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Vincent Lambert n'aurait-il que des réactions réflexes ? Ne serait-il plus en vie, comme l'a déclaré Bernard Debré?
L'avis du professeur Ducrocq, professeur de neurologie, l’un des experts qui ont examiné Vincent Lambert pour le Conseil d’Etat. Il nous a en particulier déclaré :
« VINCENT COMMUNIQUE. »
« L’état de Vincent ne s’est pas dégradé. »
« VINCENT A RÉCUPÉRÉ LA DÉGLUTITION. »
« Vincent a survécu à 31 jours de privation de nourriture. »
« Comment prendre une telle décision qui ne va pas mettre fin a l’acharnement thérapeutique, qui ne va pas le laisser mourir, mais qui va le faire mourir ? »
Ces propos confirment ceux de la mère de Vincent qui nous a déclaré que son fils a tourné la tête en la voyant.
La récente vidéo qui montre que Vincent Lambert n'est ni en fin de vie, ni branché, ni en état "végétatif" fait réagir.
"La vidéo ne dure que deux minutes et trente secondes mais semble déjà relancer l’affaire Vincent Lambert. Alors que la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a récemment validé l’arrêt des soins du jeune tétraplégique en état neurovégétatif depuis 2008, ces images présentent un jeune homme qui semble réagir aux échanges et ne « serait pas en fin de vie ».
La vidéo a été tournée, ce 5 juin, quelques heures après l’annonce de la CEDH. Un jeune homme qui se présente comme Emmanuel Guépin, membre du comité de soutien à Vincent Lambert (qui défend depuis le début la poursuite des soins), a donc eu accès la chambre du CHU de Reims et était, dit-il, accompagné du père de Vincent Lambert.
La récente vidéo qui montre que Vincent Lambert n'est ni en fin de vie, ni branché, ni en état "végétatif" fait réagir.
"La vidéo ne dure que deux minutes et trente secondes mais semble déjà relancer l’affaire Vincent Lambert. Alors que la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a récemment validé l’arrêt des soins du jeune tétraplégique en état neurovégétatif depuis 2008, ces images présentent un jeune homme qui semble réagir aux échanges et ne « serait pas en fin de vie ».
La vidéo a été tournée, ce 5 juin, quelques heures après l’annonce de la CEDH. Un jeune homme qui se présente comme Emmanuel Guépin, membre du comité de soutien à Vincent Lambert (qui défend depuis le début la poursuite des soins), a donc eu accès la chambre du CHU de Reims et était, dit-il, accompagné du père de Vincent Lambert.
La vidéo ne devrait pas être montrée dans les grands media.
Affaire Lambert : la bonne réaction de Mgr Aillet
Affaire Lambert : la bonne réaction du cardinal Barbarin
Affaire Lambert : c’est compliqué selon la CEF
C'est à lire ICI...
« Je proposerai que toute personne majeure en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions précises et strictes, à bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité. ».
Communiqué d'Alliance Vita :
"Alliance VITA prend acte avec tristesse de la décision de la CEDH, par 12 voix contre 5, validant l’arrêt d’alimentation et d’hydratation qu’avait opéré un médecin sur Vincent Lambert avant le recours de ses parents.
Nos pensées vont d’abord à Vincent Lambert et à tous les membres de sa famille qui étaient suspendus à cette décision cruciale.
Au-delà de la situation d’un homme gravement handicapé, mais qui n’est pas en fin de vie, cette décision insécurise des milliers de personnes qui entourent les quelque 1700 patients gravement cérébro-lésés qui vivent en France, et les milliers d’autres dans tous les pays d’Europe : leurs familles, leurs amis et ceux qui les soignent avec dévouement risquent d’être découragés. C’est l’honneur d’une société que de prendre soin de ses membres les plus fragiles. Accepter qu’on provoque délibérément la mort d’une personne gravement handicapée et incapable de s’exprimer, mais qui n’est pas en fin de vie, par arrêt de son alimentation et de son hydratation, constitue dans toute l’Europe un signal gravissime, les prémisses d’un basculement vers le rejet d’une catégorie très vulnérable de citoyens. Déjà les promoteurs de l’injection létale dénoncent dans les médias ce mode d’euthanasie lent pour en réclamer un autre plus expéditif.
En ce qui concerne Vincent Lambert, une solution d’apaisement existe pourtant : la chance d’être enfin pris en charge dans une unité spécialisée pour les patients vivant avec les lourdes séquelles neurologiques d’accidents.
C’est la dernière histoire gaie. Elle se passe aux États-Unis, notre modèle de toujours. Jennifer et Amanda, deux lesbiennes qui ont acquis à la Midwest Sperm Bank une petite giclée du donneur 380, soit « un homme blanc aux yeux bleus », se sont retrouvées mère et mère d’une jolie petite Payton café au lait et cheveux crépus.
Argh ! Damned !
Certes, elles ont beau vivre à Uniontown, dans l’Ohio, elles ne souhaitent pas frayer avec n’importe qui. Bien sûr, elles aiment leur petite Payton, mais comme dit Jennifer : « Il est difficile d’élever une enfant noire dans une communauté blanche et conservatrice. »
Alors elles poursuivent en justice la Midwest Sperm Bank.
César, Escartefigue et M. Brun boivent toujours du vin blanc. Claudine coupe des tranches de saucisson qu'elle dispose dans un plat.
CLAUDINE
Mon pauvre mari, moi, ça s'est passé d'une façon étrange. Une nuit, il me réveille. C'était le premier chant du coq. Il avait la figure un peu rouge, et la main sur la poitrine, il me fait: « Claudine, qu'est-ce que tu dirais si je mourais d'un seul coup ? » Moi, à moitié endormie, je lui fais : « Ça prouverait que tu n'es pas malin. » Et alors il me fait: « Eh bien, par conséquent, je ne suis pas malin. » Et toc ! Il est mort.
(...)
HONORINE
Ça, au moins, c'est une belle mort.
CÉSAR
Oh vaï ! C'est une belle mort pour les autres. Mais moi, j'aime mieux une laide vie qu'une belle mort...
"César", de Marcel Pagnol
La fin de vie sur Petrus Angel
César, Escartefigue et M. Brun boivent toujours du vin blanc. Claudine coupe des tranches de saucisson qu'elle dispose dans un plat.
CLAUDINE
Mon pauvre mari, moi, ça s'est passé d'une façon étrange. Une nuit, il me réveille. C'était le premier chant du coq. Il avait la figure un peu rouge, et la main sur la poitrine, il me fait: « Claudine, qu'est-ce que tu dirais si je mourais d'un seul coup ? » Moi, à moitié endormie, je lui fais : « Ça prouverait que tu n'es pas malin. » Et alors il me fait: « Eh bien, par conséquent, je ne suis pas malin. » Et toc ! Il est mort.
(...)
HONORINE
Ça, au moins, c'est une belle mort.
CÉSAR
Oh vaï ! C'est une belle mort pour les autres. Mais moi, j'aime mieux une laide vie qu'une belle mort...
"César", de Marcel Pagnol
Valeurs d'avenir. Chantal Delsol est philosophe, membre de l’Institut. « On demande à l'Etat de dire le Bien pour éviter l'angoisse de décider », déplore-t-elle.
La question de la fin de vie interroge et parfois met en cause les principes fondateurs. Le mérite de la loi Leonetti avait été de trouver un juste équilibre entre l’acharnement thérapeutique devenu indéfendable (étant donné les moyens inhumains que nous avons à présent de nous acharner) et l’euthanasie, si peu adaptée à une culture qui accorde une valeur insigne à la vie.
Les débats autour de cette question marquent avec acuité les métamorphoses des mentalités dont nous sommes les acteurs et les témoins.
Curieusement, on observe ici à la fois une radicalisation de l’individualisme et un effacement de la conscience personnelle. L’individu souverain voudrait avoir désormais la maîtrise totale de son destin : puisque je dois encore mourir (pas pour longtemps, nous promet le posthumanisme), au moins que je sois sûr d’en choisir le moment.
Élevés par des homosexuels, ils confient leur souffrance à la communauté gay
Il y a quelques jours, les homosexuels Dolce & Gabbana affirmaient que « la famille n’est pas une mode passagère, c’est un sens de l’appartenance. […] La seule famille, c’est la famille traditionnelle. » Tollé immédiat et appel au boycott dans les milieux LGBT.
Quelques jours plus tard, six adultes américains élevés par des homosexuels écrivaient pourtant aux deux stylistes pour les remercier d’avoir « donné voix à une chose que nous avons apprise par l’expérience : chaque être humain a un père et une mère, et couper l’un ou l’autre de la vie d’un enfant, c’est priver l’enfant de dignité, d’humanité et d’égalité ».
Les signataires poursuivent : « Nous savons que vous allez subir une immense pression, spécialement en ce moment où l’Italie et les États-Unis sont poussés à nier ce que nous réclamons, à savoir le droit d’avoir un père et une mère, dans le seul but de satisfaire un puissant lobby gay. ». Les six confient avoir trouvé dans les propos de Dolce & Gabbana « l’inspiration » et le « courage » d’aller dénoncer le mariage gay auprès de la Cour suprême des États-Unis, et leur lettre s’achève par une supplication : « C’est important pour notre bien […] que vous ne vous excusiez ni ne capituliez. S’il vous plaît, continuez à soutenir l’idée qu’un enfant a besoin d’un père et d’une mère. C’est un droit de l’homme. » Un cri de souffrance bien peu relayé par les promoteurs de l’égalité.
Sédation profonde !
Si nous étions singes, nous interdirions à l’homme de prétendre descendre de nous, tant ce bipède décadent bousille la Création ! Pas un mammifère, même inférieur, ne se comporte comme ça avec ses congénères. Pas même les cafards des poubelles de HLM ! On en arriverait presque à se réjouir en se disant que les quadragénaires qui ont voté l’avortement atteignent les 80 ans. C’est eux qui verront, dans un indicible effroi qu’un cri silencieux n’apaisera pas, le sédateur fatal s’approcher, suivi des enfants survivants. Ils entendront alors, dans une conscience vacillante : « Un vieux si je veux et quand je veux ! Papa en 74, le Professeur Israël disait : “C’est le projet qui fait l’enfant”. Nous pensons que c’est aussi le projet qui fait le parent et tu n’es plus dans notre projet de vie, au revoir papa. »
Un sondage montre que 96 % des Français sont pour la sédation profonde. On sait la nature manipulatrice des questions de type : « Préférez-vous qu’on laisse lâchement mourir les gens dans des souffrances atroces ou préférez-vous qu’on les aide afin qu’elles puissent mourir dignement ? » Pour autant, on sait aussi que ce pays ne pouvait rien répondre d’autre. La France entière est en sédation profonde. Jamais nous n’avons attendu Pâques avec autant d’impatience : pourvu que la Résurrection soit contagieuse !
Rédigé par Pasquin le dans Humeur
À la veille du vote de la proposition de loi sur la fin de vie, le député-maire divers-gauche de la Martinique Bruno-Nestor Azérot annonce dans Famille chrétienne :
"Toute vie humaine doit être respectée. Si on ne choisit pas d’être malade, on peut désirer être soigné. Un malade doit être soigné jusqu’à la dernière limite. Le fait d’euthanasier me dérange énormément. C’est pour cette raison que je voterai contre cette proposition de loi.
Qu’est ce qui vous dérange dans ce texte ?
Le problème essentiel, c’est le risque de dérives liées à la sédation. On connaît le résultat quand on ne nourrit pas un être humain : il meurt. Pour moi qui a eu à côtoyer de nombreux malades, j’ai souvent pensé, à un moment donné, qu’ils allaient mourir car ils étaient arrivés à la limite. Or, ils sont toujours vivants. Tant qu’il y a vie, il y a de l’espoir. Je crois absolument nécessaire, et c’est le rôle du politique comme celui de la médecine, d’accompagner les personnes et espérer avec elles qu’elles puissent guérir.
Manuel Valls comme Marisol Touraine ont laissé entendre que ce texte ne serait qu’une étape… Faut-il s’en inquiéter ?
Ne manquez pas la chronique radio du Dr Xavier Mirabel, médecin oncologue -on ne dit plus cancérologue- sur le projet de loi sur la fin de vie...
Ses autres chroniques sont LA. Dès que disponible, écoutez celle de ce 17 mars sur le projet de loi.
Avortement, la loi du silence | ARTE
La réalisatrice Renate Günther Greene a avorté à l'âge de 25 ans. Après plusieurs décennies de refoulement, son retour sur les lieux de l'intervention l'a submergée de douleur. Elle a alors...
http://www.arte.tv/guide/fr/051843-000/avortement-la-loi-du-silence
Les députés ont adopté en commission ce 18 février un projet de loi qui viendrait remplacer la loi Leonetti sur la fin de vie de 2005. Porté par les députés Jean Leonetti (UMP) et Alain Claeys (PS), ce projet de loi soulève de graves problèmes éthiques puisqu'il voudrait légaliser l'euthanasie sans le dire.
ne serait-ce pas créer un personnel médical au service de la mort ?
Les questions -dont on connait la réponse- posées par les Gavroches ICI.
La théorie qui n'existe pas est ici sur Facebook, dans la rubrique des informations générales où chacun(e) peut choisir librement son genre, sans dicrimination ni exclusion : masculin, féminin, personnalisé.
On appelle cela la méthode des petits pas, ou du voleur chinois, ou de la grenouille mise dans l'eau qu'on réchauffe un peu à la fois...
Avant l'Angélus, le pape François a rappelé que l'assistance aux malades a toujours été une mission pour l'Eglise, et qu'elle le reste aujourd'hui, alors que nos contemporains s'interrogent sur le sens de la souffrance et de la mort :
"(...) Envoyant en mission ses disciples, Jésus leur confère un double mandat : annoncer l’Evangile du salut et guérir les infirmes (cf. Mt 10,7-8). Fidèle à cet enseignement, l’Eglise a toujours considéré l’assistance aux infirmes comme partie intégrante de sa mission.
« Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous », avertit Jésus (cf. Mt 26,11), et l’Eglise les trouve continuellement sur sa route,en considérant les personnes malades comme une voie privilégiée pour rencontrer le Christ, pour l’accueillir et le servir. Soigner un malade, l’accueillir, le servir, c’est servir le Christ : le malade est la chair du Christ.
Xavier Mirabel, médecin cancérologue et Conseiller médical d’Alliance VITA, a été auditionné le mardi 20 janvier 2015 par l’Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) sur le thème “Etat des lieux de la gestion actuelle de l’apaisement de la douleur”.
L’OPECST est le seul organisme commun entre les députés et les sénateurs (18 de chaque assemblée). Il est chargé d’éclairer les décisions des parlementaires et à cette fin, “il recueille des informations, met en œuvre des programmes d’études et procède à des évaluations”.
Synthèse de l’intervention de Xavier Mirabel (durée totale 6 mn) ... Suite
TRISOMIE 21 : LA VIDÉO QUI FAIT DU BUZZ
Si vous l’avez vu, alors vous faites partie des 900.000 personnes qui – à ce jour – ont visionné ce clip. En moins de huit jours ! Le « buzz » du moment, c’est en effet la vidéo « dear future mom » / « chère future maman » à l’occasion de la journée de la trisomie 21, le 21 mars 2014.
Réalisée par de jeunes Européens porteurs de la trisomie 21, cette vidéo est bouleversante, pleine de paix et de joie. Sur la page Facebook de Padreblog, vous êtes déjà plusieurs milliers à l’avoir regardée. L’un d’entre vous dit avec justesse qu’elle est « magnifique à pleurer ».
Caroline Mecary, l'avocate spécialiste des "droits" homosexuels, l'avait avoué lors d'une conférence LGBT :
"Pour pouvoir arriver à abolir le mariage, il faut d'abord que tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez [nldt :l'abolition du mariage] est parfaitement envisageable. (...) C'est l'étape suivante."
Lors de la même conférence, Anne Verjus, chercheuse au CNRS, avait vanté une société où l'on disjoindrait "parentalité et conjugalité", en ayant des enfants "avec son meilleur ami plutôt qu'avec son amant", les faisant vivre dès la naissance en résidence alternée.
Comme pour le gender, le fantasme d'un monde post-mariage et donc post-familial est porté par un pan du monde de la recherche, gangrené par les lobbies féministe et LGBT qui portent l'idéologie libertaire. Un récent article, paru dans un blog hébergé par le journal Le Monde, fait état de nombreux travaux outre-atlantique révélant, s'il était besoin, que ce délire n'est pas circonscrit à quelques personnes.
A l'occasion des 40 ans de la loi Veil, le ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé vouloir "assurer une meilleure information des femmes sur leurs droits, faciliter le parcours de celles qui souhaitent". Malheureusement, aucune aide ou solution alternative ne sera proposée aux femmes qui souhaiteraient en réalité, au fond de leur coeur, conserver leur enfant.
Famille Chrétienne comble cette lacune et "dresse la liste des initiatives qui disent non à l’IVG et proposent de l’aide aux femmes en détresse" que ce soient les maisons d'accueil, les réseaux d'écoutes téléphoniques, les accompagnement suite au traumatisme post-avortement.