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17 décembre 2021 5 17 /12 /décembre /2021 10:34

 

Les chrétiens continuent à souffrir. 

Notamment dans cet Orient si compliqué qui les a vus naître. Aux victimes de guerres interminables s´ajoutent les assassinats… et l´émigration. L´époque nous sert chaque jour de nouvelles victimes plus ou moins imaginaires à plaindre, à défendre ou à glorifier… Elle oublie trop souvent que de vraies victimes souffrent dans un silence assourdissant. Or, l´histoire de ces chrétiens est intimidante tant elle est fondatrice, lumineuse tant elle a irrigué le monde, aimable tant elle a précédé l´apothéose d´un Occident rayonnant à travers le monde. Voilà pourquoi ce hors-série de Valeurs actuelles vous propose de redécouvrir l´histoire d´épreuves multiséculaires, mais aussi vous expose les raisons d´espérer.

132 pages - en kiosque ou via Internet, version papier ou numérique.

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20 novembre 2021 6 20 /11 /novembre /2021 09:29
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14 octobre 2021 4 14 /10 /octobre /2021 15:17

 

Brassens aurait 100 ANS cette année

La presse mainstream s’imposant elle-même ses grosses œillères bobos, bon teint, tient toujours à présenter Georges Brassens d’une manière manichéenne, partielle, partiale, malhonnête et honteuse.
En utilisant les même infâmes procédés, je pourrais écrire qu’il était flicard (« Gloire au flic qui barrait le passage aux autos »), collaborationniste (La TondueLes Deux oncles), homophobe (« Y a tant d’hommes aujourd’hui qui ont un penchant pervers / A prendre obstinément Cupidon à l’envers »), réactionnaire (« Pardonnez-moi, prince si je suis foutrement moyenâgeux » ou Le Passéiste), intolérant (« Ceux qui ne pensent pas comme nous sont des cons »), fasciste (Honte à qui peut chanter), nazi (Entre la rue de Vanves et la rue Didot), catholique traditionaliste  (Tempête dans un bénitier), etc…

Pourquoi ne pas fréquenter Brassens, plutôt qu’expliquer Brassens ? Il s’est expliqué lui-même, et c’est bien suffisant.

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9 octobre 2021 6 09 /10 /octobre /2021 16:49

«Le scandale France Inter devrait être un thème majeur de la campagne»

Grand entretien avec Me Gilles-William Goldnadel, avocat, essayiste.

 

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31 août 2021 2 31 /08 /août /2021 07:03

Science & Foi n°140 est paru cet été.

Au sommaire :

- La présentation du Colloque des 13&14 novembre 2021 ! Sur vos tablettes !

- La traversée de la Mer Rouge, par Fernand Crombette

- Sur les traces du Linceul, par P. Dor

- Les sens sont-ils trompeurs ? (2) par Thierry Martin

- Témoin ardent du Cœur de Jésus, par G.Callet

- De profundis, par Dimitri Michalopoulos

- Des mots, des sons et de l'Ecriture, par Benoît Neiss.

- Vive les vacances !

Et diverses nouvelles et recensions de livres.

Rappelons que la BD "Le savant de Dieu" sur Fernand Crombette est toujours disponible. N'attendez pas l'épuisement !

A commander sur le site du CESHE https://ceshe.fr/fr/ ou à cesheadm@wanadoo.fr

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9 août 2021 1 09 /08 /août /2021 09:40

C'est la question que pose le numéro de juillet 2021 de la revue LE CEP.

D'autres articles intéressants : La doctrine de la Création et l'Astronomie - L'épidémie de variole de 1721 à Boston  - Existe-t-il des contradictions dans la Bible ? - Les sens logés dans les antenne de l'abeille ...

Et des articles d'actualité ...   En marche vers l'homme immunologiquement modifié - Le monde obscur des vaccins et de la recherche sur les tissus fœtaux ...

On trouve nombre d'anciens articles ICI.

Archives des La revue - Le CEP

 

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8 août 2021 7 08 /08 /août /2021 12:03

Pour en savoir plus sur ce numéro 

 

Retrouvez ce thème dans l'émission de Radio Courtoisie, où Daniel Lallemant reçoit :

  • Guillaume de Prémare, journaliste, directeur de la rédaction de "Permanences", écrivain
  • Henri Hude, philosophe
  • Christian Vanneste, député honoraire, professeur de philosophie

 

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4 août 2021 3 04 /08 /août /2021 09:24

Comment George Soros étend son influence sur les Nations unies

Un rapport démontre qu'un petit nombre d'ONG et de fondations a pris la main sur le Conseil des droits de l'homme de l'Onu, transformé en outil d'influence au service de leur idéologie. Révélations.

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3 juin 2021 4 03 /06 /juin /2021 16:24

La guerre des mots

Il y a les mots usés à force d’avoir servi. Les mots que l’on n’ose plus utiliser. Les mots qui masquent les réalités. Les mots qui vous cataloguent ou vous tuent. Les mots de la langue de bois, ceux de la langue de coton. Les mots à la mode, les mots du franglais, les mots des jargons. Oui, on ne peut véritablement parler aujourd’hui de la guerre des mots. Philippe Van de Wiele

La suite dans le numéro Mots pour maux de la revue Permanences.

Visitez également le blog de la guerre des mots (et de la manière d'y répondre) ...

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30 avril 2021 5 30 /04 /avril /2021 10:16

La décroissance

le numéro en kiosque du moment 

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8 avril 2021 4 08 /04 /avril /2021 06:46

Le dossier du dernier "Permanences"

N°584 : Le défi de l’identité et de l’immigration

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31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 08:33

Petrus Angel se réveille un peu tard ...

On peut peut-être trouver en kiosque ce 31 mars les derniers numéros de ces périodiques.

Sinon via Internet. A lire sans modération et avec discernement.

 

Eléments

Figaro Histoire

La Décroissance

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3 mars 2021 3 03 /03 /mars /2021 07:16

www.journaux.fr - Gauss - Une Révolution des Nombres

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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 08:25
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13 octobre 2020 2 13 /10 /octobre /2020 08:29

Réponses dans "Permanences"

Faire vivre le corps et l’âme

C’est entendu : sauf exceptions, nous préférons tous être en vie plutôt que mort. C’est entendu également : la vie est sacrée, chaque vie est sacrée. Reste à savoir de quelle vie nous parlons… Dans un court essai consacré à la crise sanitaire, intitulé L’Idolâtrie de la vie, le philosophe Olivier Rey observe que la vie qu’il nous est proposé de sauvegarder, quoi qu’il en coûte, est en quelque sorte « la vie nue », c’est-à-dire l’existence considérée comme exclusivement physiologique, où l’on se contente d’être vivant plutôt que mort. 

Pour préserver cette « vie nue », les autorités de nombreux pays, y compris le nôtre, semblent prêtes à des mesures maximales qui tendent à dépouiller la vie de son épaisseur relationnelle, sociale ou encore spirituelle. Face à cette pente ultra-sanitaire, un autre philosophe, Martin Steffens résume les choses ainsi : « Je ne vis pas pour continuer de vivre indéfiniment, mais pour vivre pleinement l’expérience humaine. » 

Le risque sanitaire actuel, dont on ne sait combien de temps il va durer, survient au moment où un autre risque occupe le débat public : le risque pour notre sécurité ; et même le spectre de la violence. On parle d’ensauvagement, de territoires en sécession, hors de contrôle de la loi et de la police, tenus par des hommes  .... la suite ...

POUR EN SAVOIR PLUS ET COMMANDER 

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18 août 2020 2 18 /08 /août /2020 13:45

La Décroissance     L' incorrect     Front Populaire     Eléments    Revue Des Deux Mondes     Rivarol   Connaissance des arts        

etc. etc.

En kiosque ou en ligne

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18 août 2020 2 18 /08 /août /2020 12:10

 

Le 69ème numéro de la revue Nouvelle Ecole vient de paraitre avec pour thème central, Péguy et Bernanos.

Alain de Benoist, qui dirige la revue, a d’ailleurs donné une excellente interview à la revue Eléments dans laquelle il explique la genèse de ce projet :

« Le fait est qu’ils sont souvent cités conjointement par ceux qui s’en réclament, et ce n’est évidemment parce qu’ils étaient tous les deux chrétiens, nominalement au moins (car il y a beaucoup à dire sur les particularités de leurs fois respectives). Ils étaient pourtant à bien des égards très différents. Mais leur point commun est d’avoir été l’un et l’autre des critiques radicaux de la modernité. Ce sont des antimodernes, avec toutes les ambiguïtés qui s’attachent à ce terme. Et chez eux, la critique de la modernité prend avant tout la forme d’une formidable indignation.

Je sais bien ce qu’il peut y avoir d’insatisfaisant dans ce terme : quand Stéphane Hessel disait « Indignez-vous ! », son propos était un peu ridicule, car on ne s’indigne pas sur commande. Chez Bernanos comme chez Péguy, l’indignation est authentique parce qu’elle vient de l’intérieur. C’est leur conscience, corps et âme mêlés, qui s’indigne de ce qu’ils ont sous les yeux. Ils s’indignent de voir ce qui est au sens propre in-digne prendre le dessus dans « la marée de merde du monde moderne », pour parler comme François Sureau. Et cette indignation est bien sûr indissociable d’une critique du règne de l’argent, qui n’épargne rien ni personne – à commencer par les « chrétiens de pain d’épice » qui se sont ralliés aux valeurs bourgeoises ».

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31 juillet 2020 5 31 /07 /juillet /2020 11:41

France Catholique (numéro du 10 juillet 2020) consacre un dossier à Gustave Thibon au sein duquel Ichtus témoigne à quel point le philosophe paysan a marqué la Cité catholique puis l’oeuvre d’Ichtus dont il était un ami très proche, au point de venir à de nombreuses reprises aux congrès de Lausanne puis de tenir dans Permanences une “chronique du bon sens”.

France catholique a décidé de diffuser ce numéro en accès libre. Il est intégralement téléchargeable sur ce lien.

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4 juillet 2020 6 04 /07 /juillet /2020 11:57

selon "Permanences"

N°581 Le monde d'après ? - Ichtus

Parvenu aux affaires en 2017, Emmanuel Macron avait pour promesse de connecter la France aux défis du nouveau monde. D’une certaine manière, nous n’avions pas le choix : ce nouveau monde était inéluctable, rien ne pouvait empêcher son avènement, il fallait donc s’y adapter. À peine trois ans plus tard, à la faveur d’un méchant virus, le nouveau semble déjà obsolète et Emmanuel Macron a changé soudainement de registre pour annoncer le monde d’après, un monde dans lequel rien ne serait plus comme avant. La nouvelle promesse laisse dubitatif. Cependant, s’il doit y avoir un changement, un monde d’après, à quelles conditions est-il envisageable ? Peut-il être conduit par ceux-là mêmes qui sont responsables des failles révélées par la crise sanitaire ? Dans ce numéro, la rédaction de Permanences a interrogé cinq personnalités et intellectuels aux compétences variées pour fournir des éléments de réflexion sur les contours d’un changement souhaitable : renouveau philosophique, sursaut spirituel, retour de la nation comme communauté politique, retour du politique face au marché, réindustrialisation, patriotisme économique… 

POUR EN SAVOIR PLUS ET COMMANDER 

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9 juin 2020 2 09 /06 /juin /2020 15:08

On se demande pour quelles raisons Emmanuel Macron a bien pu choisir Sibeth Ndiaye comme secrétaire d’Etat porte-parole du gouvernement.

Je ne le crois pas assez cynique pour l’avoir nommée parce que c’est une femme noire, il ne serait pas capable d’un pareil coup tordu, ce qui équivaudrait, par exemple, à choisir un ministre de la culture parce qu’il serait homosexuel! Ces manœuvres communautaristes et bassement électoralistes seraient indignes d’un président de la République ayant souhaité que figurent les œuvres du général de Gaulle sur sa photo officielle et qui a fait ajouter une croix de Lorraine sur le logo de communication de l’Elysée.

Je ne le crois pas assez immoral pour l’avoir désignée parce qu’elle savait mentir dans les grandes largeurs – qu’on se souvienne de son: «J’assume de mentir pour protéger le Président ». Un chef de l’Etat qui a choisi L’Immoraliste  de Gide pour accompagner le général de Gaulle sur une photo de lui et de son bureau envoyée dans toutes les mairies de France ne saurait couvrir une pareille infamie.

Je ne crois pas non plus que ce soit parce qu’elle fume comme un sapeur sur son lieu de travail et tient élégamment sa clope au bord des lèvres comme Jean Gabin dans un film de Jean Grémillon.

La suite de l'article de Michel ONFRAY

DES NOUVELLES DU RADEAU DE LA MEDUSE - La semaine vue par Michel ...

 

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15 mai 2020 5 15 /05 /mai /2020 09:37

 

Lancement du "Club de la Presse":  Entretien

Quel est l’objectif de ce Netflix / Spotify de la « presse de droite » ? Il existait déjà de nombreux clubs de la presse régionaux, regroupant avec plus ou moins de succès journalistes et éditeurs par affinités locales. C’est un Club de la presse d’un nouveau genre qui est lancé le 3 avril, revue de détail en quatre questions.

 

Quel est l’objectif de votre Club ?

L’objectif est triple :

Le premier est de rendre accessible au plus grand nombre, notamment aux plus jeunes, la presse libre et non-conformiste, dans toute sa diversité, alors que les crises (migratoires, sanitaires, économiques, etc.) se succèdent et que la soif d’analyses, de décryptages sérieux et de propositions audacieuses pour notre temps n’a jamais été forte chez des millions de Français.
Les réseaux sociaux et les blogs de réinformation n’ont pas leur pareil pour rapporter de nombreux faits qui défient l’entendement. Ils sont irremplaçables mais insuffisants. Seule la presse permet de prendre le recul, donne la parole à des penseurs originaux, mène l’enquête, propose des solutions argumentées et détaillées. C’est en cela qu’elle est irremplaçable et complète parfaitement les blogs de réinformation / réseaux sociaux.
Cette presse que certains qualifieront “de droite” (c’est bien plus complexe, et personne n’est vraiment capable de dire ce qu’est la droite, disons qu’elle n’est pas de gauche) est injustement méconnue des Français car elle manque de moyens (quasi-absence de ressources publicitaires), a été diabolisée par les médias de gauche, a parfois subi un acharnement judiciaire de la part de certaines ligues qui font profession de censeurs. Acheter toutes ces publications en kiosque ou en librairie reviendrait à plus de 120 euros par mois. Les recevoir via Le Club de la Presse vous reviendra à 12,99 euros par mois.

Il s’agit aussi d’ouvrir l’esprit des lecteurs. Trop souvent, et c’est le cas sur Internet, on ne consulte que les supports qui correspondent parfaitement à notre pensée. Or il y a des choses intéressantes chez le voisin qui pense légèrement différemment. La Manif pour Tous a permis à toute une génération de s’ouvrir à toutes les tendances de la droite : en marchant ensemble, des conservateurs ont rencontré des libéraux, des catholiques ont sympathisé avec des identitaires, etc. Nous souhaitons prolonger cette ouverture d’esprit en permettant à chacun de découvrir d’autres pensées de droite. C’est pour cela que Le Club de la Presse propose des publications très diverses. Leur point commun : être de grande qualité.

Enfin, il y a une volonté d’aider ces publications à ne pas rater le train de la digitalisation payante. Celle-ci est très compliquée à effectuer en solo. Prenons l’exemple des plateformes vidéos : personne ne s’abonnerait à un bouquet qui ne proposerait que les réalisations d’un studio (Europa Corps de Luc Besson par exemple) pour des raisons de qualité, de quantité et de diversité. Le succès du digital payant est au rendez-vous quand c’est Disney qui lance son service de streaming, parce qu’il comprend les films de la Warner, de Disney, Pixar, Lucasfilm ou encore Marvel, etc. Le Club de la Presse propose donc à chaque acteur média engagé, tout en restant libre et indépendant (le secteur ne connaît de toutes les manières aucun phénomène réel de concentration), de rejoindre cette offre.

Nous leur proposons un changement de paradigme : autrefois, si un lecteur achetait le journal A, le risque était qu’il n’ait plus assez d’argent pour acheter le journal B. Si un internaute s’abonne au Club de la Presse pour lire le journal A, une partie de son abonnement est reversée au journal A… mais aussi au journal B. Chaque média membre du Club de la Presse est donc fort de sa propre force bien entendu, mais aussi, et c’est nouveau, de la force des autres membres. Concrètement, chaque support touche un peu moins que si vous l’achetiez en solo mais de la part de beaucoup plus de monde, dont une bonne partie qui ne l’aurait jamais acheté (par préférence, et cela ne se discute pas, ou par ignorance, et là c’est dommage !). Comme les lecteurs, les publications qui ont rejoint Le Club de la Presse sont gagnantes.

Quelle(s) formule(s) proposez-vous ?

Nous proposons une formule unique : pour 12,99 euros par mois, et sans engagement, vous pouvez accéder à une vingtaine de magazines libres et non-conformistes comme Le Bien CommunL’Étudiant LibreL’Homme NouveauL’IncorrectLiberté PolitiqueLivr’ArbitresMonde & VieLes Monographies de Contribuables AssociésLa NefLa Nouvelle Revue UniversellePolitique MagazinePrésentRenaissance CatholiqueTous Contribuables… Deux cadeaux d’une valeur totale de 44 euros sont offerts pour chaque adhésion : un Atelier d’Histoire consacré à l’incroyable épopée de Jeanne d’Arc et une e‑BD historique signée Reynald Secher, Guy Lehideux et Jean-Claude Cassini qui raconte Verdun aux jeunes de 7 à 107 ans…

Quel est votre modèle économique ?

Chaque publication reçoit un montant fixe par abonné au Club de la Presse et par numéro mis à disposition des abonnés.

Les titres disponibles ne courent-ils pas le risque de se faire cannibaliser ? Une vente en plus à prix réduit chez vous c’est une vente en moins à prix normal par ailleurs ?

Il y a les lecteurs qui préfèrent le papier et ceux qui préfèrent le digital, pour différentes raisons (place, mobilité, etc.). Il y a aussi ceux que le digital n’empêche pas d’avoir du papier chez eux. Nous nous adressons aux lecteurs que le digital n’effraie pas, en priorité aux jeunes, (car ils ont moins d’argent, moins de place et sont plus mobiles), aux “mobiles” (les jeunes, mais aussi les expats, les VIE, les retraités qui passent la moitié du temps à l’étranger ou dans le sud de la France) ainsi qu’aux déclassés en général (personnes au chômage ou dont le pouvoir d’achat a baissé ces dernières années), qui ne lisent pas ou plus la presse. Pour ces personnes, le digital est une chance.

Il l’est aussi pour les médias. C’est grâce au digital qu’outre-Atlantique, The New York Times a récemment dépassé les 5 millions d’abonnés (90% digital, 10% print) contre un peu moins d’1 100 000 en 2005 (100% print). Et malgré un prix d’abonnement digital moins élevé que l’abonnement papier, ce quotidien de la gauche libérale effectue une marge plus importante avec le digital. The New York Times est une marque suffisamment puissante pour prendre seul le train de la digitalisation. En proposant une offre regroupant la presse française de droite, celle-ci a plus de chances de le prendre avec succès.

En savoir plus : leclubdelapresse.fr

 

Relevé sur le site de l'OJIM

 

Lancement du “Club de la presse” : entretien

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12 mai 2020 2 12 /05 /mai /2020 07:14

  

Jusqu’au 30 juin, notre invité du mardi est l’écrivain Romain Guérin. Trente-six ans et du talent, révélé par deux livres : Le Journal d’Anne-France et La Chorale des cadavres, recueil de poèmes. Comme un mantra, la sphère politique et médiatique parle d’un « monde d’après ». Cette formule répétée à l’envi, qui sonne comme une menace, est en fait une prophétie […]

Pour poursuivre la lecture : 

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8 mai 2020 5 08 /05 /mai /2020 17:43

1940 la plus grande défaite de l'histoire de France

C'est ICI

En 1940, l’historien Marc Bloch analysait à chaud la bataille de France comme une « étrange défaite ». Comment en effet, après des mois de « drôle de guerre », brutalement interrompue par l’offensive allemande du 10 mai 1940, la France avait-elle subi une si rapide, si totale débâcle en un mois seulement face aux armées de Hitler ? A quatre-vingts ans de distance, cette défaite semble pourtant avoir été moins étrange que prévisible. Aidé des meilleurs spécialistes d’histoire militaire, Le Figaro Histoire retrace la course à l’abîme commencée avec les traités de paix de 1919 et décrypte les causes d’un désastre annoncé, de l’impréparation et des erreurs du commandement à la supériorité militaire allemande, en passant par le rôle ambigu joué par les alliés de la France. Un grand dossier pour tout comprendre d’un événement central du XXe siècle. 

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5 mai 2020 2 05 /05 /mai /2020 10:00

 Pour l’amour du théâtre

par Jacques Trémolet de Villers

 

 

Des «  mystères  » médiévaux au talent de Jean Piat (1924-2018) et de Jean-Laurent Cochet (1935-2020), réflexions sur l’Église, le théâtre, la France, et quelques amis disparus...

«  Le théâtre est né de l’Église, et les rapports entre la Mère et l’enfant n’ont pas toujours été simples  », soulignait Jean Piat. Lui-même avait découvert sa nature de comédien dans son école catholique, à Saint-Charles de Monceau. Il parlait d’expérience : il est vrai que c’est au Moyen Âge qu’on voit renaître l’aventure grecque, le génie en moins, quand la scène et les personnages sortaient peu à peu de l’Ode sacrée et des cérémonies du Temple pour remplir les amphithéâtres. Les «  mystères  » passaient de la nef au parvis, puis du parvis à la place publique, de la paraphrase des textes sacrés à la mise en scène des mœurs du temps. Dans un genre qui s’apparente plus à nos séries télévisées qu’à la concision voulue par la règle classique des trois unités – temps, lieu, action.

Dans ces délayages devenus aussi illisibles que sont démodées ces séries dont nous disions pourtant, il y a quinze ans, qu’elles étaient «  géniales  », se trouvent cependant quelques merveilles éparses. On se prend à rêver d’un cinéaste qui, aidé par les techniques modernes, nous rendrait vivants ces «  mystères  » pour aujourd’hui.

Adam et Ève, le plus ancien des mystères

Ainsi, dans le plus ancien d’entre-eux, Le Jeu d’Adam, on voit nos premiers parents en voyage de noces dans le premier Éden. Tout leur est donné, les fruits et les fleurs, les viandes et les boissons, les jours et les nuits. Le matin se lève sur un ciel nouveau et le soir qui tombe est le prélude des amours toujours nouvelles, tandis que «  Dieu lui-même jeune ensemble qu’éternel  », comme le disait Péguy, se complaît dans la compagnie de ses enfants.

Mais ce bonheur conjugal, tout jeune, tout neuf et tout parfait, suscite la jalousie de celui qui «  fut homicide dès le commencement  » (Jn 8, 44). Satan va donc s’ingénier à détruire cette perfection qui l’insupporte. Il y aurait beaucoup à dire sur l’intuition de cet auteur et son lien avec les paroles de Jésus dans Matthieu 19, 9, quand il répond aux pharisiens qui lui rappellent que Moïse avait autorisé le divorce : «  C’est en raison de votre caractère intraitable que Moïse vous a autorisés à répudier vos femmes, mais au commencement il n’en était pas ainsi.  » Ainsi le sacrement du mariage que se donnent les époux chrétiens peut reconstruire le paradis terrestre. On comprend la rage, l’hostilité et les dérisions qui l’accablent depuis son institution : Satan est toujours à l’œuvre.

Par la suite, ces «  mystères  » se sont hélas engloutis dans un délayage et une vulgarité qui ont conduit à leur condamnation et à l’excommunication des comédiens jusqu’à ce que Richelieu les ramène dans l’Église, à condition qu’ils donnent des spectacles «  qu’une honnête femme peut voir  ».

Retrouvez l’intégralité de l’article dans France catholique 

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5 mai 2020 2 05 /05 /mai /2020 08:16

Voici des journaux et des revues dont plusieurs mettent

en accès libre une partie de leurs publications.

" Surtout si vous n'êtes pas d'accord " (slogan de Causeur)

De gauche à droite Par ordre alphabétique

Eléments

France catholique

La Vie 

Présent 

A suivre ...

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