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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 06:35

 

Une série d'articles de la revue LE CEP

http://le-cep.org/archive_economie.html

 

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 22:24

 

Maurice Allais

Hommage à Maurice Allais

Maurice Allais, notre seul Prix Nobel de l’Economie, reste aussi le seul économistes français à s’être interrogé sur les causes profondes d’une crise économique et financière mondiale dont il avait prédit l’ampleur avec vingt ans d’avance dans les colonnes du Figaro. Ses deux derniers ouvrages (Nouveaux combats pour l’Europe) n’étant plus réédités, le site des “chercheurs de sens” ne voit pas de plus bel hommage à lui rendre que d’inviter ses lecteurs à lire ou relire aujourd’hui quelques-unes des pages les plus pédagogiques et les plus fortes qu’il avait consacrées au sujet.

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 20:11

 

Retour sur un article de 2007

Dans un discours aux participants au congrès promu par le Parti populaire européen tenu le 30 mars 2006, Benoît XVI a évoqué trois points non négociables par l'Église et les catholiques dans leurs rapports avec les responsables politiques :

Bxvi1"En ce qui concerne l'Église catholique, l'objet principal de ses interventions dans le débat public porte sur la protection et la promotion de la dignité de la personne et elle accorde donc volontairement une attention particulière à certains principes qui ne sont pas négociables. Parmi ceux-ci, les principes suivants apparaissent aujourd'hui de manière claire: 
la protection de la vie à toutes ses étapes, du premier moment de sa conception jusqu'à sa mort naturelle;
la reconnaissance et la promotion de la structure naturelle de la famille - comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage - et sa défense contre des tentatives de la rendre juridiquement équivalente à des formes d'union radicalement différentes qui, en réalité, lui portent préjudice et contribuent  à  sa déstabilisation, en obscurcissant son caractère spécifique et son rôle social irremplaçable;
la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants.
Ces principes ne sont pas des vérités de foi, même si ils reçoivent un éclairage et une confirmation supplémentaire de la foi; ils sont inscrits dans la nature humaine elle-même et ils sont donc communs à toute l'humanité".

Le Pape les rappelle dans son exhortation apostolique, Sacramentum Caritatis. Ces principes sont ceux qui fondent la vie sociale :

« La vie démocratique a besoin de fondements vrais et solides,c’est-à-dire de principes éthiques que leur nature et leur rôle de fondement de la vie sociale rendent "non négociables" » (Cardinal Ratzinger in note doctrinale sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique).

Dans cette même note, le cardinal Ratzinger a écrit :

"Parce que la foi est constituée comme une unité infrangible, il n'est pas logique d'isoler un de ses éléments au détriment de la totalité de la doctrine catholique. L'engagement politique en faveur d'un aspect isolé de la doctrine sociale de l'Église ne suffit pas à épuiser la responsabilité pour le bien commun".

lu sur lesalonbeige

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 23:01

(JPEG)

Evénement : Retraites, une réforme plus courageuse qu’intelligente

Clair et net : Facebook : pour ou contre

Parlons clerc : Marthe et Marie

Le laïc chrétien, aux avant-postes de la mission

Dossier

Ichtus : action-formation

Une volonté de mission adaptée aux besoins des hommes

Ichtus au cœur de l’action

La dynamique des réseaux naturels

Au service de ceux qui s’engagent : le Bureau des réseaux

Rôle et place de la formation doctrinale

Benoît XVI et l’engagement des laïcs

Chronique

Altérité des sexes et unité du genre humain

Vers un nouvel ordre

Culture

Le triomphe de la mort de Pieter Brugel

Monet et l’abstraction

Le blog Philocalie.over-blog.com : l’amour de ce ce qui est beau

Jean Fréour ou l’éternelle Beauté du monde

Mélancolie française, analyse d’Isabelle Pasquale

Les yeux grands fermés, une analyse d’Isabelle Pasquale

Vers un nouvel ordre - Jacques de Guillebon

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 15:54

      Célébrer le patrimoine : oui, mais quel avenir ?

Publié par Jacques Charles-Gaffiot sur CultureMag.fr le 17/09/2010 • Thème : A la UneLibres propos

/Dans quelques jours, une nouvelle fois, le Ministère de la Culture et les médias annonceront des chiffres record de participation aux fêtes du Patrimoine, cuvée 2010.
Le Gouvernement, les médias tiendront-ils compte de la signification d’une telle affluence et accepteront-ils d’en tirer enfin les conséquences élémentaires ?

Car, en effet, le succès de cette initiative ne se dément pas au fil des années, bien au contraire. Les Français seraient-ils, à ce point, fiers de leur patrimoine, fiers de leurs églises, fiers de leurs châteaux ? Car ce sont bien ceux-là les monuments vers lesquels ils se ruent le plus, durant ces deux jours de septembre.
En franchissant le seuil de quelques-uns l’un d’entre eux, célèbres ou méconnus des visiteurs, ces mêmes Français seraient-ils avides d’un contact « charnel » avec leur histoire, avec leurs racines ?

Et ces touristes d’horizons si divers seraient-ils  également admiratifs de la France d’autrefois, de ses paysages millénaires sculptés par la peine des hommes, de sa culture qui culmine avec le rayonnement du Grand Siècle ou celui du temps des cathédrales ?

On nous explique depuis si longtemps que tout cela n’est pas possible, que la geste de nos aïeux est méprisable, couvrant une quantité de crimes abominables, accomplis par des chefs aussi sanguinaires que libidineux.

On nous explique depuis si longtemps que toutes ces traditions, ces vieilles croyances ne sont que balivernes, mensonges, égarements de l’esprit.

On nous rabâche à présent que l’histoire ne sert à rien, que l’apprentissage du grec et du latin sont nocifs à l’avenir de nos enfants et encombrent leurs jeunes cerveaux de connaissances inutiles.

Mais que vont-ils donc faire dans cette galère ces millions de visiteurs ?

la suite ....culturemag

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 08:52

      

« Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures. »
Jacques Attali – « L’avenir de la vie » – 1981

lu sur Fromageplus

D'autres raisons d'être inquiet ...

• Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société ; il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement, plutôt qu’elle ne se détériore progressivement.

• On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché.

• Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir.

• L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté, et la liberté fondamentale c’est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société.

• L’euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement.

Extraits de L’homme nomade , Ed. Le Livre de Poche, 2005 – source

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 17:29

 

6 min - 5 oct. 1993

 

ina.fr - 

Montages d'archives et voix OFF expliquant dans le détail les négociations, durant l'été 1940, entre des responsables communistes (Jacques DUCLOS en tête) et les autorités allemandes d'occupation en FRANCE pour la reparution du journal "L'HUMANITE". Puis, retour en plateau, avec Stéphane COURTOIS (Historien) interrogé par Patrick ROTMAN, qui confirme, suite à l'étude minutieuse d'archives soviétiques, que les Communistes français étaient bel et bien sur la voie d'un accord avec les autorités Nazies pour la reparution légale du journal, avant que le tout ne soit stoppé net par le Maître suprême : STALINE en personne...

      la lettre de demande de reparution aux autorités allemandes ... Fête de l'Huma

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 17:20

 

Le financement de l'Huma à sa naissance : avec l'argent des "capitalistes" ?

" Le financement du journal à sa naissance a suscité des polémiques dans les années 1930. L'article qui fait autorité sur la question est celui de Pierre Albert: "Les sociétés du journal l'Humanité de 1904 à 1920" dans Christian Delporte, Claude Pennetier, Jean-François Sirinelli et Serge Wolikow (sous la direction de), L’Humanité de Jaurès à nos jours, Nouveau Monde éditions, 2004 (pp. 29–42). Ses conclusions restent ouvertes. Il donne la liste des actionnaires de la première Société du journal (1904) et de la seconde (1907). Lors de sa création, l'Humanité bénéficie de soutiens dans la bourgeoisie dreyfusarde et notamment dans la bourgeoisie juive, comme l'a rappelé Madeleine Rebérioux dans "L’Humanité en 1904", publié par L’Humanité du 31 janvier-1er février 2004 (repris dans les Cahiers Jaurès no 171, janvier-mars 2004). Jaurès est alors le grand orateur de la délégation des gauches (socialistes du PSF, radicaux-socialistes et radicaux, modérés de l'Alliance Républicaine démocratique) qui soutient le gouvernement Combes et l'affaire Dreyfus est encore dans toutes les mémoires (Jaurès prononce en 1903 son grand discours pour la réhabilitation du capitaine qui sera acquise en 1906). Ainsi les frères Louis-Dreyfus, importants banquiers et négociants en céréales, sans liens de parenté avec Alfred Dreyfus, font partie des principaux souscripteurs. Des polémistes de La Guerre sociale (16 et 22 novembre 1910)(extrême-gauche) ou du Matin(3, 6 et 10 juin 1934) (droite), entre autres, ont ensuite prétendu que les fonds importants apportés par Lévy-Bruhl et Picard recouvraient d'autres souscripteurs désirant rester anonymes. C'est possible, mais rien de certain ne peut être établi... On parla des Rothschild, de la Compagnie des agents de change, de la marquise républicaine et anticléricale Arconati-Visconti, du Parti Ouvrier Belge, etc. "

sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/L'Humanit%C3%A9

 

On peut et aussi lire   Fête de l'Huma   et    Fête de l'Huma (2)

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 09:51

 

De qui ?

 

"On a beaucoup discuté depuis quelques mois au sujet de la culture classique. On a prétendu qu'elle s'affaiblissait dans notre pays, et que par là l'esprit français lui-même était menacé dans ses sources profondes. Des hommes considérables, des écrivains, des artistes, même des industriels, qui se constituaient les gardiens « du goût », ont poussé le cri d'alarme. Et certes, je ne méconnais pas qu'il y aurait péril pour un peuple à se séparer de ses origines. Ce serait, je crois, un grand malheur si le beau fleuve des traditions antiques cessait de se développer à travers les champs de France. Mais il me semble que la question n'a pas été bien posée. Elle est d'une difficulté et d'une complication extrêmes. Une nation moderne, qui doit être en communication avec les autres nations modernes, avec leur littérature, avec leur génie et qui doit manier aussi le formidable appareil des sciences nouvelles, ne peut pas donner à l'étude des lettres antiques la même quantité ou plutôt la même proportion de temps qu'elle leur donnait autrefois. Ce n'est que par un prodige d'aménagement qu'elle pourra distribuer les forces de son esprit sur tant d'objets divers.
Mais il me semble que la question n'a pas été bien posée. Ou plutôt on a négligé un élément essentiel. On a discuté comme si la bourgeoisie constituait encore la seule force intellectuelle de la France. Et à ceux qui disent que tous les enfants des lycées et des collèges doivent recevoir la culture latine et grecque parce que, en dehors de cette culture, il n'y a pas d'éducation parfaite, je suis tenté de dire : Que faites-vous donc des millions de travailleurs, ouvriers et paysans, que vous avez appelés à la vie civique, que vous instruisez dans vos écoles et qui agissent désormais directement sur la civilisation de la France ? Avez-vous donc renoncé à leur donner une éducation vraiment française ?
Pour moi, je crois qu'il faut arriver à leur donner une culture classique, c'est-à-dire le sens de la beauté, de la justesse, de l'ordre, de la mesure. La connaissance des oeuvres antiques aide une nation à maintenir, à développer en elle cet esprit classique; mais il ne le constitue pas. II est l'expression d'une sorte de maturité sociale ; et le prolétariat, à mesure que se précisera en lui la conscience de sa force et de son destin, sera de plus en plus capable des qualités supérieures. Quand une classe est faible, quand ses ambitions excèdent son pouvoir, elle est réduite à déclamer. Ou elle s'emporte en violences de paroles désordonnées qui trahissent l'infirmité foncière, ou elle imite gauchement les façons de parler, les élégances et les éloquences conventionnelles de la classe dominante. C'est ainsi que subsiste encore dans la vie intellectuelle du prolétariat une trop grande part de rhétorique. Mais quand sa parole a une valeur sociale certaine, quand elle exprime et traduit des idées, des forces avec lesquelles toute une société doit compter, alors elle n'a pas besoin de forcer le ton; et elle dédaigne d'emprunter à la rhétorique banale des ornements superficiels. Comme la force de sa pensée lui vient des choses, et comme la force de sa parole lui vient de sa pensée, son souci dominant est de traduire exactement la réalité telle qu'elle la veut, et elle est conduite à mettre dans ses idées cette liaison, cet ordre, cet enchaînement qui ajoutent si puissamment à la force du discours et qui est un élément essentiel de la beauté classique. En même temps qu'elle contracte le besoin de l'ordre, elle apprend la mesure qui est un effet et un signe de la force. Car rien ne donne la sensation de la force, dans l'ordre, intellectuel et social, comme dans l'ordre physique, comme de ne pas la dépenser tout entière, et d'éviter jusque dans l'action la plus vigoureuse, cette tension extrême des muscles, des nerfs ou de la parole qui marque que l'organisme est arrivé à sa limite et n'a plus de réserves. Encore un degré, et une classe consciente de sa force profonde et tranquille aura, jusque dans le combat, cette liberté, ce jeu, cette joie, cette vive et rapide lumière de gaîté, d'ironie et de grâce qui sont la partie supérieure de l'art classique.
J'ajoute qu'arrivée à ce point, une classe est capable de comprendre, de goûter ce que les classes qui l'ont précédée dans l'histoire ont produit de plus noble.
Aussi la question de la culture française devient, à une certaine profondeur, une question sociale. La France a besoin certes, pour le mouvement continué et amplifié de son génie, de rester en communication avec les sources antiques. Mais elle a besoin plus encore de devenir tout entière une nation « classique », c'est-à-dire une nation où l'immense peuple du travail aura, par l'accroissement et l'organisation de sa force, les élans supérieurs de pensée cohérente, d'action ordonnée, d'expression vigoureuse et calme, de joie lumineuse, qui constituent la beauté classique de l'esprit et la gloire d'une race."
1er octobre 1911

De Jean Jaurès, sur prolétariat et culture classique, toujours d'actualité 

 

Texte enfin retrouvé ! Sur Bonnet d'âne, site de Jean-Paul Brighelli, auteur de La fabrique du crétin 


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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 22:55

 

  relevé sur le site de l'Institut Libre de Formation des Maîtres      

 

   Introduction à la 1° session 2010

En introduction à la première session, nous vous invitons à étudier les films suivants:

en philosophie:

 les cours d'introduction dispensés par monsieur Stéphane Carpentier en 2008-2009 :

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 12:41
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2 septembre 2010 4 02 /09 /septembre /2010 08:06

 

 On  ne peut travailler contre l'homme. Regardez où les orientations des 35 dernières  années nous ont conduits : on a fabriqué des petits malins, des tricheurs, des  combinards. Prenez ce chef d'équipe ou cet autre : s'il est honnête, il vit mal.  C'est ce désordre qu'il faut éliminer, restaurer le niveau  moral.

Lech Walesa, co-fondateur du syndicat polonais Solidarnosc

 Walesa.jpg

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 06:48

 

(après les mots d'enfants, voici les mots de parents)
L'ouvrage s'appelle "Mots d'excuse, les parents écrivent aux enseignants" - L'auteur est instit, pendant 20 ans il a relevé les passages les plus gratinés dans les cahiers de correspondance, cela donne par exemple: "si vous l’avé pas pris en flagrant délis..." ou encore "Veuiller escusé mon fils qui en se moman na pas le tant de faire ses devoirs". Et c'est censé vous amuser.

Faire rire de l'orthographe des parents, quand on est enseignant, c'est ignoble. En tant qu'enseignante, il m'arrive de lire des mots délirants. Il m'arrive de rencontrer des papas (c'est encore plus poignant quand ce sont des mamans) qui portent leur misère sur la figure. Jamais je n'ai eu envie de rire parce qu'il leur manque 6 dents ou quand l'alcool les a mangés. La dysorthographie massive est un handicap social. Pas plus que de leurs autres problèmes, on n'a le droit ni d'en rire ni d'en faire rire. En tout cas pas quand on enseigne.

Pour certains parents, prendre un stylo est éprouvant. Se rendre à l'école est difficile - ils en ont de trop mauvais souvenirs. Quand ils viennent c'est souvent sur la défensive. Ces parents sont peu nombreux, mais ce sont justement souvent ceux que l'on aimerait voir. Il n'est pas sûr que le livre de mon collègue Patrice Romain contribue à les détendre, s'ils en entendent parler.
lu sur MetaBlog
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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 06:40

Les trésors et la splendeur de la féminité

Extrait d’un entretien avec Alice von Hildebrand (professeur, philosophe et théologienne catholique). Elle était mariée avec le célèbre philosophe et théologien Dietrich von Hildebrand (1889-1977), très apprécié de Benoît XVI. Alice von Hildebrand vit actuellement aux Etats-Unis et a notamment écrit un livre sur « Le privilège d’être une femme » (2002).

« […] Le féminisme, au lieu d’aider les femmes à prendre davantage conscience de la beauté et de la dignité de leur rôle en tant que femmes et mères, et du pouvoir spirituel qu’elles peuvent exercer sur leurs maris, les a convaincues qu’elles devaient adopter une mentalité « sécularisée » ; qu’elles devaient entrer dans le monde du travail ; qu’elles devaient prouver à elles-mêmes qu’elles étaient « quelqu’un » en obtenant des diplômes, en entrant en compétition avec les hommes sur le marché du travail, en montrant qu’elles étaient égales à eux, et quand l’opportunité se présentait, qu’elles pouvaient être plus malines qu’eux. [Les femmes] se sont laissées convaincre que féminité signifiait faiblesse. Elles ont commencé à mépriser les vertus comme la patience, le désintéressement, le don de soi, la tendresse, et ont cherché à devenir comme les hommes en tout [...] Elles sont devenues aveugles au fait que les hommes et les femmes, bien qu’égaux en dignité ontologique, ont été créés différents par choix de Dieu : homme et femme il les créa. Différents et complémentaires. Chaque sexe a ses propres forces et ses propres faiblesses. Selon le plan admirable de Dieu, le mari doit aider sa femme à surmonter ces faiblesses afin que tous les trésors de sa féminité puissent s’épanouir pleinement, et vice versa. Combien d’hommes deviennent vraiment « eux-mêmes » grâce à l’amour de leurs femmes ? Combien de femmes sont transformées par la force et le courage de leur mari ? […] Etant donné que du point de vue de la nature les hommes sont plus forts, non seulement parce qu’ils sont physiquement plus forts mais aussi parce qu’ils sont plus créatifs, plus inventifs et plus productifs, la plupart des grandes œuvres en théologie, en philosophie et dans les beaux arts ont été réalisées par des hommes. Ils sont les grands ingénieurs, les grands architectes. Mais le message chrétien dit que, sans nier la valeur de toutes ces inventions, elles ne sont que poussière et cendres comparé à tout acte vertueux. Puisqu’une femme de par sa nature, est maternelle – car toute femme mariée ou non, est appelée à la maternité biologique, psychologique ou spirituelle – elle sait de manière intuitive que donner, nourrir, prendre soin des autres, souffrir avec et pour eux – car la maternité implique la souffrance – a infiniment plus de valeur aux yeux de Dieu que de conquérir des nations ou d’aller sur la lune. […] Lorsqu’on lit la vie de Sainte Thérèse d’Avila ou de Sainte Thérèse de Lisieux, on est frappé par le fait qu’elles font continuellement référence à leur « faiblesse ». La vie de ces femmes héroïques – et il y en a beaucoup – nous enseigne que la conscience et l’acceptation de sa propre faiblesse, associée à une confiance sans limite dans l’amour et la puissance de Dieu, donne à ces âmes privilégiées une force extraordinaire parce que surnaturelle. La force naturelle ne peut pas se mesurer à la force surnaturelle. C’est pourquoiMarie, la femme bénie, est « aussi forte qu’une armée prête pour le combat ». Et pourtant elle est appelée « clemens, pia, dulcis Virgo Maria ». La force surnaturelle explique, comme l’indique Dom Prosper Guéranger dans « l’Année Liturgique », que le diable craint cette humble vierge plus que Dieu car sa force surnaturelle, qui écrase sa tête, est plus humiliante pour lui que la force de Dieu. C’est pour cela que le Mauvais est aujourd’hui en train de lancer la pire des attaques qui aient été lancées contre la féminité au cours de l’histoire du monde. Se rapprochant de la fin des temps et sachant que sa défaite finale approche, il redouble d’efforts pour attaquer son grand ennemi : la femme. On lit dans la Genèse 3, 15 : « Je mettrai une hostilité entre toi et la femme ». La victoire finale appartient à la femme, comme on le voit dans la femme couronnée de soleil.Le féminisme a commencé dans les pays protestants, pour la simple raison qu’ils avaient tourné le dos à la Mère du Christ, comme si le Sauveur du monde devait se sentir privé de l’honneur donné à sa Mère bien-aimée. Marie – que l’Apocalypse entoure de tant de gloire – est le modèle des femmes. C’est en se tournant vers elle, en la priant et en contemplant ses vertus, que les femmes retrouveront le chemin de la beauté et de la dignité de leur mission. Marie nous a enseigné deux voies conduisant à la sainteté. La première : « Je suis la servante du Seigneur. Qu’il me soit fait selon ta parole ». Ceci indique que la mission de la femme est de se laisser féconder par la grâce, la sainte réceptivité. La deuxième : « Faites tout ce qu’il vous dira ». C’est le saint programme que l’Eglise nous offre. Il est évident que si les femmes comprenaient ce message, le mariage, la famille et l’Eglise surmonteraient la crise terrible que nous traversons. Comme le dit la liturgie, « Dieu a mis le salut entre les mains d’une femme » ».

Thibaud COUPRY sur e-deo

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27 août 2010 5 27 /08 /août /2010 08:00

 

Les Français Ngo Bao Chau (université de Paris-Sud) et Cédric Villani (Institut Poincaré) posent avec leurs médailles, jeudi à Hyderabad, en Inde. Crédit photo : AFP/Noah SEELAM
Les Français Ngo Bao Chau (université de Paris-Sud) et Cédric Villani (Institut Poincaré) posent avec leurs médailles, jeudi à Hyderabad, en Inde. Crédit photo : AFP/Noah SEELAM

Considérée comme le «Nobel des mathématiques», cette récompense est la 11e pour notre pays sur 52 décernées. 

À la suite des athlètes et des nageurs, deux Français ont de nouveau décroché l'or. Ces distinctions concernent cette fois des prouesses réalisées grâce à leur matière grise. Ce sont en effet deux jeunes mathématiciens français qui ont jeudi décroché leur médaille Fields, souvent présentée comme le «Nobel des mathématiques». Cédric Villani, 36 ans et Ngo Bao Chau, 38 ans,

Le Figaro du 19/08/10

 

Cette année encore, les mathématiques françaises ont donc été à l'honneur. 

Avec l'approche de la rentrée scolaire, cet évènement nous amène à rappeler les propos sur l'école de Laurent Lafforgue, médaillé Fields 2002...

 

Laurent Lafforgue, l'Eglise et l'école.

Laurent Lafforguemédaillé de Fields, et connu pour ses prises de positions courageuses sur l'école, a donné une conférence sur Tradition et fécondité à l'Institut Catholique de Paris la semaine dernière:

Portrait_l_lafforgue

Parce que les fondements de la vie intellectuelle et artistique sont spirituels, parce que ce dont il s'agit est le développement de la vie que Dieu seul donne et que le Christ a promise en surabondance, je me tourne vers l'Église. Ce que je lui demande et pour quoi je prie le Seigneur est très simple : puisqu'il lui a été promis que la mort ne prévaudrait pas contre elle, je la supplie d'embarquer dans son arche, pour les sauver du déluge, les formes de la vie de l'esprit, les humanités, la philosophie, la littérature, les arts, les mathématiques, la physique et toutes les activités de l'esprit qui ont reçu la grâce de l'orientation vers la beauté. Et bien sûr, ce qui rend tout cela possible : l'école.[...]

Visitez aussi le site de Laurent Lafforgue ici .

Les pages sur ses travaux mathématiques ne sont pas compréhensibles par tout le monde ...

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 16:32

      Bien comprendre la position de l'Eglise sur l'immigration

avec Ichtus :

L’immigration : un droit naturel...

Accueillir ceux qui sont contraints de fuir leur pays

L’Eglise reconnaît l’immigration comme un droit naturel du fait même de la destination universelle des biens [1]: "Dieu a destiné la terre et tout ce qu’elle contient à l’usage de tous les hommes et de tous les peuples" [2].

On ne peut donc refuser à des personnes vivant dans des conditions particulièrement éprouvantes d’émigrer : "pour eux doivent être libres les voies de l’émigration, le droit naturel l’exige" [3]. En conséquence, chacun est tenu de respecter la dignité des personnes concernées : tout immigré doit trouver dans le pays qui l’accueille les conditions d’une vie décente.

Au premier rang de ces conditions minimales : une vie familiale normale. Doivent être respectés "la dignité et les droits de la personne humaine et de la famille, pour que celle-ci demeure réunie, qu’elle puisse créer un nouveau chez soi et y trouver le nécessaire, afin de vivre contente et agréable à Dieu", explique Pie XII [4]. Alors que la question du regroupement familial se posait de manière aiguë en France dans les années 80, l’exhortation apostolique "Familiaris Consortio" confirme en 1981"le droit d’émigrer en tant que famille pour chercher de meilleures conditions de vie".

N’émigrer qu’en dernier recours

L’Eglise ne considère cependant pas que les phénomènes migratoires constituent une norme d’organisation du monde et des cités. Pour un individu, émigrer est un moindre mal : personne "ne consentirait à échanger contre une région étrangère sa patrie et sa terre natale, s’il y trouvait les moyens de mener une vie plus tolérable" [5]. Jean-Paul II utilise l’expression de"mal nécessaire" dans "Laborem Exercens" (1981) : "l’émigration est sous certains aspects un mal"qui peut être "en des circonstances déterminées ce que l’on appelle un mal nécessaire".

En 1985, le Saint-Père rappelle, après avoir énuméré les méfaits du déracinement, "qu’on ne peut donc pas, a priori, considérer toute émigration comme un fait positif, à rechercher ou à promouvoir" [6].

... mais subordonné au bien commun de la nation

L’immigration, droit naturel, n’est pas en effet un droit absolu. La position de l’Eglise sur l’attitude des pays d’accueil face à l’immigration est pleine de nuances. On la trouve résumée dans ces propos de Pie XII : "la domination de chaque nation, bien qu’elle doive être respectée, ne peut être exagérée au point que, si un endroit quelconque de la terre permet de faire vivre un grand nombre d’hommes, on n’en interdira, pour des motifs insuffisants et pour des causes non justifiées, l’accès à des étrangers nécessiteux et honnêtes, sauf s’il existe des motifs d’utilité publique, à peser avec le plus grand scrupule" [7].

Ce propos affirme le droit de l’immigration, mais il en pose aussi les limites. Ouvrir sa porte à l’étranger suppose, comme on l’a vu, de bien l’accueillir. L’Eglise demande aux pays d’accueil de ne pas se limiter à donner des papiers aux immigrants mais de prendre toutes les mesures nécessaires à leur intégration complète. Elle n’exige donc pas des pays susceptibles d’attirer des migrants de les accueillir sans discernement.

C’est, de toute façon, une conception de l’Etat gardien du bien commun qui guide l’Eglise dans sa réflexion sur l’immigration.Une immigration excessive, mal contrôlée et mal accompagnée, est de nature à mettre en péril l’ordre public et la prospérité, les deux piliers du bien commun. Le cardinal Etchegaray, alors président de la Commission "Justice et paix" explique en février 1989 dans un document sur "L’Eglise face au racisme" : "Il appartient aux pouvoirs publics, qui ont la charge du bien commun, de déterminer la proportion de réfugiés ou d’immigrés que leur pays peut accueillir".

A diffuser !

Thibaud sur e-deo

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 10:17

 

 

Le féminin "Elle" se moque des femmes

 

La preuve :

Elle

Dans Elle, on trouve 31 pages de publicité sur 125soit 25% du journal. Ces publicités vendent des produits de luxe (Vuitton, Chanel, Hediard…), mais aussi des accessoires « beauté », par exemple un flacon pour « renouveler son collagène » afin d’ « estomper rides et ridules. La peau est visiblement plus jeune. En douceur. » Pour mieux toucher leur cible, certaines pubs recourent même à des moyens innovants : pour vanter son « activateur de beauté », Lancôme se paye une page en papier glacé avec un petit sceau doré « Prix d’excellence de la beauté 2010 » imprimé en relief. Plus loin, la marque Susiwan propose un petit cahier de « recettes faciles » (à base de produits estampillés Susiwan, évidemment) à décoller.

A ces pubs « officielles » s’ajoutent vingt-deux pages de photos à prétention artistique mais dont l’objectif est de vendre des habits et accessoires de mode, qui vont du pantalon en coton à 29 € aux boots à 590 €. A n’en pas douter, une panoplie que doit se procurer toute femme en lutte pour sa liberté.

En comptant ces publicités plus ou moins déguisées, on atteint alors un taux de 42,5% du journal réservés à sa vocation commerciale. A quoi il faudrait ajouter, naturellement, toutes les injonctions — non publicitaires — à acheter tel ou tel bidule pour être belle, pour démêler ses cheveux ou pour se libérer du stress.

(...) Elle est attentif aux problèmes des femmes. C’est pourquoi le magazine leur propose de lutter contre le stress. Non pas en s’attaquant aux causes sociales du stress (travail dévalorisé, dictature de la beauté, misogynie explicite ou implicite…) mais « en modifiant très légèrement ses habitudes », avec 30 conseils :« mangez à heures régulières »« pratiquez la détox japonaise »(60 € les trente minutes), « misez sur les plantes adaptogènes »,« levez le pied sur le café »« faites des listes », « méfiez-vous de l’alcool »« sniffez la lavande »« passez à la crème de nuit »« offrez-vous un massage taoïste » (85 € l’heure)…

Enfin, comme les femmes ne se laissent pas faire par les charlatanismes, Elle ne propose pas moins de trois horoscopes différentsUn numéroscope, un horoscope solaire et un horoscope lunaire. Car les femmes modernes, aussi libres soient-elles, n’en sont pas moins irrationnelles et sont toujours les premières pour se faire pigeonner. La preuve : elles achètent Elle.

lu sur e-deo

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 18:12

 

 

Il faut créer des salles de shoot et des salles pour crimes aménagés !

Lu dans Les 4 Vérités :

"Bien sûr qu’il faut créer des salles de « shoot » pour encadrer et sécuriser les consommateurs de drogues ! De même qu’il faut ouvrir des routes spécialement adaptées pour les chauffards, des bars spéciaux pour que les poivrots puissent laisser libre cours à leur addiction en toute sécurité, ou encore des fumoirs installées en salles de soins pour le cancer du poumon

Dans cette logique absurde, il faut aussi des salles de crime aménagées pour mieux encadrer les criminels qui ne peuvent contenir leurs pulsions et pour sécuriser les victimes qui pourraient y recevoir immédiatement les premiers secours. C’est naturellement à l’État de veiller à ce que chaque citoyen puisse s’abandonner à ses passions et addictions en toute sécurité et hygiène! Une société idéale serait celle où l’État tout-puissant organiserait lui-même, afin de mieux les contrôler et pour notre plus grand bien à tous, le commerce et la consommation de drogues, la prostitution et le crime en général. Eh bien non ! Je ne veux pas de cet État faussement bienveillant qui veut tout sécuriser, tout surveiller, tout encadrer, tout prévenir, tout médicaliser, tout normaliser, tout déresponsabiliser ! Si l’État veut intervenir, que ce soit pour encourager les solutions faisant appel au sens de la responsabilité de chacun. Ces solutions sont les seules qui marchent !"

        lu ici

 

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 11:23

 

23 août 2010

GPierre Marie Gallois (né en 1911) est décédé ce matin.

Il était un général de brigade aérienne français (CR), artisan de la dissuasion nucléaire et géopoliticien français.

On peut retrouver certaines de ses analyses ici.

Michel Janva

Lien permanent 

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 10:23
invitation aux jeunes de 18 à 27 ans

25-29 août 2010

à La Cotellerie (53), près de Laval


 

Avant la fin de l’été 2010 et la reprise des cours ou des activités professionnelles, une université d'été annuelle de formation sur les fondements de la foi et de la culture chrétienne est organisée pour des jeunes de 18 à 27 ans afin de leur offrir des points de repère pour approfondir leurs connaissances théologiques, spirituelles, juridiques, littéraires, philosophiques, historiques, bioéthiques…
 
Eucharistie, offices liturgiques, conférences, témoignages… sont proposés chaque jour.
 
En Mayenne, au prieuré de la Cotellerie, du mercredi 25 août, en la fête de saint Louis, au dimanche 29 août.

le programme...

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 17:04

 

relevé sur Google AdWords (souligné par nous) ...

 

Avortement

Vous trouverez sur cette page :

  • Les principes fondamentaux de ce règlement
  • Des exemples pour mieux comprendre le règlement
  • Des informations spécifiques à un ou plusieurs pays
  • Des informations complémentaires
  • Des informations sur les catégories des annonces
Principes fondamentaux du règlement

Google AdWords interdit la promotion de l'avortement utilisant des images choquantes ou des propos violents.

Ce règlement s'applique au contenu de votre annonce et de votre site. Notez que des variantes de ces règles s'appliquent à certains pays (voir ci-dessous).

Le non-respect de ce règlement peut entraîner toute une série d'actions, y compris :

  • Le refus des annonces
  • La suspension du compte
  • La suspension automatique lors de la création de nouveaux comptes (interdiction d'utiliser Google AdWords)
Exemples

Exemples de contenus interdits dans le cadre d'AdWords :

  • Images de fœtus avortés
  • Propos choquants, tels que "l'avortement est un crime"

Exemples de contenus autorisés :

  • Cliniques pratiquant l'avortement
  • Avis médicaux pour avortement
  • Conseils relatifs à l'avortement
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30 juillet 2010 5 30 /07 /juillet /2010 21:15

 

Une réflexion de l'association "Cité & Culture".

On y découvre notamment les 10 commandements de la pensée unique :

  • La laïcité, tu adoreras,
  • La république laïque, tu vénéreras,
  • Les droits de l’homme, plutôt que la dignité de la personne, tu préféreras,
  • L’histoire et l'héritage chrétiens de la France, tu ignoreras,
  • Le relativisme, tu revendiqueras,
  • L'Eglise catholique romaine, en toute circonstance, tu critiqueras,
  • Les heures sombres de notre histoire, constamment, tu évoqueras,
  • La promotion du respect de la vie, point tu ne te compromettras,
  • L'idéologie et la connivence, à la réalité et à l'amitié, tu préfèreras,
  • L'argent, les honneurs et le pouvoir, plutôt que la pauvreté, l'humilité et le service, tu choisiras.
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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 08:20

 

Communiqué

Laissez Les Vivre salue la mémoire de Jacques DUPÂQUIER décédé le 23 juillet.

Normalien, agrégé d’histoire, il fut tout d’abord un militant très actif du Parti Communiste Français dont il est exclu en 1956. Entré au CNRS en 1962, il fonde en 1972 le laboratoire de démographie historique de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, qu’il dirige jusqu’en 1991.

C’est à l’Ecole des Hautes Etudes qu’il rencontre le professeur Paul Chauchard, premier Président de Laissez Les Vivre (de 1971 à 1992). Dès lors il sera très engagé dans le combat pour la vie mettant sa science et son ardeur dans la sauvegarde de la natalité française. Il donnera des conférences éblouissantes lors de trois congrès de Laissez Les Vivre. Jacques DUPÂQUIER était membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques depuis 1996.

Assurément Jacques DUPÂQUIER fut l’un des plus grands démographes français de la fin du XXème siècle.

Wiki

Jacques Dupâquier, membre de l'Académie des sciences morales et politiques

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 22:23

 

Afficher l'image d'origine      A la semelle de nos souliers - Jean Ousset  

Editions CLC, 12 €

Ballottés entre les nationalismes totalitaires et les communismes inhumains, l’homme moderne ne sait plus quel crédit apporter à la nation, la patrie et l’Etat. Tout se mélange dans son esprit et l’entraîne à mépriser son pays. Peut-on être encore fier d’être Français, la France est-elle « fichue » ? Ce livre est une occasion de lever ses doutes et ses incompréhensions et de combattre un politiquement correct néfaste à une vision politique humaine et vraie.

commande ici

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 22:16


« Le voile est, en ce monde, le symbole du métaphysique. Il est aussi le symbole de la féminité. Dans toutes les grandes circonstances de la vie d’une femme, on la montre voilée.( ...) L’épouse, le jour de ses noces, la veuve, la religieuse sont revêtues du même vêtement symbolique. Le comportement extérieur est toujours essentiel. Et comme il sort de la personne, il en exprime aussi la substance » affirme Gertrud Von Le Fort qui fut l’amie et la confidente d’Edith Stein. Propos surprenant dans le contexte d’aujourd’hui, où l’on cherche à interdire la burqa. Mais encore faut-il se garder de réduire le voile à un bout de tissu. Chez Gertrud von Le Fort, ce terme revêt une signification symbolique bien plus profonde. Celle qui fut dans les années 30, avec Edith Stein, à la pointe de la réflexion sur l’identité de la femme, tient des propos qui n’ont pas vieilli d’une once. Elle est l’une des rares écrivains à avoir creusé le mystère de la femme et entrevu la profondeur du lien qui l’unit au symbolisme du voile. Son analyse est d’autant plus pertinente aujourd’hui que notre société occidentale contemporaine est marquée par une désacralisation générale qui atteint la femme dans sa relation au voile et au mystère, que vient interpeller un Islam fortement teinté d’une vision réductrice et matérialiste du voile. Relire Gertrud von Le Fort permettrait aujourd’hui de ne pas rester dans une opposition stérile entre partisans et adversaires du voile, et de retrouver le sens du mystère de la femme.

... la suite... ICI

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