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10 avril 2021 6 10 /04 /avril /2021 08:28

 

Alors, les vaccinés contre le COVID risquent-ils davantage de mourir ? Oui, selon deux documents officiels.

 

 

J’ai dû me pincer en lisant cette phrase attribuée par Europe 1 à Olivier Véran, citée à de multiples reprises dans les médias français et non démentie à ce jour :

 

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

 

Il s’agit de la citation d’un mémoire, auquel Europe 1 a eu accès, produit par le ministre de la santé pour contester la demande d’un octogénaire qui prétendait obtenir en référé du Conseil d’Etat le droit de ne pas se soumettre aux nouvelles restrictions COVID en mars, du fait qu’il avait reçu ses deux doses du vaccin Pfizer en janvier.

Relisez bien les propos de Véran : il reconnaît qu’être vacciné entraîne un risque plus grand de faire un COVID grave et d’en mourir pendant (suppose-t-on) la période où ledit vaccin n’a pas atteint sa pleine efficacité. Combien de temps ? Pour le requérant, cela faisait entre 6 et 8 semaines. Et puis il y a les ratés. Les cas où le vaccin n’est pas efficace du tout, et ils existent puisqu’aucun vaccin COVID n’affiche une efficacité à 100 %, et par ailleurs on sait que les défenses immunitaires des personnes très âgées – celles qui ne faisaient pas partis des essais initiaux de ces vaccins qui en sont encore à la phase expérimentale – ne répondent pas aussi bien que celles des jeunes.

Donc, au moins pour une partie de la population, le vaccin conduit à plus de risques, et non à moins, de mourir du COVID, puisqu’elles sont (je cite Olivier Véran) « les plus exposées aux formes graves et aux décès » dans certaines conditions.

Il faut y ajouter, toujours avec Olivier Véran, les cas de « réinfection post-vaccinale » : en termes clairs, les personnes qui ont eu le COVID, en le sachant ou non, et qui se font vacciner, ont un risque plus grand de mourir en cas de réinfection après le vaccin (qui donc n’est même pas supposé protéger de ce risque).

Vous me suivez ? Direction Royaume-Uni, maintenant, et un article d’un journal mainstream, le Daily Telegraph, qui s’étonne d’un « paragraphe extraordinaire » au sein d’un rapport de modélisation pessimiste soumis par l’Imperial College de Londres et publié sur un site du gouvernement britannique. Tout comme les prédictions fumeuses de Neil Ferguson au printemps dernier avaient entraîné le monde dans ses premiers confinement, c’est ce rapport qui a conduit Boris Johnson à retarder l’allégement prévu des mesures COVID au nom d’une troisième vague meurtrière qu’il s’agirait d’éviter.

Le Telegraph dénonce les « données défectueuses » retenues pour l’établissement de ce rapport, et s’étrangle devant cette phrase :

 

« La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par les personnes qui ont reçu deux doses du vaccin, soit environ 60 % et 70 % de la vague respectivement. Cela peut être attribué aux niveaux élevés de prise du vaccin dans les groupes d’âge les plus à risque. »

 

 Le rapport fonde son calcul sur une efficacité à 90 % des vaccins, donc 10 % des plus de 50 ans non protégés, soit 2,9 millions de personnes vaccinées et non protégées dans cette catégorie d’âge, avec à la clef près de 40.000 morts en cas de levée complète des restrictions, voire 59.900 selon un autre modèle signé Warwick, qui prévoit tout cela à la centaine près ! On arriverait ainsi à un décès sur 70 dans la catégorie des personnes de plus de 50 ans ou vulnérables, au lieu de 1 décès sur 200 dans cette même catégorie au cours des 1e et 2e vagues. 

Bien sûr, on navigue en pleine science-fiction. Mais cela mérite tout de même d’être souligné : les vaccins étaient supposés conditionner la levée des restrictions, et voilà que les modélisateurs commencent à dire que la couverture vaccinale associée à cette levée peut encore aggraver la situation.

Ne trouvez-vous pas que cela commence à faire un peu beaucoup ?

Source 

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19 mars 2021 5 19 /03 /mars /2021 19:14
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18 mars 2021 4 18 /03 /mars /2021 09:29

 TOUS VACCINES ?

 

Pour ou contre ? Doit-on forcer les Français à se vacciner ?

Voici les questions que l’enquête Tous Vaccinés ? pose à des spécialistes dans leur domaine, donnant la parole de manière équitable aux « pour » et aux « contre », afin que chaque internaute puisse se forger un avis éclairé.

Réalisé par le journaliste et caméraman indépendant Armel Joubert des Ouches et produit par Annette Christol, Tous Vaccinés ? est un travail journalistique qui part sans postulat de départ et s’achève sans aucune consigne. En cela, leur démarche est à notre connaissance inédite. Aucune culpabilisation, zéro complotisme, pas d’infantilisation des Français : les faits, rien que les faits, au service de la vérité, forcément très complexe

Tous Vaccinés ? va gêner les partisans d’une vérité officielle comme ceux d’une vérité trop simple.

Florilège de personnalités interrogées :

§  Dr Laurent Alexandre, médecin, haut fonctionnaire, entrepreneur.

§  Dr Louis Fouché, médecin-anesthésiste.

§  Christophe Barbier, journaliste et éditorialiste.

§  Alexandra Henrion Caude, généticienne.

§  Serge Aumont, délégué FO chez Recipharm.

§  Maître Carlo Alberto Brusa, avocat.

§  Olivier Babeau, professeur, économiste et essayiste français.

§  Pr Henri Joyeux, médecin, écrivain, professeur.

§  Jean Leonetti, député, ancien ministre.

§  Dr Eric Chabrière, biochimiste.

 

Site officiel : https://www.tousvaccines.fr

 

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13 mars 2021 6 13 /03 /mars /2021 18:12

Peut être une image de texte qui dit ’Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu'il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu'il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir: il sert si bien, et si volontiers, qu'on dirait à le voir qu'il n'a pas seulement perdu sa liberté mais gagné sa servitude... La BOÉTIE, Discours de la servitude volontaire, 1576’

le Discours complet est ICI

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11 mars 2021 4 11 /03 /mars /2021 00:15

Israël est le laboratoire du monde pour la vaccination notamment, mais aussi pour le climat, ou encore pour le passeport vaccinal.

Voici ce que dit cet article d’i24NEWS :

Israël : « Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois » (B. Netanyahou)

Le Premier ministre israélien Netanyahu assiste à une cérémonie marquant le 4 000 000e personne d’Israël à être vaccinée au centre de vaccination des services de santé Leumit à Jérusalem le 16 février 2021.

« Mon objectif est d’apporter 36 millions de doses supplémentaires cette année »

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a précisé lundi à la radio israélienne que le « passeport vert » n’était délivré pour le moment que pour une période de six mois, en raison de l’absence de données sur la durée d’efficacité du vaccin contre le coronavirus.

« Il est important de dire que le vaccin est efficace pendant une période limitée. Pour le moment, nous donnons le passeport vert pendant six mois, mais il peut être efficace pendant un an ou deux », a déclaré B. Netanyahou à la station de radio Galgalatz.

« Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois », a-t-il cependant ajouté.

La suite...

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10 mars 2021 3 10 /03 /mars /2021 12:04

Il paraît que la jeune noire Amanda Gorman avait bouleversé la planète en disant un de ses poèmes lors de l’investiture de Jo Bidon. Par conséquent son poème est traduit dans le monde entier. Aux Pays-Bas il devait l’être par Marieke Rijneveld, une jeune femme qui a remporté l’an dernier un prix international pour un roman.

Mais cela a suscité un tollé. Parce que Marieke Rijneveld est blanche.

Pourtant elle avait l’accord de « l’équipe » d’Amanda Gorman (je ne savais pas que les poètes avaient désormais des « équipes » derrière eux). Mais la polémique a été trop forte : Marieke Rijneveld a jeté l’éponge.

Il convient d’ajouter que Marieke Rijneveld n’est pas seulement blanche (et blonde), elle se dit « non binaire ». Elle s’est donnée un deuxième prénom : Lucas, et on doit l’appeler par le pronom « iel ». Les magazines bien-pensants la qualifient donc d’« écrivain·e ».

Dans notre monde de détraqués, c’est pourtant très bien d’être « non binaire » : c’est montrer qu’on fait partie, de façon relativement originale, de la communauté LGBTQI+ (etc.), qu’on est concrètement un adepte de l’idéologie du genre. Mais là c’est dirimant. Parce que Amanda Gorman est une femme du genre féminin. Et qu’elle ne peut donc être traduite que par une femme du genre féminin.

Qu’on se rassure, nous n’avons pas ce problème pour la version française du poème. Elle a été réalisée par une noire (gabono-belge) qui dit être une femme.

(On remarque au passage que tout cela est strictement à sens unique. De même qu’au cinéma un personnage noir ne peut plus être interprété que par un noir mais qu’un noir peut interpréter un personnage blanc, même quand c’est un personnage historique ou légendaire manifestement blanc, de même une traductrice noire peut évidemment traduire un auteur blanc…)

Yves Daoudal sur son site

Lisez également l'article de Marianne

 

Évincée de la traduction d'une poétesse noire, car blanche, Marieke Lucas Rijneveld répond en poésie

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10 mars 2021 3 10 /03 /mars /2021 10:30

à lire sur le blog du Père Viot ICI      

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6 mars 2021 6 06 /03 /mars /2021 08:59

Comment accoutumer l'opinion à la PMA (puis la PA) avec la presse régionale lue par le français moyen (*). La technique du voleur chinois ...

Si vous avez relu le titre, c'est que vous n'êtes pas (encore) accoutumé(e...).

 

Pour faire le deuil de leur fils, elles font le tour de France à vélo

Leur fils Maël a été emporté par une leucémie. Dans leur parcours de deuil, Solveig et Aude sont parties dans un tour de France pour remercier leurs amis qui les ont soutenues.

(©Jean-Paul BARBIER) 

Solveig et Aude ont perdu leur fils en novembre. À vélo, elles partent pour trois mois à travers la France afin de remercier celles et ceux qui les ont soutenues. C’est l’opération « En selle avec Maël ». 

Par Romain Le Bris Publié le  

Sur le pas de sa porte, vendredi 26 février,  Jeff Mouton guette le bout de la rue  principale de Saint-Pierre-Église, près de Cherbourg, dans la Manche. Ce costaud à la barbe fournie aperçoit à vélo Solveig de la Hougue et Aude Béhague, ses anciennes élèves de l’Ovalie Caennaise, club de rugby où elles sont tombées amoureuses. La suite...

(*) pardon ! il faut dire le.la français.e moyen.ne)

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5 mars 2021 5 05 /03 /mars /2021 10:44

Propos recueillis par Anne Letouzé, vendredi 26 février 2021

 

Pour la brillante généticienne Alexandra Henrion-Caude, directrice de l’institut de recherche pour la santé SimplissimA, la vigilance est de mise face aux nouveaux vaccins contre le Covid-19 et au projet de loi bioéthique.

Un point de vue alternatif utile au débat. Malgré l’opposition qu’elle rencontre, Alexandra Henrion-Caude, ex-directrice de recherche à l’INSERM et spécialisée dans l’ARN, continue d’alerter sur les dérives de la recherche. France Catholique l’a interrogée sur la pandémie, les vaccins contre le Covid, la loi de bioéthique mais aussi son rapport à Dieu et à la science.       

Retrouvez l’intégralité de l’entretien dans le magazine.

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3 mars 2021 3 03 /03 /mars /2021 07:58

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27 février 2021 6 27 /02 /février /2021 09:13

Les évêques de France se sont  réunis en assemblée spéciale du 22 au 24 février  pour  réfléchir à la responsabilité de l’Église dans les crimes de pédophilie commis en son sein. C’est très bien que l’église aborde ce sujet sans tabou. Mais à suivre les média, ce drame ne semblait être que l’affaire de l’Eglise catholique !  L’affaire Duhamel suite à la sortie du livre La familia grande de Camille Kouchner a montré au grand public qu’il n’en était rien et qu’au contraire la pensée soixante-huitarde avait « légitimé » cette pratique au nom du sacro-saint principe libertaire. Les deux textes ci-dessous, du philosophe et ancien ministre, Luc Ferry sur la pensée 68 et de la sexologue, Thérèse Hargot, sur l’absence des pères montrent les dégâts que peut faire une idéologie … même à l’intérieur de l’église.

EVR

  • Je comprends bien que les anciens soixante-huitards tentent aujourd'hui de dédouaner Mai 68 des dérives incestueuses et pédophiles dont l'actualité de ces derniers jours est hélas remplie. Reste que la vérité historique oblige à dire que c'est bien malgré tout dans le sillage du joyeux mois de mai et avec la bénédiction des autorités philosophiques les plus représentatives du gauchisme culturel de l'époque, que la pédophilie reçut les lettres de noblesse qu'elle avait perdues depuis Platon.

Quand paraissent au milieu des années 1970, dans Libération et dans Le Monde, des pétitions faisant l'éloge de la pédérastie, signées par des intellectuels comme Foucault, Sartre, Beauvoir, Deleuze, Barthes ou Châtelet, refuser d'y adhérer c'était prendre le risque de s'exclure du club des « vrais intellectuels », c'est-à-dire des intellectuels de gauche, « forcément de gauche », (…). On a oublié que la « pensée 68 » était globalement favorable à la pédérastie, qu'elle approuvait les délires de René Schérer et Guy Hocquenghem qui publient, en 1976, Co-ire (en latin : « aller ensemble », « coït » à la troisième personne du singulier...), un ouvrage agrémenté d'une pléiade de photos d'enfants nus qui faisait l'éloge du « rapt » : l'enfant n'étant pas la propriété privée des parents (petite référence à Marx), tout adulte a le droit, et même le devoir, ainsi plaidaient-ils, de l'enlever pour éveiller cette sexualité que la bourgeoisie occulte.(…)

On objectera que la pédophilie sévit dans tous les milieux et on aura raison, à ceci près que je ne connais aucune idéologie qui en fasse l'apologie en dehors de celle-là.

Aussi étrange que cela nous paraisse aujourd'hui, dans ce milieu et à cette époque, on pensait comme ça, de sorte qu'il fut pendant longtemps plus risqué d'y critiquer la pédophilie que d'en faire l'apologie. Ces prestigieux professeurs s'étaient emparés des thèses de Freud sur la sexualité infantile pour en tirer la conclusion absurde qu'il était du devoir des adultes de l'éveiller. Comme il était en outre « interdit d'interdire », il n'y avait plus à se gêner.

(extrait de la chronique de Luc Ferry dans Le Figaro du 4 février 2021)

 

  • La Familia grande n'est pas un livre sur l'inceste. C'est un livre qui interroge les mécanismes du silence qui entourent un inceste dans une famille. Nuance (…) Pourquoi, depuis la sortie du livre, se fourvoie-t-on à parler des violences sexuelles au sein des familles sans parler des raisons du silence ?(…) Pourquoi ne parle-t-on pas davantage de pédocriminalité puisque c'est de cela dont il s'agit, d'après les faits rapportés dans ce livre ? Peut-être, pour insister, une fois encore, sur le contexte familial.

Car l'inceste est une affaire d'interdit, de limite, de règle morale. Or, l'interdit, c'est précisément ce que cette famille soixante-huitarde affirmée rejette par conviction idéologique : « Il est interdit d'interdire. » Les limites entre les parents et les enfants, il n'y en a pas. La règle morale, il n'y en a qu'une : «Jouissez sans entraves.»

Et c'est là, il me semble, tout l'intérêt du livre. Camille Kouchner nous plonge dans l'intimité d'une famille où l'atmosphère libertaire règne en maître et l'inceste n'est pas seulement un fait, c'est un climat. Les détails abondent. De la nudité des parents et de leurs amis exposée avec arrogance et provocation devant les enfants (…) à l'organisation par la mère du « déniaisement » de son fils, jeune adolescent, par une de ses amies de vingt ans son aîné, (…), l'inquiétude de la mère exprimée à sa fille qu'elle soit encore vierge à 12 ans, les « pelles » roulées par des adultes aux enfants, ou encore la petite Camille qui masse, caresse les adultes, etc. C'est dans ce contexte particulier qu'Olivier Duhamel aurait abusé sexuellement du fils de sa femme. Il n'y a aucun repère. Il n'y a d'ailleurs pas leur père, «Bernard» comme il demande à se faire appeler. Le grand absent.

« Tu dois le comprendre. Médecin, il a choisi de sauver les autres enfants. Pas les siens» dit « Évelyne » à sa fillette.

Le plus intéressant dans ce récit, à mon sens, c'est la conviction qu'à ressenti Victor, le frère abusé, que l'acte sexuel imposé par son beau-père n'était pas juste. Et quand il raconte les faits à sa sœur jumelle, immédiatement et bien qu'ils ne soient encore que des adolescents, elle en est convaincue, elle aussi. La confusion qui régnait dans leur famille aurait dû les faire douter et ce d'autant plus qu'elle s'est fondée sur des idées élaborées par les intellectuels de l'époque. Ce qui signifie qu'une conscience morale existe, et qu'elle contredit l'idéologie.

Ce livre est une bombe. Il détruit nombre d'idées de la révolution sexuelle (…). Les faits relatés sont insupportables, certainement. Alors certains ont appelé, sur les réseaux sociaux, à dénoncer les incestes dans les familles. (…) Mais utiliser le témoignage d'une enfant élevée par des intellectuels d'une génération pour (…) en profiter pour augmenter la détestation des hommes (…) est un contresens. Pour certaines militantes, le mâle blanc dominant, c'est l'ennemi. La figure du père, celle à abattre pour détruire le fameux patriarcat qui serait à l'origine de la violence. Or justement, le récit de Camille Kouchner (…) témoigne d'une réalité toute contraire : l'absence cruelle de figure paternelle, d'un homme qui sécurise, qui protège en réaffirmant la loi : le permis et le défendu. Celui qui permet à la mère et l'enfant de sortir de la fusion, de la confusion. L'homme comme altérité. Où est-il cet homme-là ? C'est de lui dont nous avons plus que jamais besoin. (extrait de la tribune de Thérèse Hargot, dans Le Figaro du 12 février 2021)

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24 février 2021 3 24 /02 /février /2021 11:02

L’épidémie actuelle est un fléau qui tue les personnes vulnérables et qu’il faut  combattre efficacement. Mais au-delà de l’aspect médical, cette étude résumée s’interroge sur l’exploitation financière et politique de l’épidémie. Les quatre constats ci-dessous, factuels, peuvent alimenter le lecteur cherchant des données objectives : les références lui permettent d’approfondir l’information n’ayant pas pu trouver place dans ce résumé.

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18 février 2021 4 18 /02 /février /2021 09:17
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15 février 2021 1 15 /02 /février /2021 18:08

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12 février 2021 5 12 /02 /février /2021 10:16

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12 février 2021 5 12 /02 /février /2021 08:16

"Comment les médias racontent le Covid". Un film de Bernard Crutzen sur le traitement médiatique de la crise par les médias belges francophones. Ce qu'ils disent, comment ils le disent, et ce qu'ils taisent. Avec une attention particulière à la notion de "complot".

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30 janvier 2021 6 30 /01 /janvier /2021 18:12

Vu sur Facebook

Jeudi 21 janvier, la folle journée de notre Ministre de la Santé :

- le matin au Sénat il déclare pouvoir vacciner 15 millions de Français avant l'été (21 juin)

- le soir dans le journal télévisé de TF1 il déclare pouvoir vacciner 43 millions de Français fin juin (et "70 millions fin août")

SOUVENT VÉRAN VARIE, BIEN FOL EST QUI S’Y FIE.

 
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30 janvier 2021 6 30 /01 /janvier /2021 09:16
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30 janvier 2021 6 30 /01 /janvier /2021 09:05

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 17:28

Covid, vaccin, la généticienne Alexandra Henrion-Caude nous dit tout" :  attention, cette vidéo virale comporte de

Actu Orange comme AFP Factuel, LCI, Libération et d'autres nous disent que ce que dit la généticienne Alexandra Henrion-Caude est faux. 

Une bonne raison de l'écouter, non ?

Cliquez donc sur la photo.

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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 10:18

au 16 novembre 2020  

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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 09:37

Victime, comme vous, des informations sanitaires omniprésentes, aux ordres, moi, humble lapin à l’écoute, je décroche totalement des journaux télévisés ou émissions de décryptage, avec faits arrangés, visages trop vus, aux propos inodores et sans saveur.

La quotidienne de Monsieur Zemmour est mon soin palliatif, une mise sous oxygène (avec Sud Radio et M. Bercoff).

La parenthèse historique de Marc Menant vaut le détour à elle seule, mais l’Histoire de France n’est pas porteuse, même si la princesse Christine donne un tempo aussi féminin que céleste à ce quintet admirable. Mais revenons sur leur multi-Terra Nova, les yeux écarquillés.

Plus que manipulés, c’est aux fers rouges que la doctrine nous est inoculée, au rythme des mots « vaccin », « test », « confinement », « couvre-feu », « taux »… Les JT sont une succession de copier-coller anxiogènes, que seule la météo agrémente : alerte neige, verglas, inondation, pluie, froid. Tout fait peur, train fantôme gratuit en marche, sensations garanties ; félin on y entre, lapin on en ressort, assisté, hors du clapier dans les créneaux, avec groin grotesque partout sans discernement ni confiance, docile.

Comme fou depuis mars, le gouvernement s’est travesti en docteur diabolique, au chevet de chacun d’entre nous ; il contrôle nos paramètres vitaux, des pieds à la tête, surtout le muscle cérébral.

Auparavant, le toubib restait à sa place. Il respectait le patient, son libre arbitre, ses choix avec la signature d’un protocole éventuel, ou un accord entre quatre yeux. A contrario, une décharge et vous rentriez.

Désormais, comme nous sommes tous malades ou transporteurs malins, le port obligatoire du masque devient la norme, l’hospitalisation à domicile que le « good doctor » nous prescrit est pérennisée, avec permissions à géométrie variable, des restrictions au regroupement familial de terroir ou amical. Tous incurables car vecteurs conscients ou inconscients du mal. Donc, il nous ausculte chaque soir claquemurés à domicile ; il lobotomise ainsi nos esprits rebelles pour en faire des sans-papiers. Le passeport vert sera une étoile, non plus discriminatoire mais libératrice, sorte d’étoile des rois mages enfin parvenus en terre salvatrice.

Depuis qu’une démocratie se fait à 35, les repas à 6, tout est compté. Mon grand-père, avant de tuer le lapin, pour détourner son attention, lui caressait l’échine : pas d’attendrissement idéologique pour remplir l’estomac, même frugalement. La nouvelle génération y perdra beaucoup, en ne mangeant que de la salade verte, du steak aux algues, ou en jouant de la guitare à deux mètres de mamie. On la sacrifie in fine en la domptant, et cela me torture.

Au fait, a-t-on pensé à demander à nos vieux s’ils veulent, pour vivre quelques mois de plus, être enfermés en chambre 24 h/24, s’ils veulent aussi que les jeunes ne sortent plus, n’aillent plus à l’université, eux qui allaient à l’école sous les bombes, mais aussi que leurs petits-enfants soient masqués 8 heures en primaire ?

En clair, leur a-t-on posé la question de savoir s’ils souhaitent voir mourir les jeunes avant eux, par asphyxie, suicide, chômage très longue durée, horizons bouchés, désespoir ?

Source

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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 00:10

Reçu de EVR

Le 21 janvier, nous nous souviendrons de l’exécution du roi Louis XVI, mort il y a 228 ans. « Depuis lors, la France est un corps sans tête » comme l’a écrit le cardinal Pie.

Ci-dessous, ce texte de Victor Hugo qui décrit l’exécution rapportée en 1840 par un témoin oculaire, extrait de Choses vues, recueil de notes et de mémoires.

L’échafaud ne fut pas dressé, comme on le croit généralement, au centre même de la place, à l’endroit où est aujourd’hui l’obélisque, mais au lieu que l’arrêté du Conseil exécutif provisoire désigne en ces termes précis : « entre le pied d’estal et les Champs-Élysées ».

Qu’était-ce que ce piédestal ? (…) Cette pierre avait porté la statue de Louis XV. (…)

En l’an I de la République, ce que le Conseil exécutif appelait le « pied d’estal » n’était plus qu’un bloc informe et hideux. C’était une sorte de symbole sinistre de la royauté elle-même. Les parements de marbre et de bronze en avaient été arrachés, (…) les quatre faces du bas-relief rompu à coups de marteau. (…) Cet amas de choses sans nom avait remplacé la royale statue. Le symbole n’est-il pas complet ?

L’échafaud était dressé à quelques pas de cette ruine, un peu en arrière. (…) Un panier de forme cylindrique, recouvert de cuir, était disposé à l’endroit même où devait tomber la tête du roi pour la recevoir ; et à l’un des angles de l’entablement, à droite de l’échelle, on distinguait une longue manette d’osier préparée pour le corps et sur laquelle l’un des bourreaux, en attendant le roi, avait posé son chapeau.

Qu’on se figure maintenant au milieu de la place ces deux choses lugubres à quelques pas l’une de l’autre, le piédestal de Louis XV et l’échafaud de Louis XVI, c’est-à-dire la ruine de la royauté morte et le martyre de la royauté vivante ; (…); qu’on pose (…) sur ces arbres noirs et effeuillés, sur cette morne multitude le ciel sombre et glacial d’une matinée d’hiver, on aura une idée de l’aspect qu’offrait la place de la Révolution au moment où Louis XVI, traîné dans la voiture du maire de Paris, vêtu de blanc, le livre des psaumes à la main, y arriva pour mourir à dix heures et quelques minutes, le 21 janvier 1793.

Étrange excès d’abaissement et de misère, le fils de tant de rois, enveloppé de bandelettes et sacré comme les rois d’Égypte, allait être dévoré entre deux couches de chaux vive, et à cette royauté française, si grande jusque dans la mort, qui avait eu à Versailles un trône d’or et à Saint-Denis soixante sarcophages de granit, il ne restait plus qu’une estrade de sapin et un cercueil d’osier.(…)

Les bourreaux étaient en culottes courtes, vêtus de l’habit à la française tel que la Révolution l’avait modifié, et coiffés de chapeaux à trois cornes que chargeaient d’énormes cocardes tricolores. Ils exécutèrent le roi le chapeau sur la tête, et ce fut sans ôter son chapeau que Sanson, saisissant aux cheveux la tête coupée de Louis XVI, la présenta au peuple et en laissa, pendant quelques instants, ruisseler le sang sur l’échafaud.

Dans ce même moment, son valet ou son aide défaisait ce qu’on appelait les sangles ; et, tandis que la foule considérait tour à tour le corps du roi entièrement vêtu de blanc,  (…) deux prêtres, commissaires de la Commune, chargés par elle d’assister, comme officiers municipaux, à l’exécution du roi, causaient à haute voix et riaient aux éclats dans la voiture du maire. Jacques Roux, l’un d’eux, montrait dérisoirement à l’autre les gros mollets et le gros ventre de Capet. (…)

À la place où tomba la tête du roi, un long ruisseau de sang coula le long des planches de l’échafaud jusque sur le pavé. Quand l’exécution fut terminée, Sanson jeta au peuple la redingote du roi qui était en molleton blanc, et en un instant elle disparut, déchirée par mille mains. Scinderunt vestimenta sua.

Un homme monta sur la guillotine les bras nus et remplit par trois fois ses deux mains de caillots de sang qu’il dispersa au loin sur la foule en criant : Que ce sang retombe sur nos têtes ! Les révolutions produisent de ces épouvantables semeurs. Ils ensemencent l’avenir de désastres et de catastrophes ; et un demi-siècle après eux, les générations effrayées voient germer les choses terribles qu’ils ont jetées dans le sillon. En défilant autour de l’échafaud, tous ces hommes armés qu’on appelait les volontaires trempèrent dans le sang de Louis XVI leurs baïonnettes, leurs piques et leurs sabres. (…)

Oh ! Que les fondateurs de monarchies seraient accablés et tristes, et comme ils sentiraient se mêler à leur pensée auguste une pensée amère, s’ils pouvaient distinguer à travers les siècles les sombres figures de l’avenir ! S’ils savaient ! S’ils pouvaient voir, dans les profondes perspectives de l’histoire, ce qu’il advient de nos entreprises, de nos fondations, de nos empires, de nos rêves ; ce que les places publiques font des statues royales ; ce que les peuples font des couronnes ; ce que les échafauds font des trônes ; ce que les multitudes peuvent faire d’un homme ; quel abaissement remplace la majesté ; quel collier d’indignité et de misère peut venir se sceller brusquement à l’extrémité d’une longue chaîne de grandeur et de gloire ; et à quel panier d’osier peuvent aboutir soixante sarcophages de granit !

Au moment où la tête de Louis XVI tomba, l’abbé Edgeworth (*) était encore près du roi. Le sang jaillit jusque sur lui. Il revêtit précipitamment une redingote brune, descendit de l’échafaud et se perdit dans la foule. Le premier rang des spectateurs s’ouvrit devant lui avec une sorte d’étonnement mêlé de respect ; mais, au bout de quelques pas, l’attention de tous était encore tellement concentrée sur le centre de la place où l’événement venait de s’accomplir, que personne ne regardait plus l’abbé Edgeworth.

Le pauvre prêtre, enveloppé de la grosse redingote qui cachait le sang dont il était couvert, s’enfuit tout effaré, marchant comme un homme qui rêve et sachant à peine où il allait. Cependant, avec cette sorte d’instinct que conservent les somnambules, il passa la rivière, prit la rue du Bac, puis la rue du Regard et parvint ainsi à gagner la maison de Mme de Lézardière, près de la barrière du Maine. Arrivé là, il quitta ses vêtements souillés, et resta plusieurs heures, comme anéanti, sans pouvoir recueillir une pensée ni prononcer une parole.

Des royalistes qui l’avaient suivi, et qui avaient assisté à l’exécution, entourèrent l’abbé Edgeworth et lui rappelèrent l’adieu sublime qu’il venait d’adresser au roi : — Fils de saint Louis, montez au ciel ! Chose étrange ! Ces paroles si mémorables n’avaient laissé aucune trace dans l’esprit de celui qui les avait dites. — Nous les avons entendues, lui disaient les témoins de la catastrophe, encore tout émus et tout frémissants. — C’est possible, répondait-il, mais je ne m’en souviens pas. L’abbé Edgeworth a vécu une longue vie sans pouvoir se rappeler s’il avait prononcé réellement ces paroles. C’était comme un éclair qui avait passé sur ses lèvres.

Mme de Lézardière, atteinte d’une grave maladie depuis près d’un mois, ne put supporter le coup de la mort de Louis XVI. Elle mourut dans la nuit même du 21 janvier. L’abbé Edgeworth, envoyé pour ainsi dire dans cette maison par la providence, lui administra les derniers sacrements et lui donna les dernières consolations. Il finit sa journée comme il l’avait commencée.

(*) : confesseur du roi Louis XVI

21 janvier 1793 : mort de Louis XVI – Blog Histoire Géo

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20 janvier 2021 3 20 /01 /janvier /2021 11:54

Oui, il faut dégenrer le jeu d'échecs. Il y a urgence.

Damon – Dégenrer le jeu d’échecs, quelle bonne idée !
Damon – Dégenrer le jeu d’échecs, quelle bonne idée !

Noir, blanc, roi, reine, les échecs sont la quintessence d’un monde binaire. Pasticher les extrêmes du sabir inclusif permet d’en souligner l’inanité. Les jeux d'échec vont-ils échapper à la folie de la non discrimination ? Reliquat d'un univers monarchique à relents sexistes et patriarcaux nauséabonds, un échiquier condense toutes les inégalités  et toutes les discriminations. Les échecs reposent sur une partition raciste et trop binaire du monde.
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11 janvier 2021 1 11 /01 /janvier /2021 18:26

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