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1 décembre 2019 7 01 /12 /décembre /2019 20:15

Jacques Bainville dans "Les conséquences politiques de la paix" : « A des sommes prodigieuses de dévouement et de sacrifice répondent des abîmes d'ignorance. Grand est le nombre des hommes qui subissent, qui vivent, souffrent et meurent sans avoir interrogé. Petit le nombre de ceux qui cherchent à déchiffrer les causes pour lesquelles ils payent jusque dans leur chair. (…) D'ordinaire, en politique, les effets sont aperçus quand ils commencent à se produire, c'est-à-dire quand il est trop tard. Le principe de causalité, qui tourmente à peine les hommes, est encore plus indifférent aux peuples. (...) Pour que les conséquences apparaissent aux nations, il leur faut des catastrophes ou le recul de l'histoire. Elles se résignent à vivre entourées de forces invisibles, comme les génies des Mille et Une Nuits, qu'elles blessent sans le savoir et qui exigent des comptes tout à coup. »
 

Près d’un siècle sépare vos écrits de ceux de Jacques Bainville, pourtant, rien ne semble avoir vraiment changé, la grande majorité des hommes demeure cloîtrée dans un puits de méconnaissance et pire que cela, semble se complaire dans cet aveuglement…

Extrait d'un entretien lu ICI

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1 décembre 2019 7 01 /12 /décembre /2019 10:05

au sommaire de cette nouvelle revue

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29 novembre 2019 5 29 /11 /novembre /2019 12:39

Demain à Paris.

"Le Salon des Ecrivains catholiques se tient chaque année début décembre dans la salle des fêtes de la Mairie du VIe arrondissement de Paris où nous sommes toujours très bien accueillis par le Maire, monsieur Jean-Pierre Lecoq et par son épouse. (L’Association était autrefois domiciliée tout à côté, 82 rue Bonaparte, ce qui explique ce choix.) Lors de cette vente-dédicace, une centaine d’auteurs signent leurs oeuvres dont la variété est étonnante. Son entrée est libre."

La suite ...

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23 novembre 2019 6 23 /11 /novembre /2019 12:17
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23 novembre 2019 6 23 /11 /novembre /2019 10:48
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22 novembre 2019 5 22 /11 /novembre /2019 09:56
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20 novembre 2019 3 20 /11 /novembre /2019 11:44

A quelques semaines de Noël et de la Saint-Sylvestre, il était temps de faire le point sur ce chef-d’œuvre en partie en péril qu’est la cuisine française, patrimoine de l’humanité, certes, mais surtout trésor identitaire.

 

En kiosque ou ICI.

 

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19 novembre 2019 2 19 /11 /novembre /2019 10:04

La Bande -annonce...

 

« Un best-seller spirituel devient un dessin animé 3D plein d’aventures » (Famille Chrétienne) 

« Pour les amoureux de “Narnia” ou du “Seigneur des Anneaux” qui veulent initier leurs enfants, ou retomber en enfance, ce dessin-animé est fait pour eux » (Aleteia)
 

« Une touchante allégorie du long pèlerinage vers Dieu » (L’1visible)
 

Je vous livre également ce verbatim d’une petite fille de 9 ans, Philomène, qui résume bien le film :
 

« On dirait que ce film raconte l’histoire de notre vie. Je voudrais avancer vers Jésus et marcher avec lui et je n’arrête pas de tomber dans des pièges. »

 

Pour retrouver toutes les séances proches de chez, c’est ici ou ici.

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14 novembre 2019 4 14 /11 /novembre /2019 09:56

Culture et Education

A partir de ce jeudi 14 novembre à 10h45

Une nouvelle émission animée par Sophie Roubertie

Résultat de recherche d'images pour "Radio Courtoisie Sophie Roubertie"

sur Radio Courtoisie 

et en rediffusion.

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10 novembre 2019 7 10 /11 /novembre /2019 08:11

 

Il y a 30 ans, le mur de Berlin tombait, entraînant dans sa chute les régimes communistes d’Europe centrale et orientale et l’URSS. Chacun pensait que le spectre du communisme avait disparu de l’horizon de l’histoire. Or aujourd’hui, le communisme est encore au pouvoir dans une partie du monde (Chine, Corée du nord, Vietnam, Cuba) et nombre de nos « intellectuels » refusent de condamner les crimes commis par cette idéologie. L’essayiste, Thierry Wolton, auteur de l’Histoire mondiale du communisme (3 tomes chez Grasset) dénonce ce négationnisme de gauche (*) :  

 

Le négationnisme (…) désigne en général ceux qui nient l'ampleur de l'extermination des juifs par les nazis et qui contestent (…) notamment l'usage des chambres à gaz. C'est pour distinguer ce négationnisme-là que je parle de négationnisme de gauche afin de qualifier ceux qui minimisent l'ampleur des crimes communistes au XXe siècle, voire qui les justifient au nom d'une nécessité révolutionnaire, comme si la pureté de la cause était plus excusable que la pureté de la race dans le cas du nazisme. (…) Le négationnisme de gauche, celui des crimes communistes, ne rencontre pas la même réprobation que le négationnisme des chambres à gaz. (…)

La seule quantification (de morts imputables au communisme) dont je veux bien parler concerne les famines qu'ont connues un grand nombre de pays communistes (URSS, Chine, Cambodge, Corée du Nord… ).(…) Si l'on additionne ces famines, perpétrées par volonté politique, on arrive à un chiffre compris entre 50 et 70 millions de morts, ce qui équivaut au nombre des victimes des deux guerres mondiales… (…) Pareille politique criminelle est unique dans l'histoire de l'humanité, ce qui fait la singularité du communisme.

(Pour comprendre le silence général qui entoure les crimes communistes), il faut revenir à ce que fut le communisme dans l’imaginaire des hommes. La force du communisme tient au fait qu’il a répondu à des aspirations profondes, anciennes, notamment l’égalité. Il a réussi à monopoliser idéologiquement le tropisme égalitaire qui nous habite tous. Beaucoup ont cru et espéré en ce système. Sa chute représente une défaite morale, d’autant plus difficile à supporter que le bilan pratique est catastrophique. (…) Pour ne pas avoir à souffrir de cet échec, on oublie la réalité, ou alors on la déforme comme le font les négationnistes. (…) L'oubli devient un moyen d'autodéfense, pour cause de mauvaise conscience.(…)

Lorsque la notion (de crime contre l'humanité) a été définie par le tribunal de Nuremberg, nous étions au lendemain de la défaite du nazisme, défaite dans laquelle l'Union soviétique a joué un grand rôle. Se trouvant dans le camp des vainqueurs, elle a pu mettre en avant sa vision des crimes en question. Il était évident que les forfaits dont le régime nazi s'était rendu coupable correspondaient aussi aux crimes du stalinisme : déportations, exterminations de masse, entre autres. Les Soviétiques ont réussi à imposer une vision univoque de ces crimes, à les attribuer aux seuls vaincus avec la complicité des Occidentaux, qui pouvaient difficilement admettre que, pour combattre Satan, ils s'étaient alliés avec Belzébuth. Il s'est mis en place une vision manichéenne de l'histoire, avec le méchant nazisme et le bon communisme. Toute l'historiographie de l'après-guerre s'est développée autour de l'épouvantail nazi, mal absolu de l'histoire. Le communisme est ainsi devenu, au mieux, un mal relatif. (…)

La loi Gayssot de 1990, loi emblématique contre le négationnisme des chambres à gaz, (…) arrangeait (probablement) les communistes à l'époque, dont Jean-Claude Gayssot était l'un des dirigeants. Remettre en avant les crimes nazis, (…), au moment où s'effondrait le communisme à l'Est - rappelons que le mur de Berlin est tombé en novembre 1989 -, pouvait permettre au Parti communiste français de faire diversion si l'on veut, de reprendre le flambeau de l'antifascisme, de dénoncer à nouveau les effets des crimes nazis pour relativiser l'effondrement en cours et le dévoilement de la réalité communiste qui allait s'en suivre. Un négationnisme peut en cacher un autre, dans une certaine mesure, la loi Gayssot a servi à cela, à ce moment précis. (…)

L’idée (de Marx) de la lutte des classes comme moteur de l’histoire a été lourde de conséquences. Certes la lutte des classes existe, il ne l’a pas inventée, mais en en faisant un élément central pour avancer dans l’histoire, il a permis aux régimes communistes de s’en revendiquer pour construire le socialisme. C’est au nom de cette lutte que des millions de personnes ont été éliminées dans le monde. Car, à la différence des races chez les nazis, dont la place et la hiérarchie étaient définies une fois pour toutes, les classes sous un régime communiste avaient la capacité de varier en fonction de l’utilité de leur élimination par le pouvoir. Cette pensée de Marx est devenue ainsi incroyablement criminogène. D’une manière générale, sa responsabilité a été d’établir un déterminisme historique, faisant croire qu’il existe une seule voie pour mener l’humanité vers le bonheur, ce qui a justifié tous les moyens pour y parvenir. (…)

Si l'on admet que le XXe siècle a été le siècle du communisme, il est évident que nous vivons dans le postcommunisme. L'histoire est un continuum, le communisme a laissé des traces. Tout d'abord, le rejet du capitalisme et de la démocratie (…). Une partie de cette violence antisystème s'est reportée sur le terrorisme islamiste, ce qu'on appelle l'islamo-gauchisme. Une autre trace est le nationalisme : pour se maintenir au pouvoir, les communistes ont utilisé le nationalisme comme ingrédient supplémentaire afin de faire adhérer la population à leurs objectifs à mesure que le paradis promis s'éloignait. Cela a donné le national-communisme de Staline. La Chine d'aujourd'hui en est un bon exemple (…).

Il est intéressant de voir qu'une partie de ceux qui minimisent de nos jours le danger islamiste vient de ces gauche et extrême gauche qui ont tendance à nier le bilan communiste. C'est leur détestation du système occidental capitaliste qui les incite à l'indulgence vis-à-vis des djihadistes.(…) Après la défaite du nazisme et depuis l'effondrement du communisme, les ennemis des sociétés ouvertes sont les islamistes. Ce qui relie les deux idéologies, celle d'hier, communiste, et celle d'aujourd'hui, islamiste, tient entre autres à une même prétention à l'universalité, à une volonté similaire de transformer les hommes (…) (et à un) ennemi commun : nos sociétés ouvertes. (dans Valeurs Actuelles du  13/04/2019)

(*) : Le Négationnisme de gauche, Grasset, 224 pages, 2019.

 

Merci à EVR pour ce devoir de mémoire.

 

 

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9 novembre 2019 6 09 /11 /novembre /2019 08:26
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13 octobre 2019 7 13 /10 /octobre /2019 20:06

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6 octobre 2019 7 06 /10 /octobre /2019 10:02

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6 octobre 2019 7 06 /10 /octobre /2019 09:12

La couverture (en novembre dernier) d’un magazine représentant un journaliste (*), son compagnon et leurs filles, issues d’une gestation pour autrui (GPA), illustre une double déconnexion. Entre la loi et les mœurs d’abord : quand une chose est faisable, éthique ou pas, avec ou sans loi, elle se fait. Les mœurs précèdent la loi. Déconnexion aussi entre les mœurs et la technique. Avant que l’opinion publique n’en prenne conscience, des découvertes scientifiques entraînent des applications technologiques susceptibles de modifier les mœurs. Ainsi, l’actualité sociétale dont témoigne cette couverture – la GPA – est-elle déjà dépassée par l’actualité scientifique.

En effet, le 11 octobre dernier, des scientifiques chinois ont publié, dans Cell Press, un article démontrant qu’ils avaient réussi à fabriquer des souriceaux à partir de deux parents de même sexe. Les souriceaux issus de deux mères ont survécu et donné une descendance. Les souriceaux issus de deux pères n’ont pas survécu au-delà de 48 heures. Les auteurs de cette publication auraient réussi à neutraliser les régions du génome « à empreinte » paternelle ou maternelle qui rendent nécessaire la fécondation hétérosexuelle. Mais l’expérimentation comporte des zones d’ombre et elle est loin de pouvoir s’appliquer à d’autres espèces, notamment à l’espèce humaine. Il est évident que la piste de recherche visant à fabriquer des embryons humains issus de parents de même sexes sera poursuivie et que les pratiques de PMA/GPA en seront impactées. L’utérus artificiel fera le reste et la GPA ne sera plus nécessaire.

Ceci devrait nous conduire à mettre l’accent sur un aspect indigent de la réflexion bioéthique : la déréglementation de la recherche sur l’embryon qui alimente les transgressions que nous critiquons. Le seul sujet de bioéthique capable de susciter de l’intérêt est le bloc PMA pour toutes/GPA. Subtilement, le politique acceptera la PMA pour toutes et refusera la GPA. Et le débat prendra fin. Mais on n’évoque là que la partie émergée de l’iceberg. Or, ce que l’on oublie de commenter et qui figure dorénavant dans toutes les lois de bioéthique est plus grave. C’est la libéralisation progressive des diverses modalités de la reproduction pour répondre, non aux besoins des parents ou de la médecine, mais aux aspirations d’un marché qui crée à la fois l’offre et la demande. D’ores et déjà se profile la création d’embryons à trois parents, d’embryons chimériques homme/animal, d’embryons transgéniques modifiant la descendance, en attendant la création d’embryons par reproduction non sexuée qui fera partie des possibilités offertes dès que la technique sera au point. L’efficacité conduit à adosser ces évolutions à la mise en banque des gamètes, à l’extension du contrôle génétique avant la procréation, au cours de la fécondation in vitro et jusqu’au terme de la grossesse.

Il est temps de réaliser que la matrice du transhumanisme est cette reconstruction de l’humain que la fécondation in vitro nous impose depuis quarante ans. Dans ce bric à brac transhumaniste, la PMA pour toutes et la GPA sont des déclinaisons, des variantes, des options au gré des modes. Refuser l’une ou l’autre de ces transgressions est modérément utile si l’on n’interroge pas la source qui leur permet de se développer, à savoir le principe même de la PMA. Comment critiquer efficacement des pratiques en restant à l’intérieur même du cadre qui les perfectionne ? Cela signifie que se contenter de disqualifier la PMA destinée aux couples homosexuels, tenue pour non médicale, au profit de la PMA réservée aux couples hétérosexuels, tenue pour médicale, revient à nourrir le système qui continuera à imposer ses produits dérivés au fur et à mesure des avancées technologiques. La PMA qui est historiquement une transposition dans l’espèce humaine des techniques d’élevage et d’amélioration des races animales est de nature antispéciste. Réduite à un appariement de cellules, rien ne distingue la conception d’un enfant de celle d’un animal. La PMA n’est donc jamais médicale tant que l’embryon humain peut être fait, défait, refait, parfait pour répondre à la solvabilité du marché. La véritable disruption transhumaniste n’est ni la PMA pour toutes ni la GPA, qui sont des bricolages surannés, mais l’hubris consistant à assembler l’humain sur une chaîne de montage, le trier, le congeler, le décongeler, l’augmenter, le transférer, le céder à des tiers, le livrer à la recherche, le disséquer sur des paillasses et le détruire à péremption. La détermination à voir un « progrès » dans la PMA est la première marche du transhumanisme.

Jean-Marie Le Mené, Fondation Jérôme Lejeune, Valeurs actuelles du 1er novembre 2018

(*) : le très médiatique Marc-Olivier Fogiel, à la une de « Paris Match » du 11 au 17 octobre 2018

 

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5 octobre 2019 6 05 /10 /octobre /2019 19:11

Après la crise des Gilets jaunes, qui a manifesté la profondeur de la fracture sociale contemporaine, il apparaît aujourd‘hui urgent de reconstruire des communautés de destin à partir des solidarités locales et des responsabilités de chacun, dans tous les domaines de la vie sociale : éducation, famille, culture, économie, entreprise, etc.

Samedi 12 et dimanche 13 octobre, une semaine après la manifestation Marchons enfants du 6 octobre, nous nous retrouverons pour nous engager aussi sur les questions sociales : du social au sociétal, tout est lié.

Le colloque Catholiques en action est un lieu de rencontres et d’échanges qui rassemble des personnes déjà engagées dans la vie civique et ceux qui souhaitent prendre de nouveaux engagements pour le bien commun.

L’objectif premier est de leur proposer des moyens d’action concrets dans la Cité, chacun selon ses talents et ses responsabilités.

  • Le samedi 12 octobre (14h-21h) : conférences, forums thématiques, forum des associations, rencontres et dédicaces, buffet amical.
  • Le dimanche 13 octobre (9h30-13h) : messe d’envoi et conférence

Lieu : 2 rue des Vignes, Paris 75016

 

Programme du colloque 2019

Intervenants du colloque 2019

Les temps forts du colloque 2019

Télécharger : Dossier de presse-Colloque 2019

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5 octobre 2019 6 05 /10 /octobre /2019 08:33

 

Ça fait déjà près d’une heure que je marche,

Et je me demande pourquoi.

Marcher, même en foule, a-t-il souvent fait changer l’avis de nos élus ?

Marcher, même en foule, a-t-il vraiment bousculé les médias ?

Marcher, même en foule, a-t-il jamais fait bouger l’opinion ?

Et pourtant, je marche.

Avec de nombreux autres, certes ;

mais surtout avec l’étrange sentiment d’être seul,

le sentiment d’être inutile, de ne pas vivre dans mon époque,

de m’opposer à l’inéluctable, au désirable, au respectable.

Mon esprit est prompt, mais mon cœur vacille.

Mes convictions sont fortes, mais ma sensibilité les ébranle.

Qui suis-je pour nier à deux femmes qui s’aiment le droit de faire engendrer un enfant ?

Qui serai-je dans trois ans pour nier à deux hommes qui s’aiment le droit de faire engendrer un enfant ?

Un adversaire du progrès ?

Un obscurantiste ?

Un réactionnaire ?

Non, simplement un enfant !

L’enfant que je suis sans avoir jamais pu le demander.

L’enfant que je resterai jusqu’à la fin de ma vie.

L’enfant que je veux demeurer pour préserver le meilleur de moi-même.

Je reste un enfant qui ne comprend toujours pas les caprices des grandes personnes.

Cette manière qu’elles ont de refuser la réalité.

Cette manière qu’elles ont de la trafiquer.

Cette manière qu’elles ont de la plier à leurs désirs.

Le monde est en feu et les grandes personnes fument.

Les glaces fondent et elles surfent.

Les ouragans dévastent et elles bétonnent.

Leur dette explose et elles dépensent.

Elles aiment le sexe, mais lui refusent de donner ce pourquoi il est fait.

Elles détestent les OGM, mais elles ne cessent de trafiquer leurs corps.

Elles revendiquent leur liberté et le respect de leurs opinions, mais elles refusent catégoriquement celles des autres.

Elles clament leur droit à disposer de leur corps, mais elles ne voient même pas que d’autres disposent de plus en plus de leur vocabulaire, de leurs esprits et de leurs âmes.

Sans anathème, ni condamnation, il faut dire aux grandes personnes qu’elles s’égarent.

Moins par volonté que par renoncement.

Moins par conviction que par confort.

Moins par désir que par blessure.

Avec fermeté et douceur, il faut dire aux grandes personnes qu’elles nous égarent.

Moins par raison que par inconscience.

Moins par tolérance que par lâcheté.

Moins par compassion que par intérêt.

Il faut dire aux grandes personnes de respecter la nature.

Toute la nature.

Parce que, comme moi, comme vous, elles sont la nature.

Et qu’elles méritent donc d’être respectées et de se respecter.

Il faut dire aux grandes personnes que ce qui fait la beauté de la nature, c’est la diversité.

Ce qui fait la beauté de la nature, c’est la complémentarité.

Ce sont les limites qu’elle nous impose.

Ce qui fait la beauté de la nature, c’est que tout est lié.

Que nous la recevons comme nous avons reçu la vie.

Que nous la recevons comme nous accueillerons un jour la mort.

Ce qui fait la beauté de la nature, c’est qu’elle ne nous appartient pas.

Et qu’on a beau essayer de se l’approprier, elle nous échappera toujours.

Nous avons simplement charge de la transmettre intacte aux générations suivantes.

Ce qui fait la beauté de la nature, c’est qu’elle peut nous combler,

Comme cela, gratuitement, d’une manière ou d’une autre,

alors même qu’on ne l’a pas décidé.

C’est cela qu’il faut dire aux grandes personnes.

Et pour tout cela, il faut continuer de marcher.

Alors, je le fais, sans haïr, ni douter,

m’émerveillant déjà

que vous soyez tant à mes côtés !

 

Lu sur la Toile

 

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30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 20:15

Et peut-être en rediffusion

A voir ce lundi 30 septembre à 22h35

sur France 3 Hauts-de-France

CLIQUEZ ICI

"Un documentaire inédit, ce lundi soir à 22h35. Témoin des grands événements du XXe siècle,

Bernanos a été un lanceur d’alerte et un visionnaire, comme George Orwell." 

Par France 3 Hauts-de-France

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28 septembre 2019 6 28 /09 /septembre /2019 10:54

Enfin, presque ...

 

Jacques Chirac face obscure

Quelques rappels...

Quand des femmes nues attendaient le président Chirac dans son avion

Chirac ne voulait pas sauver cette France

Chirac et la franc-maçonnerie

Jacques Chirac, l’un des pires chefs d’État qu’ait connus la France

 

masque du démon Obeshimi

 

" On doit des égards aux vivants; on ne doit aux morts que la vérité " - Voltaire

" Les morts sont tous des braves types " - Brassens

R.I.P.

 

A vos commentaires courtois et sans fautes d'ortografe.

On peut aussi partager et se retrouver sur Facebook

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28 septembre 2019 6 28 /09 /septembre /2019 09:29

o !

En kiosque (parfois...) ou via Internet
Hors-Série – Les manuels scolaires, arme de désinformation massive – Version numérique (pdf téléchargeable)

Version numérique (pdf téléchargeable)

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27 septembre 2019 5 27 /09 /septembre /2019 10:44

L’image contient peut-être : texte

 

Il est parfois difficile d'y voir clair sur les enjeux "bioéthiques" aujourd'hui discutés à l'Assemblée nationale, leurs causes ou leurs conséquences...

C'est pourquoi Valeurs actuelles met gratuitement à votre disposition un recueil de tribunes, d'interviews et de papiers de fond afin de mieux comprendre les sujets abordés !

Honnêtement, ça vaut le coup 😀.

🔶 Lien de téléchargement -> 
https://bit.ly/2kW6ODd

 

(lu sur la page Facebook de Charlotte d'Ornellas)

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27 septembre 2019 5 27 /09 /septembre /2019 08:48

ICI et LA

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27 septembre 2019 5 27 /09 /septembre /2019 07:21

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27 septembre 2019 5 27 /09 /septembre /2019 06:40
Le scandale des études biaisées : “Demander aux enfants si tout va bien ne suffit pas”

Les “études” sur lesquelles s’appuient le gouvernement et les lobbies LGBT sont bidons :

Les études présentées à l’Assemblée nationale dans le cadre de l’examen du projet de loi de bioéthique ont « toutes été conduites avec un objectif militant : montrer que tout va bien pour les enfants accueillis par un couple de même sexe ». Le 5 septembre dernier, le Dr Pierre Lévy-Soussan, directeur du Centre de consultation médico-psychologique filiation de Paris (COFI-CMP) et ancien membre du Conseil d’orientation de l’Agence de biomédecine, a alerté la Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi de bioéthique, de ce constat, fait par plusieurs psychiatres de renom. L’objectif est clair : il vise à modifier la législation sur la PMA. Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) avait estimé « pertinent » de « s’appuyer sur des recherches fiables sur l’impact de cette situation ». Or « aucune étude d’impact sur le projet n’a été conduite », s’est étonné le Dr Lévy-Soussan.

En novembre 2018 déjà, le Dr Sarah Bydlowski, pédopsychiatre et chercheur associé au laboratoire de psychopathologie de l’université René-Descartes avait déclaré devant la mission parlementaire: « Notre réticence n’est pas théorique ». Elle a ainsi affirmé au député Jean-Louis Touraine qui se référait aux « travaux menés en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis ou en Belgique », qu’aucun de ces travaux, qu’elle connaissait « très bien », n’était fondé « sur des observations cliniques précises de l’enfant : tous sont fondés sur des autoquestionnaires ». Il s’agit bien d’une simple liste de questions posées aux parents, dont les réponses sont ensuite analysées. Une méthode « insuffisante » selon les professionnels, pour un sujet « aussi complexe que la filiation et l’équilibre psychique de l’enfant ».

En outre, ces études « se limitent au court terme et font l’impasse sur la vie psychique de l’enfant », a remarqué le Dr Christian Flavigy, psychiatre et auteur du Débat confisqué. « Demander aux filles de Marc-Olivier Fogiel si tout va bien ne suffit pas ». « Même si c’est encore un vrai tabou, a expliqué le Dr Lévy-Soussan lors de son audition, on se rend compte que c’est plus compliqué avec la PMA, en termes de filiation. L’existence d’un tiers complexifie les représentations. Dans les PMA actuelles, on voit les difficultés qu’ont les parents à se transformer en fils et fille. Modifier les paramètres de la PMA va donc forcément retentir sur l’enfant. » Selon lui, imposer à un enfant d’avoir « deux mères » est une « violence contre le réel ».

En 2006, le Dr Loren Marks a rapporté dans un ouvrage la « surincidence, chez les enfants se trouvant dans ce contexte, de troubles dépressifs, de toxicomanie, de troubles anxieux, de troubles de la conduite, d’idées suicidaires, voire de tentatives de suicide ». Enfin, en 2012, Mark Regnerus, professeur de sociologie à l’université du Texas, a publié une étude dans Social Science Research, qui révèle que les résultats des études sur l’homoparentalité « sont tirés souvent d’échantillons de petites taille, ne permettant pas de généraliser les résultats à la population des familles gays et lesbiennes dans son ensemble. » Ayant réalisé sa propre étude, auprès de 2 998 adultes de 18 à 39 ans, celle-ci aboutissait, entre les familles homoparentales et les autres, à des « différences notables dans de nombreux résultats, dont beaucoup sont manifestement sub-optimaux (comme les études, les états dépressifs, la situation professionnelle ou la consommation de marijuana ». « L’affirmation empirique qu’il n’existe aucune différence particulière doit cesser », concluait-il (…)

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21 septembre 2019 6 21 /09 /septembre /2019 10:54

 

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21 septembre 2019 6 21 /09 /septembre /2019 09:38
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