bienvenue sur Petrus Angel !
entrez !
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a Dios, primero. Segundo a todos ustedes que me acompañaron en sus oraciones (…)
Gracias al ejército mío, de mi patria, Colombia (…)
"Le décalage, pour Ingrid Betancourt, entre la foi catholique qu’elle manifeste publiquement et nos mœurs laïcistes, peut devenir une souffrance quasiment insupportable. [...] D’autres, d’un autre bord, mais qui ne parviennent jamais à se réjouir d’une bonne – d’une magnifique nouvelle – tellement ils sont habitués à n’en connaître que de mauvaises, feront la moue, et, d’un air désabusé, crieront à la supercherie, en faveur d’une féministe, écologiste, qui, de surcroît, fut plutôt de gauche ! Ceux-là, comme les autres, nous confortent dans cette constatation que le plus difficile à admettre, pour l’homme, n’est pas l’existence du mal, mais la possibilité du bien, ici-bas. Nous pensons beaucoup trop souvent que la victoire de Dieu, dans le temporel, ne survient, en définitive, que dans les catastrophes, les déluges, les pluies de feu et de soufre. [...]
Ingrid Betancourt, soutenue par l’intelligentsia marxiste, la gauche caviar et le Paris people et bobo, libérée par l’armée et le Président de son pays, tous deux suspects d’anticommunisme primaire, donc de fascisme, se retrouvant, d’un coup, icône de la prière publique, symbole de la dévotion à Marie, la femme au chapelet – la seule chaîne qu’elle accepte – n’est-ce pas la manifestation tangible de l’humour de Dieu ?
Sa victoire arrive toujours là où personne ne l’attend. Mais elle arrive, avec une telle surabondance dans l’évidence qu’il faut être sec comme un pharisien ou tordu comme un sadducéen pour refuser de la voir. Le monde entier se vautrait dans la sécularisation de toutes choses, le laïcisme impénitent et les ecclésiastiques eux-mêmes, en grand nombre, voulaient voir séparés l’Eglise et l’Etat, et, plus encore la prière et l’armée. Certains même en faisaient une doctrine nouvelle, issue des fumées du Concile. Les concepts d’Etat chrétien, de société chrétienne, d’institution chrétienne… avec leurs conséquences : le culte public rendu à Dieu, devaient disparaître au profit d’une religion plus discrète, plus personnelle, plus intérieure – vrai levain dans la pâte – et donc, la moins institutionnelle et la moins visible possible. Ces idées soi-disant nouvelles allaient de pair avec la désaffection pour le culte rendu à Marie, les formes populaires de la religion, et, tout, particulièrement, la plus critiquée, la plus ridiculisée, la récitation du chapelet.
Et voici que, le chapelet, la dévotion à Marie, la médaille miraculeuse, le Dieu des armées et le Sacré-Cœur avec, en prime un chef d’Etat très chrétien, reviennent, en triomphe devant les caméras du monde entier, par Ingrid Betancourt. [...] Qui a dit que nous devions rester attentifs aux signes des temps ? En voici un, de belle allure."
Extrait des Nouvelles de la France qui vient de Me Trémolet
MJ
c'est sur http://www.lesalonbeige.blogs.com/
Ceci n'est pas un espace de discussion (*)
(*) en anglais : chat ....
le glaive vengeur et le bras séculier
Extrait du film d'Audiard (1968):
"Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages...
44 s
Églises romanes, havre de fraîcheur et de paix
L'été chaud, coloré, riant et… quelquefois bruyant, est enfin arrivé. Personne ne s'en plaindra. Un instant, plus ou moins long, échapper aux rayons solaires brûlants et retrouver la fraîcheur et le calme pour repartir comme « ressourcé », c'est la pause culturelle (et cultuelle pour certains) qu'offrent chaque dimanche après-midi les églises romanes St-Julien (dans le vieux Sennecey) et St-Martin (sur la colline du même nom).
En effet, tout au long de l'été, des bénévoles assurent chaque après-midi des dimanches et jours fériés, de 15 heures à 18 heures, l'ouverture de ces édifices romans classés au patrimoine des monuments historiques.
L'église St-Julien date du XIe siècle, elle a été transformée au XVe siècle avec la réalisation de deux chapelles seigneuriales et du chœur dont les fresques d'origine, en état exceptionnel de conservation, (représentant les quatre évangélistes) ont été débarrassées des badigeons qui les masquaient lors de travaux de restauration en 2003/2004. Son clocher carré comprend 2 étages, sa toiture à pans est couverte de laves. Cette église accueillera du 10 au 22 juillet une exposition « Restauration du patrimoine et métiers d'art ».
L'église Saint-Martin de Laives trouve elle aussi son origine au XIe siècle, elle surplombe les plaines de la Saône et de la Grosne ce qui l'a fait appeler « phare de la Bourgogne du sud », offrant une magnifique vue panoramique aux visiteurs. Le village qui entourait l'Église a disparu définitivement au XIVe siècle en raison des guerres et des épidémies de peste. Les murs présentent plusieurs arcades lombardes réunies par de petites arcatures, décorations spécifiques du premier art roman. Le clocher lombard comportait à l'origine trois ouvertures symbolisant La Trinité.
Dans le transept se trouve la première coupole sur trompes de Bourgogne. L'acoustique renommée de l'édifice est due à la configuration du chœur et à la présence de pots de résonance enfouis dans les parties supérieures de la nef. Dimanche 6 juillet à 10 h 30, la messe sera célébrée à St Martin comme annuellement et un concert sera proposé à 17 heures.
S.P.
Pour tous renseignements, contacter l'Office de tourisme tel 03 85 44 82 54.
Le journal de Saône et Loire
relevé par le site d'UNITAS : http://www.unitas.fr/
Le journaliste de foot ne dit pas :
a perdu MAIS s’est incliné
a gagné MAIS s’est imposé
marquer MAIS concrétiser ou inscrire un but
Le journaliste de foot dit souvent :
Consécration, grand’ messe, état de grâce, je crois que … même s’il ne va pas à la messe. Et aussi revoir sa copie.
Le footballeur interviewé dit toujours : je crois que… c’est vrai que…
Et aussi c’était pas ma faute si j’ai perdu, mais autrement.
Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage
tranquillement une grenouille.
Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est
bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à
nager.
La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude. C'est un
peu plus que n'apprécie la grenouille, çà la fatigue un peu, mais elle ne
s'affole pas pour autant. L'eau est cette fois vraiment chaude. La
grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie,
alors elle supporte et ne fait rien.
La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille va tout
simplement finir par cuire et mourir.
Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle
aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée
aussitôt de la marmite.
Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière
suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du
temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte .
Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques
décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons.
Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, ont
été peu à peu banalisées, édulcorées, et nous dérangent mollement à ce
jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.
AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés
individuelles, à la dignité du vivant, à l'intégrité de la nature, à la
beauté et au bonheur de vivre, s'effectuent lentement et inexorablement
avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.
Les noirs tableaux annoncés pour l'avenir, au lieu de susciter des
réactions et des mesures préventives, ne font que préparer
psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie décadentes,
voire DRAMATIQUES.
Le GAVAGE PERMANENT d'informations de la part des médias sature les
cerveaux qui n'arrivent plus à faire la part des choses ...
Lorsque j'ai annoncé ces choses pour la première fois, c'était pour
demain. Là, C'EST POUR AUJOURD'HUI.
Alors si vous n'êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits,
donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard.
SOMMES-NOUS DEJA A MOITIÉ "CUITS " ?
Olivier Clerc, écrivain et philosophe
"Nous avons ouvert le Théâtre du Nord-Ouest en juin 1997 avec une dizaine de pièces de notre cher Molière. A l'époque, nous ne pensions pas qu'il était possible d'accomplir la folie que nous réalisons chaque année : jouer l'intégrale d'un auteur. Folie que nous avons initiée en 1999 avec Racine, vous vous en souvenez sans doute. Après 10 intégrales -Shakespeare l'an passé !-, Molière apparaissait comme un auteur sacrifié. Un comble. Nous réparons cette injustice et vous proposons cette fois les 34 pièces de Molière.
Comme à notre habitude, nous vous proposons de nombreuses lectures autour de son œuvre : à la fois des pièces antiques qui l'ont inspiré -Plaute bien sûr- mais aussi des pièces que lui-même a inspiré.
" Bienvenu dans la maison de Molière ! "
Vous souhaitez nous rejoindre? Rien de plus simple! Grâce à notre calendrier en ligne, il vous est possible de rapidement consulter les horaires des pièces que nous donnerons dans les jours à venir. "
Epluchage des légumes en communauté (détail) |
On désherbe (détail) |
La fin de la récréation (détail) |
Buanderie : on vide la machine (détail) |
Capitalistes, fascistes, marxistes, tous ces gens-là se ressemblent. Les uns nient la liberté, les autres font encore semblant d'y croire, mais qu'ils y croient ou n'y croient pas, cela n'a malheureusement plus beaucoup d'importance, puisqu'ils ne savent plus s'en servir. Hélas ! le monde risque de perdre la liberté, de la perdre irréparablement, faute d'avoir gardé l'habitude de s'en servir... Je voudrais avoir un moment le contrôle de tous les postes de radio de la planète pour dire aux hommes : " Attention ! Prenez garde ! La Liberté est là, sur le bord de la route, mais vous passez devant elle sans tourner la tête, personne ne reconnaît l'instrument sacré, les grandes orgues tour à tour furieuses ou tendres.
On vous fait croire qu'elles sont hors d'usage. Ne le croyez pas ! Si vous frôliez seulement du bout des doigts le clavier magique, la voix sublime remplirait de nouveau la terre...
Ah ! n'attendez pas trop longtemps, ne laissez pas trop longtemps la machine merveilleuse exposée au vent, à la pluie, à la risée des passants ! Mais, surtout, ne la confiez pas aux mécaniciens, aux techniciens, aux accordeurs, qui vous assurent qu'elle a besoin d'une mise au point, qu'ils vont la démonter. Ils la démonteront jusqu'à la dernière pièce et ils ne la remonteront jamais ! "
Georges Bernanos , La France contre les robots , 1944
relevé sur le site http://www.ogmdangers.org
Et si vous faisiez connaître
Petrus Angel à 3 amis ?....
Merci !
Pour son générique de fin de match pendant l'Euro 2008, TF1 a choisi la chanson «Time to pretend», du groupe américain MGMT. Lorsqu'on écoute attentivement les paroles (en anglais), on découvre un vrai hymne au sport, à l'esprit de camaraderie qui règne dans les équipes de foot… Jugez vous-mêmes :
"Jouons de la musique, faisons du fric, et épousons des mannequins
Je déménagerai à Paris, me shooterai à l'héroïne et baiserai avec les stars
Une île, de la coke et des belles bagnoles.C'est notre choix, vivre à fond et mourir jeunes
On sait ce qu'on veut faire, alors allons nous éclater
C'est affligeant bien sûr mais que voulez vous qu'on fasse ?
Trouver un boulot dans des bureaux et se réveiller le matin pour l'heure de pointe ?Oublions nos mères et nos amis
Nous sommes condamnés à faire semblant [...]Les mannequins auront des enfants, on divorcera
Et on trouvera d'autres mannequins, car la vie est ainsi faiteOn s'étouffera avec notre vomi et ce sera la fin.
Nous sommes condamnés à faire semblant
Faire semblant"
le conseil de Petrus Angel pour les chômeurs "haut de gamme"
| Les coulisses d'un recrutement |
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«Tout est grâce», disait la petite Thérèse. Il faut prendre «tout en gré», répétait Jeanne d'Arc à ses troupes. Plus récemment, Madeleine Delbrêl, cette assistante sociale d'Ivry - une vraie «battante» - aimait dire que nous devrions nous agenouiller devant chacune de nos journées, car Dieu l'a préparée avec amour de toute éternité. Oui, tous les saints de notre histoire ont eu l'audace de croire à ce mystère inouï de la Providence que Dieu exerce sur le déroulement de nos vies. Cette foi était la source de la sérénité qu'ils conservaient au milieu de leurs épreuves et de leurs combats.
Ce mystère est très contesté de nos jours. Beaucoup de chrétiens estiment aujourd'hui qu'il faudrait réviser notre façon de parler et de lire les événements. Après Auschwitz, il ne faudrait plus dire que Dieu est le «Père tout-puissant», le «Maître des temps et de l'histoire», comme nous le chantons encore dans la liturgie.
L'enseignement de l'Église n'a pourtant pas changé. S'appuyant sur la Parole très explicite de la Bible à ce sujet, le Catéchisme de l'Église catholique rappelle que, tout en participant à la colère de Dieu contre les injustices qui abîment trop souvent nos frères et contre lesquelles nous devons nous battre, nous devons aussi nous abandonner avec confiance aux bons vouloirs du Père, même lorsqu'ils nous déroutent. C'est ce que Jésus Lui-même a fait à Gethsémani : «Père, que Ta Volonté soit faite et non la mienne ! »
Comme l'affirme saint Paul avec force, «Dieu fait tout concourir» au bien de ses enfants (Rm 8, 28)
www.librairie-emmanuel.fr
Un orchestre américain vient en Europe pour une tournée de deux semaines. Une heure avant le premier concert, le chef, peu habitué à la nourriture européenne, tombe soudain malade et est incapable de diriger. L’imprésario demande alors aux membres de l’orchestre si l’un d’entre eux est capable de remplacer le chef au pied levé. Seul un altiste de la dernière rangée lève le doigt.
L’imprésario est inquiet. “Vous n’avez pas le temps de répéter, lui dit-il, vous
allez devoir diriger à froid.”
“Je sais. Rassurez-vous, tout se passera bien”, répond l’altiste.
L’altiste dirige le concert et, effectivement, tout se passe bien. Mieux même c’est un succès prodigieux. Comme le chef n’est toujours pas guéri, l’altiste dirige les autres concerts et à chaque fois reçoit de triomphales ovations.
Une fois la tournée finie, l’orchestre rentre aux Etats-Unis et, sans doute au contact de la saine nourriture de son pays, le chef recouvre la santé. L’altiste regagne donc sa place aux côtés de ses collègues et son voisin immédiat lui demande : “Tiens, vous voilà! Où étiez-vous donc passé pendant les deux dernières semaines ?“
pour vous faire partager les oeuvres de ce soir,
retrouvées sur la Toile ...
... de la Saint-Jean...
26 juin : Nativité de Saint-Jean-Baptiste
pour en savoir plus : Art et Bible Partager des oeuvres d'art inspirées par la Bible
L'expérience de Dieu avec Bernanos
introduction et textes choisis par Mgr Guy Gaucher
Fides