Sa première journée à Capharnaüm, dans la maison de Pierre,
racontée dans "Une journée avec Jésus".
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Sa première journée à Capharnaüm, dans la maison de Pierre,
racontée dans "Une journée avec Jésus".
Le traditionnel défilé des rois mages de l’arrondissement madrilène de Carabanchel se fera cette année sans la participation de l’école Colegio Arenales qui ne partage pas les valeurs de la nouvelle mairie aux mains de la coalition d’extrême gauche Ahora Madrid, à laquelle participe le parti Podemos de Pablo Iglesias (arrivé troisième aux dernières élections législatives du 20 décembre dernier, avec 20 % des voix et 69 sièges de députés). La maire Manuela Carmena, une ancienne juge, est intraitable malgré les protestations des conseillers municipaux du Parti populaire (PP). Il faut dire qu’elle bénéficie dans cette affaire du soutien des socialistes (PSOE), car en Espagne aussi les connivences idéologiques et politiques entre la gauche et l’extrême gauche sont chose normale, alors que les médias n’accepteraient jamais des alliances entre la droite et l’extrême droite d’ailleurs inexistante sur la scène politique.
On l'a peut-être oublié.
Le premier dimanche après le 1er janvier, l’Épiphanie célèbre la présentation de Jésus aux trois Rois mages. Cette fête fût plus importante que le jour de Noël au début du christianisme. Comme beaucoup de fêtes chrétiennes, la date de l’Epiphanie correspond à l’origine à une fête paienne. Autrefois, les Romains fêtaient les Saturnales. Ces fêtes duraient 7 jours et tout était autorisé.
Le terme « épiphanie » est issu du grec et signifie « apparition », « manifestation ». Célébrée le 6 janvier, cette fête correspond à la présentation de Jésus enfant aux Rois Mages. Ce jour est aussi celui du premier miracle des noces de Cana et avant tout la date de baptême du Christ.
Dès le Ve siècle, l’Eglise donna une importance considérable à cet événement. Pendant des siècles les chrétiens d’Orient célébrèrent la Nativité le jour de l’Epiphanie. Les Arméniens du Caucase le font encore aujourd’hui.
Au Ier siècle il fut déjà décidé de donner primauté à la naissance du Christ plutôt qu’à l’Epiphanie.
Reçu par courriel.
« Pas plus qu’un homme, une chrétienté ne se nourrit de confitures. Le bon Dieu n’a pas écrit que nous étions le miel de la terre, mon garçon, mais le sel. Or, notre pauvre monde ressemble au vieux père Job sur son fumier, plein de plaies et d’ulcères. Du sel sur une peau à vif, ça brûle. Mais ça empêche aussi de pourrir ! (…) Un vrai prêtre n’est jamais aimé, retiens ça. Et veux-tu que je te dise ? L’Église s’en moque que vous soyez aimés, mon garçon. Soyez d’abord respectés, obéis. L’Église a besoin d’ordre. Faites de l’ordre à longueur du jour. Faites de l’ordre en pensant que le désordre va l’emporter encore le lendemain parce qu’il est justement dans l’ordre, hélas ! que la nuit fiche en l’air votre travail de la veille – la nuit appartient au diable »
Georges BERNANOS, « Journal d’un curé de campagne », 1936
Lu ICI
Rédigé par Père Yannik Bonnet le dans Religion
S’il en est une qui répond à cette question que se posent beaucoup de gens lucides, c’est bien la Sainte Mère de Dieu. En effet, elle aurait mille bonnes raisons de cesser de s’intéresser à des humains, qui ne tiennent aucun compte des avertissements et des conseils qu’elle leur prodigue.
Or elle fait preuve d’une persévérance sans égale, en alliant la constance du contenu de ses messages à la variété des manifestations, par lesquelles elle cherche à capter notre attention : statues qui pleurent, icônes qui suintent une huile parfumée, phrases visibles dans le ciel et, bien sûr, guérisons miraculeuses et conversions stupéfiantes.
Malgré le spectacle affligeant que lui donne notre société moderne, majoritairement abrutie par les médias, corrompue par le commerce des vices et dirigée au mieux par des incapables, au pire par des pervers, elle ne cesse de chercher à sauver ses enfants du désastre.
C’est une grande leçon qu’elle donne à tous ceux qui portent des responsabilités, parents et enseignants, professionnels et politiques, et plus encore à nous les prêtres qui avons charge d’âmes. Au demeurant, je constate que cette persévérance mariale porte des fruits, qui ne sont pas spectaculaires en quantité mais savoureux en qualité.
Rédigé par Pasquin le dans Humeur
Chut, c’est Noël… Cette année, même l’ange Boufaréo et sa trompette à Gloriadevra calmer un peu le jeu, et tous les anges qui tonitruent leur joie à en faire exploser la voûte céleste seront enclins, en passant sur terre eux aussi, à chanterGloria en mode majeur certes, mais molto pianissimo. La terre a besoin plus que jamais de silence, d’intériorité. Pas de minutes de silence. On en a soupé de ces démonstrations de dignité où les puissants pensent à eux et au profit qu’ils peuvent tirer du drame qu’ils dénoncent, de ces minutes de silence qu’il ne faut pas appeler de prière de peur que la République ne rencontre la transcendance. Non, il s’agit du silence rempli de sérénité, de calme, de gratitude, d’indicible joie, du bonheur intérieur. Silence qui répond évidemment au bruit des explosions, des fusillades, des cris de peur et de douleur des attentats. Mais aussi silence pour se sortir des débats inutiles, de tous ces « moi je » qui s’approprient l’espace sonore et promettent une meilleure région, politique, Europe, un meilleur monde, climat. Quitter un temps ces sauveurs de plateaux télé, baveux de promesses, pour une nuit de silence à adorer Jésus Sauveur, juste une nuit de silence entre Marie et Joseph ; là, dans la crèche. Il fut un temps où l’on parlait de la trêve de Noël. Elle faisait ranger son arme à l’homme de guerre, le temps de cette nuit sainte. Cette année, il nous faut une trêve de Noël médiatique, politique, commerciale, une trêve du bruit, du volubile, du futile, de l’inutile, du mercantile, juste une trêve de la tchatche et des tchatcheurs. Rien d’autre que le silence de la nuit de Noël… Jésus est là ! Joyeux Noël à vous tous, bien chers lecteurs.
Ce billet a été publié dans L'Homme Nouveau, je commande le numéroLa prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine du Samedi 25 décembre 2010 - Octave de Noël - Nativité du Seigneur
Prédication de la Messe de Minuit.
« Nativité de Jésus »
Fra Bartolomeo (1472-1517)
Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ selon saint Lc II, 1-14
En ces jours-là, parut un édit de l'empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre — ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie. — Et chacun allait se faire inscrire dans sa ville d'origine. Joseph, lui aussi, quitta la ville de Nazareth en Galilée, pour monter en Judée, à la ville de David appelée Bethléem, car il était de la maison et de la descendance de David. Il venait se faire inscrire avec Marie, son épouse, qui était enceinte. Or, pendant qu'ils étaient là, arrivèrent les jours où elle devait enfanter. Et elle mit au monde son fils premier-né ; elle l'emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n'y avait pas de place pour eux dans la salle commune. Dans les environs se trouvaient des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leurs troupeaux. L'ange du Seigneur s'approcha, et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière. Ils furent saisis d'une grande crainte, mais l'ange leur dit : « Ne craignez pas, car voici que je viens vous annoncer une bonne nouvelle, une grande joie pour tout le peuple : Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire. » Et soudain, il y eut avec l'ange une troupe céleste innombrable, qui louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes qu'il aime. »
La prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine
La famille attablée autour d'un foie gras prometteur, le sapin qui clignote, un feu ronflant dans la cheminée, les santons de Provence au garde-à-vous dans du papier rocher en attendant la naissance du petit Jésus... L'image d'Épinal d'un Noël bientôt révolu ? En exagérant un peu, et avec une pointe d'ironie, on pourrait supposer qu'on n'en est plus très loin, surtout si l'État, qui se mêle de tout sauf de l'essentiel, continue à nous casser les pieds.
À quoi pourrait bien ressembler Noël dans trente ans en France ? Disparue la crèche, cette manifestation gothique, dangereuse et tendancieuse, au nom de la laïcité et du "vivre ensemble". Même les églises n'oseront plus la dresser sur les parvis pour éviter toute polémique. Seuls les plus fervents catholiques, comme jadis sous la Révolution, oseront perpétuer encore la tradition au fond de leur salon. Le sapin ? Il est en plastique, interdiction de couper de vrais arbres, et tout juste toléré : pas d'étoile au sommet, qui pourrait rappeler celle de Bethléem, plus d'anges, ces créatures fantasques issues de textes sacrés, encore moins de guirlandes clignotantes, car les écologistes ont si bien oeuvré qu'il est désormais interdit, pour cause d'économies de bout de chandelle - c'est le cas de le dire -, d'utiliser ces serpentins électriques. Sans compter le sacro-saint principe de précaution qui a été brandi pour éviter tout risque d'incendie.
Et la messe de minuit ? Cela fait belle lurette qu'on la déserte : il n'y a plus un curé à trente kilomètres à la ronde, on ne va pas brûler de l'essence pour aller se geler dans des édifices mal entretenus, faute de moyens et de fidèles. On pourra toujours regarder la cérémonie duVatican retransmise en direct sur la Toile, car voilà bien longtemps qu'aucune chaîne de France n'a plus l'audace de la programmer sur son antenne. Et pour ceux qui sont adeptes des carillons qui bourdonnent, tant pis : les clochers sont sommés de rester silencieux pour ne pas choquer les autres confessions.
Heureusement, il reste les agapes, ce réveillon qui réveille les papilles et resserre, pour un temps, la famille dispersée. Mais, là encore, tout a changé : le foie gras est désormais interdit, le Sud-Ouest s'est définitivement reconverti dans le chocolat bio, l'État a finalement cédé face au combat mené par les défenseurs de la cause animale. Personne n'ose peler des clémentines et des oranges sur la majeure partie du territoire français depuis qu'on est tenu de manger local sous peine d'amende. Quant à la bûche de Noël, elle n'est plus à la mode : elle avait un côté chrétien dérangeant et rappelait avec trop de perversité l'agonie de nos forêts décimées...
Au petit matin, les enfants se précipitent autour d'une cheminée décorative qui ne crépite plus depuis maintenant vingt ans : on n'a plus le droit de faire des feux de bois, trop polluants. Les chorales de circonstance entonnent encore timidement quelques chants, mais surtout pas "Il est né, le divin enfant" ou "Douce Nuit", bien trop clivant, on se reporte à la rigueur sur "Vive le vent" ou "Mon beau sapin". La Manécanterie des Petits Chanteurs à la croix de bois, rebaptisée à la hâte, a revu tout son répertoire et laissé les aubes au vestiaire. Saint Nicolas n'a plus le droit de cité à Strasbourg - un évêque qui distribue des bonbons, ça va pas la tête ? - et le père Noël se fait rarissime : ce vieillard autoritaire finissait par traumatiser les enfants, les psychologues ont fini par avoir sa peau. Sans compter que ses amples vêtements pouvaient cacher une bombe : bien trop dangereux pour un rassemblement, le costume est désormais proscrit dans les lieux publics.
Bref, Noël pourrait ressembler demain à une grande fête collective où seuls subsistent les cadeaux que l'on s'offre avec excitation autour d'une date symbolique, avec le vague souvenir qu'il s'agit d'un anniversaire. De qui déjà ? Chut, dire son prénom, c'est politiquement incorrect. Allez, joyeux Noël - pardon, joyeux décembre ! - quand même...
Le joueur de football Djibril Cissé s’est confié pudiquement et avec sincérité sur sa foi. Né musulman, il a grandi dans une famille musulmane et son frère est imam en Belgique. Il s'est converti au catholicisme :
« J’étais pas obligé, parce qu’on ne peut pas dire ‘obligé’, j’étais curieux. Parce qu’on ne m’avait pas appris. Mon père était parti donc je n’avais pas de modèle religieux donc j’ai dit ‘pourquoi pas’ (…) J’ai vraiment accroché » « à 15 ans, je l’ai dit à ma mère, j’ai dit ‘Je pense que j’ai trouvé ma religion, ce n’est pas l’islam’ et ma mère a compris. »
A la suite de sa conversion, les réactions ont été négatives dans son pays d’origine, la Côte d’Ivoire.
Un stade aux couleurs européennes, anciens ennemis buvant même bière, se tenant presque par le cou, beaux joueurs, pour une fois, voulant que le meilleur gagne ! « Seigneur, où donc étiez-vous ? »
Diners d’amoureux, d’amis, de compères, fixés depuis une heure ou espérés depuis des mois, en terrasse, s’il vous plaît, bien en vue, sous un été qui hélas se prolongeait ! « Seigneur, où donc étiez-vous ? »
Partout la paix ! Partout la vie ! Et Paris plus enchanteur que jamais rayonnant d’insouciance et d’éclat sous le mouvement de son élan inextinguible !
Soudain !… Dans le dos et face à face : le Mal ! en personnes, avec du feu sur le corps en ceinture, et dans les bras, de la haine de fous actionnant les gâchettes, visant à bout portant des enfants désarmés, explosant leur propre être en bouquet final de carnage. Quelle piètre victoire !
« Seigneur, mais où donc étiez-vous ? »
« Où étais-je ? Eh bien, je vais te dire où j’étais !
La croix de Saint André est une croix en forme de X. Son nom provient de la forme de la croix qui aurait été utilisée selon la tradition pour supplicier saint André. Ce symbole a été utilisé par de nombreux pays européens. La croix de saint André est parfois appelée croix décussée. En héraldique, elle est appelée sautoir. La croix de Bourgogne est une croix de saint André particulière. La croix de saint André est présente dans la culture européenne, dans l'art religieux, dans la symbolique identitaire de pays, de régions ou de forces politiques, dans la vie pratique.
(...) Thème de l’art religieux. La croix du martyre d’André en forme de X apparaît pour la première fois au xe siècle et devient son attribut iconographique. Au xive siècle, un vitrail (cathédrale de Bourges) affecte à André une croix latine à branches droites. Cette croix en X majuscule est rarement associée à André avant le xive siècle, et c’est surtout l’art bourguignon qui l’a développée.
Extrait de Wikipedia
Surtout, ne pas confondre avec la croix de Néron...
Parmi les lieux visités par le pape en Ouganda, le plus symbolique est sans doute le site des martyrs de Namugongo. C’est ici que le pape donnera sa messe samedi. Un pèlerinage a lieu dans cet endroit tous les 3 juin pour honorer les martyrs : à la fin des années 1880, un grand nombre de chrétiens ont été martyrisés, décapités ou brûlés vifs. En 1920, 22 d’entre eux sont béatifiés. Et Paul VI les canonisera en 1964. François est le troisième pape à se rendre dans cet endroit après Paul VI et Jean-Paul II. (lu sur le site de RFI)
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Le 4 novembre 1696, les fidèles qui assistaient à la sainte Messe dans l'église greco-catholique du village virent la Vierge de l'icône Hodigitria verser larmes. Le phénomène se répète jusqu'au 8 décembre et fut constaté par une foule innombrable qui accourait aussi des pays voisins.
Le curé recueillit dans un mouchoir de soie ces perles précieuses de la "miséricorde" et il les envoya à l'évêque du lieu ; l'enquête confirma l'origine surnaturelle du phénomène. L'empereur d’Autriche –Hongrie, Léopold 1er ordonna alors que l'icône fût transféré à Vienne dans la cathédrale de S. Etienne.
Il faut savoir que l'empereur Léopold Ier avait renouvelé l'acte national de confiance à Marie en 1693. Or c'est en 1696 qu'a eu lieu le miracle des larmes sur l'icône "Hodigitria" à Máriapócs. Et c'est en 1697 que les Turcs seront chassés définitivement du territoire austro-hongrois.
Une minute avec Marie, qu'on peut recevoir chaque jour en écrivant ICI.
Lire aussi MÁRIAPÓCS : NOTRE DAME DES LARMES
Bien vu, non ?
L'entre soi des catholiques français.
Les catholiques français cultivent de plus en plus « l'entre-soi » quasiment dans toutes les paroisses à l'exception de quelques unes peut-être dans le Nord de la France. J'avais pu le constater à Roubaix ou Croix, tous les milieux s'y côtoyaient réellement. On l'observe cet « entre-soi » parmi les 2% de pratiquants réguliers à la messe dominicale, ce qui est d'autant plus préoccupant.
Cet « entre-soi » est avant tout social. Les activités paroissiales ou apostoliques ne sont en fait que des prétextes à l'entretien de ce qui n'est rien d'autre qu'un conservatoire de pratiques d'une minorité favorisée. On s'y retrouve entre enfants dont les parents exercent des professions libérales, généralement par la spécialité du père, ou de la mère (anesthésiste, dentiste, etc...), entre autres.
La suite sur le blog d'Amaury Watremez ...
"Par huit fois, nous l’avons entendu dans l’évangile, le Seigneur proclame le bonheur, la béatitude de ceux qui veulent bien le suivre ; en effet, cette joie est proposée à tous les disciples et non seulement aux apôtres. Le chant d’entrée de ce jour, avec sa magnifique mélodie, avait déjà donné le ton de la célébration, celui de la joie, puisque nous fêtons les saints qui, dans le ciel, après avoir avancé dans la foi tout comme nous, chantent désormais la gloire de Dieu, et l’Église nous invite à partager ce bonheur dans la communion des saints. Ceux qui jouissent de la béatitude éternelle n’étaient pas différents de nous lorsqu’ils cheminaient encore sur cette terre et, parmi eux, il y a certes de grands saints comme saint Jean Paul II ou sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, mais il y a incontestablement aussi des personnes que nous avons connues et fréquentées, il y a tous les saints de nos familles ; ils nous disent que la sainteté est possible, qu’elle est à notre disposition si, comme eux, nous acceptons de prendre les moyens que le Seigneur nous a présentés dans l’Évangile.
"A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines." Léon XIII, Rerum Novarum
Rappelons-nous :
Cet usage s'est ensuite étendu à toute l'Église catholique.
Lu ICI.
Une information médiatisée juste avant l'ouverture du synode sur la famille.
Un pur hasard.
C’est la dernière en date des folles nouvelles qui nous arrivent de Rome à l’orée du synode sur la famille. Comment imaginer que l’« outing » de Mgr Krzysztof Charamsa dans les colonnes du Corriere della Sera ce samedi matin, à quelques heures de l’ouverture du synode, n’ait pas été soigneusement programmé, et de longue date, par le lobby qui veut voir l’Eglise changer sa doctrine quant au caractère « intrinsèquement désordonné » de l’homosexualité et à la nature gravement peccamineuse des actes homosexuels ? La réponse du Vatican n’a pas tardé – sans tergiversations ni démentis, le P. Federico Lombardi a fait paraître un communiqué pour annoncer que Mgr Charamsa ne pourra continuer à travailler à son poste actuel.