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Pèlerinage du Rosaire 2009
Bernadette
Son visage rayonne de paix
http://www.lejourduseigneur.com/index.php/jds/Emissions/Reliques-des-saints-presence-de-Dieu
" Il n'existe aucun fondement théorique pour croire que les lignées évolutives deviennent plus complexes avec le temps, ni aucune donnée empirique pour établir que cela se produit."
E. Szathmary et J.Maynard Smith, The Major Evolutionary Transitions,
Nature, 374 / 227-32
" Les gisements fossiles connus ne fournissent pas un seul exemple témoignant de l'évolution phylétique en train d'accomplir une transition morphologique majeure, et n'offrent donc aucune preuve de la validité du modèle gradualiste."
Steven Stanley, Macroevolution, 1979, p.39
D'autres paroles d'évolutionnistes ... Darwin , Darwin (2) Darwin (3)
La préhistoire est un point faible de la science, on ne le dit pas assez. La science dont les progrès récents nous émerveillent procède par acquis successifs; tous les progrès techniques et la plupart des découvertes fondamentales sont dus à la méthode expérimentale où l’observation et l’expérience se complètent. Mais on ne peut pas fabriquer des bébés en éprouvettes; ni observer le comportement de nos ancêtres primitifs en laboratoire. Un inventeur, dans son arrière-cour, peut construire petit à petit l’avion qu’il bricole avec des boîtes de conserve et du fil de fer. Mais dans son arrière-cour aucun préhistorien ne pourra jamais surveiller le développement du chaînon manquant. Le prototype d’avion corrigera les erreurs de conception de son inventeur en s’écrasant au sol; mais aucun primitif arboricole ne se laissera choir du haut de son arbre pour prouver à un préhistorien qu’il n’est pas son ancêtre. On peut enfermer son chat au grenier; on ne peut y enfermer l’homme-des- cavernes pour trancher la question de savoir s’il est amateur de chair humaine ou s’il pratique le rapt nuptial. On ne peut pas garder en chenil une meute d’hommes préhistoriques pour mesurer l’influence de l’instinct grégaire sur son comportement. Si tel oiseau présente des troubles du comportement, on peut se procurer d’autres oiseaux de son espèce et voir s’ils présentent les mêmes; mais armé d’un squelette ou d’une mandibule conservés dans une grotte on ne peut pas reconstituer une vallée de Josaphat. On peut examiner les restes d’un passé presque aboli; mais pas reconstruire ce dont il ne reste rien, C’est ainsi que le développement des autres sciences suit une trajectoire sans cesse corrigée par les apports nouveaux, au lieu que la préhistoire prend la tangente. Les fructueuses applications de l’esprit scientifique sont si nombreuses que l’habitude de conclure est devenue une seconde nature. On met sur le même plan le tout petit morceau d’os et l’immense tas de ferraille qu’est l’avion construit à coups de vieux débris. Le malheur du préhistorien vient de ce qu’il n’a que son os à ronger.
L’avion prodigieux qui vole enfin, n’a pas volé du premier coup. Mais c’est d’un seul coup que le préhistorien doit construire sa théorie.
On associe, et c’est justice, science et patience; mais en l’occurrence il faudrait parler de l’impatience de la science. Car, malgré les difficultés évoquées plus haut, les théoriciens échafaudent précipitamment des hypothèses si fragiles et incontrôlables qu’elles relèvent plutôt du conte de fées. L’anthropologue le plus empirique ne peut rien faire de plus que l’archéologue. Il peut se cramponner à sa découverte; il peut s’y agripper comme le primitif à son silex taillé; mais il ne la verra jamais croître et embellir. C’est d’ailleurs pourquoi il y tient tellement. En même temps que son seul outil, c’est sa seule arme. Aussi le fanatisme de la découverte est-il chez les préhistoriens, sans commune mesure avec celui des chercheurs qui peuvent reprendre leurs expériences pour les enrichir. Il peut arriver qu’un préhistorien défendant son os devienne aussi mauvais qu’un chien qui ronge le sien; mais le chien, au moins, ne montrera pas les dents pour défendre sa conception de la façon dont l’esprit vint aux chiens — ou dont il est venu d’eux.
J’ai noté qu’il était bien difficile aux préhistoriens d’attendre que le singe mis en observation se transforme en homme. Une telle expérience étant impossible, on pourrait concevoir, nous l’admettrions presque tous, que le préhistorien affirmé qu’une telle évolution est imaginable. Mais il tient à extraire toute la moelle de son os; et Dieu sait ce qu’il tire d’une collection d’os. On a trouvé à Java une calotte crânienne qui paraît plus petite que celle d’un homme; une autre fouille a fait découvrir un fémur et non loin, dispersées, quelques dents non humaines. Il n’est pas très sûr que cela forme un individu; il l’est encore moins que nous puissions dire qui il est. Et pourtant il a pris forme tout de suite. Nous savons comment il s’habillait et les cheveux de sa tête sont comptés. Son nom est aussi répandu que celui de n’importe quel grand personnage. On parle de Pithécanthrope comme de Napoléon ou de la reine Victoria. On a tiré de lui un portrait saisissant de réalisme (…)
G.K Chesterton, L’homme éternel
En quittant Castel Gondolfo, le Saint Père a évoqué Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face. Docteur de l'Eglise, Patronne des missions et Patronne secondaire de la France :
"[elle] montre que seule la Parole accueillie et concrètement appliquée est source de vie nouvelle. Dans une société largement imprégnée de rationalisme et de matérialisme, par sa petite voie qui touche à l'essence des choses, la petite Thérèse répond encore aux grandes questions de la vie".
Saint Jerôme
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d'honneur.
Et quant au Berger l'on peut dire
Qu'il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : J'ai souvenance
Qu'en un pré de Moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu'il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Jean de La Fontaine, Les animaux malades de la peste
999e article ...
" Roman Polanski et le Prince des ténèbres
En 1969, Roman Polanski tourne « Le bal des Vampires » avec dans le rôle principale sa femme Sharon Tate. Le couple est heureux et un bébé est annoncé. Tout va pour le mieux pour la famille Polanski. Le succès est au rendez-vous et les Polanski s’installent dans le quartier chic de Bel Air à Los Angeles. Pour affaire, Roman Polanski doit se rendre à Londres alors que sa femme est enceinte de huit mois. La superbe actrice se repose paisiblement dans sa somptueuse maison et profite d’une soirée pour recevoir des amis. Nous sommes le 9 août 1969. Des inconnus pénètrent dans la maison et l’un d’eux lance à l’auditoire «Je suis venu faire l’œuvre du diable ! ». Les hommes sont aussitôt abattus par balles. Les femmes sont violées puis égorgées. Plus de quinze coups de couteau ont frappé Sharon Tate. Les soldats de Satan viennent de punir un pêcheur.
Cette horrible histoire a pour origine l’année 1967 et une rencontre. Polanski fait des recherches pour le film « Rosemary’s Baby ». Pour adapter à l’écran le best seller d’Ira Levin, le jeune producteur européen recherche un conseiller sur la possession et les rituels sataniques et se tourne vers le maître de l’Eglise de Satan, Anton Lavey. Ce dernier, élevé par ses quinze mille disciples au rang de grand prêtre, apparaît ainsi dans le générique du film comme conseiller occulte. Polanski se sert même de Lavey pour la promotion et lui offre un rôle, celui du Diable qui viole Rosemary, rôle tenu par Mia Farrow. Le film est un succès et Polanski est considéré par les médias comme spécialiste des films d’horreur et sataniques . La naissance de l’Antéchrist est sur les écrans du monde entier. Cette position est confortée avec la sortie du film « Le bal des vampires ».
Mais pourquoi un tel massacre ? Je vous propose quelques informations issues du procès qui suivit l’horreur.
La satire du diable dans le « Bal des vampires » aurait été prise comme un affront par les sectes sataniques américaines. Polanski, ne souhaitant pas faire un film gothique d’horreur sur le thème des vampires, se tourna vers la dérision et une parodie des productions de la Hammer. L’enquête policière se tourne tout d’abord vers Anton Lavey et sa florissante Eglise. La police fait rapidement le lien entre le grand maître et une secte prônant l’Apocalypse biblique. En effet, sa maîtresse, Susan Atkins, est l’ange démoniaque du bientôt célèbre Charles Manson et de son groupe de hippies sans foi chrétienne ni loi conventionnelle. Manson reconnaît rapidement les faits et confesse avoir envoyé sa bande de tueurs chez les Polanski. Il reconnaît avoir envoyé sa « famille », c’est à dire une bande de tueurs dont Susan Atkins. Cette dernière a eu un rôle dans « Le Bal des Vampires » et joua au côté de Sharon Tate qui avait endossé la peau d’une jeune femme sacrifiée au nom de Lucifer.
Pendant le procès, Manson déclare que le massacre a été ordonné par les messages contenus dans les chansons du « White Album » des Beatles Le titre d’une des composition de John Lennon se retrouva sur un des murs de la maison des Polanski « Helter Skelter ». Pour Manson, cette chanson annonçait le début de l’Apocalypse. Manson et ses complices furent condamnés à la peine capitale, sanction qui se transforma en prison à vie par la suite.
Manson en envoyant ses tueurs se considérait être la Bête de l’Apocalypse, soit le chiffre 666. Il reconnaît avoir tué un homme et un femme en juin 1969 et avoir planifié le meurtre de Sharon Tate pour le 9 août 1969. Toutes ces dates avaient indiqué pour Manson dans la chanson « Revolution », morceau issu du « White Album » Ecoutez bien ce morceau et vous entendrez un voix qui répète trois fois le chiffre 9. Le corps de Sharon Tate montre qu’une maladroite césarienne avait été faite sur son corps. Manson voulait-il provoquer la naissance de l’Antéchrist le 9 août 1969 ?
Pour en finir avec cette série de meurtre commis sous le signe de Satan, un certain Mark Chapman tua John Lennon le 8 décembre 1980. Pas de trace ici dans les dates d’une trilogie de 9. Toutefois Chapman entretenait une correspondance avec Manson qui l’aurait guidé jusqu’au lieu du meurtre. John Lennon a été tué devant l’Hotel Dakota, lieu du tournage de « Rosemary’s baby ».
Trente ans exactement après le massacre de sa femme, Polanski fait endosser à sa nouvelle femme le rôle du Prince des ténèbres. Nous sommes en 1999. Les sectes sataniques se préparent de leur côté au nouveau millénaire qui sera celui de Satan. Pour eux 1999, soit 666 à l’envers correspond à l’arrivée sur terre de l’Antéchrist. En cette période tourmentée, Roman Polanski sort le film « la Neuvième porte ». Le scénario est basé sur un livre écrit en 1666 par Aristide Torchia qui fût brûlé pour ses pratiques sataniques. L’intrigue du film n’est pas à la hauteur de nos espérances. Heureusement le duo Johnny Depp-Emmanuelle Seigner est du plus bel effet. Johnny Depp campe ici un bouquiniste-détective qui recherche neuf gravures réalisées par Lucifer lui-même. Emmanuelle Seigner l’accompagne dans sa quête et le protège par des moyens plus que surnaturels. Polanski joue avec ses vieux démons et nous livre un nouveau volet satanique qui ne sera jamais couronné d’un Oscar comme « Rosemary’s Baby ». "
(lu sur http://www.forumgothcat.com).
D'autres informations du Père Verlinde sur Anton Lavey
Après l'" apprendre à voir" ...
Concert au profit d'une Maison d'accueil
pour les femmes enceintes en difficulté
« Orgue et Voix pour la Vie »
L’association Choisir la Vie a toujours eu à cœur de soutenir les actions et projets concrets au service de la Vie et en particulier d’aide aux femmes enceintes en difficulté.
C’est pourquoi l’association organise une soirée musicale au profit de la structure d’accueil Amado de Carpentras *.
Samedi 10 octobre à 20h30
Eglise St Ferdinand des Ternes,
27, rue d'Armaillé, Paris 17ème.
Entrée libre
Des musiciens et des choristes professionnels viendront ainsi se produire bénévolement pour la Vie. Cette soirée musicale (Pergolesi, Purcell, Vivaldi, J.-C. Bach) sera entrecoupée par une lecture de poèmes et de textes exprimant le mystère de la maternité et de la vie naissante.
*Amado (aimer en provençal…) est une association selon la loi 1901 située à Carpentras en Vaucluse. Elle a pour but d’accueillir et d’héberger, y compris dans l’urgence, toute femme majeure enceinte dont la maternité est mise en danger par des difficultés, quelle que soit la nature de celles-ci.
Choisir la Vie
Apprenez à lire une œuvre d’art, à la replacer dans son contexte, à en dégager les valeurs universelles, et à la mettre au service d’une apologétique chrétienne.
Samedi 10 octobre : Peinture : « Toute vérité est de l’Esprit-Saint »
Samedi 13 février : Sculpture : « Qu’est-ce que l’homme ? »
Samedi 8 mai : Architecture : « La construction de la France, sociabilité et art politique »
Cycle de 3 après-midi à Paris. Inscription obligatoire.
Pour toute information , et pour s'inscrire : Nicole Buron, nicole.buron@ichtus.fr, tél 01.47.63.97.81
Figure de l'émission de télé-réalité «The Monastery» sur la BBC, le père Christopher Jamison, de l'abbaye de Worth, présente les applications de la vie monastique et des enseignements de saint Benoît à nos vies modernes souvent chaotiques.
Saint Benoît écrivit sa règle monastique il y a quinze siècles. Cette règle guide encore de nombreuses personnes de nos jours, et elle est à l'origine des monastères bénédictins et des couvents du XXIe siècle.
L'auteur suggère des manières d'appliquer cette sagesse en dehors du monastère. Il s'adresse avant tout à ceux qui ne sont pas sûrs de ce en quoi ils croient mais qui sont à la recherche d'un espace de spiritualité et de paix.
http://www.presses-renaissance.fr/livre.php?ean13=9782750903633
J'ai vu un Ange volant par le milieu du ciel (*) ; il portait l'Evangile éternel, et il disait :
R/. Craignez le Seigneur notre Dieu, et rendez-lui honneur et gloire.
V/. Vous qui vous tenez dans la maison du Seigneur, sous les portiques de la maison de notre Dieu.
R/. Craignez le Seigneur.
V/. Gloire et honneur au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit dans les siècles des siècles. Amen.
R/. Craignez le Seigneur.
O Michel, prince de l'armée des Anges, nous vous en supplions, venez délivrer les âmes des peuples fidèles : que continuent de porter de bons fruits ceux qui gardent la justice; que les injustes, venant à pénitence, ne désespèrent point du pardon. Que nous nous excitions mutuellement au mieux, de telle sorte que nous méritions d'obtenir la récompense éternelle.
R/. Amen.
Par votre miséricorde, ô notre Dieu, qui êtes béni, et vivez, et gouvernez tout dans les siècles des siècles.
R/. Amen.
Le traumatisme de la défaite française de 1940 est à l'origine d'une idée encore très répandue chez nos contemporains. Le nazisme aurait été doublement méconnu, par le monde intellectuel français dans son ensemble, et par les intellectuels chrétiens en particulier, qui l'auraient identifié au « germanisme éternel » ou en aurait relativisé la nocivité donnant la priorité à l'anticommunisme.
C'est ce postulat que ce livre, premier volume d'une trilogie consacrée à la résistance spirituelle aux totalitarisme en France entre 1933 et 1945, remet en cause en examinant l'analyse du nazisme par les intellectuels catholiques des années 1930.
disponible ici : http://www.duquesne-diffusion.com/cdc170309.html
Remboursement d'une pilule de 3e génération, nouvelles pilules à base d'oestrogène "naturel", nouveau contraceptif d'urgence: la 3e Journée mondiale de la contraception, organisée demain (c'était le 26 septembre) , vient ponctuer un mois de septembre riche pour la culture de mort.
Il faut savoir que :
Aux voyageurs désargentés, aux vagabonds désorientés, il restera toujours un moyen de transport public, gratuit, universel : l'ivresse. Ceux qui connaissent le véhicule savent que ce n'est pas un train de banlieue. C'est un char d'assaut. Embarquer, c'est effacer les frontières, abolir la contrainte, voyager dans l'espace, le temps, les mythes, les corps, les rêves, les matins émouvants et les soirs possibles. Le véhicule est accessible à tous les hommes, adapté à toutes les époques.
Dans le présent ouvrage, Anacréon, Du Fu, Omar Khayyam, François Rabelais, Molière, Casanova, Honoré de Balzac, Alexandre Dumas, Edgar Poe, Charles Baudelaire, Guy de Maupassant, Léon Bloy, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire, Guy Debord, Jérôme Leroy et Sébastien Lapaque racontent leur voyage au pays de l'ivresse qui réenchante le monde et la vie.
Les auteurs :
Sébastien Lapaque, né en 1971, est l'auteur d'un essai sur Georges Bernanos et de romans.
Jérôme Leroy, né en 1964, est également écrivain, et professeur dans un collège du nord de la France.
une exposition à Pont Aven jusqu'au 5 octobre
http://www.museepontaven.fr/-Autour-de-Maurice-Denis-.html