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26 juillet 2020 7 26 /07 /juillet /2020 09:21

Coronavirus : Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment.

Aucune.

Coronavirus : Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune.

En mars, les masques ne servaient à rien. En juillet, les masques sont nécessaires. En mars, il ne servait à rien de faire des tests dans les aéroports. En juillet, c’est nécessaire. Comment fait-on pour croire ce que nous dit ce gouvernement ?

Le Dr. Yonathan Freund est médecin urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, et professeur à l’université de la Sorbonne. Il s’est exprimé le 17 juillet sur Twitter sur l’évolution actuelle de l’épidémie de Coronavirus et sur l’obligation de porter un masque dans les « lieux clos recevant du public ». Voici l’intégralité de son fil Twitter :

« C’est difficile effectivement de rester silencieux. Quand je vois le délire alarmiste qui envahit les médias et les RS [réseaux sociaux], et qui fait fi de toute mesure. Des journalistes qui infantilisent, ceux qui veulent « punir » les français mal disciplinés… Alors on va debunker un peu.

1) Allez, je fais du #moije comme on me le reproche. Ma position n’est pas imprudente. Je livre une analyse que j’espère circonstanciée et critique des données. Je rappelle que si mon hypothèse est contredite par les chiffres, alors on pourra agir et ce ne sera pas trop tard.

2) Le délire de certains spécialistes en rien sauf en plateau télé et en consultation privée, n’ayant jamais vu un patient COVID, qui nous « apprennent » que l’épidémie reprend : rien ne justifie ces discours. A part la peur.

3) Voilà 2 mois qu’il existe des arguments pour douter d’une seconde vague meurtrière et une reprise de l’épidémie. Les épidémiologistes chefs d’entreprise vendeurs de modèles nous prédisaient 80 000 morts à la levée du confinement même avec gestes barrières. RAS. Il n’y a eu aucune reprise nulle part. Les évènements et comportements qu’on adorait critiquer (fête de la musique, manifestations etc.) n’ont causé aucune reprise. Il y a une circulation du virus. Il y a des nouveaux cas. MAIS, 

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21 juillet 2020 2 21 /07 /juillet /2020 15:48

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20 juillet 2020 1 20 /07 /juillet /2020 16:12

 

Depuis quelques jours, dans un blackout médiatique total – quels médias en ont dit ne serait-ce qu’un mot ? – les députés travaillent sur la révision de la loi dite de bioéthique, qui n’a vraiment rien d’éthique. Mensonge éhonté !

On aurait pu s’attendre à ce que le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif se consacrent à plein, dans la crise sanitaire et la crise économique, au bien commun : redonner de la confiance aux citoyens, des moyens pour la santé, des soutiens aux activités économiques, locales comme nationales, se remettre en question sur la gestion de la crise.

Las, le système politique en place, pointé et retoqué quatre fois, en quelques mois, par le conseil constitutionnel ou le conseil d ’Etat, pour ses lois liberticides – sur les rassemblements privés, la liberté de culte, le droit de manifester, la loi Avia – vient repousser encore les digues de l’indécence la plus infâme sur la dignité de la vie humaine : mise en place du dépistage prénatal pour éliminer tout enfant handicapé dans le ventre de sa mère, création d’embryons chimères humain-animal pour expérimentation, autorisation de conception de bébés médicaments pour obtenir des cellules aptes à guérir d’autres enfants, autorisation d’échanger les gamètes entre deux compagnes pour obtenir « deux mères », autorisation de créer des enfants sans père…

Et tout cela, remboursé par la sécurité sociale ; comme au temps du nazisme, la personne humaine n’est plus soignée, mais est un sujet d’expérimentation : la médecine est dévoyée, la population manipulée.

M. Macron vous aviez parlé de chaos si votre adversaire était élue ; peut-être. Sur le respect de la Vie, la dignité humaine ou la transparence, le chaos, le scandale, l’inadmissible, sont là : vous en portez la responsabilité et aussi tous ceux qui vous soutiennent et collaborent à cette action. Honte !

De l’abbé Pattyn, curé de La Trinité en Beaujolais 

Projet de loi ni bio ni éthique : les décryptages de Ludovine de ...

 

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18 juillet 2020 6 18 /07 /juillet /2020 09:35

Déniché par EVR...

Hagia Sophia

Le président turc Erdogan vient de rétablir, vendredi dernier, le statut de mosquée à l’ex-basilique Sainte-Sophie d’Istanbul. Ce geste devrait éclairer ceux qui doutent encore du caractère conquérant de l’Islam et leur faire prendre conscience de la volonté des islamistes d’imposer l’identité et la supériorité musulmanes au monde chrétien.

Dans l’article ci-dessous, Annie Laurent, docteur en science politique et fondatrice de l'association Clarifier (qui vise à éclairer sur les réalités de l’Islam) nous commente cet événement.

Le 10 juillet 2020 restera dans l’histoire de la Turquie comme le jour où le culte musulman a été restitué à Sainte-Sophie. Un arrêt pris à cette date par le Conseil d’État a invalidé le décret du 24 novembre 1934 par lequel Mustafa Kemal Atatürk, fondateur de la République turque (1923), avait transformé le prestigieux édifice en « musée offert à l’humanité », qui sera inscrit en 1985 sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Aux yeux de la haute juridiction d’Ankara, Sainte-Sophie (Sagesse divine, Hagia Sophia en grec), basilique byzantine inaugurée en 537 sous le règne de l’empereur Justinien, devenue mosquée après la prise de Constantinople par Mehmet II le Conquérant (29 mai 1453), ne pouvait plus changer d’identité. Atatürk avait donc enfreint un principe sacré pour les musulmans, à savoir qu’un lieu où certains d’entre eux ont prié devient aussitôt « terre d’islam », et ceci pour toujours.

Son successeur actuel, Recep Tayyip Erdogan, rêvait depuis longtemps d’être celui par qui « justice » serait rendue à Sainte-Sophie (Aya Sofia en turc) et par conséquent au peuple turc. Ce projet s’inscrit d’ailleurs dans une démarche (visant…) à la réislamisation du droit et des mœurs, conformément au programme de sa formation politique, le Parti de la Justice et du Développement (AKP), d’obédience islamiste, et en promouvant la restauration de la fierté ottomane avec l’appui de son allié, le Parti de l’Action nationaliste (MHP). (…)

Sans attendre (la première prière publique qui aura lieu le 24 juillet), l’appel à la prière s’est élevé avec force des quatre minarets qui encadrent l’ancienne basilique byzantine tandis qu’une foule de musulmans se prosternait sur l’esplanade pour accomplir le rite.

Pour Erdogan, l’humanité doit savoir que l’Islam vaincra. Dans cette confrontation, Sainte-Sophie, jadis conquise contre une puissance chrétienne, joue un rôle essentiel.

Le président turc a éclairé le sens profond de sa décision dans une allocution télévisée, prononcée dans la soirée. « Aujourd’hui, la Turquie s’est débarrassée d’une honte. Sainte-Sophie vit à nouveau une de ses résurrections, comme elle en a déjà connu plusieurs. La résurrection de Sainte-Sophie est annonciatrice de la libération de la mosquée El-Aqsa », à Jérusalem. « Elle signifie que le peuple turc, les musulmans et toute l’humanité ont de nouvelles choses à dire au monde. »

Ces paroles s’inscrivent dans un contexte de confrontation entre l’Islam et l’univers non musulman. Par son allusion à Jérusalem, le reïs, qui aspire à la restauration du califat dont il se verrait bien titulaire, entend montrer que son pays défend la cause palestinienne au moment où d’influents États arabes, sunnites comme la Turquie, semblent l’avoir abandonnée en laissant les États-Unis gérer la question à leur guise, voire en nouant des relations plus ou moins officielles avec Israël. Plus largement, c’est l’identité et la supériorité musulmanes qu’il s’agit d’imposer partout, à commencer par la Turquie bien sûr où le petit reste chrétien (moins de 1% des 83 millions d’habitants) subit d’incessantes humiliations. Mais cela vaut aussi pour l’Occident, surtout l’Europe où le régime turc finance un nombre croissant de mosquées alors que s’y développe un refus populaire d’admettre la Turquie musulmane dans l’Union européenne.

Autrement dit, pour Erdogan, l’humanité doit savoir que l’Islam vaincra. Dans cette confrontation, Sainte-Sophie, jadis conquise contre une puissance chrétienne, joue un rôle essentiel. La mosquée devient une arme de guerre, comme l’écrivait le poète turc Ziya Gökalp (1875-1924) : « Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casernes et les croyants nos soldats. » (…)

La reconversion de Sainte-Sophie inflige un véritable affront au monde chrétien. En témoignent certaines réactions, (…) À Moscou, le porte-parole du patriarche Kirill a déclaré : « Nous constatons que l’inquiétude des millions de chrétiens [dans le monde] n’a pas été entendue. » Dans l’Église catholique, (le) pape François (…), (ce) dimanche 12 juillet,  a (déclaré): « Ma pensée va vers Istanbul. Je pense à Sainte-Sophie et je suis très affligé. » (…)

L’Union européenne a fait part de ses « regrets ». Mais s’en tenir à des déclarations sans lendemain ne peut que conforter aux yeux d’Ankara la faiblesse de l’Europe alors que cette dernière devrait saisir la provocation d’Erdogan pour lui annoncer officiellement l’arrêt définitif du processus d’intégration de la Turquie dans l’Union. Assurément, le geste d’Erdogan place les États et les Églises devant des défis redoutables. Auront-ils le courage de les relever ?

sur le site Aleteia, 14 juillet 2020

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18 juillet 2020 6 18 /07 /juillet /2020 08:41

En ce moment sur RMC Story. Et sans doute en replay rediffusion ...

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18 juillet 2020 6 18 /07 /juillet /2020 08:27

L'ombre de Staline

Un film historique peu médiatisé ... A voir !

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14 juillet 2020 2 14 /07 /juillet /2020 11:54

SE FORMER EN LIGNE POUR “RETROUVER LE SENS DE L’ESSENTIEL”

Pendant cette période de déconfinement, Ichtus vous propose chaque jour, en accès libre, des textes, des audios et des vidéos ainsi que des liens utiles pour retrouver le sens de l’essentiel”.

Découvrez ces thèmes. Il y en a pour tous les goûts et tous les âges. De la formation culturelle à la formation plus doctrinale en passant par des exercices physiques, des prières, des livres pour les jeunes, de la musique, des musées, des livres d’arts …

 

Ichtus

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13 juillet 2020 1 13 /07 /juillet /2020 10:02

                  Se former pour agir cet été ?  Polis 
 
 Une retraite cet été ?  Religio

                         Des livres pour l’été ?  Lire

                         Des récrés même en été :  Récré

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11 juillet 2020 6 11 /07 /juillet /2020 09:49

Déniché par EVR...

 

Dans trois jours, la République fêtera le 14 juillet, l’anniversaire de la prise de la Bastille. Voici deux textes qui tirent des leçons de cette triste journée : de l’historien Jacques Bainville (1879,1936) et du romancier Jean Dutourd (1920,2011)

Supposons qu'on apprenne ce soir qu'une bande de communistes, grossie des éléments louches de la population, a donné l'assaut à la prison de la Santé, massacré le directeur et les gardiens, délivré les détenus politiques et les autres.

Supposons que cette journée reste dépourvue de sanctions, que, loin de là, on la glorifie et que les pierres de la prison emportée d'assaut soient vendues sur les places publiques comme un joyeux souvenir.

Que dirait-on ? Que se passerait-il ?

D'abord les citoyens prudents commenceraient à penser qu'il ne serait pas maladroit de mettre en sûreté leurs personnes et leurs biens. Tel fut, après 1789, le principe de l'émigration. Mais peut-être y aurait-il aujourd'hui plus de français qu'en 1789 pour accuser l'imprévoyance et la faiblesse du gouvernement et pour les sommer de résister à l'émeute.

Aujourd'hui le sens primitif du 14 juillet devenu fête nationale est un peu oublié et l'on danse parce que c'est le seul jour de l'année où des bals sont permis dans les rues. Mais reportons-nous au 14 juillet 1789 comme si nous en lisions le récit pour la première fois. Il nous apparaîtra qu'il s'agissait d'un très grave désordre, dont l'équivalent ne saurait être toléré sans péril pour la société, qui a conduit tout droit en effet à la Terreur et au règne de la guillotine, accompagnée des assignats. Et le gouvernement qui a laissé s'accomplir sans résister ces choses déplorables serait digne des plus durs reproches.

Nous avons connu un vieux légitimiste qui disait, en manière de paradoxe, que Louis XVI était la seule victime de la Révolution dont le sort fût justifié. Quel avait donc été le tort de Louis XVI ? Quand on lit les Mémoires de Saint-Priest, on s'aperçoit que l'erreur du gouvernement de 1789 n'a pas été d'être tyrannique (il n'était même pas autoritaire) ni d'être hésitant, ni d'être fermé aux aspirations du siècle. Son erreur, énorme et funeste, a été de ne pas croire au mal. Elle a été de ne pas croire qu'il y eût de mauvaises gens, des criminels capables de tout le jour où ils ne rencontrent plus d'obstacle.

Saint-Priest montre Louis XVI dans toutes les circonstances, et jusqu'au 10 août, ou peu s'en faut, convaincu que tout cela s'arrangerait et que ni les émeutiers de la Bastille ni les révolutionnaires n'étaient si méchants qu'on le disait, et d'ailleurs, au moins au début, bien peu de personnes le lui disaient. A la Convention, pendant son procès, Louis XVI répondait encore poliment, comme à des juges impartiaux et intègres. D'ailleurs on peut voir dans les Mémoires de Broussilof, qui viennent d'être présentés au public français par le général Niessel, que Nicolas II avait sur l'espèce humaine exactement les mêmes illusions, les mêmes illusions mortelles. Malheur aux peuples dont les chefs ne veulent pas savoir qu'il existe des canailles et restent incrédules quand on leur dit qu'il suffit d'un jour de faiblesse pour lâcher à travers un pays ses plus sinistres gredins !

Jacques Bainville dans son Journal - Tome III, 15 juillet 1929 

Il faut se garder de donner un nom aux choses : tant qu'elles n'en ont pas, elles n'existent pas, ou elles existent à peine ; en revanche, sitôt qu'elles sont désignées, décrites, exprimées, cataloguées, fût-ce faussement, on peut tout redouter. Les États généraux de 1789 ont commencé la Révolution en attribuant des noms officiels à des désirs, des aspirations, des idéaux et des chimères qui étaient vagues jusque-là, ou qu'on ne trouvait que dans les libelles des philosophes. La prise de la Bastille, ensuite, ne fut, comme dit Rivarol, qu'une « prise de possession ». Avec un peu de troupe, cet acte de violence, dont devaient sortir tant d'autres actes de violence, eût été évité. Mais le roi ne voulait pas « faire couler le sang français », ce qui est certes d'un brave homme, mais non d'un homme d'État qui ne se soucie pas d'avoir les mains propres ou sales, ni d'un roi, c'est-à-dire d'un spécialiste du gouvernement, sachant qu'une saignée pratiquée opportunément empêche que, plus tard, ce ne soit des torrents de sang qui coulent. Michelet appelle la période pendant laquelle régna Napoléon 1er le « tombeau de l'Empire » : le destin des millions de jeunes hommes qui sont descendus dans ce tombeau a été scellé le 14 juillet 1789. Deux escadrons la carabine pointée ou le sabre à la main eussent arrêté sans doute, par leur seule vue, les mille ou douze cents émeutiers parisiens qui vinrent à bout des huit tours et des murs de trois mètres d'épaisseur, défendus par des canons.

Jean Dutourd dans Le feld-maréchal von Bonaparte (Flammarion, 1996)

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10 juillet 2020 5 10 /07 /juillet /2020 08:48

Le maestro italien s’est éteint ce lundi 6 juillet 2020.

Retour en podcast sur quelques émissions consacrées à Ennio Morricone diffusées récemment ou au cours des dernières années.

Ennio Morricone

 

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4 juillet 2020 6 04 /07 /juillet /2020 11:57

selon "Permanences"

N°581 Le monde d'après ? - Ichtus

Parvenu aux affaires en 2017, Emmanuel Macron avait pour promesse de connecter la France aux défis du nouveau monde. D’une certaine manière, nous n’avions pas le choix : ce nouveau monde était inéluctable, rien ne pouvait empêcher son avènement, il fallait donc s’y adapter. À peine trois ans plus tard, à la faveur d’un méchant virus, le nouveau semble déjà obsolète et Emmanuel Macron a changé soudainement de registre pour annoncer le monde d’après, un monde dans lequel rien ne serait plus comme avant. La nouvelle promesse laisse dubitatif. Cependant, s’il doit y avoir un changement, un monde d’après, à quelles conditions est-il envisageable ? Peut-il être conduit par ceux-là mêmes qui sont responsables des failles révélées par la crise sanitaire ? Dans ce numéro, la rédaction de Permanences a interrogé cinq personnalités et intellectuels aux compétences variées pour fournir des éléments de réflexion sur les contours d’un changement souhaitable : renouveau philosophique, sursaut spirituel, retour de la nation comme communauté politique, retour du politique face au marché, réindustrialisation, patriotisme économique… 

POUR EN SAVOIR PLUS ET COMMANDER 

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3 juillet 2020 5 03 /07 /juillet /2020 21:39

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30 juin 2020 2 30 /06 /juin /2020 09:02
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30 juin 2020 2 30 /06 /juin /2020 08:54

"Le café où on est seul, mais en public"

 

Howard Schultz veut entraîner ses compatriotes dans un monde comparable à un Starbucks géant où le noir américain de Ferguson pourra boire une mixture à 6 dollars avec un WASP des Hamptons sous le regard bienveillant de grands patrons moraux qui n’auraient qu’un but : promouvoir la diversité à tout prix. La suite...

Lire aussi : Un million d'arbres abattus...

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21 juin 2020 7 21 /06 /juin /2020 17:08

Lettre ouverte aux femmes à l’occasion de la fête des pères 2016

Pere-de-famille

Vous qui souhaitez avoir une famille, une vraie, vous qui souhaitez avoir un mari et un père pour vos enfants, un vrai, vous êtes peut-être concernées par ces quelques lignes. Mais le sujet étant complexe, avant de l’aborder, permettez-moi de faire un rapide état des lieux.

L’absence des pères au sein des foyers est une blessure si grande et si fréquente que le corps enseignant a dû débaptiser leur fête, devenue la fête des parents, la célébration de ceux qui s’aiment… ou autres digressions qui donnent une idée très claire de la dissymétrie et du déséquilibre entre les mères toujours au pinacle et les pères de plus en plus inexistants.

Aujourd’hui, la gent masculine n’est pas particulièrement «  à la fête »… Virilité décriée, jeunes garçons déroutés… Mâles inhibés, complexés, certes gentils, mais dévirilisés et incapables d’entreprendre… Fanfarons qui veulent faire croire que… Mâles frustrés de leur autorité, etc., les cas de mal-être ne manquent pas. Néanmoins, le bon père de famille existe aussi.

La suite ...

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21 juin 2020 7 21 /06 /juin /2020 15:00

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21 juin 2020 7 21 /06 /juin /2020 14:32

21 juin 1429

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18 juin 2020 4 18 /06 /juin /2020 16:35

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17 juin 2020 3 17 /06 /juin /2020 23:00

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17 juin 2020 3 17 /06 /juin /2020 07:59

L'aventurier et écrivain Jean Raspail s'est éteint le 13 juin 2020. Un autre écrivain de la famille des voyageurs, Sylvain Tesson, lui rend hommage.

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16 juin 2020 2 16 /06 /juin /2020 09:45

 

Jean Raspail n’était pas l’homme d’un livre et si cela devait être le cas assurément cela ne serait pas le « Camp des saints ».
Jean Raspail était un écrivain voyageur à l’instar d’un Nicolas Bouvier ou d’un Lawrence Durrell. La Patagonie était son univers, réel autant que rêvé, une terre de passions et d’ambitions que ses personnages traversaient et que lui-même s’était approprié allant jusqu’à s’instituer, en 1981, consul général de Patagonie. Les Pikkendorff (titre de son dernier ouvrage), un fil d’Ariane familial dont la présence discrète ou forte structurait la logique et la continuité de son œuvre.

Jean Raspail ne mérite pas d’être réduit à un seul ouvrage que l’on se plait, un demi-siècle après sa sortie, à sortir de son contexte et à interpréter de façon erronée.  
Jean Raspail était le créateur, au sens propre, d’une œuvre forte, dont l’humanisme constitue assurément un puissant dénominateur. Cette œuvre était portée par un style dont le classicisme n’interdisait ni la force ni l’humour, le tout au service d’une imagination qui savait se jouer du lecteur et plongeait celui-ci dans le plaisir d’une lecture revigorante.

Jean Raspail est mort mais ses livres sont vivants. Tourner les pages de « Sire », « l’anneau du pêcheur », « Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie », « Sept cavaliers… », « le Roi au-delà des mers », « les royaumes de Borée » est une évasion qui déconfine assurément l’esprit du lecteur. Ces livres sont intemporels car privilégiant le réalisme de l’humain et l’imaginaire de l’histoire.

Maintenant s’il ne devait en rester qu’un « Qui se souvient des hommes » emporterait la palme. Ce livre n’est pas un roman comme les autres. Il est comme « Martin Eden » de Jack London, le « Poisson Scorpion » de N. Bouvier ou « les Pierres Sauvages » de F. Pouillon de ces livres dans lesquels leurs auteurs se sont fondus dans les mots et les pages afin que leurs récits soient à la fois le leur et le nôtre.

« Qui se souvient des hommes » est un ouvrage de cette trempe qui oscille entre récit et roman vrai, qui raconte une histoire souvent ignorée, celle des Alakalufs, avec un humanisme transcendant invitant le lecteur à s’interroger sur l’humanité en générale et la sienne en particulier. L’écrivain voyageur qu’était Jean Raspail avec « Qui se souvient des hommes » a su rappeler qu’il n’y a pas de belles histoires aussi tristes soient-elles sans de belles personnes et cela même si l’homme est un loup pour l’homme. Aujourd’hui, où le mot distanciation est devenu partie intégrante de notre vocabulaire et rythme nos vies privées et professionnelles, « Qui se souvient des hommes » abroge cette distanciation et nous rapproche au plus près de notre humanité en nous rappelant que la différence doit être vue sans condescendance ni crainte mais doit susciter le respect et l’émotion…autant dire tout le contraire de ce que certains veulent voir en résumant Jean Raspail au « Camp des saints ».

Je ne suis pas un critique littéraire, n’en ayant ni la plume ni l’envie, juste un lecteur et à ce titre et uniquement à celui-ci pouvant témoigner que la lecture de « Qui se souvient des hommes » fait de son lecteur un homme meilleur. Et celui qui l’a lu sait alors qu’avec la disparition de Jean Raspail il a perdu un ami. Alors, si cet hommage maladroit peut convaincre quelques-uns de ne pas s’arrêter aux notices nécrologiques orientées « politiques » et tant réductrices et se plonger dans un livre de Raspail assurément cela n’aura pas été un exercice vain.   

L'article complet de Nicolas Lerègle sur le Journal de l'Economie.

 

Jean Raspail, l’écrivain qui se souvenait des Hommes
 

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15 juin 2020 1 15 /06 /juin /2020 14:37

 

L'auteur du "Camp des Saints" est décédé samedi 13 juin

" Au-delà des divergences et des combats idéologiques, rappelons qu’un écrivain se lit d’abord. Que pour se faire une idée de l’homme, il faut plonger dans son œuvre, s’y imprégner, en saisir le suc et la violence, batailler avec ses mots et toucher une part de son identité. "

Lisez ICI l'article complet.

 

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15 juin 2020 1 15 /06 /juin /2020 09:28

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11 juin 2020 4 11 /06 /juin /2020 18:10

Le "déconfinement" en cours conduit sans doute la plupart d'entre nous à retourner à la vraie vie, aux rencontres réelles, certes à distance (sociale...), sur les terrasses, et par conséquent à la moindre fréquentation d'Internet, de ses sites et de ses blogs ... 

Vous nous voyez venir.

Pourriez-vous faire suivre tel ou tel article , ou le lien avec le blog, à 3, 10 ou 1000 amis ? Et relayer via vos réseaux sociaux... Petrus Angel est sur Facebook ...

Merci de nous donner envie de continuer !

 

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9 juin 2020 2 09 /06 /juin /2020 15:08

On se demande pour quelles raisons Emmanuel Macron a bien pu choisir Sibeth Ndiaye comme secrétaire d’Etat porte-parole du gouvernement.

Je ne le crois pas assez cynique pour l’avoir nommée parce que c’est une femme noire, il ne serait pas capable d’un pareil coup tordu, ce qui équivaudrait, par exemple, à choisir un ministre de la culture parce qu’il serait homosexuel! Ces manœuvres communautaristes et bassement électoralistes seraient indignes d’un président de la République ayant souhaité que figurent les œuvres du général de Gaulle sur sa photo officielle et qui a fait ajouter une croix de Lorraine sur le logo de communication de l’Elysée.

Je ne le crois pas assez immoral pour l’avoir désignée parce qu’elle savait mentir dans les grandes largeurs – qu’on se souvienne de son: «J’assume de mentir pour protéger le Président ». Un chef de l’Etat qui a choisi L’Immoraliste  de Gide pour accompagner le général de Gaulle sur une photo de lui et de son bureau envoyée dans toutes les mairies de France ne saurait couvrir une pareille infamie.

Je ne crois pas non plus que ce soit parce qu’elle fume comme un sapeur sur son lieu de travail et tient élégamment sa clope au bord des lèvres comme Jean Gabin dans un film de Jean Grémillon.

La suite de l'article de Michel ONFRAY

DES NOUVELLES DU RADEAU DE LA MEDUSE - La semaine vue par Michel ...

 

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