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C'est du 24 au 27 août prochains, à Paris
Inhérente à chacun, la Beauté parfois nous surprend pour avoir, sans crier gare, traversé tous nos barrages. Nous faisant vibrer devant un paysage, un tableau ou à l'écoute d'une musique, elle vient nous révéler que nous sommes quelqu'un d'autre que ce que nous pensions être !
Violemment rejetée pour avoir été longtemps extériorisée, étouffée dans un formalisme étroit, la voilà qui semble resurgir autrement, nouvellement, plus profondément.
Alors que nous sommes la plupart du temps prisonniers des contingences du monde extérieur, l’essence de la Beauté demeure – quoi qu’il puisse advenir de nos vies – au plus intime de nous-même. Invisiblement, sourdement, en toute fragilité, elle fait son chemin. Libérée, fruit de la communion, elle manifeste nos singularités…
La suite ...
http://www.congres-beaute.org/
Achille Claude Debussy naît à St-Germain-en-Laye. Parmi ses œuvres on peut noter:
Il étudie le piano avec Antoine Marmontel et le solfège avec Albert Lavignac, et compose ses premières mélodies dès 1879, à partir de textes d'Alfred de Musset. Créateur prolifique (œuvres pour piano, pour orchestre, musique de ballets, etc.), il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands compositeurs du 19ème siècle. En hommage, son visage orne les billets de 20 francs à partir de 1981 et ce jusqu'à la disparition de la monnaie nationale.
Il meurt à Paris, le 25 mars 1918 d'un cancer, à l'âge de 55 ans.
D'autres 22 août ...
En accès libre, une version numérique
SAINT MAXIMILIEN-MARIE KOLBE
Prêtre, apôtre de l'Immaculée Conception et martyr
(1884-1941)
Raymond Kolbe naquit à Pabianice, en Pologne, petite cité alors dépendante de la Russie des Tsars. Doué d'un naturel vif, spontané et têtu, il lui arrivait souvent de mettre la patience de sa maman à l'épreuve. À l'âge de dix ans, un jour qu'il s'adressait à sa Mère du ciel après une nouvelle étourderie, la Vierge lui apparut et lui présenta deux couronnes, une blanche et une rouge, symbolisant la pureté et le martyre. Comme elle l'invitait à choisir, sa générosité le poussa à choisir les deux. Dès ce moment, le privilégié de Marie prit cette généreuse décision : « Je deviendrai meilleur de jour en jour. » Et en effet, le petit Raymond ne fut plus le même. L'élu de la Vierge rêvait déjà du martyre et en parlait avec effusion : Marie avait canalisé cette énergie bouillonnante.
À l'âge de treize ans, Raymond entre au couvent St-François, à Lemberg, et y fait profession sous le nom de Maximilien-Marie. En 1912, il sort de Russie déguisé en paysan, poursuit ses études à l'université Grégorienne de Rome, et fonde la Milice de l'Immaculée qui constituera l'idée et l'œuvre maîtresse de toute sa vie. Les sept premiers Chevaliers d'avant-garde se consacrent à Marie Immaculée le 17 octobre 1917. Ces dévoués serviteurs de la Vierge affronteront tous les ennemis de Dieu et de l'Église, particulièrement les partisans de la franc-maçonnerie en Italie, en Pologne, et dans le monde entier.
L'apostolat extérieur du Père Kolbe débute en Pologne, en janvier 1922, par la fondation du mensuel intitulé : Le Chevalier de l'Immaculée. En 1930, saint Maximilien-Marie part implanter une seconde Cité de Marie au Japon, près de Nagasaki. Deux ans plus tard, les Indes reçoivent le missionnaire de la Vierge dont le labeur demeure apparemment infécond à cause de sa santé ruinée par la tuberculose. Rappelé en Pologne où il doit reprendre la direction de sa première Cité, le Père Kolbe continue de se dépenser à la cause du règne de Marie avec un quart de poumon seulement. Son action évangélisatrice embrasse tous les moyens d'apostolat : la parole, la diffusion de milliers de médailles miraculeuses, la presse, le cinéma, le théâtre, la radio, l'avion, etc. « Mais par-dessus tout, disait-il à ses frères, le bon exemple, la prière, la souffrance voulue par amour, voilà l'action par excellence. Notre plus grande mission est de montrer dans la vie pratique ce que doit être le Chevalier de l'Immaculée. »
La deuxième guerre mondiale le trouve à la tête de la plus importante organisation catholique de publications dans toute la Pologne. Avec une patience et une soumission aussi héroïque qu'admirable, saint Maximilien-Marie Kolbe accepta l'entière destruction de son œuvre par les Nazis. Condamné aux travaux forcés dans le camp de mort d'Auschwitz, il fut un rayon de soleil pour les prisonniers. En 1941, la veille de la fête de l'Assomption le Saint mourut dans le bunker de la faim, après avoir offert sa vie pour sauver celle d'un père de famille condamné à mort.
Voici, glanée dans ses écrits spirituels, sa recette de sainteté : « v égale V. C'est la formule qu'il donne et explique longuement. En peu de mots, elle signifie : « Si je veux ce que Dieu veut, je serai un saint. »
De Stevenson, on connaît L'Ile au trésor, pour l'avoir lu ou avoir vu des adaptations télé ou cinéma (ICI).
On connait moins ses Voyages avec un âne dans les Cévennes.
" En septembre 1878, le jeune R. L. Stevenson entreprend de traverser à pieds les Cévennes, seul avec son âne. Pendant douze jours, sur les chemins des bergers, il note les lignes sensuelles et pittoresques de la nature qu’il prend pour refuge. Invitation au voyage, ode à la liberté, ce livre sert d’éclatant prélude à la poésie d’un des plus grands romanciers en devenir. "
On peut aussi marcher sur les pas de Stevenson avec un âne, "compagnon idéal des petites jambes fatiguées et des randonneurs en quête d’authenticité, l’âne offre tout le plaisir de la marche à pied en pleine nature et en toute légèreté. A l’heure où tout est planifié et va si vite, même nos vacances, la randonnée avec un âne permet de se poser et de vivre un vrai moment en famille."
La suite est sur Aleteia ...
La Divine Box nous emmène vers l’abbaye des cisterciennes du Val d’Igny en Champagne, bien connue pour sa spécialité : les « bouchons », délicieux chocolats en forme de bouchons de champagne.
"L’histoire de l’abbaye d’Igny commence en 1128, lorsque Bernard, jeune abbé de Clairvaux (le fameux « saint Bernard de Clairvaux » !) envoie douze moines pour fonder le monastère d’Igny à 30km de Reims. Le succès est immédiat, la communauté rayonne et compte jusqu’à 300 moines ! Mais le succès n’est que de courte durée, et une longue période de déclin de plusieurs siècles s’amorce ensuite, avec pour causes : donations et vocations en baisse, guerre de Cent-Ans (1337-1453) et Révolution... En 1791, les six derniers moines restants doivent partir. Heureusement, en 1876, les bâtiments de l’abbaye sont rachetés par l’évêque de Reims qui envoie 23 moines de l’abbaye Notre-Dame du Désert (abbaye toujours dynamique aujourd’hui et dont vous pouviez goûter le miel dans la Divine Box de mai !). Après dix longues années de travaux, en 1886, Notre-Dame d’Igny redevient une abbaye, qui accueille notamment une petite chocolaterie qui, à son apogée, fait travailler plus de 70 ouvriers ! Nouvelle crise lors de la première Guerre Mondiale : l’abbaye est d’abord pillée par les Allemands, puis transformée en hôpital de campagne puis tout simplement ... détruite ! Les Allemands avaient pour ordre de faire sauter tous les bâtiments de belle apparence. Autant vous dire qu’ils n’y sont pas allés de main morte pour mettre à plat ce bijou ! Après la guerre, voilà qu’en 1929, ce ne sont pas moins de 30 courageuses soeurs de l’abbaye de La Coudre à Laval (encore en activité aujourd’hui et dont vous pouviez découvrir les délicieuses préparations pour flan à la framboise dans la Divine Box de juillet) qui s’installent à Igny, après deux ans de reconstruction de l’abbaye. La prospérité reprend : 60 soeurs en 1938, création du monastère Notre-Dame de la Clarté-Dieu au Congo en 1955, et relance de l’activité de chocolaterie en 1961. Les plus attentifs d’entre vous auront noté que l’abbaye n’avait été habitée que par des hommes depuis sa création... sauf depuis l’arrivée des soeurs en 1929 !
ET AUJOURD’HUI ?
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Vous trouverez sans doute des perles précieuses !
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Bel été !
« Les grandes vacances sont là. Plein soleil, pluies diluviennes, orages furieux : peut me chaut, je me claquemure dans ma maison. Dès l'arrivée des enfants et petits-enfants, elle évoque Berlin ou Dresde après les bombardements alliés. C'est le prix à payer pour goûter les joies des retrouvailles en famille. Je paye et ne m'en plains pas.
L'été, je n'ai qu'un ennemi : La culture. Elle sévit en tout lieux, c'est une déferlante. Chaque jour, la presse locale assigne aux estivants un devoir de vacances.
Musique baroque dans une église, expo de photographies anciennes ou d'objets artisanaux, un son et lumière dans les ruines d'un château en costumes d'époques, la prestation d'un groupe folklorique andin ou breton, représentation théâtrale engagée... Il a aussi les randonnées pédestres à vocation didactique, la visite d'un centre de ville historique avec écouteur. Ajoutez les festivals dérivés de celui d'Avignon qui prolifèrent comme du chiendent...
A chacun sa pitance culturelle. La mienne se contente de mes auteurs favoris, tous lisibles en collection de poche et de mes compositeurs de prédilection en CD. Cela ne coûte rien au contribuable, et laisse du temps...
Ce temps voluptueux où corps et âmes, nous prenons congés de celui des horloges. Ce temps béni où chacun redevient jusqu'au terme des congés payés, papillon, lézard ou couleuvre. Le temps, notre trésor le plus précieux, qui se dilapide bêtement si l'on succombe à la tentation d'aller consommer dans la cohue , la culture des « cultureux » ? Résister à leur harcèlement n'est pas difficile, il suffit d'obéir à l'injonction de nos désirs.
J'écris ces lignes allongé sur un canapé, un roman de Balzac à portée d'une main, un verre de Campari-pamplemousse à portée de l'autre ; et, pour accompagner mon oisiveté, j'ai inséré un enregistrement des sonates de Haydn dans le lecteur CD.
C'est en cet aimable compagnonnage que je cultive ma désertion de leur culture.
Denis Tillinac, Lu ICI
Les vacances, c'est sur Petrus Angel !
Aude Mirkovic est maître de conférences en droit privé, spécialiste du droit de la famille et de la bioéthique.
Régulièrement auditionnée par les commissions parlementaires dans ces domaines, elle a publié plusieurs ouvrages juridiques, parmi lesquels "PMPA, GPA: quel respect pour les droits de l'enfant?" (Téqui 2016) et signe son premier roman, "En rouge et noir", en juin 2017.
Vu sur Facebook où vous pouvez aussi nous retrouver...
De juillet à décembre 1830 sœur Catherine, jeune "novice" des Filles de la Charité, reçoit l'immense faveur de s'entretenir trois fois avec la Vierge Marie. Catherine Labouré raconte que ce jour en la Saint-Vincent, elle est réveillée par un petit enfant qui lui dit :
« Ma sœur, tout le monde dort bien ; venez à la chapelle ; la Sainte Vierge vous attend. »
Croyant rêver, Catherine se lève, s'habille et suit l'enfant « portant des rayons de clarté partout où il passait ». Arrivée à la chapelle, Catherine entend bientôt « comme le froufrou d'une robe de soie ». La Sainte Vierge est là, resplendissante, et lui parle pendant deux heures, lui confiant que Dieu a une difficile mission pour elle.
« Venez au pied de cet autel. Là, les grâces seront répandues sur toutes les personnes qui les demanderont avec confiance et ferveur.»
Cf. les chroniques du 6 juin et du 27 novembre. ICI
Surtout ne vous arrêtez pas de rire |
Avocat, Maître de Conférences à l‘Université, Catherine Rouvier a aussi produit, réalisé et animé chaque mois depuis dix ans son propre Libre Journal radiophonique, tissant au fil du temps avec les auditeurs une relation complice d‘où est née ce petit livre. |
Si Jeanne le dit…
C'est sur le Mont Carmel que le prophète Élie avait confondu les prêtres de Baal et ramené le peuple d’Israël à adorer le Dieu vivant. La tradition ajoute que dans le petit nuage annonciateur de la fin de la sécheresse, Saint Elie avait eu une visions mystique de la Vierge qui apporterait au monde le Sauveur et que depuis lors des fils spirituels d'Elie menaient sur la sainte montagne une vie conjuguant érémitisme et vie communautaire. Au temps des croisades, ces ermites se constituèrent en véritable ordre religieux, recevant une règle du Patriarche de Jérusalem : ce sont les Carmes, voués à la vie contemplative sous le patronage de la sainte Mère de Dieu. La conquête de la Terre Sainte par les musulmans contraint les Carmes à trouver refuge en Occident.
D’origine anglaise, Saint Simon Stock (+ 1265) était supérieur général de l’Ordre des Frères de Notre-Dame du Mont Carmel à ce moment où, fuyant la Terre Sainte, les moines vinrent s'implanter en Europe. Profondément dévot à la Vierge Marie, dans la nuit du 16 juillet 1251, il fut favorisé d'une vision de cette Mère bénie au cours de laquelle elle lui remit le scapulaire en disant : « Voici le privilège que je te donne, à toi et à tous les enfants du Carmel. Quiconque meurt revêtu de cet habit sera sauvé. »
C'est le 16 juillet 1858 que la Vierge Immaculée apparut à Sainte Bernadette pour la dernière fois dans la grotte de Lourdes : elle ne portait pas ce jour-là la robe blanche ceinte de bleue, mais la livrée du Carmel et Bernadette dira : “Jamais je ne l'avais vue aussi belle!“. A Fatima également, lors de l'apparition du 13 octobre 1917, au cours du miracle du soleil, Notre-Dame se montra aux trois enfants revêtue de l'habit du Carmel, pour évoquer les mystères glorieux du Saint Rosaire. En ce 150ème anniversaire de la dernière apparition de Notre-Dame à Lourdes, invoquons avec confiance notre Maman céleste avec ces mots :
Vierge Immaculée, Marie,
Lumière et Gloire du Mont Carmel,
Jetez sur moi un regard de bonté,
Et gardez-moi sous Votre protection maternelle.
Fortifiez ma faiblesse par Votre puissance,
Et dissipez par Votre lumière
Les ténèbres de mon cœur.
Augmentez en moi la Foi,
L'Espérance et la Charité.
Ornez mon âme de toutes les vertus
Afin qu'elle devienne de plus en plus
Chère à Votre Divin Fils.
Assistez-moi pendant la vie,
Consolez-moi par Votre présence
A l'heure de la mort,
Et présentez-moi à la Sainte Trinité,
Comme Votre enfant,
Afin que je puisse Vous louer,
Et Vous glorifier éternellement
Dans le Ciel.
Ainsi soit-il!
Publié dans : Prier avec nous, De Maria numquam satis |le 15 juillet, 2008
Vu sur le site Sur le pas des saints.
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Aujourd'hui 14 juillet 2017 c'est la Fête Nationale
Pour la première fois le président Macron va descendre les Champs-Elysées, pour aller rejoindre ses invités à la tribune.
Le Départ des volontaires
Arc de Triomphe des Champs-Elysées
François Rude (1792)
Mais savons-nous exactement ce que nous fêtons aujourd'hui ?
Serait-ce :
La date de la pitoyable prise de la Bastille, vieille forteresse médiévale obsolète que Louis XVI envisageait de raser afin d’y créer une place, elle abritait 7 prisonniers dont les cellules n’étaient même pas fermées, leur permettant d’aller à leur guise dans l’enceinte du bâtiment, et pouvaient même bénéficier de « permissions de sortie ». ?
Ou :
La date du massacre des pauvres bougres qui gardaient cette vieille dame, (tête coupée à coup de canif, corps déchiqueté par la foule) de 32 Suisses et 82 invalides qui furent pendus ?
Ou encore :
La date sinistre pour la culture puisque les voyous saccagèrent et brûlèrent la riche bibliothèque du chimiste Lavoisier, père de la chimie moderne, qui à l’époque était directeur des poudres et salpêtres. Cette action obscurantiste fut d’ailleurs achevée en 1794 lorsque Lavoisier lui-même fut guillotiné, le président du tribunal lui disant « La République n’a pas besoin de savants ni de chimistes ». ?
La suite...
Saint Henri II
Empereur d'Allemagne (972-1024)
Henri, surnommé le Pieux, appartenait à la famille impériale des Othons d'Allemagne, qui joua un si grand rôle au moyen âge. Touché d'une grâce spéciale de Dieu, il fit, jeune encore, un acte de hardiesse que lui eût dissuadé la prudence humaine, en promettant à Dieu de ne s'attacher qu'à Lui et en Lui vouant la continence perpétuelle. Héritier du royaume de Bavière par la mort de son père, il se vit obligé de prendre une épouse, pour ne pas s'exposer à la révolte de son royaume ; le choix du peuple et le sien se porta sur la noble Cunégonde, digne en tous points de cet honneur. Elle avait fait, dès son adolescence, le même vœu que son mari.
Henri, devenu plus tard empereur d'Allemagne, justifia la haute idée qu'on avait conçue de lui par la sagesse de son gouvernement ainsi que par la pratique de toutes les vertus qui font les grands rois, les héros et les Saints. Il s'appliquait à bien connaître toute l'étendue de ses devoirs, pour les remplir fidèlement, il priait, méditait la loi divine, remédiait aux abus et aux désordres, prévenait les injustices et protégeait le peuple contre les excès de pouvoirs et ne passait dans aucun lieu sans assister les pauvres par d'abondantes aumônes. Il regardait comme ses meilleurs amis ceux qui le reprenaient librement de ses fautes, et s'empressait de réparer les torts qu'il croyait avoir causés.
La suite...
Le vendredi 13 Juillet, la Vierge Marie apparaît à Lucie et ses cousins comme les autres fois. 5000 personnes assistent à cet événement, à la Cova da Iria. Notre Dame s'adresse, comme à chaque apparition à Lucie : "Je veux que vous continuiez à dire le chapelet tous les jours en l'honneur de Notre Dame du Rosaire, pour obtenir la fin de la guerre et la paix du monde". Au cours de cette apparition, la Vierge Marie annonce également 3 nouvelles prophéties qui restent à l'époque les secrets de Lucie. Deux de ces secrets sont divulgués en 1942, le troisième en l'An 2000. (Cf. chronique du 13 mai, 13 juin, 19 aout, 13 septembre, 13 octobre).
Au cours de l'apparition du 13 juillet 1917, Notre-Dame parle pour la première fois des premiers samedis du mois en révélant aux petits voyants : « Je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois. »