Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

4 octobre 2020 7 04 /10 /octobre /2020 15:01

Le féminisme en folie : il faut interdire la 5e de Beethoven !

bvoltaire.fr/le-feminisme-en-folie-il-faut-interdire-la-5e-de-beethoven/

Pierre Mylestin

Au royaume de la dinguerie, il ne fait de plus en plus aucun doute que les progressistes sont rois. Ou reines – parité oblige. Ce stade dépassé légitime une seule et unique question : existe-t-il une limite à la bouffonnerie progressiste ? Tout porte de plus en plus à croire que non.

« Les hommes blancs riches ont adopté  et ont fait de sa Cinquième Symphonie un symbole de leur supériorité et de leur importance. Pour d’autres groupes – femmes, personnes LGBTQ+, personnes racisées -, la Cinquième est principalement un rappel de l’histoire de l’exclusion et de l’élitisme de la musique classique », dixit Nate Sloan et Charlie Harding, respectivement professeur en musicologie issu de l’université de Stanford et auteur-compositeur-producteur de musique, tous deux partenaires dans leur podcast de l’Orchestre philharmonique de New York.

La culture de l’annulation (cancel culture), ou autodafé sociétal contemporain, de plus en plus stoïque face au ridicule, s’attaque maintenant au plus grand compositeur de tous les temps, celui dont 2020 aurait dû être le 250e anniversaire de naissance. Hélas, ce fut l’année Covid-19 ; « ainsi le destin frappe à la porte », aurait-il probablement dit ; du nom de ces quatre notes du thème d’ouverture de cette Cinquième, reproduites dans leurs variations complexes tout au long de l’œuvre et reflétant l’expérience de Beethoven et sa résilience personnelle face à sa surdité évolutive.

« L’inéluctabilité de Beethoven peut donner à la musique classique une apparence monolithique et étouffante », tout en comparant sa Cinquième à un ensemble de normes culturelles relatives à une certaine étiquette sociale, un suprémacisme mâle blanc, évidemment toxique, un « mur », entre la musique classique et un public diversifié. Il est donc grand temps d’annuler Beethoven, celui même dont la magnificence musicale a durcit les règles comportementales lors des concerts. Et si les progressistes peuvent se le permettre, ils pourront probablement tout se permettre, y compris, et peut-être surtout, toutes choses, tout personnage, vivant ou mort, témoins de l’excellence universelle de notre civilisation occidentale. Abattre le beau pour imposer le laid.

Passons le fait que certaines  ont osé la comparaison de la Neuvième Symphonie à la « rage » d’un violeur impuissant, et passons le fait que son auteur, taxé d’élitisme, y a justement mis en musique les mots « Alle Menschen werden Brüder » (« Tous les hommes deviennent frères »). Plus près de chez nous, dans Le Génie lesbien nous prévient : « Les hommes – qu’elle assimile à des assaillants -, je ne regarde plus leurs films, je n’écoute plus leur musique. » Nous voilà rassurés, les doux tympans d’Alice ne seront plus offensés par ces mélodies hétéronormatives composées, il y a de cela plusieurs siècles, et nous sommes éminemment confiants qu’on reparlera encore de son pamphlet dans quelques siècles.

Terminons quand même sur une note positive avec cette citation de la sublime pianiste Hélène Grimaud, à l’occasion de la sortie de son dernier album, The Messenger : « En temps d’incertitude, l’humanité cherchera souvent les voies de moindre résistance. Je crois cependant que notre temps a besoin, comme l’appelait Rimbaud, d’une “musique plus intense”, véhiculant l’introspection et l’effort pour créer un espace pour vivre dans la vérité […] Mozart, Beethoven et Silvestrov peuvent nous aider à nous rappeler la beauté mélodieuse de l’harmonie. » Autre son de cloche, venant de cette virtuose qui se passionne pour le beau et les loups, à la sensibilité se situant à des années-lumière de la laideur progressiste et des hyènes féministes.

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2020 7 04 /10 /octobre /2020 11:00
Partager cet article
Repost0
4 octobre 2020 7 04 /10 /octobre /2020 10:52

Saint François d’Assise, le Poverello ami de toute la CréationQui est François d’Assise (1182-1226), ce saint vénéré comme l’un des disciples de Jésus qui a radicalement pratiqué son Évangile, et qui reste l’un des personnages préférés des chrétiens ? Fondateur de la famille franciscaine basée sur des valeurs de pauvreté, de charité et d’humilité, François mourra à l’âge de 44 ans. Une vie relativement courte mais qui a décidément marqué l’histoire, l’Église et la conscience occidentale.

La suite...

Partager cet article
Repost0
3 octobre 2020 6 03 /10 /octobre /2020 09:29

Reçu de EVR que nous remercions.

 

L’écrivain et journaliste Denis Tillinac est décédé le 26 septembre dernier à 73 ans. C’était un réactionnaire assumé qui débordait d’énergie pour défendre la grandeur de la France. Son combat n’était pas idéologique mais ancré dans le terroir, charnel et sa plume énergique. Voici deux textes, l’un sur les racines catholiques de la France et l’autre sur la repentance coloniale, qui illustrent bien sa liberté de pensée.

 

Le recteur Boubakeur exhorte nos autorités à doubler le nombre de mosquées pour ses coreligionnaires français. Ils seraient 7 millions, a-t-il dit. (…) En légitimant ses exigences par le nombre supposé de ses fidèles, l’islam prétend enraciner le multiculturalisme confessionnel dans notre pays. Or, le nombre ne saurait suppléer l’absence de racines historiques.

Les confessions sont évidemment égales devant la loi, laïcité oblige ; elles ne le sont pas à l’aune de la mémoire. Quinze siècles d’accointances intimes avec la catholicité ont profilé notre paysage intérieur, façonné notre spiritualité, notre sentimentalité, notre sociabilité, notre esthétique, notre ludisme, notre scansion du temps, notre érotisme même.(…)

La séparation des Églises et de l’État a émancipé le citoyen de la tutelle d’un cléricalisme tantôt gallican, tantôt vaticanesque : c’était opportun et nul ne le conteste. Reste l’héritage d’une architecture mentale bâtie, étayée, enluminée par la catholicité romaine. L’âme de la France plane au-dessus des clochers de Notre-Dame qui a solennisé les hautes heures de son histoire, y compris le Te Deum de la Libération avec de Gaulle et Leclerc. L’“identité” de la France est insaisissable si l’on occulte la symbolique liée à la cathédrale de Reims, à la crypte de Saint-Denis — et à ces monastères bénédictins et cisterciens qui ont transmis le savoir et défriché nos arpents.

Même la texture de notre anticléricalisme, sans équivalent en Europe depuis les Lumières, témoigne de la prégnance du fond de sauce catho : amour-haine de ce couple désormais à la retraite, goupillon et férule.

Notre imaginaire, nos quêtes de l’invisible, nos chamailleries politiques, nos tours de langage s’y réfèrent par une pente naturelle. Aussi est-on légitimement choqué quand nos chefs d’État, sous prétexte de neutralité, reçoivent sur un pied d’égalité les dignitaires de l’Église catholique et ceux des diverses confessions ayant importé des fidèles en France. Égalité inéquitable et mesquine, car procédant d’une approche bassement comptable et ignorant une longue et noble mémoire.

J’ai le plus sincère respect pour la piété d’un musulman ou d’un hindouiste : toute invocation d’une transcendance vaut mieux que le culte du fric et de l’ego. Mais ces confessions n’ont aucun ancrage dans notre inconscient collectif, aucune résonance dans nos cœurs. En accréditant sournoisement l’illusion d’une équivalence, nos dirigeants assèchent les sources de notre patriotisme et humilient les fidèles catholiques.(…)

Il y a beaucoup de musulmans en France, ils ont droit au respect de leur foi et à la possibilité d’exercer dignement leur culte. Mais on ne décrète pas des racines : les nôtres sont catholiques au sens large depuis le baptême de Clovis, point final.

dans Valeurs Actuelles, 16 avril 2015

 

Il ne faut pas faire joujou avec la mémoire. Ni avec la sémantique. (…)

La repentance est une pathologie de la lucidité exigible pour comprendre une situation. Les historiens s'en acquitteront, c'est leur affaire, pas celle de nos gouvernants. C'est leur affaire aussi de décrire l'aventure coloniale initiée à partir de la Renaissance par les Anglais, les Espagnols, les Portugais, les Bataves, les Français. Le colonialisme n'est pas un “crime”. Ou alors, l'histoire se résumerait à une série ininterrompue de crimes, car, de tout temps et en tous lieux, pour le meilleur (parfois) et pour le pire (souvent), les peuples plus puissants que leurs voisins n'ont eu de cesse de les assujettir. Darius, Alexandre, les César, Attila, le premier djihad, Tamerlan, les Ottomans ont précédé Cortés et ses épigones, avec des manières aussi peu aimables. Armés d'une idéologie de gauche (les Lumières et la Raison supplantant les feux de la brousse), nos colonisateurs n'ont pas été les plus brutaux. Trêve d'anachronisme : l'ère coloniale est révolue. Un autre impérialisme l'a supplantée : économique, celui-là. Mieux vaudrait s'en soucier plutôt que de faire battre des coulpes pour éponger des mauvaises consciences. Ou conjurer la trouille de l'islamisme. (…)

Tout peuple a besoin d'une mythologie fondatrice, avec des héros forcément fabulés.

Les nôtres composent un panthéon susceptible d'entretenir un patriotisme de bel aloi : Vercingétorix à Gergovie, Roland à Roncevaux, Saint Louis sous son chêne, Jeanne d'Arc à Orléans, Bayard à Marignan, les volontaires à Valmy, Bonaparte au pont d'Arcole, la Légion à Camerone, les poilus à Verdun, de Gaulle à Londres. Ajoutons le d'Artagnan de Dumas, le Cyrano de Rostand et quelques tirades cocardières de Gabin, il y a de quoi se sentir fier d'être français, quelles que soient nos racines originelles. Mais si de faux vertueux s'obstinent à nous seriner que nous fûmes d'odieux esclavagistes au XVIIIe siècle, d'affreux colonialistes au XIXe, d'abominables collabos durant l'Occupation et d'ignobles tortionnaires en Algérie, les dents grinceront et ça finira mal.

dans Valeurs Actuelles, 29 février 2020

 

https://www.letelegramme.fr/images/2020/09/26/l-ecrivain-denis-tillinac-ici-en-2008-vient-de-deceder-a_5322493.jpg

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2020 4 01 /10 /octobre /2020 08:52

Sur Arte en ce moment et en rediffusion 

Big Pharma : labos tout puissants, sur Arte

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 09:46

 

Au lendemain de la publication du nombre d’avortements en 2019, l’abbé Laurent Spriet, auteur de Se relever après un avortement, réagit et témoigne de son expérience de prêtre accompagnant des femmes ayant mis un terme à leur grossesse.

Les chiffres des avortements réalisés en 2019 viennent d’être publiés par la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques). Que vous inspirent-ils ?

Un écœurement et une profonde tristesse. Un écœurement devant tant de bébés qui ne verront pas le jour et une profonde tristesse pour toutes ces femmes meurtries à vie. La DREES affirme : « En 2019, la France enregistre 232.000 IVG, soit le nombre le plus élevé depuis les années 1990. » Cela fait, en moyenne, 635 avortements par jour en France. Pour nous aider à réaliser : 232.000, c’est plus que le nombre d’habitants de la ville de Rennes et c’est presque celui de la ville de Lille. Un avortement pour trois naissances en France. Et certains veulent nous faire croire que le droit à l’avortement est en danger… C’est dramatique. Nous sommes encore loin du chiffre mensonger que Simone Veil avait osé avancer à l’Assemblée nationale en 1974 : « Nous ne pouvons plus fermer les yeux sur les 300.000 avortements qui, chaque année, mutilent les femmes de ce pays, qui bafouent nos lois et qui humilient ou traumatisent celles qui y ont recours. » Le chiffre était faux mais le constat était déjà juste : mutilation, humiliation, traumatisme. Sur cette analyse, Mme Veil avait malheureusement raison.

L’amendement sur la détresse psychosociale permettant de pratiquer une IMG jusqu’au terme de la grossesse a suscité une grande indignation. Pour autant, un avortement à quelques semaines de grossesse semble être banalisé dans les esprits. L’acte est-il moins grave sur un « amas de cellules » plutôt que sur un fœtus ?

Il n’y a pas d’amas de cellules… Dès la fécondation il y a un ADN humain. C’est un fait scientifique. Je cite le professeur Israël Nisand : « Dès la première cellule, c’est un être humain, c’est pas un castor… c’est un être humain mais il n’a pas tous les droits de la personne […] interrompre une grossesse, c’est interrompre une vie humaine. » C’est clair. Toutes les potentialités de cet être humain ne sont pas développées mais c’est un être humain. Un enfant de 5 ans n’a pas, non plus, déployé toutes ses virtualités, il n’en est pas moins un être humain. Quel que soit le stade de développement de l’embryon, du fœtus ou du bébé, cet être humain doit être respecté. Personne n’a le droit de lui ôter la vie. Et pourtant, en France, certains se sont arrogé ce prétendu droit.

La suite...

Partager cet article
Repost0
27 septembre 2020 7 27 /09 /septembre /2020 19:42
Partager cet article
Repost0
27 septembre 2020 7 27 /09 /septembre /2020 08:53

Monsieur Vincent - film 1947 - AlloCiné

Retrouvez Saint Vincent de Paul en cliquant sur l'affiche ...

Partager cet article
Repost0
26 septembre 2020 6 26 /09 /septembre /2020 11:22

La "tenue républicaine" de Jean-Michel Blanquer divise le gouvernement -  Quotidien avec Yann Barthès | TMC

Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Éducation nationale, a exhorté, le 21 septembre dernier, les collégiens et lycéens à porter "une tenue républicaine". Cela faisait suite à la prolifération dans nos écoles de tenues légères et provocantes portées par certaines jeunes filles. La pression du politiquement correcte a empêché notre ministre de parler en clair de tenue décente …

Mais ne boudons pas notre plaisir et profitons-en pour relire ces paroles limpides du pape Pie XII (1876-1958) sur le vêtement et la mode.

 

Trois exigences commandent la nécessité du vêtement : l'hygiène, la pudeur et la dignité de la personne.

L'exigence hygiénique du vêtement concerne principalement le climat, ses variations et d'autres agents extérieurs, comme causes possibles d'inconvénient ou de maladie.

Tout aussi évidente, comme origine et but du vêtement, est l'exigence naturelle de la pudeur, entendue soit dans sa signification la plus large, qui comprend également la juste considération pour la sensibilité d'autrui envers des objets répugnants à la vue ; soit surtout comme protection de l'honnêteté morale et bouclier contre la sensualité désordonnée.(…) La pudeur, étant donné sa signification strictement morale, quelle que soit son origine, se fonde sur la tendance innée et plus ou moins consciente de chacun à défendre contre la cupidité générale d'autrui un bien physique personnel, afin de le réserver, avec un prudent choix de circonstances, aux sages buts du Créateur (…)

La troisième finalité du vêtement, dont la mode tire plus directement son origine ; elle répond à l'exigence innée, sentie surtout chez la femme, de donner du relief à la beauté et à la dignité de la personne (…)

Pour éviter de restreindre l'ampleur de cette (…) exigence à la seule beauté physique et, plus encore, pour soustraire le phénomène de la mode à l'ardent désir de séduction comme sa première et unique cause, le terme dignité est préférable à celui d'embellissement. Le souci de la dignité de sa propre personne provient manifestement de la nature et est par conséquent légitime.

En faisant abstraction du recours au vêtement pour cacher les imperfections physiques, ce que la jeunesse lui demande, c'est ce relief de splendeur, qui chante le joyeux thème du printemps de la vie et facilite, en harmonie avec les préceptes de la pudicité, les prémisses psychologiques nécessaires à la formation de nouvelles familles ; tandis que l'âge mûr entend obtenir du vêtement approprié un aspect de dignité, de sérieux et de joie sereine.

Dans tous les cas où l'on cherche à accentuer la beauté morale de la personne, la coupe du vêtement sera de nature à éclipser presque la beauté physique dans l'ombre austère où elle se cache, pour détourner d'elle l'attention des sens et concentrer au contraire la réflexion sur l'esprit. (…)

L’Église ne blâme (…) pas et ne condamne pas la mode, quand elle est destinée à la juste dignité et au juste ornement du corps ; toutefois, elle ne manque jamais de mettre les fidèles en garde contre ses faciles égarements.

Cette attitude positive de l’Église dérive de motifs bien plus élevés que ceux purement esthétiques et hédonistes adoptés par un retour de paganisme. Elle sait et enseigne que le corps humain, chef-d’œuvre de Dieu dans le monde visible, lequel est au service de l'âme, fut élevé par le divin Rédempteur à la dignité de temple et d'instrument du Saint-Esprit et doit être respecté en tant que tel. Sa beauté ne devra donc pas être exaltée comme une fin en elle-même, encore moins de façon à avilir cette dignité acquise.(…)

Il est toujours ardu d'indiquer par des règles universelles les frontières entre l'honnêteté et l'indécence, parce que l'évaluation morale d'une parure dépend de nombreux facteurs ; toutefois ce qu'on appelle la relativité de la mode par rapport aux temps, aux lieux, aux personnes, à l'éducation n'est pas une raison valable pour renoncer « a priori » à un jugement moral sur telle ou telle mode, lorsqu'elle dépasse les limites de la pudicité normale. (…)

Le langage de l'habillement, comme Nous l'avons déjà indiqué, est d'autant plus efficace qu'il est plus fréquent et compris par quiconque. La société parle, pour ainsi dire, par le vêtement qu'elle porte ; par le vêtement, elle révèle ses aspirations secrètes et elle se sert de lui, au moins en partie, pour édifier ou détruire son avenir.

Mais le chrétien, qu'il soit auteur ou client, se gardera de négliger les dangers et les ruines spirituelles, semés par les modes immodestes, spécialement en public, en raison de la cohérence qui doit exister entre la doctrine professée et la conduite même extérieure.

Il se rappellera la pureté élevée que le Rédempteur exige de ses disciples, même dans les regards et dans les pensées ; et il se rappellera aussi la sévérité manifestée par Dieu contre les fauteurs de scandales. À ce propos, on peut rappeler la page vigoureuse du prophète Isaïe, où est prophétisé l'opprobre réservé à la ville sainte de Sion pour l'impudicité de ses filles (Isaïe 3,16-24).(…)

Sans vouloir aucunement ramener à des formes dépassées par le temps — qui, du reste, reviennent plus d'une fois comme nouveauté dans la mode — mais seulement pour confirmer la valeur permanente de la sobriété, Nous voudrions inviter les artistes d'aujourd'hui à contempler, dans les chefs-d’œuvre de l'art classique, certaines figures féminines de valeur esthétique indiscutable, où le vêtement, inspiré de la pudicité chrétienne, est un digne ornement de la personne, avec la beauté de laquelle il se fond comme en un unique triomphe d'admirable dignité. 

Pie XII, extraits du Discours au Congrès de l'Union latine de haute couture, 8 novembre 1957

Merci à EVR qui a déniché ce texte.

Partager cet article
Repost0
22 septembre 2020 2 22 /09 /septembre /2020 17:34
Partager cet article
Repost0
21 septembre 2020 1 21 /09 /septembre /2020 07:38
  •  « Qu'ils mangent de la brioche ! »
  • « Quand j'entends le mot “culture”, je sors mon revolver. »
  • « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire. »
  • « Tuez-les tous, Dieu reconnaitra les siens »
  •  « Je n'ai besoin des Noirs que pour acheter mes disques et cirer mes pompes »
  • « Et pourtant elle tourne ! "

Autant de citations apocryphes que nous utilisons sans doute un peu vite ...  La preuve.

 

Apocryphe, késako? – Miss Glyphe

Partager cet article
Repost0
18 septembre 2020 5 18 /09 /septembre /2020 12:36

 

Le Club des Amis de l’Art Lyrique et sa conférencière Julia Le Brun vous invitent à la découverte de grandes figures féminines du répertoire lyrique, à travers l’analyse de 11 œuvres issues de diverses périodes de l’histoire de l’opéra. 

Héroïne, rédemptrice, victime sacrifiée, gracieuse soubrette, dangereuse séductrice… La diversité des personnalités féminines à l’opéra est absolument fascinante. Leur tempérament, le rôle qu’elles sont amenées à jouer dans l’action dramatique, tout cela est le reflet à la fois du cadre social dans lequel l’œuvre a vu le jour, mais aussi des préoccupations et idéaux personnels des compositeurs : les  femmes de Mozart ne sont pas celles de Wagner ni de Massenet ou Puccini.

Ce cycle de conférences se propose donc d’explorer en détails la diversité et l’évolution des images de la femme véhiculées par l’opéra à travers les siècles et les pays, de l’époque baroque jusqu’au début du XXème siècle.

25 sept. 2020 - Alcina de Haendel : magicienne amoureuse… et dangereuse

2 oct. 2020 - La Flûte Enchantée : un appel de Mozart à la réhabilitation de la femme

13 nov. 2020 - Lucia di Lammermoor de Donizetti : le refuge dans la folie

La suite...

Netrebko.jpg

Partager cet article
Repost0
16 septembre 2020 3 16 /09 /septembre /2020 18:16

Partager cet article
Repost0
15 septembre 2020 2 15 /09 /septembre /2020 20:54

Une bonne synthèse pour faire connaître la loi ni bio, ni éthique

Une de nos lectrices vient de nous adresser une note très complète sur la loi appelée par antiphrase “bioéthique” (vous savez, ce “texte équilibré”, adopté après un “débat apaisé”, comme dirait notre vénéré président orwellien!).

Vous pouvez la recevoir en laissant votre courriel ci-dessous. Mais surtout, faites-la suivre à votre entourage. Ces derniers jours, j’ai été éberlué de constater à quel point les Français, même généralement d’accord avec nous sur la défense de la dignité humaine et de la culture de vie, ignoraient les monstruosités qui figurent dans ce texte. Je rappelle que le texte n’est pas encore adopté définitivement et que, si la majorité des Français était au courant de ce qu’il contient, il est certain qu’il ne passerait pas. Alors à nous de faire connaître la réalité!

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2020 1 14 /09 /septembre /2020 10:31
Partager cet article
Repost0
13 septembre 2020 7 13 /09 /septembre /2020 00:49

Thème du prochain colloque du CEP, Cercle d'Etudes et de Prospective sur la Science :

« De la crise économique aux problèmes de l’heure présente »
 samedi & dimanche 26 & 27 septembre 
à La Clarté-Dieu, 95 rue de Paris, 91400 Orsay  

Vous trouverez le programme détaillé et les modalités d’inscription sur le site du CEP 


Une initiation à la science médicale et musicale de sainte Hildegarde

est proposée en option aux participants le vendredi après-midi 25 septembre

​​​​​​​

Les activités à venir du CEP - le blog petrus.angel

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2020 5 04 /09 /septembre /2020 11:22

A Lille les samedi 7 et dimanche 8 novembre

C'est le colloque 2020 du Cercle Scientifique et Historique, le CESHE !

Si le monde savait ...

Vous trouverez, en cliquant ICI :

• la présentation du colloque

• le programme

• la feuille d'inscription

En vous inscrivant avant le 10 septembre, vous bénéficierez de tarifs préférentiels, et vous faciliterez l'organisation !

Ne manquez pas d'en parler autour de vous... et au-delà !

Partager cet article
Repost0
2 septembre 2020 3 02 /09 /septembre /2020 11:02

gUADA

Partager cet article
Repost0
2 septembre 2020 3 02 /09 /septembre /2020 08:56
Partager cet article
Repost0
29 août 2020 6 29 /08 /août /2020 13:12

Le froussard et l'inconscient

ou comment on reconnaîtra plus tard ceux qui ont bien porté le masque.

Partager cet article
Repost0
29 août 2020 6 29 /08 /août /2020 11:06

 

 

Partager cet article
Repost0
28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 09:25

Mgr Ginoux : “Un courant laïciste, avec une idéologie agressive, veut arracher l’âme de la France”

Mgr Ginoux : “Un courant laïciste, avec une idéologie agressive, veut arracher l’âme de la France”

Le site Riposte catholique a traduit une partie de l’entretien accordé par Mgr Ginoux, évêque de Montauban, au média italien La Nuova Bussola. Extraits :

En France l’Etat est propriétaire des Cathédrales (1 par diocèse) construites avant 1905 (Loi de Séparation de l’Eglise et de l’Etat). Selon cette loi les églises paroissiales (construites avant 1905) sont la propriété des communes. Les propriétaires ont donc le devoir d’entretenir ces bâtiments pour permettre leur utilisation en toute sécurité. Mais des courants forts venus d’une mentalité laïciste s’efforcent de passer outre cette obligation, soutenant que l’Etat ne doit pas financer l’entretien des édifices du culte.  De plus la présence importante de l’Islam qui construit des mosquées est un prétexte pour ne pas « favoriser » une autre religion. L’égalitarisme apparaît comme un impératif pour ne pas entretenir les églises catholiques.

Il faut donc être patient et revenir souvent à la charge pour obtenir le nécessaire. De plus en plus, lorsque des édifices ou des chapelles présentent un risque pour les usagers il est plus facile de les fermer que de trouver les fonds nécessaires à leur restauration (…)

Le Président de la République a évoqué la Cathédrale Notre-Dame comme un trésor de la culture. Ce n’est pas faux mais c’est d’abord et avant tout l’expression de la foi chrétienne de nos ancêtres et de ces siècles qui ont façonné la France, c’est-à-dire les « racines chrétiennes » de notre pays. On a pu dire que « les cathédrales sont le miroir de la France » car s’y retrouvent la vie des hommes et leur rencontre avec le Dieu qui se fait homme. Il est certain qu’un courant laïciste, avec une idéologie agressive, veut arracher ainsi l’âme de la France (…)

Les actes contre les lieux de culte catholiques, les prêtres (Père Hamel) et les attaques physiques et morales se sont multipliés ces dernières années et sont peu réprimés par la justice. On rappelle souvent que « l’Eglise doit pardonner » ! Il y a longtemps que la France n’est plus « la fille aînée de l’Eglise » ou alors c’est une fille qui oublie ses origines. Nous sommes dans un temps de déchristianisation forte où la tradition chrétienne n’irrigue plus la culture contemporaine. Les jeunes pour la plupart sont totalement ignorants de la religion de leurs pères. Ils peuvent donc être entraînés vers des impasses mortifères (…)

Monseigneur Rey a raison d’affirmer que la société française se durcit sous l’influence du laïcisme qui dénonce tout ce qui paraît favoriser le catholicisme et sous l’influence d’un courant islamique qui veut imposer sa présence. Le laïcisme a fait interdire des affichages anti-avortement ou empêché des conférenciers de s’exprimer dans certains endroits (Sciences-Po à Paris). Ces jours-ci un député dans son discours à l’Assemblée Nationale estime qu’un évêque n’a pas le droit d’exprimer une opinion sur les projets de lois. Les signes religieux comme les croix ne peuvent pas être portés dans la fonction publique. En revanche le voile islamique s’est imposé largement, les produits hallal ont des rayons très importants dans les grandes surfaces qui, comme les médias, font de la publicité spéciale pour le Ramadan. La société est de plus en plus marquée par la présence de l’islam (…)

C’est sans aucun doute par les médias que les attaques sont les plus fortes car ces attaques se présentent comme la vérité. Pour le cas du cardinal Barbarin les médias tiennent à rappeler l’affaire Preynat pour évoquer le scandale qui a frappé le cardinal. Nous savons que les médias peuvent tuer quelqu’un et nous l’avons vu largement sur le terrain politique. Ils sont aussi la cause de beaucoup de peurs : la peur des médias paralyse beaucoup de responsables dans l’Eglise (…)

 

Partager cet article
Repost0
27 août 2020 4 27 /08 /août /2020 15:53
Partager cet article
Repost0
27 août 2020 4 27 /08 /août /2020 13:59

L'adaptation par René Clair (1945) des Dix petits .... hommes de couleur, roman d'Agatha Christie

Partager cet article
Repost0
27 août 2020 4 27 /08 /août /2020 10:26
Partager cet article
Repost0