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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 12:11

 

64 250 000 français n'ont pas manifesté selon l'Intérieur,
62 000 000 millions selon la CGT

Alors que les syndicats jugent la mobilisation équivalente à celle du 2 octobre, le ministère évoque "le plus haut niveau de non participation" depuis le début du mouvement.

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A Toulouse, la manifestation à réunit 130 000 personnes selon les syndicats et 24 000 selon la préfecture. (AFP)A Toulouse,  310 000 personnes sont restées chez elles selon les syndicats et 416 000 selon la préfecture. (APF)

Quelques 64.250.000 personnes n'ont pas manifesté samedi 16 octobre en France pour la défense des retraites, selon le ministère de l'Intérieur qui note "le plus bas niveau de participation" des cinq journées de mobilisation contre la réforme des retraites organisées depuis la rentrée. Le 2 octobre, l'autre journée de mobilisation organisée un samedi, l'Intérieur avait recensé 63.100.000 non manifestants. 

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Autre son de cloche du côté des syndicats : la CGT a estimé à "près de 61 millions" le nombre de non manifestants contre la réforme des retraites samedi, un nombre identique à celui du samedi 2 octobre. Un peu plus tôt dans l'après-midi, , le secrétaire général de Force ouvrière Jean-Claude Mailly avait déclaré devant la presse que l'absence aux manifestations serait "au moins du même niveau que ce qui est comparable, c'est-à-dire le 2 octobre". 

Selon un comptage définitif de la préfecture de police de Paris, quelque 63.950.000 personnes n'ont pas manifesté à Paris. La CGT évoque le chiffre de 63.690.000, comme le 2 octobre.  

 

Le VieilObs, 17/10/10

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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 11:22

 

La jeunesse secrète du jeune Staline 

Un livre reposant sur des archives inédites raconte jeunesse que Staline a tenté d'occulter. Pour tout dire, on le comprend ! 
Il est 10h30 précises, en ce mercredi 13 juin 1907, quand, sur la place centrale de Tiflis (actuelle Tbilissi), un important transport de fonds escorté d'une escouade de cosaques arrive devant la Banque d'Etat. Assis en terrasse d'un café, un homme laisse tomber son journal. C'est le signal. Aussitôt, une vingtaine de bandits attaquent le convoi, utilisant bombes, grenades, fusils et revolvers sans se soucier des passants. Le bilan est spectaculaire : une quarantaine de morts, plusieurs dizaines de blessés et un butin colossal. 
L'événement dépasse les frontières du Caucase et de la Russie. « Pluie de bombes », titre le quotidien anglais Daily Mirror ! Le Temps, à Paris, annonce : «Catastrophe ! » Le commanditaire de cette attaque est un certain Lénine, qui a besoin d'argent pour financer ses activités politiques clandestines. Le meilleur de ses hommes de main sur place, spécialiste des « expropriations révolutionnaires » - doux euphémisme pour « braquage à main armée » -, est un certain Sasso ou Koba, alias Joseph Djougachvili, plus connu, à partir de 1912, sous le nom de Staline. 
Dire qu'il aurait peut-être pu être grand poète ... 
Ce dernier, arrivé au pouvoir, a tout fait pour effacer les traces son passé. Mais certains de ses complices rédigèrent leurs mémoires avant l'ère du Petit Père des peuples. Et lorsque dans les années 1930, Staline demanda aux fonctionnaires soviétiques de rechercher les traces de son passé pour les détruire, il n'y eut pas beaucoup de fous pour prétendre avoir mis la main sur ces documents explosifs... Ils savaient ce qui leur en coûterait. C'est en partie grâce à ces dossiers jusqu'alors enfouis que l'historien anglais Simon Sebag Montefiore a pu réaliser Le Jeune Staline
Avant de prendre le pouvoir en octobre 1917 avec Lénine, Joseph Djougachvili fut un jeune homme de famille modeste. Sa jeunesse se déroule dans une Géorgie pittoresque, où le pouvoir tsariste n'arrive pas à imposer sa loi. 
Il vit une enfance chaotique, entre une mère qui l'adore, et un père jaloux de son épouse, qui finit par boire et vagabonder. Adolescent puis jeune adulte, sa vie «sentimentale» est intense. S'il abandonne régulièrement femmes et enfants, c'est que sa personne et la Révolution (qui, pour lui, forment un tout) sont plus importantes que n'importe quel attachement. 
Mais avant d'être un révolutionnaire, Staline est un excellent séminariste. Sa mère obtient qu'il fasse de bonnes études, d'abord à l'école paroissiale de sa ville de naissance, Gori, puis au séminaire de Titlis. Il multiplie les lectures et devient poète. Certaines de ses œuvres sont même publiées avec un beau succès. Il est également un remarquable chanteur, assidu à la prière et au chant religieux. Il a 17 ans quand, grand chambardement il se tourne vers les idées révolutionnaires. 
En août 1898, Staline adhère au parti marxiste russe et devient un révolutionnaire professionnel, obligé de trouver de l'argent. Ceci suppose une existence clandestine et le jeune Djougachvili change sans cesse de nom, de domicile et d'apparence physique. Il lui faut en permanence identifier et éliminer les traîtres ou supposés tels, dans le parti, dans les organisations alliées, dans les prisons et dans les camps. Le jeune homme est réputé capable d'identifier un traître au premier regard, puis de lui faire subir le sort qu'il «mérite». Mais les archives prouvent qu'il fit aussi tuer, dans les années 1900, plusieurs membres de sa bande parfaitement innocents, alors que les agents infiltrés de l'Okhrana, la police secrète tsariste, passèrent à travers les mailles de son filet ! Il pratique également l'assassinat de policiers, de militaires, d'informateurs de la police et de directeurs d'usine. 
Son protégé chassé du Guépéou pour ses méthodes violentes 
Si Staline se plaît aux débats d'idées et de tactique politique, il préfère la manipulation des hommes, et surtout l'organisation de grèves ou d'émeutes : plus il y a de morts, plus il exulte, car, grâce au cycle provocation-répression, il radicalise les camps en présence. Mais sa recherche du nerf de la guerre devient obsessionnelle, car il s'agit de financer ses activités et surtout celles de Lénine, auquel Koba fait parvenir les billets dans... des bouteilles de vin géorgien! Santé, camarade ! Les sommes nécessaires étant colossales, il organise aussi de retentissants braquages. Plus pacifiquement, du moins avec moins de violence, il pratique le racket à grande échelle. Son action à Batoumi, capitale mondiale du pétrole, est digne du Far West : il se fait embaucher par les Rothschild pour incendier leurs installations pétrolières! 
Autour de Sasso gravite une galerie de personnages hauts en couleurs ; d'abord ses hommes de main: une bande de « droits communs » dont un certain Kamo, son tueur patenté, capable d'infliger et de subir les pires sévices. Arrêté en 1908, Kamo, pour échapper à la peine capitale, simulera pendant quatre ans la folie avant de s'évader et de reprendre du service. Staline racontait que, pour si bien jouer la folie, il fallait, quelque part, être tout de même un peu atteint... Pendant la guerre civile, Kama exécutera un officier communiste prêt à se rendre à l'ennemi, puis lui arrachera le cœur qu'il brandira devant ses soldats. Il se fera chasser du Guépéou, l'ancêtre du KGB, pour ses méthodes un peu trop violentes... 
Staline utilise aussi beaucoup de belles jeunes femmes, comme couverture ou pour faire le coup de feu à l'occasion. Il se fait aider par des bourgeois et des aristocrates. Parmi eux, le prince géorgien Koki Dadiani, qui prête à Staline son passeport (et le communiste de se déguiser en prince ... ). D'ailleurs, le grand modèle du Staline d'avant 1917 est aussi un aristocrate : Lénine ! Staline et Lénine partagent la même passion de l'anéantissement de l'adversaire, ce que Lénine appelle « l'extermination sociale ». Les deux hommes se vouent une admiration réciproque. Celle que le futur Petit Père des peuples porte à Lénine est surtout intellectuelle : Staline, avant de le rencontrer, l'a lu et le surnomme « l'aigle des montagnes ». Quant à Lénine, qui a entendu parler des exploits de Sosso avant de le rencontrer, il est fasciné par les deux revolvers que celui-ci porte en permanence : il le qualifie de « merveilleux Géorgien ». Et quand on lui dénonce les violences de Staline, il répond : « C'est exactement l'homme dont j'ai besoin. » 
Petit Père des peuples et Darwin des sciences sociales 
Pour parvenir à ses fins, Staline est prêt à tout et d'abord à se donner une stature. Car il sait que la carrière d'un révolutionnaire est incomplète sans un passage par la case prison. Mais les colonies pénitentiaires du tsar, d'un point de vue technique, le déçoivent... Patientez, opposants, une fois au pouvoir, il réorganisera tout cela... Nombreuses sont les anecdotes qui montrent l'extraordinaire désorganisation du pouvoir tsariste, son incapacité à maintenir l'ordre et l'extrême faiblesse de la répression. Les exilés en Sibérie bénéficient d'allocations et logent chez l'habitant Ils fondent et dirigent des débits de boissons et ouvrent même des bureaux d'évasion, au nez et à la barbe des autorités ! 
Staline multipliera ces bureaux (huit au total) avec une telle aisance (plus de 18000 exilés sur 32000 s'échapperont de Sibérie entre 1906 et 1909) qu'il sera même accusé d'être un agent de la police politique. Mais Montefiore n'en a pas trouvé de preuve. Staline se fera même un serviteur zélé du garde censé le surveiller jour et nuit ! Au point que dans les années 1930, menacé par les purges, le «maton» écrira à son ancien «prisonnier» pour lui demander grâce... Et Staline lui accordera sa protection, au nom du passé commun. 
Reste un point obscur et essentiel dans ce portrait du jeune Staline, auquel le livre de Montefiore ne répond pas vraiment : comment et pourquoi un jeune et pieux séminariste devient-il un révolutionnaire usant de tous les moyens, surtout les plus violents, pour faire triompher ses idées ? L'auteur suggère l'importance de certaines lectures (Victor Hugo, Emile Zola, Ernest Renan ou encore le philosophe révolutionnaire Nicolaï Tchernychevski). Mais le livre décisif semble avoir été De l'origine des espèces de Charles Darwin. Un livre que Marx admirait tant qu'il demanda à son auteur une préface pour Le Capital, en prétendant être le Darwin des sciences sociales. 
On connaît la postérité tragique d'une lecture très hâtive de ce scientisme racial ou social. Foi dans une race (au nom de la nature) ou une classe (au nom de l'histoire) supérieure qui conduisent à l'extermination sociale ou raciale, et aux dizaines de millions de morts au XXe siècle. Selon Staline, « le prolétariat révolutionnaire seul est destiné par l'histoire à libérer l'humanité et à apporter au monde le bonheur ». Cela implique bien sûr une rupture très violente avec le christianisme, à laquelle Staline procédera manifestement sans états d'âme. On le verra même, converti à la nouvelle religion marxiste, inciter le fils d'un pope à briser une icône et à uriner dessus. 
A cette nuance près du défaut d'analyse, Le Jeune Staline est un ouvrage magistral pour qui veut comprendre la genèse d'un système idéologique criminel et la personnalité d'un de ses dirigeants les plus emblématiques. 
Dominique Gittome Le Choc du Mois décembre 2008
Le Jeune Staline, de Simon Sebag Montefiore, Calmann-Lévy.
 

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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 10:57

 

Pour sauver les retraites, accueillir la vie

La véritable manifestation de soutien au régime des retraites se déroulera samedi prochain à Paris, entre la Basilique Notre-Dame des Victoires et la Basilique du Sacré-Coeur :

"Les manifestations de rue se multiplient pour sauver le système français, moribond, de retraite par répartition. Or, la réalité, occultée par l’Etablissement politico-médiatique, est que ce sont les enfants d’aujourd’hui qui paieront les retraites de demain. Face à ce fait, arpenter le pavé parisien pour protester contre le report, sélectif, de l’âge légal de départ à la retraite est aussi utile qu’un cataplasme sur une jambe de bois. En revanche, demander au Ciel que cesse l’assassinat des enfants à naître est d’une urgente actualité spirituelle, politique et sociale. L’avortement est d’abord un crime contre Dieu –Créateur de toute chose–, il est ensuite, de manière évidente, un crime contre l’enfant conçu, il apparaît enfin, de plus en plus, comme un crime contre l’avenir de la nation. La seule manifestation utile, le 16 samedi octobre prochain pour la défense des retraites, est la Marche de prière pour la Vie organisée par Renaissance Catholique depuis la basilique de Notre-Dame des Victoires jusqu’à celle du Sacré-Cœur de Montmartre. Comme l’écrivait le cardinal Ricard, archevêque de Bordeaux, le 19 février 2010:

"Il faut donner leur juste place à ces marches pour la Vie. (…) Nos consciences ont besoin d’être réveillées. Je pense que les différentes marches pour la Vie ont cette fonction."

Cette Marche de prière publique et de réparation constituera pour tous une excellente préparation aux prières pour la Vie demandées par le pape Benoît XVI, à tous les évêques du monde entier, à l’occasion de l’ouverture de la nouvelle année liturgique le 27 novembre prochain. [...] Ouverte à tous ceux qui œuvrent pour le respect de la vie et de la dignité de la personne, elle est avant tout une marche de prière. Elle s’effectue à un rythme permettant aux enfants d’y participer (5 km). Un cierge et un livret avec prières et chants sont proposés sur place (participation souhaitée de 4 €). Assistance de l’Ordre de Malte tout au long de la marche.

Rendez-vous à 17 h 45 devant la basilique Notre-Dame-des-Victoires, place des Petits-Pères, Paris 2e (M° Bourse) pour la cérémonie de départ. La Marche se termine par un Salut du Saint-Sacrement célébré à 20 h au Sacré-Cœur de Montmartre (M° Anvers)."

Michel Janva 

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 10:33

      Par Nathalie Simon, 12/10

 Léocadia.
Une « pièce rose » de Jean Anouilh, pleine de charme et de poésie, portée par le dynamisme contagieux de Geneviève Casile.

Modeste modiste, la jolie Amanda (Noémie Elbaz, spontanée à souhait) débarque avec sa valise chez les « toqués ». Un étrange château dans lequel erre le prince Albert Troubiscoï (Davy Sardou, crédible), neveu de la duchesse d'Andinet-d'Andaine (Geneviève Casile, remarquable). Le jeune homme vit dans le souvenir de l'être aimé : une diva roumaine, Léocadia, morte lors d'un curieux accident de foulard. Sa tante a reconstitué à l'identique les lieux témoins des amours éphémères du couple. Elle recrute Amanda avec l'espoir de réveiller le « joli garçon qui dort derrière son chagrin ». Joliment mise en scène par Thierry Harcourt, cette « pièce rose » de Jean Anouilh fait vraiment voir la vie en rose. D'autant que les protagonistes entonnent à intervalles irréguliers Les Chemins de l'amour, chanson écrite par Jean Anouilh, dont la musique est composée par Francis Poulenc. En fée à talons, habillée d'un chemisier en satin gris et d'un pantalon rouge, Geneviève Casile est pour beaucoup dans la réussite de ce spectacle dépaysant. Son dynamisme et l'extravagance de son personnage entraînent ses partenaires dans un tourbillon d'un autre temps, magique et drôle. Pierre Dumas et Jean-François Guilliet, en maîtres d'hôtel - entre autres rôles -, apportent également une touche d'humour bienvenue. Voici un conte charmant et poétique, malgré certaines réserves : le démarrage de la pièce est trop lent et des baisses de régime ralentissent le rythme, peut-être en raison de la largeur du plateau.

Anouilh, biographié par lui-même

Né à Bordeaux en 1910, le dramaturge a pris soin de rédiger lui-même sa biographie dans une lettre adressée au metteur en scène et comédien Hubert Gignoux, en 1946. Extrait : « Après L'Hermine, j'ai décidé de ne vivre que du théâtre, et un peu de cinéma. C'était une folie que j'ai tout de même bien fait de décider. » Il classa ses pièces en diverses catégories : « roses » (Léocadia), « noires » (Médée), « brillantes » (La Répétition), « costumées » aussi.

LéocadiaThéâtre 14, 20, avenue Marc-Sangnier (XIVe) Tél. : 01 45 45 49 77. Horaires : mar., ven., sam. à 20 h 30, mer. et jeu. à 19 heures, sam. à 16 heures. Places : de 11 à 23 €. Durée : 1 h 50 jusqu'au 30 octobre.

 

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 09:12

 

P"La visite du Pape en Grande-Bretagne a relancé la question du rôle des catholiques en politique. Des journaux comme La Croix ont même écrit : «assurément, ce voyage est politique». [...] le chef de l’Eglise a tenu à rappeler aux nombreux catholiques britanniques venus l’écouter, et à travers eux à tous les catholiques, le rôle qu’ils ont à tenir dans la société. Une piqure de rappel qui en chatouille désagréablement plus d’un en France. La séparation de l’Eglise et de l’Etat y a été proclamée, c’est bien pour confiner la religion à un espace strictement privé !

Est-ce voler la part de César que de vouloir que les catholiques participent à la vie politique ? Non et Benoît XVI a affirmé que «La tradition catholique soutient que les normes objectives qui dirigent une action droite sont accessibles à la raison, même sans le contenu de la Révélation, a-t-il expliqué.» Si, certes, ce n’est pas aux prélats de diriger un pays, appuyer le gouvernement sur des principes solides et objectifs ne peut qu’aider les dirigeants à donner des lois plus justes. Comme l’a fait remarquer le Pape, la religion «n’est pas un problème que les législateurs doivent résoudre, mais elle est une contribution vitale au dialogue national». Oui, les catholiques ont un rôle à jouer en politique, n’en déplaise à certains !"

Michel Janva | Lien permanent 

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 20:00


 

 

spectacle "Le mystère des Saints Innocents", mis en scène et avec Jean-Luc Solal,

jusqu'au 21 novembre  au Bouffon-Théâtre, 26-28 rue de Meaux, 75019 Paris

 

 http://www.bouffontheatre.com

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 10:52

 

... à la radio : à 21h30 sur Radio Courtoisie

sur les ondes ou sur Internet

Lecture de "La dernière lettre" 

remarquable monologue vu à Levallois Perret par Petrus Angel.

par Ophélie Humbertclaude, comédienne, violoncelliste, compositeur

 

 

http://www.ophelieh.fr

 

 

http://www.ladernierelettre.fr 

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 07:17

 

 

Témoignage sur la liberté et l'amour

par Dominique Morin.Dominique Morin

"Comment croire à l'amour et à la vie dans le monde actuel et face à l'épreuve ?"

> Conférence le mardi 12 octobre 2010 à 20h30 en l'église Saint Honoré d'Eylau, 66 bis avenue Raymond Poincaré dans le XVIème arrondissement de Paris (stations Victor Hugo sur la ligne 2, Boissière sur la ligne 6, Trocadéro sur les lignes 6 et 9).

Thibaud sur e-deo

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 07:16

 

Hélène Périvier, économiste, coresponsable du Programme de recherche et d'enseignement des savoirs sur le genre à Sciences Po Paris, a répondu aux questions des internautes du Monde :

Pourquoi Sciences Po a décidé de rendre obligatoire un cours consacré aux différences sexuelles ?

D'abord, il faut préciser que le terme "obligatoire" n'a pas vraiment de sens au collège universitaire à Sciences Po Paris. Ce qui va être proposé à la rentrée 2011, pour les étudiants de deuxième année, c'est une offre pédagogique large sur les questions liées au genre et aux inégalités entre les sexes, dans l'ensemble des grandes disciplines majeures de Sciences Po. C'est-à-dire histoire, droit, économie, sciences politiques et sociologie.

Dans l'ensemble de ces majeures sera proposé aux étudiants un grand cours sur ces questions. D'une certaine façon, il sera donc difficile aux étudiants sortant du collège universitaire de Sciences Po de ne pas avoir eu un enseignement sur ces questions, quelle que soit l'approche disciplinaire.

(...) ce thème (...) devient désormais l'un des thèmes structurants de l'enseignement à Sciences Po.

Pour mieux combattre la théorie du genreil faut la connaître.

Thibaud sur http://e-deo.typepad.fr/

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 06:35

 

Une série d'articles de la revue LE CEP

http://le-cep.org/archive_economie.html

 

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 22:24

 

Maurice Allais

Hommage à Maurice Allais

Maurice Allais, notre seul Prix Nobel de l’Economie, reste aussi le seul économistes français à s’être interrogé sur les causes profondes d’une crise économique et financière mondiale dont il avait prédit l’ampleur avec vingt ans d’avance dans les colonnes du Figaro. Ses deux derniers ouvrages (Nouveaux combats pour l’Europe) n’étant plus réédités, le site des “chercheurs de sens” ne voit pas de plus bel hommage à lui rendre que d’inviter ses lecteurs à lire ou relire aujourd’hui quelques-unes des pages les plus pédagogiques et les plus fortes qu’il avait consacrées au sujet.

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8 octobre 2010 5 08 /10 /octobre /2010 12:32

 

Google nous le signale en page d'accueil de son moteur de recherche.

L'occasion de quelques "rappels" vus sur Wikipedia.

Croyances et spiritualité [modifier]
Lennon a un temps suivi les enseignements de Maharishi Mahesh Yogi.

John Lennon connaît une période où il s’oppose au christianisme, en réaction à son éducation chrétienne. Dans la chanson Girl, il glisse des allusions à cette religion, sur la souffrance nécessaire pour atteindre le paradis21. Il remet aussi en cause cette notion dans les deux livres qu’il écrit, où il s’en prend entre autres à l’Église : « J’y suis allé fort contre l’Église mais, bien que ça ait été criant, ça n’a jamais été relevé »c 9. Lennon s’ouvre à d’autres spiritualités dès le milieu des années 1960, lorsqu’il lit l’ouvrage The Psychedelic Experience de Timothy Leary,Richard Alpert et Ralph Metzner, inspiré du Livre des morts issu du bouddhisme tibétains 29,s 30. Cet ouvrage, profondément lié à l’usage deLSD, inspire à Lennon l’une de ses premières chansons aux tonalités psychédéliques, Tomorrow Never Knows, qui clôt l’album Revolveren 1966. Cependant, Lennon déclare en 1972 qu’il n’a jamais lu le Livre des morts tibétain, et s’est contenté de cette adaptationc 13.

Comme les trois autres membres du groupe, John Lennon a également rencontré Maharishi Mahesh Yogi en août 1967 et a participé à un week-end de formation personnelle à la Méditation transcendantales 31. En 1968, le groupe se retire en Inde dans l’âshram du Maharishi ; ils y méditent et composent une grande partie des chansons de l’« album blanc »g 12. Cependant, Lennon s’est finalement fâché avec le maître spirituel, dont il pensait avoir percé les faiblesses ; il l’exprime dans sa chanson Sexy Sadie, parue sur cet albumh 7. Cette dispute n’a cependant pas empêché Lennon de continuer à pratiquer la méditations 32. Dans le même esprit, il s’intéresse aussi aux mantras et au yogai 23.

John Lennon se passionne pour certains domaines d’inspiration mystique ou occulte, tels les tarots ou la numérologie. Il attribue en particulier une valeur importante au chiffre 9, qu’il considère comme étant intimement lié à sa vie. Né un 9 octobre tout comme son fils, et ayant vécu au numéro 9 de Newcastle Road à Liverpool, il l’utilise dans plusieurs titres de ses chansons : One After 909Revolution 9 (sur lequel il assène en boucle « number nine, number nine... »), ou encore #9 Dream en solo. Après sa mort, les aficionados de la numérologie trouvent encore d’autres signes : il a été assassiné sur la 72e avenue (7+2) et, s’il est mort un 8 décembre à New York, le décalage horaire impliquait que c’était déjà le 9 à Liverpooli 24. Hasard ou non, Apple a choisi la date du 9 septembre 2009 (09/09/09) pour publier les versions remastérisées de tous les albums des Beatless 33.

En 1970, pour se débarrasser du poids de la mort de sa mère et de ses problèmes d’héroïne, Lennon entame une thérapie primale avec le docteur Arthur Janov, après avoir lu un de ses livrese 13. En mal de publicité, Janov envoyait en effet son ouvrage aux célébrités du moment, comme Peter Fonda ou les Rolling Stonese 14. Surtout attiré par la perspective de ce « cri libérateur », John, accompagné de Yoko, suit un traitement de choc, où il doit replonger dans son enfance et recevoir des massages vigoureux, pour faire cesser ses « halètements névrotiques ». Après trois semaines, le docteur Janov lui offre la perspective d’une entrée aux États-Unis pour raisons médicales, ce qui enchante le musiciene 15. Le couple se rend ainsi en Californie et le traitement suit son cours qui, d’après Lennon, renforce ses liens affectifs avec Yoko. Cela dure jusqu’à une dispute entre Lennon et Janov, qui voulait le filmer pendant une séance collective de cris. L’accusant de chercher le scoop, Lennon entre progressivement en froid avec lui et les critiques de Ono, de plus en plus régulières, le convainquent de mettre un terme à la thérapie. Il quitte ainsi Janov au moment où son visa américain expire ; incomplète, la thérapie aura duré quelques mois seulement. Les vestiges en sont pourtant audibles sur son premier album, paru fin 1970, John Lennon/Plastic Ono Bande 16 : par exemple, sur la chanson Mother, il se lamente à propos de ses parents et martèle, en hurlant à la fin du morceau : « Mama, don’t go, Daddy, come home! » (« Maman, ne t’en vas pas, papa, reviens à la maison ! »). De ce traitement exigeant, Lennon sort dans un plus mauvais état qu’à son arrivéef 32.

Lennon et Ono sont également à l’origine du concept de bagism. Leur idée est de critiquer les préjugés fondés sur les apparences, et de ne considérer que le message de l’interlocuteur, en lui parlant comme s’il était dans un sacs 34. Lennon définit le bagism comme une « forme de communication totale »s 35. Il mentionne par ailleurs cette pratique dans plusieurs chansons, notamment Give Peace a Chance et The Ballad of John and Yoko.

source  http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Lennon

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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 18:20

 

CE SOIR A 20h40 sur ARTE

Rediffusion lundi à 14h45


 

Sophie Scholl - Les derniers jours.  Un film de Marc Rothemund

Le portrait bouleversant d'une jeune résistante allemande face à la machine totalitaire nazie. Une oeuvre inscrite dans la mouvance du nouveau cinéma allemand et de son approche dépoussiérée de l'histoire.


Au début de l'année 1943, un groupe d'étudiants d'obédience pacifiste fonde à Munich un mouvement de résistance appelé La Rose Blanche. Alors que les combats s'enlisent sur le front Est, Sophie Scholl, son frère Hans et leurs compagnons couvrent la ville de slogans dénonçant la folie meurtrière d'Hitler. Sophie et Hans, à peine âgés d'une vingtaine d'années, sont arrêtés alors qu'ils jettent des paquets de tracts à l'université. Interrogée pendant plusieurs jours par Robert Mohr, un agent de la Gestapo, Sophie Scholl fait preuve d'un courage inaltérable, refusant de livrer ses compagnons ou de renier ses idéaux. Elle est exécutée, ainsi que son frère et leur ami Christoph Probst, au terme d'un procès expéditif et caricatural.

un extrait et la suite ICI
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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 11:01

 

Un Nobel qui pose question

mercredi 6 octobre 2010

En attribuant le Prix Nobel de Médecine au professeur Edwards, c’est la technique de la fécondation in vitro, dont il est le pionnier, qu’on présente comme un progrès pour l’Humanité. Or, si la FIV est indéniablement une prouesse technique, l’Alliance pour les Droits de la Vie tient à en souligner les enjeux éthiques qui demeurent entiers : on présente comme une victoire de la vie les 4 millions d’enfants qui ont pu voir le jour grâce au rapprochement des gamètes en laboratoire. Mais, pour cela, il a fallu concevoir artificiellement plus de 80 millions d’embryons (278 000 annuellement en France, pour que naissent 14 500 enfants). Cette surproduction embryonnaire impliquant la destruction d’une vingtaine d’entre eux pour chaque naissance a fait entrer les pays développés dans le déni de l’humanité des embryons.

Pour l’Alliance pour les Droits de la Vie, la fécondation in vitro demeure donc une transgression éthique d’une particulière gravité. Aucun scientifique n’a pu démontrer que les embryons humains conçus en laboratoire étaient dépourvus de dignité humaine. Par ailleurs, la fécondation in vitro a ouvert un cycle de nouvelle dérive : congélation des embryons, exploitation par la recherche, tri des embryons à caractère eugénique. On commence à en mesurer les lourdes conséquences.

L’Alliance pour les Droits de la Vie, engagée dans l’écoute des couples vivant l’épreuve de l’infertilité, demande une autre politique de santé publique, qui puisse concilier le respect de la vie déjà conçue avec la lutte contre la stérilité, notamment par :

- une meilleure connaissance des causes de l’infertilité ;

- une recherche visant à la soigner véritablement.


L’attribution du prix Nobel de médecine à l’inventeur de la fécondation in vitro, Robert Edwards, a été très sévèrement critiquée par le Vatican. Selon le président de l’Académie pontificale pour la vie, monseigneur Carrasco de Paula, Robert Edwards est responsable de l’existence de millions d’embryons qui risquent pour la plupart d’être abandonnés ou détruits. L’évêque espagnol a également dénoncé, lundi, "le commerce d’ovocytes".

http://www.lepoint.fr/monde/

http://www.la-croix.com/afp.static/pages/101004171131.o0bftsy8.htm

Nobel de médecine : Réactions de Mgr Carrasco de Paula

http://www.zenit.org/article-25609 ?l=french

La revue de presse de la fondation Lejeune

http://www.genethique.org/revues/revues/2010/octobre/20101005.2.as

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 09:22

 

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5 octobre 2010 2 05 /10 /octobre /2010 21:41

 

Vos commentaires intéressent Petrus Angel 

et peuvent intéresser les lecteurs

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4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 12:45
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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 14:24

 

"Ce qui frappe le plus dans l’art contemporain, c’est ce décalage permanent entre la pauvreté du geste et la suffisance du discours"

Laurent Dandrieu, dans le dernier numéro de Valeurs Actuelles, revient sur l'exposition polémique de Murakami à Versailles. Son articleLe triomphe du canul'art, vaut le détour ! 


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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 07:50

 

le NOUVEAU PIPOTRON ECCLESIASTIQUE !

A chaque fois que vous rechargez cette page, un nouveau texte sera créé!
Des milliards de phrases peuvent être ainsi composées automatiquement.
Toute ressemblance avec des propos réels serait bien évidemment

fortuite et involontaire...

 

c'est  Le piprotron ecclésiastique !

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 20:14

 

une belle émission, demain à  14:00 Sur les traces de Tintin


Tintin décide de partir à la recherche de son ami Tchang, disparu dans le crash d’un avion au Népal. Avec Haddock et Milou, ils se lancent à l’assaut des montagnes himalayennes ! 

C’est un album particulièrement intéressant dans la carrière d’Hergé car 25 ans après sa rencontre avec Tchang Tchong Jen, Hergé a perdu la trace de son ami disparu dans les tourments de la guerre. Hergé transpose son espoir de le retrouver dans «Tintin au Tibet ». C’est ainsi que Tintin part chercher Tchang sur les confins de l’Himalaya.
Dans cet album, il n’y a pas de méchant, pas de course poursuite, ni de folle péripétie. Tout est ramené à l’essentiel. 
C’est l’album préféré d’Hergé, probablement le plus personnel.




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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 20:11

 

Retour sur un article de 2007

Dans un discours aux participants au congrès promu par le Parti populaire européen tenu le 30 mars 2006, Benoît XVI a évoqué trois points non négociables par l'Église et les catholiques dans leurs rapports avec les responsables politiques :

Bxvi1"En ce qui concerne l'Église catholique, l'objet principal de ses interventions dans le débat public porte sur la protection et la promotion de la dignité de la personne et elle accorde donc volontairement une attention particulière à certains principes qui ne sont pas négociables. Parmi ceux-ci, les principes suivants apparaissent aujourd'hui de manière claire: 
la protection de la vie à toutes ses étapes, du premier moment de sa conception jusqu'à sa mort naturelle;
la reconnaissance et la promotion de la structure naturelle de la famille - comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage - et sa défense contre des tentatives de la rendre juridiquement équivalente à des formes d'union radicalement différentes qui, en réalité, lui portent préjudice et contribuent  à  sa déstabilisation, en obscurcissant son caractère spécifique et son rôle social irremplaçable;
la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants.
Ces principes ne sont pas des vérités de foi, même si ils reçoivent un éclairage et une confirmation supplémentaire de la foi; ils sont inscrits dans la nature humaine elle-même et ils sont donc communs à toute l'humanité".

Le Pape les rappelle dans son exhortation apostolique, Sacramentum Caritatis. Ces principes sont ceux qui fondent la vie sociale :

« La vie démocratique a besoin de fondements vrais et solides,c’est-à-dire de principes éthiques que leur nature et leur rôle de fondement de la vie sociale rendent "non négociables" » (Cardinal Ratzinger in note doctrinale sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique).

Dans cette même note, le cardinal Ratzinger a écrit :

"Parce que la foi est constituée comme une unité infrangible, il n'est pas logique d'isoler un de ses éléments au détriment de la totalité de la doctrine catholique. L'engagement politique en faveur d'un aspect isolé de la doctrine sociale de l'Église ne suffit pas à épuiser la responsabilité pour le bien commun".

lu sur lesalonbeige

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 18:32

Chefs-d'œuvre de la galerie Tretiakov

jusqu'au 16 janvier 2011

au Musée de la Vie romantique à Paris 

Anton I. Ivanov, La Traversée du Dniepr par Nikolaï Gogol

Anton I. Ivanov, La Traversée du Dniepr par Nikolaï Gogol, 1845 

 

ici

 

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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 22:29

SAINTS ARCHANGES

MICHEL, GABRIEL, RAPHAËL

PAR DEFENDENTE GÉNOLINI

Ils n’ont évidemment ni date de naissance, ni date de mort ! Ce ne sont pas des hommes, mais des anges. Attestés par tant de textes bibliques, l’existence et le rôle particulier des archanges font partie de la vie profonde des croyants. Michel est le «grand prince» protecteur d’Israël. Le livre de Daniel, comme celui de l’Apocalypse, nous donnent le sens de sa mission sur cette terre et dans les cieux, en particulier son éternel combat contre Satan. Dans la tradition religieuse, il apparaît comme le chef des anges, celui qui protège l’homme des démons. Nombreuses sont ses apparitions au cours des siècles. Celle du 8 mai 495 sur le mont Gargano marquera l’antiquité chrétienne. Il est, en outre, « psychopompe » : il conduit les morts et pèse les âmes au jour du jugement. Il est le patron des banquiers, des radiologues, de ceux qui utilisent la chaleur du four – pâtissiers et gaufriers – et des parachutistes ! Gabriel est l’archange dont parlent aussi Le livre de Daniel et l’Evangile puisque c’est lui qui apparaît à Zacharie et à la Vierge Marie et leur délivre des messages divins. Il est le patron des télécommunications et des ambassadeurs.

Le livre de Tobie, quant à lui, nous décrit l’assistance extraordinaire de Raphaël, qui en fait le saint patron des routiers, des guérisseurs, et des mutilés de guerre ! 

Pensée spirituelle à propos des archanges :

« Leur intuition est si prompte, si vive, si profonde, qu’il leur est impossible d’être, comme nous, surpris par l’erreur. » (Dom Guéranger) 

Courte prière à saint Michel : « Saint Michel Archange, que votre protection me défende

contre tous mes ennemis visibles et invisibles. »

                                                         Lu dans le gratuit Direct Soir  

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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 08:44

 

Théâtre. "Vieillir ne manque pas de charme, l'ennui c'est que ça manque d'avenir". 

La thérapie de Jean Piat
dans 

Jean Piat dasn "Vous avez quel âge?"Ne lui dites pas qu’il ne fait pas son âge, cela voudrait dire que vous connaissez sa date de naissance et que vous savez qu’il est entré au Français en 1947. Ne lui dites pas : “Vous êtes formidable, vous ne changez pas”, même si c’est vrai, il soupçonnera un petit mensonge sous le fard de l’amitié. Ne lui demandez pas non plus si “vieillir, ça lui fait peur”, ce serait désobligeant – ni encore moins “et vous jouez toujours ?”, ce serait l’aveu que vous n’êtes pas allé le voir au théâtre.

Non seulement Jean Piat est toujours sur scène, mais il joue depuis deux mois à guichet fermé à la Comédie des Champs-Élysées et pose, seul, la question “Vous avez quel âge ?”, question à la mode s’il en est, à un public conquis d’avance parce qu’il sait qu’il quittera la salle avec plus de confiance,de sérénité et de bonheur de vieillir qu’il n’en avait en entrant.
Sa thérapie, celle de Françoise Dorin dont il dit le texte, c’est l’humour et le rire mais aussi la poésie.

Quand Guitry disait : « D’ailleurs, il faut paraître son âge, c’est de la franchise », et Gabin : « Passé un certain âge, pour avoir l’air frais, il faut venir du dehors », Dorin suggère de se répéter la formule suivante : « Vieillir, ça ne manque pas de charme, même si une maudite voix murmure : l’ennui c’est que ça manque d’avenir… » De la même manière, Jean Piat glisse ce mot : « Quand on a brûlé la chandelle par les deux bouts, ce n’est pas très réjouissant de la mettre en veilleuse… »

la suite


Vous avez quel âge ?, de Françoise Dorin, Comédie des Champs-Élysées, Paris VIIIe. Rens. : 01.53.23.99.19 ou  www.comediedeschampselysees.com

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 08:07

 

PAlors que le gouvernement philippin financera la contraception des couples les plus pauvres qui la réclameront, en dépit de la forte oppposition de l'Eglise catholique, Jeanne Smits pose la question, au lendemain de la journée mondiale de la contraception :

"Mais qu'attendent les écolos pour protester contre cette débauche d'hormones relâchés dans la nature après être passés (avec quels effets secondaires) dans les corps des femmes ?"

Nous l'avons souvent écrit ici : la pilule contraceptive a depuis des années des effets dévastateurs sur l'environnement en relâchant des tonnes d'hormones dans la nature à travers les urines des femmes qui la prennent. Les écologistes convaincus ne mangeraient pour rien au monde des chips contenant la moindre trace de pesticide. Mais c’est pour eux un droit sacré de consommer des produits synthétiques qui modifient les fonctions biologiques naturelles de la femme. Même si cette pratique menace la vie aquatique innocente dans le ruisseau voisin.

C'est bien joli de se scandaliser de la pollution pétrolière outre-atlantique, mais si on ne balaie pas devant sa porte, c'est tout à fait hypocrite.

 lu sur le salon beige
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