l’état, une seule solution… la manifestation, l’abstention : une forme d’objection de conscience qui peut prendre une forme positive comme, par exemple, un don à la Fondation Jérôme Lejeune.

Rappel  : le texte de Pierre-Olivier Arduin qui a fait surgir le débat en 2006…

« Il n’est plus possible de participer au Téléthon »


la suite dans l'article suivant ou ici ... http://thomasmore.wordpress.com/2010/12/03/tel-est-on/

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 19:14

 

Dieu étant décidément un humoriste, c’est par le truchement de la communauté musulmane installée en France qu’Il pose à nouveau à la fille aînée de son Eglise cette question que politiciens et idéologues de tous poils croyaient à jamais révolue : quelle place faites-vous à Dieu dans la société ? Façon à peine détournée de nous montrer que sans Lui nous ne pouvons rien faire. Manière insistante de rappeler aux chrétiens qu’ils doivent se mettre au travail !...

Extrait du Permanences n°413-414.

Depuis l’Incarnation, la royauté sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ est le travail et l’engagement de tout chrétien, qui y trouve de surcroît son bonheur. Mais chaque époque connaît une accentuation particulière de ce combat et, avec l’actuel débat sur la laïcité, nous sommes plongés au cœur de cette question qui revient en France non par le biais de l’Eglise catholique mais par le canal de l’islam. De ce fait, beaucoup d’interrogations se posent à nouveau : quelle est la place de Dieu dans la société ? Quels sont les principes qui façonnent cette société ? Où s’arrêtent les droits de chacun et comment vivre le fait religieux dans une société laïque ?

la suite

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 19:08

 

Que dire sur ce livre? sinon qu'il faut le lire.

Voici un témoignage de plus que, si on peut trouver des musulmans bienveillants et tolérants, par leur nature humaine, il n'en est pas de même de l'Islam qui est fondamentalement idéologique et sectaire, au sens où il ne permet pas à ses membres de l'abandonner.

Les éditions de l'Oeuvre ont dû être prises de court car, sorti le 18 mars, il est déjà épuisé. Mais d'autres tirages sont attendus.

Quant "au prix à payer" pour l'acquérir c'est dérisoire: 18€

Voici le résumé du livre qu'en donne l'éditeur:

Joseph FADELLE

Mohammed Moussaoui, jeune Irakien, fils aîné d’une grande famille chiite, se destine à la vie aisée d’un homme d’affaires. Sa voie est toute tracée. À 23 ans, il ne peut plus échapper au service militaire qu’impose à l’époque le régime de Saddam Hussein. Son voisin de chambrée, Massoud, est chrétien. Entre les deux jeunes gens se noue une amitié paradoxale, qui n’exclut pas le débat idéologique et religieux. Étonné par la foi douce et vivante de Massoud, Mohammed cherche à la soumettre à la critique. Mais Massoud est prudent, et c’est Mohammed qui va revenir transformé à la maison. Il désire devenir chrétien. Obligé de se cacher pour vivre sa foi, sa famille finit par découvrir son secret. Une fatwa est lancée contre lui. Emprisonné, battu, banni par les siens, Mohammed quitte l’Irak pour la Jordanie. Retrouvé à Amman par ses frères et son oncle, il échappe par miracle à la mort. Leurs balles, tirées à bout portant, le blessent mais ne le tuent pas.

En lisant l’histoire de Mohammed devenu Joseph au péril de sa vie, on ne peut s’empêcher de se souvenir de ce passage de l’Évangile de Luc : « Vous serez livrés même par vos parents, vos frères, votre famille et vos amis, et ils feront mettre à mort certains d’entre vous. Vous serez détestés de tous, à cause de mon Nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu. C’est par votre persévérance que vous obtiendrez la vie. »
=========================== du 5/06/2010 ===============

Cette vidéo sur KTO, émission d'une 1H30, qui concerne Joseph Fadelle à partir de la 52 ème minute, pour celles et ceux qui ne veulent pas tout écouter.

lu sur http://www.notredamedekabylie  

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 18:50

 

 

2010 après Jésus-Christ. Toute l'Europe se réforme. 

Toute ?
Non dans un petit village situé à l’ouest du continent, la France, une poignée de fonctionnaires et de privilégiés des régimes spéciaux résistent encore et toujours.
Pour les usagers qui vivent dans les camps de Réfurm, Référendum, Droidelum et Serviceminimum, la vie quotidienne est loin d'être facile.
Mais qui sont ces Gaulois qui résistent à toute réforme ?
Il y a :
· Cégétix, le syndiqué : petit gréviste malin, il a toujours une bonne idée pour échapper au travail et, à chaque fois, trouve un prétexte pour déclencher une grève générale.
· Il y a aussi Fonctionpublix : le meilleur ami de Cégétix, Fonctionpublix refuse d'admettre qu'il mange trop. Ce qui compte pour lui, c'est rigoler et échapper au boulot. · Il y a encore Bloclepayx, le druide : c'est lui qui prépare la potion de grève, la recette magique qui permet de résister encore et toujours aux réformes en prenant le reste du pays en otage.
. Sans oublier Démagogix, le Chef : l’époux de Poildanlamimine se fait réélire depuis plus de 30 ans en promettant tout et n'importe quoi à ses militants. Il n'a qu'une seule crainte : que du travail lui tombe sur la tête !
. Son meilleur copain s'appelle Taxonlesprofix.
· Il y a aussi d'autres personnages au village :
· Jaimepalaphysix : Il est au Lycée, et à la 1ère occasion, il fait la grève pour ne pas aller en cours
· Danielcohnbendix : lui, ce qu'il aimerait, c'est que tout redevienne comme en 68 avant JC. Il est aidé par ses copains du NPA, Facteurix et Anticapitalix.
· Niquelapolix : il n'a rien à voir la dedans, mais il adore foutre le bordel, casser les vitrines et brûler les voitures de ceux qui bossent, mais qui n’ont pas assez d’argent pour, comme ses parents, s’offrir un parking.
Ils sont soutenus par la chef de l'opposition du village, Martinaubrix, qui n'a pas d'idées mais qui dit que si ils votent pour elle comme chef du village à la place de l'ignoble Sarkozix, elle effacera tout !
Mais l'autre chef de l'opposition FMix, n’est pas de cet avis...
Pendant ce temps-là, il y en a un qui se marre, c'est Pompafrix, qui est propriétaire de toutes les stations essence du village ! Il a augmenté ses prix, et tout le monde vient chez lui en disant merci !

asterix village


 

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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 14:18

Lu sur France BTP...  et vu sur TF1 ce midi : ICI

Remise des prix mécénats populaire 2010

A l’occasion du Congrès des maires de France, à Paris, la Fondation du Patrimoine remettra à trois communes les Prix du Mécénat Populaire 2010. Ces prix récompensent les maîtres d’ouvrage publics qui sont parvenus à susciter une mobilisation exemplaire en faveur d’un projet de sauvegarde du patrimoine de proximité de leur commune. 

Le premier prix sera ainsi décerné à la commune de la Chaumette en Haute-Loire pour le projet de sauvegarde de la fontaine, tandis que le deuxième et le troisième seront remis, respectivement, à la commune de Zalana en Haute-Corse et à celle de Curemonte en Corrèze pour des projets concernant leur église.
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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 09:27

 

Qui sait d'où cela vient ?

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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 09:16

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vu du côté de Rocamadour... Mais où ?

 

Sainte Catherine d'Alexandrie

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 11:00

 

Pour qu'Il règne
Portrait de Jean Ousset

Nous sommes nombreux à répéter depuis que nous avons l’usage de la parole, dans la plus universelle des prières: que Votre Règne arrive, que Votre Volonté soit faite ... Et nous passons bien vite sur cette contradiction incroyable, folie même selon le monde, qu’il y a de demander l’avènement de Son Règne à celui qui répond superbement à Pilate: “Mon Royaume n’est pas de ce monde.” Celui qui se dit Roi de l’Univers, Principe et Fin de toute création.

Je dois personnellement à Jean Ousset de m’avoir conduit, dans les années soixante-dix, à l’idée que cette question explicitement posée par saint Thomas d’Aquin dans son Explication du Pater, cette question dont quinze ans de catéchisme dans les collèges religieux n’avaient pas suffi à me faire saisir la réelle importance, était et reste pourtant l’unique question. Je lui dois d’avoir été alors le premier – mais je n’oserais plus dire aujourd’hui le seul – à m’avoir permis d’entrevoir ce qu’embrasse dans sa plénitude notre croyance en la Royauté sociale du Christ, célébrée ce dimanche 21 novembre dans la liturgie: “Roi des rois, Roi des nations, Roi des peuples, Roi des institutions, Roi des sociétés, Roi de l’ordre politique comme de l’ordre privé”...
Ecouter ou lire les explications de Jean Ousset, le voir ainsi exposer en termes de combat ce que doit être en toutes circonstances notre action temporelle pour l’avènement de la Royauté sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ, ne laissait pas de m’ouvrir des perspectives immenses, et paradoxalement nouvelles pour moi... Au point qu’il me semble avoir mis alors un certain temps à comprendre comment les impératifs de ce combat n’étaient point ceux de quelque milice clandestine et puissante, mais bien le mot d’ordre et le plan de route de notre condition même de chrétiens – dont il nous livrait en trois mots le “projet d’entreprise”Pour qu’Il règne… Absolument!
© Hugues Kéraly/Sedcontra.fr / novembre 2010

Pour qu’Il règne
de Jean Ousset

Librairie CLC - 49, rue des Renaudes, 75017 Paris 
(tel 01 47 63 77 86)
(ou à rechercher patiemment d’occasion dans ses éditions d'origine sur un site dédié : 
Amazon.fr, chapitre.com, adebooks.fr ou PriceMinister.com)
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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 17:44

 

Agenda

« Les chrétiens et l’immigration : Chimères et réalités »

par Monseigneur Gérard DEFOIS, président de Justice et Paix Europe, archevêque émérite de Lille, docteur en théologie,

et Xavier LEMOINE, maire de Montfermeil (95), vice-président du Conseil National des Villes.

Les échanges seront animés par Louis Daufresne, Directeur de la rédaction de Radio Notre Dame.

Vendredi 26 novembre 2010 à 20h00 (Attention : pas de possibilité d’entrer dans la salle après 21h00). Salle Eymard - 23, avenue de Friedland - 75008 PARIS Participation aux frais : 5€. Renseignements : contact@iplh.fr  ou au 06 25 37 62 83.

Débat organisé par ICHTUS et l’Institut Politique Léon Harmel

vu ici : www.ichtus.fr

Qu'on se le dise !...

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 17:43

 

A la une

Mgr Aillet et la place des laïcs (cliquer pour voir la video)
Quelle est la place des laïcs dans la Nouvelle Evangélisation ? Pour répondre à cette question, Nicole Buron, rédactrice en chef de la revue Permanences, a rencontré Monseigneur Aillet, évêque de Bayonne.
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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 16:32
Van Eyck à Dürer
Brugge expo

Van Eyck à Dürer

Van Eyck à Dürer

Au 15e siècle, les Primitifs Flamands sont à l’origine d’une véritable révolution artistique en Europe centrale. Des peintres de talent comme Jan van Eyck, avec son génie pour le détail, révolutionnent la peinture avec leurs nouvelles techniques. Leur influence s’étend très rapidement et ils vont inspirer quantité de peintres, notamment Albrecht Dürer, peintre, dessinateur et graveur.

Van Eyck et Dürer sont des maîtres absolus de la période 1420-1530. Une exposition réunit pour la première fois leurs œuvres et celles de leurs contemporains. La peinture et d’autres disciplines artistiques témoignent de l’interaction entre Primitifs Flamands et artistes d’Europe centrale. L’exposition rassemble des pièces maîtresses provenant de grandes collections d’Europe et des Etats-Unis. Ce sera un des événements marquants de l’année 2010.

Avec des œuvres majeures de Jan Baegert, Dieric Bouts, Hans Burgkmair the Elder, Robert Campin, Gerard David, Albrecht Dürer, Jost Haller, Hans Holbein the Elder, Johan Koerbecke, Stephan Lochner, Quentin Massys, Conrat Meit, Hans Memling, Joachim Patinir, Hans Pleydenwurff, Tilmann Riemenschneider, Martin Schongauer, Veit Stoss, Hugo van der Goes, Rogier van der Weyden, Jan van Eyck, Israhel van Meckenem, Michael Wolgemut, ...

VSMBVKCBOZAR

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 09:09

 

Michèle Tribalat, prix des Impertinents 2010

Reçu ce jour :

T"Le Prix des Impertinents 2010 a été décerné, lundi 15 novembre, à Michèle Tribalat, pour son livre Les Yeux grands fermés, paru aux éditions Denoël. Consacré à «l’immigration en France», cet ouvrage, signé par une chercheuse authentique, se veut une «mise en garde contre le mépris des faits au nom de l’idéologie». Une prise de position courageuse, au moment où tout débat sur les phénomènes migratoires tombe sous la coupe de pétitions de principe. Remis au restaurant Montparnasse 1900, partenaire du prix, le Prix des Impertinents distingue un livre s’inscrivant à contre-courant de la pensée unique. Le jury, présidé par Jean Sévillia, réunit Christian Authier, Jean Clair, Louis Daufresne, Chantal Delsol, Bruno de Cessole, Paul-François Paoli, Rémi Soulié (secrétaire général du Prix), François Taillandier et Eric Zemmour."

Michel Janva  Lien permanent 

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 08:58

 

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Le tango, des polyphonies corses… y sont inscrits. C’est aujourd’hui au tour du “repas gastronomique à la française” de figurer au patrimoine immatériel de l’humanité.

Le 23 février 2008, à l’occasion de sa visite au Salon de l’agriculture, le président de la République, Nicolas Sarkozy, avait indiqué son souhait de voir la France déposer, auprès de l’Unesco, un dossier de candidature (août 2009) visant à l’inscription de la gastronomie française sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. “La cuisine, c’est de la culture”  était l’idée qui avait présidé à l’initiative de cette candidature, défendue par de nombreux chefs et gastronomes dès 2006. “Nous avons la meilleure gastronomie du monde ; enfin, de notre point de vue.” Point de vue exaucé, mardi 16 novembre, par un comité intergouvernemental de l’Unesco réuni à Nairobi. C’est la première fois qu’une gastronomie figure au patrimoine de l’humanité. Le Mexique a été le premier pays a proposer sa cuisine mais n’avait pas obtenu de reconnaissance.

Les experts de l’Unesco ont estimé que le repas gastronomique à la française, avec ses rituels et sa présentation, remplissait les conditions pour rejoindre la “liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité”. Un patrimoine qui répond à la définition suivante :“les processus acquis par les peuples ainsi que les savoirs, les compétences et la créativité dont ils sont les héritiers et qu’ils développent, les produits qu’ils créent et les ressources, espaces et autres dimensions du cadre social et naturel nécessaires à leur durabilité ; ces processus inspirent aux communautés vivantes un sentiment de continuité par rapport aux générations qui les ont précédées et revêtent une importance cruciale pour l’identité culturelle ainsi que la sauvegarde de la diversité culturelle et de la créativité de l’humanité”.

Dans un des attendus de sa décision, le comité note que la gastronomie française relève d’une “pratique sociale coutumière destinée à célébrer les moments les plus importants de la vie des individus et des groupes”. Repère identitaire, le repas à la française est séquencé – entrées, plats, fromages, desserts –, servi à table, avec une adéquation entre mets et vins d’une grande diversité et une présentation soignée. Au début du XXesiècle, un ambassadeur chinois avait coutume de dire que “la Chine et la France sont les deux plus grands pays du monde car ils ont inventé la politesse et la bonne cuisine”.

L’ambassadrice de France auprès de l’Unesco, Catherine Colonna, s’est félicitée de cette décision qui “contribue à la diversité culturelle”. La liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité a été instituée par une Convention signée en 2003, ratifiée à ce jour par 132 pays, et visant à protéger désormais les cultures et traditions populaires, au même titre que les sites et les monuments, qui ont fait l’objet d’une précédente convention en 1972. Cent soixante-dix-huit pratiques culturelles ou savoir faire traditionnels ont été à ce jour inscrits au patrimoine universel immatériel de l’humanité, avant la tenue cette semaine à Nairobi de la réunion annuelle du comité intergouvernemental chargé d’étudier les candidatures. Cinquante-et-un dossiers au total sont soumis à l’examen de ce comité.

En savoir plus :

Consulter le rapport parlementaire destiné à apporter un éclairage sur la candidature française et défendu par la sénatrice de Paris Catherine Dumas, intitulé ”Les arts culinaires : patrimoine culturel de la France” (juillet 2008).

Lire l’interview dans Le Monde du 12 mars 2008, de Jean-Robert Pitte, président de l’université Paris IV-Sorbonne et de la Mission française du patrimoine et des cultures alimentaires.

Vu  ICI

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 09:18

 

 

Monet est au Grand Palais, à Paris

Le site Internet de l’exposition 

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