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18 mai 2018 5 18 /05 /mai /2018 07:58

 

L’édito – Ramadan, le carême des musulmans
par Cyril Brun


Dans notre société déchristianisée, les repères chrétiens demeurent la norme de comparaison, une sorte d’étalon de mesure pour l’inconnu religieux et moral. Confronté à des réalités nouvelles en matière de mœurs et de religion, les sociétés qui se revendiquent postchrétiennes gardent pourtant un substrat culturel (parfois bien erroné) chrétien et utilisent un vague souvenir comme repère de leur propre réflexion. C’est assez fréquent avec les étudiants qui, encore de nos jours, tentent de comprendre les religions antiques en les comparant au christianisme. C’est commun dans l’univers médiatique et politique lorsqu’il faut situer l’islam et ses rites. Même Dieu, même religion d’amour, même tolérance et pratiques semblables, c’est en tout cas ce par quoi l’inculture religieuse grandissante tend à se repérer et à se rassurer. Le ramadan n’est qu’un exemple parmi d’autres et pourtant, il n’y a pas grand-chose de commun entre lui et le carême et pour cause, il n’y a pas grand-chose de commun entre l’islam et le catholicisme, n’en déplaise aux syncrétismes les plus autorisés soient-ils. Pour en prendre la mesure, nous vous proposons, en guise d’édito, en ces premiers jours de ramadan, l’étude approfondie et simple d’accès de l’association Clarifier.

Sur InfoCatho

 

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17 mai 2018 4 17 /05 /mai /2018 09:25

 

 

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16 mai 2018 3 16 /05 /mai /2018 22:22

 

Evêque d'Amiens (✝ 600)

saint Honoré, patron des boulangersÉvêque d'Amiens, sans doute, il fut honoré au XIe siècle tant et si bien que sa renommée s'étendit à Paris où des picards émigrés lui construisirent une église. La rue Saint Honoré et le faubourg Saint Honoré l'ont rendu célèbre dans le monde entier, tout autant que la pâtisserie qui porte ce nom. Pour le reste, il nous est difficile de dire ce que sont les hautes qualités qui lui valurent un tel culte.
Au XVe siècle, fut érigée à Paris, en l'église St Honoré, la première confrérie de Boulangers ... illustration->

 

Honoré naquit au village de Port-le-Grand, en Ponthieu, au début du VIe siècle.
Quand ce jeune homme dissipé annonça à sa nourrice qu'il voulait devenir prêtre, elle était en train de faire cuire son pain. "Et quand ma pelle aura des feuilles, tu seras évêque !" se moqua la brave femme. Sous ses yeux ébahis, la pelle se mit à reverdir. En souvenir de ce miracle, en 1202, un boulanger parisien offrit 9 arpents de terre pour construire une chapelle à saint Honoré qui devint ainsi le saint patron des boulangers. (Cuisine à la française - Histoire de la cuisine - Les saints culinaires)


Martyrologe romain

Source

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16 mai 2018 3 16 /05 /mai /2018 08:30
La femme, selon les nouveaux mots du Petit Robert 2019
La société évolue, donc le dictionnaire aussi. La réalité précède les mots. Doit-on alors en conclure, au vu des nouvelles définitions inclues dans le Robert 2019, que la femme est devenue cette fashionista grossophobe, globishant des violences faites aux femmes du haut de son overboard ?

C’est un fait, la société évolue, les modes de vie changent, de nouvelles réalités apparaissent, et avec elles, de nouveaux mots. Ces derniers feront leur entrée officielle dans le monde via le Robert illustré, à paraître ce mercredi 16 mai, puis le Petit Robert, le 28 juin prochain. Ils existaient, certes, ils étaient tolérés, on les comprenait, mais l’entrée dans le dictionnaire leur donne le droit d’exister. Combien de fois les joueurs de Scrabble vérifient-ils dans le dictionnaire quelques lâches tentatives de leur adversaire, avant de décréter : « Ce n’est pas dans le dictionnaire, ça n’existe pas ! »  la suite...

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14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 07:49

 

C'est ICI

Le numéro actuellement en kiosque : Quitter 68

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13 mai 2018 7 13 /05 /mai /2018 11:26

 

 

La question économique constitue un enjeu majeur de notre temps dont la problématique n’est ni la liberté d’entreprendre, ni la propriété privée, mais le détournement de la finalité de l’activité économique. Nous sommes aujourd’hui confrontés à une sorte de soumission du politique à l’économique, avec comme conséquence palpable l’abandon du souci du bien commun et des besoins réels de la communauté nationale.
D’où la nécessité d’une réforme profonde du système économique, ce qui relève précisément du politique dont la responsabilité est de rendre possible ce qui est souhaitable ; c’est-à- dire, pour l’économie, d’être ordonnée au bien commun de la société et des citoyens.
Pour ce faire, on ne peut compter exclusivement sur la vertu des personnes. Les structures sociales doivent donner intérêt à bien faire. Or, il y existe aujourd’hui un engrenage qui contraint le dirigeant à chercher exclusivement le profit. La question peut donc se poser de savoir si nous sommes, de facto, confrontés à des structures de péché.
Assurément, le gigantisme économique contemporain, qui se déploie de manière planétaire, crée un désordre structurel lié à la déconnexion entre l’économie et la communauté nationale.
Face à ces constats alarmants, il faut désormais promouvoir un changement systémique pour remettre l’économie à l’endroit. D’où la nécessité de bâtir un nouveau catholicisme social de propositions qui puisse contribuer, avec d’autres, à construire une alternative crédible.

Pour commander le numéro, c'est ICI.

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12 mai 2018 6 12 /05 /mai /2018 09:19
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12 mai 2018 6 12 /05 /mai /2018 08:48

 

Retrouvez toutes les Récrés de Petrus Angel !

Résultat de recherche d'images pour "la récré sempé"

 

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11 mai 2018 5 11 /05 /mai /2018 15:58

 

Les saints dits "de glace" Mamert, Pancrace et Servais seraient depuis longtemps tombés dans l’oubli s’ils n’avaient pas été associés à des dictons bien connus aujourd’hui encore des jardiniers. Selon la tradition populaire, ils ont la réputation d'apporter le froid et la gelée, signature d'un ultime sursaut de l'hiver : "Les Saints Servais, Pancrace et Mamert : à eux trois, un petit hiver". Mais d’abord, qui sont ces fameux saints ? Mamert, évêque de Vienne et décédé en 475, a institué les Rogations (prières de demande liturgique), rite qui se déroule durant les trois jours précédant l’Ascension, en vue de préserver la campagne des calamités atmosphériques. Pancrace, martyr, né en 290 et mort à Rome durant la persécution de Dioclétien à l'âge de 14 ans, est le patron des enfants. Servais, né vers 300 et décédé en 384, fut évêque de Tongres en Belgique. Ils furent fêtés les 11, 12 et 13 mai par les catholiques jusqu’au concile Vatican II qui les a remplacés par Estelle, Achille et Rolande.



Nul ne connaît la date, même approximative, à laquelle ce dicton a été forgé. Il a vraisemblablement vu le jour au Moyen Âge, à une époque où la plupart des habitants ne disposait ni de montre, ni de calendrier, et bien entendu encore moins de statistiques chiffrées relatives aux risques de gel. Les fêtes des saints, annoncées par le prêtre à la messe du dimanche, constituaient les seuls repères précis permettant de juger de l’avancement des saisons. Or, la mi-mai apparaît comme un moment clef dans l’année, où les plantes, sortant de terre et les bourgeons débourrant, sont très fragiles vis-à-vis du gel. De fait, ces trois saints, que l’on invoquait afin qu’ils intercédassent auprès de Dieu pour que le temps fût propice aux cultures, furent placés dans cette zone du calendrier proche de la fin du printemps afin que leur supposée influence soit la plus efficace possible.

Au fil des siècles, le sens du dicton a évolué et ces trois jours de la mi-mai, initialement dévolus à des saints protecteurs, ont été perçus comme une période à haut risque de frimas destructeurs. Bon nombre de jardiniers sont, aujourd’hui encore, persuadés que ces saints de glace présentent des risques de gel supérieurs aux jours qui les précèdent et les suivent ! Mais qu’en est-il réellement ? Si on s’intéresse stricto sensu aux trois saints de glace des 11, 12 et 13 mai, la météorologie moderne a montré que ces jours-là n’étaient en moyenne, pas plus froids que les précédents. Ils correspondent cependant, pour certaines régions tout au moins, aux dates des gelées les plus tardives observées, c’est-à-dire une limite à partir de laquelle le gel n’est plus à craindre.

La suite sur le site météo-paris

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8 mai 2018 2 08 /05 /mai /2018 16:23

 

C’est arrivé un 8 mai…

"A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines." Léon XIII, Rerum Novarum

Alors rappelons-nous :

Célébrations le 8 mai: les Fêtes johanniques à Orléans et la fin de la seconde guerre mondiale.

  • le 08 mai : saints du jour français ou en France.
    • St Hellade, évêque à Auxerre  († IVe s.)
    • St Gibrien, prêtre irlandais et pèlerin en France († v. 515)

Au territoire de Châlons en Champagne, vers 515, saint Gibrien, prêtre, qui vint d'Irlande et se fit, à travers la Gaule, pèlerin pour le Christ.

  • St Martin, prêtre et abbé de Saujon († VIe s.)

En Saintonge, au VIe siècle, saint Martin, prêtre et abbé de Saujon.

  • St Désiré, évêque de Bourges († 550) ; Chancelier royal et évêque de Bourges.

Il fut l'un des plus grands évêques de l'époque mérovingienne qui contribuèrent à tirer la Gaule du chaos où l'avait plongée l'effondrement de l'empire romain et qui lui rendirent une civilisation en la rendant chrétienne.

D'abord chancelier des fils de Clovis, il utilisa sa charge pour faire construire nombre d'églises et de monastères. Mais il avait aussi souvent l'envie de quitter cette cour pleine de débauches et de cruautés. Il sut patienter en pensant que d'autres à sa place n'auraient peut-être pas la possibilité d'empêcher tant de mal.

Nommé évêque de Bourges, il continua à conseiller les rois mais s'attacha beaucoup plus à supprimer les hérésies. Il parvint à concilier l'Anjou et le Poitou en guerre et à remettre la paix entre les tribus allemandes prêtes à s'entr'égorger.

  • le 8 mai 1429 : le siège d'Orléans est levé par les Anglais.

Ils cèdent face à l'armée française commandée par sainte Jeanne d'Arc. Celle-ci, en la fête de Saint Michel, patron de la France, le 8 mai 1429, délivre miraculeusement Orléans. Puis, ce sont les victoires de Meung, Beaugency, Patay, les prises de Troyes et de Châlons-sur-Marne et enfin le sacre du Dauphin à Reims.

Orléans est assiégée depuis le mois d'octobre 1428 par l'Anglais Jehan Talbot. La cité est le dernier point de résistance des Français sur la Loire, à la frontière entre la partie du Royaume tenue par les Anglais et le Royaume de Bourges de Charles VII.

Les grands du Royaume d'abord très critiques ont été subjugués par la facilité avec laquelle elle est parvenue à pénétrer dans la ville pour la ravitailler. Jehan de Brosse, maréchal de Sainte-Sévère, le duc Jehan II d'Alençon, Raoul de Gaucourt, sénéchal du Dauphiné, Étienne de Vignolles plus connu sous le sobriquet de « La Hire », l'Amiral Louis de Culant, Jehan Poton de Xaintrailles et Gilles de Rais, la suivent alors aveuglément et la ville, tenue alors par le Comte Jehan de Dunois dit le « Bâtard d'Orléans » est délivrée.

Pour épargner des vies et le sang des soldats Sainte Jeanne d'Arc a écrit avant la bataille cette lettre au roi d'Angleterre :

« Roi d'Angleterre et vous, duc de Bedford qui vous dîtes régent de France, faites raison au Roi du Ciel de son sang royal. Rendez au Roi, par la Pucelle qui est envoyée par Dieu, le Roi du Ciel, les clés de  toutes les bonnes villes que vous avez prises et violées en France. Elle est venue par Dieu réclamer le sang royal. Elle est toute prête à faire la paix si vous lui voulez faire raison en quittant la France ! Vous ne tiendrez pas le Royaume de Dieu le Roi du Ciel. Mais le tiendra le Roi Charles, vrai héritier car Dieu, le Roi du Ciel le veut. »

Et comme les Anglais ne répondent pas, elle marche sur Orléans. Avant la bataille, elle entend la messe et communie chasse les prostituées de l'armée et demande à la troupe de se mettre en paix avec Dieu. Son écuyer, Simon Beaudcroix déclare au procès de réhabilitation :

"Je me rappelle fort bien que Jeanne recommanda à tous les hommes de l'armée de se confesser, de mettre leur conscience en ordre; de prier que Dieu leur vienne en aide et qu'avec son aide ils obtiennent la victoire."



Jeanne d'Arc à Orléans par Jules Eugène Lenepveu, peint entre 1886–1890

« Au milieu de la division intérieure qui déchire un même peuple séparé en Armagnacs et Bourguignons, au cœur de la guerre civile qui fait du pays une proie plus facile et déjà largement convoitée par l'étranger, une jeune paysanne se présente et , entre sa seizième et sa dix-neuvième année, en moins de trois ans, elle rend à une nation son âme, son unité. »*

* Ceux qui croyaient au Ciel de Geneviève Esquier (Ed. de l'Escalade, page 176).

  • le 8 Mai 1779 : Louis XVI abolit par ordonnance, le servage, le droit de suite et affranchit tous les « mains mortables »

Les serfs des domaines royaux, ainsi que les hommes de corps, les « mortaillables » et les « taillables » n'existent donc plus. Déjà c'est le Roi Louis XVI qui promulgue, dès 1776, un édit condamnant fermement la possession d'esclaves sur le territoire français. Trois ans après avoir aboli l'esclavage (chronique du 4 février)

  • le 8 mai 1794 : exécution des 28 fermiers généraux à Paris, dont Antoine Lavoisier.

Antoine Laurent de Lavoisier naît et meurt à Paris. Il est généralement considéré comme le créateur de la chimie moderne. Il énonce la première version de la loi de conservation de la matière. Il identifie et nomme l'oxygène en 1778. Il participe à la réforme de la nomenclature chimique, découvre le rôle de l'oxygène dans le phénomène de la combustion ; démontre le rôle de l'oxygène dans la respiration animale et végétale mais aussi dans la formation de la rouille.

Alors que beaucoup se lèvent pour dénoncer la perte pour la France que constituerait sa mort, Fouquiet Tinville rétorque :

« La république n'a pas besoin de savants ! »

  • le 8 mai 1920 : la fête de sainte Jeanne d'Arc devient la fête nationale en France.

Canonisée en 1920, la même année que sainte Marguerite Marie Alacoque, la fête de Sainte Jeanne d'Arc est retenue, sur proposition de Maurice Barrès, comme fête nationale. La loi retient le second dimanche de mai.

  • le 8 mai 1945 : capitulation sans condition de l'Allemagne.

Après une première reddition signée le 7 mai 1945 à Reims par le colonel-général Alfred Jodl, la Seconde Guerre mondiale prend fin en Europe, le maréchal Keitel signe l'acte politique de la capitulation sans condition. C'est une véritable guerre de 100 ans qui prend fin entre les peuples germaniques et la France.

  • le 8 mai 1945: répression des émeutes algériennes, un mensonge d'Etat.

Si l'on en croit les journaux, les médias, les livres de pseudo histoire, une « manifestation » se produit à Sétif aux cris de "Istiqlal" ("indépendance") et de "libérez Messali" (Messali Hadj, leader du Parti Populaire Algérien, arrêté et déporté au Gabon). Un scout brandissant le drapeau algérien aurait été abattu par la police française. Les manifestations se seraient étendues alors à des villes voisines du Constantinois, faisant en quelques jours 103 morts dans la population européenne et près de 10 000 morts par la répression.

Un drame algérien d'Eugène Vallet, aux éditions : Les grandes éditions françaises montrent une toute autre vérité des émeutes de mai 1945.

Les faits ont été déformés sur le massacre de Sétif. La manifestation est en fait une émeute qui déferle sur la ville en assassinant de façon atroce tous les Européens rencontrés. Les forces de l'ordre qui arrivent n'ont d'autre solution que d'ouvrir le feu. Et Sétif n'est que l'arbre qui cache la forêt car les trois départements s'embrasent en même temps et non pas après Sétif. Partout des Européens sont assassinés. Il y a bien un plan de révolte, une préméditation de l'action qui est prouvée par la quantité d'armes des « manifestants », par leurs tentatives de couper les routes et d'isoler les grandes villes.

L'insurrection ayant échoué, les indépendantistes, relayés par les médias français anticolonialistes vont inverser l'origine de la violence ; faisant passer les assassins pour des victimes.

Tout l'article...

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3 mai 2018 4 03 /05 /mai /2018 20:18

fêtés le 3 mai

Saint Philippe et saint Jacques le Mineur sont des disciples de Jésus morts au 1er  siècle Leur fête était fixée au 1er  mai mais elle a été déplacée pour célébrer saint Joseph artisan.

Pourquoi fêter ensemble deux saints qui ne sont ni parents ni directement liés ? Parce qu’il s’agit de la fête du transfert de leurs reliques dans la basilique romaine des 12 apôtres. Donc ce sont deux apôtres ? Non, Jacques le Mineur a longtemps été confondu avec Jacques fils d’Alphée qui lui était l’un des 12 avec l’autre Jacques dit le Majeur. On a donc au moins trois Jacques dans l’entourage de Jésus

La suite...

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27 avril 2018 5 27 /04 /avril /2018 10:38
Fin des états généraux de la bioéthique, mais toujours vigilants :
Les Sentinelles place Vendôme

Des Sentinelles de Paris :

"La mobilisation pour un monde où la dignité de l’homme et l’intérêt de l’enfant et de la famille peut prendre de multiples formes. De nombreuses Sentinelles, comme d’autres citoyens, ont activement participé aux états-généraux de la bioéthique, en y portant la voix de celui qui ne peut pas parler, qui est instrumentalisé par le désir des puissants, des nantis. Là étaient certains enjeux. Les Sentinelles espèrent y avoir servi avec loyauté une conception exigeante du bien commun.

La place Vendôme a vu (un peu) moins de Sentinelles se tenir debout face à ce symbole d’un pouvoir (dévoyé?) qu’est le ministère de la justice. Il est temps qu’elles reprennent ce chemin, qu’elles y reviennent pour y montrer que leur détermination est intacte face aux menaces toujours perceptibles dans ce monde qui érige le marché comme seul arbitre.

Les Sentinelles restent debout, quelles que soient les formes que prendront leurs luttes au quotidien.

Plus nombreuses que ces derniers temps, elles veilleront le 9 mai au soir place Vendôme, pour conclure la participation citoyenne aux états-généraux de la bioéthique qu’elles avaient commencé debout aussi le 18 janvier dernier. Rien ne changera dans leur mode d’action : se tenir éloigné les unes des autres, rester silencieuses, ne troubler en rien l’ordre public, ne porter aucun signe distinctif, expliquer avec bienveillance aux passants qui les interrogeront les raisons personnelles qui font qu’elles se tiennent debout. Vous pouvez bien sûr les rejoindre et veiller vous aussi, dix minutes ou deux heures, en fonction de vos possibilités.

Vous inscrire sur l’évènement facebook n’est pas indispensable. Vous êtres les bienvenus"

Lu dans le salon beige

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25 avril 2018 3 25 /04 /avril /2018 10:30
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25 avril 2018 3 25 /04 /avril /2018 10:00

L'attribut de saint Marc est le lion parce que son évangile commence par la prédication de saint Jean-Baptiste dans le désert et que le lion est l'animal du désert (Évangile selon saint Marc I 12-13) (source)

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25 avril 2018 3 25 /04 /avril /2018 09:31

 

Saint Marc était probablement de la race d'Aaron; il était né en Galilée. Il semble avoir fait partie du groupe des soixante-douze disciples du Sauveur; mais il nous apparaît surtout dans l'histoire comme le compagnon fidèle de l'apostolat de saint Pierre. 
      C'est sous l'inspiration du chef des Apôtres et à la demande des chrétiens de Rome qu'il écrivit l'Évangile qui porte son nom. Marc cependant ne suivit pas saint Pierre jusqu'à son glorieux martyre; mais il reçut de lui la mission spéciale d'évangéliser Alexandrie, l'Égypte et d'autres provinces africaines. 
      Le disciple ne faillit pas à sa tâche et porta aussi loin qu'il put, dans ces contrées, le flambeau de l'Évangile. Alexandrie en particulier devint un foyer si lumineux, la perfection chrétienne y arriva à un si haut point, que cette Église, comme celle de Jérusalem, ne formait qu'un coeur et qu'une âme dans le service de Jésus-Christ. La rage du démon ne pouvait manquer d'éclater. 
      Les païens endurcis résolurent la mort du saint évangéliste et cherchèrent tous les moyens de s'emparer de lui. Marc, pour assurer l'affermissement de son oeuvre, forma un clergé sûr et vraiment apostolique, puis échappa aux pièges de ses ennemis en allant porter ailleurs la Croix de Jésus-Christ. Quelques années plus tard, il eut la consolation de retrouver l'Église d'Alexandrie de plus en plus florissante.
La nouvelle extension que prit la foi par sa présence, les conversions nombreuses provoquées par ses miracles, renouvelèrent la rage des païens. Il fut saisi et traîné, une corde au cou, dans un lieu plein de rochers et de précipices. Après ce long et douloureux supplice, on le jeta en prison, où il fut consolé, la nuit suivante, par l'apparition d'un ange qui le fortifia pour le combat décisif, et par l'apparition du Sauveur Lui-même. 
Le lendemain matin, Marc fut donc tiré de prison; on lui mit une seconde fois la corde au cou, on le renversa et on le traîna en poussant des hurlements furieux. La victime, pendant cette épreuve douloureuse, remerciait Dieu et implorait Sa miséricorde. Enfin broyé par les rochers où se heurtaient ses membres sanglants, il expira en disant: "Seigneur, je remets mon âme entre Vos mains."

Source

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23 avril 2018 1 23 /04 /avril /2018 14:06

 

Carpaccio, 1502 : Saint Georges et le dragon (Venise) 

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22 avril 2018 7 22 /04 /avril /2018 16:45

Ol'Man River par Paul Robeson , qui aurait 120 ans...

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22 avril 2018 7 22 /04 /avril /2018 11:13

 

Les États-Unis sont tellement vastes que chacun peut y trouver quelque chose à aimer et quelque chose à détester. L’économie libérale ? Les inégalités ? La peine de mort ? Le patriotisme ? La libéralisation du cannabis ? Le Black Caucus ? Manhattan? Le Vieux Sud? La route 66 ? L’individualisme ? Les évangélistes protestants ? Les contestataires et les utopistes de la côte Ouest ? Le « politiquement correct » ? Steve Bannon? Obama ? Trump? Roosevelt ? Reagan ? Cochez les cases qui vous conviennent.

D’une certaine façon il existe cinquante « rêves américains », autant que d’États fédérés, ou deux, autant que les grands partis qui alternent au pouvoir, ou des milliers, autant que les artistes et les créateurs qui ont sculpté les différentes facettes du soft power des États-Unis.

Ainsi, comme l’explique Régis Debray, les États-Unis nous prennent par en haut et par en bas, par la haute culture comme par les McDo et les jeans. Ils nous séduisent par les principes qu’ils ont proclamés en 1776, par leur mode de vie et par leur littérature, par leur modernité et par leur conservatisme, par leur pragmatisme et par leur idéalisme, par leur capacité à assumer le rôle de gendarmes du monde comme par leur projet de planète harmonieuse et bien gérée. Le soft power américain nous étreint et nous enveloppe de toute part. Il est si vaste que l’on ne peut y échapper. À moins d’utiliser le soft power contre le soft power, comme le font ceux qui se réfèrent à Obama pour accabler Trump ou comme le faisaient ceux qui dénonçaient la guerre du Vietnam à grands coups de sitting, de happening et de flower power.

La suite....

Pour commander le n°

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22 avril 2018 7 22 /04 /avril /2018 09:56

 

Fabrice Grimal a 37 ans. Diplômé de l’ESSEC, il dirige une start-up dans le domaine de la musique et il incarne cette nouvelle jeunesse qui ne croit plus dans nos institutions et qui s’intéresse aux mouvements d’idées alternatifs. Dans son livre, ce jeune « geek » livre une réflexion musclée sur la situation politique et sociétale française, en faisant le constat d’une paupérisation croissante des salariés et des entrepreneurs, et d’une baisse du niveau de vie des retraités qui ne peuvent plus aider leurs enfants ni leurs petits-enfants… Cela, d’un regard cruel du peuple à l’égard des élites qui sont discréditées et d’une absence de confiance à l’égard des institutions, y compris de la justice. Pour l’auteur, tous ces facteurs sont annonciateurs d’une révolution. Il pose l’hypothèse d’une révolution qui interviendrait en 2023, un an après l’élection présidentielle de 2022, qui verrait la réélection d’Emmanuel Macron… 

La suite et un entretien en vidéo...

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19 avril 2018 4 19 /04 /avril /2018 09:38

 

Il est fêté, dans son diocèse de Rennes, le 19 avril, date où il fut arrêté à Zella-Melhis, et le 19 mars, dies natalis, par le Martyrologe Romain.

Marcel naît à Rennes le 6 décembre 1921 ; il est le second d'une famille de neuf enfants. À douze ans, il entre en apprentissage dans l'imprimerie où il travaille comme typographe. Il entre à la JOC (Jeunesse Ouvrière Chrétienne) où il tient à privilégier la vie spirituelle comme source de toute action, dans un monde ouvrier très déchristianisé. Devenu président de la section, il se dépense sans mesure pour assumer les responsabilités pratiques et surtout morales que cela implique.

En 1943, Marcel perd sa sœur dans un bombardement et se voit réquisitionné pour le STO (Service du Travail Obligatoire) : malgré son déchirement (il vient de se fiancer), il accepte de partir, d'une part pour éviter des représailles sur sa famille, d'autre part dans une perspective missionnaire : là-bas également l'apostolat est urgent.

Envoyé à Zella-Melhis, il travaille dans une usine de revolvers et loge dans un camp de 3000 ouvriers environ. Il surmonte une période de détresse et de découragement et organise peu à peu clandestinement la vie chrétienne du groupe. Ses activités le trahissent et il est arrêté le 19 avril 1944 parce que « trop catholique ». Transféré à la prison de Gotha avec les principaux dirigeants jocistes de Thuringe (ils seront douze), il est finalement envoyé successivement aux camps de concentration de Flossenburg (où fut pendu Dietrich Bonhoeffer) et de Mauthausen où il partage les effroyables souffrances de tous les déportés et pâtit avec eux de l'affolement des nazis devant les Alliés. Il travailla surtout à Gusen II, le pire des Kommandos.

La suite...

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19 avril 2018 4 19 /04 /avril /2018 09:37

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faites découvrir

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 09:24

 

  • le 13 avril 1695 : mort de Jean de La Fontaine, fabuleux fabuliste français.

Jean de La Fontaine meurt à Paris, à l'âge de 74 ans. Le jour de sa mort on trouve sur lui un cilice.

Il est l'un des grands poètes  et moralistes Français du XVIIe siècle. Il s'est toujours tenu à l'écart de la Cour du Roi Soleil. Il est reçu à l'Académie Française en 1684. Son œuvre littéraire compte près de 250 fables, recueils de contes et moult poèmes, textes en prose ou en vers.

Ses Fables (1678), dont les six premiers livres sont des adaptations de celles d'Esope, à qui il rend hommage dans sa lettre À Monseigneur le Dauphin.

« Je chante les héros dont Ésope est le père, 
Troupe de qui l'histoire, encore que mensongère, 
Contient des vérités qui servent de leçons.
Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons : 
Ce qu'ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes ; 
Je me sers d'animaux pour instruire les hommes. »

 

C'est arrivé un 13 avril...

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12 avril 2018 4 12 /04 /avril /2018 06:11

 

Analyse. Le discours d’Emmanuel Macron aux Bernardins : opération séduction en direction d’une Eglise catholique qui se rapproche

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8 avril 2018 7 08 /04 /avril /2018 21:39

 

Aujourd'hui, Pâque orthodoxe.

 

Aucun texte alternatif disponible.

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8 avril 2018 7 08 /04 /avril /2018 10:02

                Bas-relief pierre, San Domingo de Silos, Espagne. 12° siècle.

2° dimanche de la Résurrection : Évangile de Jésus Christ selon saint Jean    

C’était après la mort de Jésus. Le soir venu, en ce premier jour de la semaine, alors que les portes du lieu où se trouvaient les disciples étaient verrouillées par crainte des Juifs, Jésus vint, et il était là au milieu d’eux. Il leur dit : « La paix soit avec vous ! » Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie en voyant le Seigneur. Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous ! De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. » Ayant ainsi parlé, il souffla sur eux et il leur dit : « Recevez l’Esprit Saint. À qui vous remettrez ses péchés, ils seront remis ; à qui vous maintiendrez ses péchés, ils seront maintenus. » Or, l’un des Douze, Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau), n’était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! » Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d’eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! » Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant. » Alors Thomas lui dit : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. » Il y a encore beaucoup d’autres signes que Jésus a faits en présence des disciples et qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ceux-là ont été écrits pour que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et pour qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom. (Jn 20, 19-31)


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Ces sculpteurs espagnols du 12° siècle nous présentent le groupe des « douze » apôtres choisis entourant Jésus. Celui-ci, sur la gauche, a le bras droit levé pour montrer, à Thomas, la plaie faite dans son côté par le coup de lance du soldat romain. Thomas regarde la plaie du Christ, incrédule. A son opposé, les douze autres apôtres sont présentés croyants et témoignant : les uns font le geste du témoin avec la main droite levée ouverte; d’autres ont trois doigts de la main droite dressés en signe de l’autorité que l’Esprit Saint donné leur confère; presque tous portent un livre, symbole de la Parole évangélique dont ils sont investis. Cette harmonie du corps des apôtres, soulignée par les sculpteurs, est un accord profond quant à la foi au Christ. Jésus fait corps avec ces onze apôtres; il regarde Thomas s’adressant à lui : « Cesse d’être incrédule, sois croyant. »

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