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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 11:02
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28 décembre 2009 1 28 /12 /décembre /2009 23:23

 

Les Saints Innocents, pauvres comme le Christ pauvre

     Non loin d'Etienne, le premier des martyrs, se tiennent les « flores martyrum », les fleurs des martyrs, les tendres bourgeons arrachés avant d'être mûrs pour s'offrir eux-mêmes. Selon une pieuse tradition, la grâce a devancé le développement naturel de ces enfants innocents et leur a donné la compréhension de ce qui leur arrivait afin de les rendre capables d'un don libre d'eux-mêmes et de leur assurer la récompense réservée aux martyrs. Mais même ainsi, ils ne ressemblent guère au confesseur de la foi parvenu à l'âge d'homme qui s'engage avec un courage héroïque pour la cause du Christ. Livrés sans défense, ils ressemblent bien plus aux « agneaux conduits à l'abattoir » (Is 53,7; Ac 8,32).

      C'est ainsi qu'ils sont l'image de la plus extrême pauvreté. Ils ne possèdent nul autre bien que leur vie. Et maintenant elle leur est prise aussi et cela s'accomplit sans qu'ils résistent. Ils entourent la crèche pour nous montrer de quelle nature est la myrrhe que nous devons offrir à l'Enfant divin : celui qui veut lui appartenir totalement doit se livrer à lui dans un total dessaisissement de soi-même et s'abandonner au bon vouloir divin comme ces enfants.


Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix [Edith Stein] (1891-1942), carmélite, martyre, copatronne de l'Europe
Méditation pour le 6 janvier 1941 (trad. Source cachée, p. 271)

                                                                                         Lu dans
levangileauquotidien

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24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 11:06

Comment Ignace de Loyola propose de contempler la Nativité dans le livret des "Exercices spirituels":
www.jesuites.com/ignace/nativite.htm

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 09:59
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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 23:22

 

par Benoît XVI



Rome, Palais Apostolique du Vatican, Chapelle Pauline, le 1er décembre 2009

Chers frères et sœurs, les paroles du Seigneur que nous venons d’entendre dans le passage de l’évangile (Luc 10, 21-24) sont pour nous, théologiens, un défi ou peut-être, pour mieux dire, une invitation à faire un examen de conscience : qu’est-ce que la théologie ? Nous, théologiens, que sommes-nous ? Comment bien faire de la théologie ? Nous avons entendu le Seigneur louer le Père d’avoir caché le grand mystère du Fils, le mystère trinitaire, le mystère christologique, aux sages, aux savants - ils ne l’ont pas connu - mais de l’avoir révélé aux tout-petits, aux "nèpioï", à ceux qui ne sont pas savants, qui n’ont pas une grande culture. C’est à eux qu’a été révélé ce grand mystère.

Par ces paroles, le Seigneur décrit simplement un fait de sa vie ; un fait qui commence dès l’époque de sa naissance, quand les Mages de l’Orient demandent aux gens compétents, aux scribes, aux exégètes, quel est le lieu de la naissance du Sauveur, du Roi d’Israël. Les scribes le savent parce que ce sont de grands spécialistes ; ils peuvent dire tout de suite où naît le Messie : à Bethléem ! Mais ils ne se sentent pas invités à y aller : pour eux cela reste une connaissance académique, qui ne touche pas leur vie ; ils restent en dehors. Ils peuvent donner des informations, mais l’information ne devient pas formation de leur vie.

Puis, pendant toute la vie publique du Seigneur, on trouve la même chose. Il est impossible, pour les savants, de comprendre que cet homme qui n’est pas savant, qui est un galiléen, puisse être vraiment le Fils de Dieu. Il reste inacceptable, pour eux, que Dieu, le grand, l’unique, le Dieu du ciel et de la terre, puisse être présent en cet homme. Ils savent tout, ils connaissent aussi Isaïe 53, toutes les grandes prophéties, mais le mystère reste caché. Au contraire il est révélé aux petits, depuis la Vierge Marie jusqu’aux pêcheurs du lac de Galilée. Ils savent, comme le capitaine romain sous la croix sait : celui-ci est le Fils de Dieu.

la suite  http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=0712091_magister

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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 23:06


Bernadette Soubirous affirme que, le 25 mars 1858, soit quatre ans après
la promulgation du dogme dont elle n'avait pas connaissance, la dame qui lui est apparue s'est elle-même présentée ainsi, en gascon, dans la grotte de Massabielle (à Lourdes) : Que soy era immaculada councepciou (« Je suis l'immaculée conception »).



lu sur Wikipedia

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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 23:56
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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 00:17

Direct à Notre Dame
29/11/2009
120mn

 

ici     kto

mais aussi ...

Consécration épiscopale du nouvel évêque aux Armées Mgr Luc Ravel
présidée par le cardinal André VingtTrois archevêque de Paris
Mgr Ravel est interviewé par le service communication à une semaine de son ordination épiscopale.
Mgr Luc Ravel sera consacré évêque par le Cardinal André Vingt-Trois, dimanche
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 10:09
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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 18:15

au Mont des Cats, en Flandre  

d'autres photos ici

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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 11:50
    Les corps des défunts doivent être traités avec respect et charité dans la foi et l’espérance de la résurrection.
    L’ensevelissement des morts est une œuvre de miséricorde corporelle (cf. Tb 1, 16-18) ; elle honore les enfants de Dieu, temples de l’Esprit Saint.(...).
    L’Église permet l’incinération si celle-ci ne manifeste pas une mise en cause de la foi dans la résurrection des corps.
L'Abbé François-Xavier Camper donne des précisions utiles (extrait du Bulletin n°20 du Prieuré N.D. de la Merci ) :

1/ Bref historique :

Le 30 mars 1886, le docteur Blatin, franc-maçon notoire fit adopter, au cours de la discussion de la loi sur la liberté des funérailles„ un amendement, aux termes duquel tout citoyen peut adopter l'inhumation ou l'incinération pour son mode de sépulture.(...) La possibilité en fut donc offerte aux Français,mais l'usage ne s'établit pas, choquant trop les mentalités chrétiennes et le Saint Siège s'y opposa rigoureusement. (Selon) la tradition catholique, l'inhumation confie la dépouille humaine à la terre ou à une chambre sépulcrale pour l'y laisser à l'action des causes naturelles.

2/ La tradition apostolique :

C'est un fait historique établi que les catholiques, dès le début du christianisme, ont inhumé leurs défunts. II y a là une tradition multiséculaire remontant aux origines (...). Avec l'extension de Église se propage l'inhumation des corps des défunts, quelles que soient les coutumes préexistantes et la variété des peuples (...). les catholiques se sont toujours fait inhumer, si loin que l'on remonte dans notre histoire et le fondement en est dans l'autorité des Apôtres eux-mêmes.

3/ Les corps des saints :

On ne détruit pas violemment l'enveloppe charnelle dans la religion catholique, car elle a aussi contribué à la sanctification. C'est Dieu qui l'a créée par un acte particulier (Gen. I, 26) et elle a reçu toutes les onctions, bénédictions dont use l'Église pour notre salut : le corps a été sanctifié par les sacrements (baptême, Sainte Eucharistie, ...) qui sont des signes sensibles aux effets surnaturels. Ainsi, la nature sensible est associée, autant qu'il lui est possible, à l'oeuvre de la grâce sanctifiante. C'est pourquoi en tous temps les restes des saints ont été entourés de respect et même de vénération (cultes, reliques, ...) et au surplus malgré bien des périls parfois, leurs corps ont été inhumés (en des lieux bénis aussi).

4/ Le sommeil de la mort :

Bien plus, les catholiques parlent de la mort comme d'un sommeil. A propos de Lazare mort, Jésus dit : "Lazare notre ami s'est endormi... mais je vais le réveiller" (St Jn, XI, 11). "Ceux qui dorment" dit ensuite Saint Paul, exprimant que la mort est seulement un état temporaire pour les défunts, comme un sommeil. Aussi les dépose-t-on dans le cimetière (du grec dormitorio) (...) comme la semence mortelle destinée à germer dans l'immortalité  (I cor XV, 42). Ce sommeil de la mort, sommeil particulier il est vrai, doit être respecté, car il n'est que la préparation d'un réveil éclatant : celui de la résurrection future des morts. La foi en la résurrection des morts où chacun par la puissance divine retrouvera son corps, entraîne le respect du corps des défunts amené à revivre glorieusement pour la béatitude du ciel, c'en est même la raison centrale. L'inhumation, ainsi comprise, est un acte de foi en la résurrection future. Pour l'instant le corps est livré aux forces dissolvantes, mais comme dans la germination, c'est dans l'attente, en préparation d'une vie plus florissante.

5/ Notre configuration au Christ

L'inhumation manifeste, à la différence de l'incinération, l'union mystique du catholique avec le Christ : elle le rend conforme même dans la sépulture avec son Chef "prémices de ceux qui dorment" comme nous le rappelait la liturgie pascale et dont le Corps fut déposé dans un tombeau et non brûlé avant de ressusciter le troisième jour.

N'épousons pas les idées du monde, mais celles de Jésus-Christ notre Sauveur.

merci à EVR
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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 19:43

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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 19:43
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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 21:48



L'historicité de l'Evangile de l'enfance selon Saint Luc (I)

L'évangile de l'enfance selon Luc est préfacé par une claire déclaration d'historicité :
« Puisque beaucoup ont entrepris de composer un récit des évènements accomplis parmi nous, d'après ce que nous ont transmis ceux qui furent depuis le commencement témoins oculaires, et sont devenus serviteurs de la Parole, il m'a paru bon, à moi aussi, après m'être rigoureusement informé de tout depuis l'origine, d'en écrire pour toi un récit en bon ordre excellent Théophile, pour que tu saches la certitude des paroles que tu as reçues. »
Le souci des « témoins oculaires », affirmé par ce Prologue, est patent dans les deux chapitres de l'enfance. Luc se réfère, à 3 reprises, aux témoins qui « gardaient ces paroles évènements » dans leur coeur (Luc 1, 66 ; 2, 19 et 51). Et son Évangile témoigne constamment du souci de s'informer, non seulement auprès des Douze, mais de la famille de Jésus, et des femmes qui l'avaient accompagné comme disciples dans son ministère (Ac 8, 1-3, etc.). Dans les actes des Apôtres (1, 14), il situe en bonne place dans la communauté primitive, ces 2 catégories (femmes et famille) au recoupement desquelles il nomme : « Marie, Mère de Jésus », témoin et source des récits de l'enfance, selon Lc 2, 19 et 51.

René Laurentin, "Les évangiles de Noël"

 

 

 

 

vu sur le site         http://www.mariedenazareth.com/7074.0.html?&L=0   

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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 18:17



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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 10:03
Samedi 13 octobre 1917 à Fatima
 

La foule a la Cova da IriaCe 13 octobre, malgré la pluie, la foule était au nombre de 50 000 à 60 000 personnes !. Certains étaient venu de très loin pour assister à l'Apparition promise. Parmi cette masse, des incroyants étaient eux aussi là, prêt à intervenir dans le cas où il ne se passerait pas le miracle annoncé par Notre-Dame, les mois précédents.

Pour la première fois, la mère de Lucie pensa au drame qui pourrait survenir si le miracle du Ciel ne se produirait pas !, tandis que les parents de François et de Jacinthe, eux, avaient une grande confiance sur les promesses de la Sainte Vierge ; quant aux enfants, ils ne se troublaient pas du tout devant une si imposante foule.

Pour réciter le chapelet la foule ferma les parapluies, bien qu'il pleuvait assez à cet instant, et, dans la boue, les fidèles s'agenouillèrent.
Il était déjà 13h30 et certains incroyants commençaient à exciter les gens à cause que le miracle était annoncé pour midi. Pourtant, la Sainte Vierge était à l'heure ! En effet, le gouvernement de l'époque, en pleine première guerre mondiale, avait imposé au pays une heure légale qui avançait de 90 minutes sur l'heure solaire ; mais le Ciel n'a que faire de l'heure des hommes !... à l'heure du soleil il était bien midi et, regardant du côté du Levant, la petite
Lucie vit la lumière qui précède chaque Apparition ; et, en effet, Notre-Dame apparut du dessus du chêne-vert. S'adressant à Lucie, Elle lui dit :

 

« Je veux te dire que l'on fasse ici une chapelle en mon honneur. Je suis Notre-Dame du Rosaire. Que l'on continue toujours à réciter le chapelet tous les jours. La guerre va finir et les militaires rentreront bientôt chez eux. »
Là encore, de nombreuses demandes de guérison étaient demandé à Notre-Dame.
« Les uns guérirons, les autres non, car il faut qu'ils se corrigent, qu'ils demandent pardon de leurs péchés. [et prenant un air plus triste] : Il faut cesser d'offenser davantage Dieu Notre Seigneur, car Il est déjà trop offensé », dit Notre-Dame.

Pendant qu'Elle s'entretenait avec la petite voyante, la foule vit par trois fois se former autour du chêne une nuée, qui, ensuite, s'éleva dans l'air pour finalement disparaître.
Interrogée le jour même de ce 13 octobre 1917 par l'abbé Formigão, la petite Lucie dit que « Notre-Dame a demandé de réciter le chapelet, de nous corriger de nos péchés, demander pardon à notre Seigneur, mais n'a pas parlé de pénitence. » (source : "Témoignages sur les apparitions de Fatima", par le Père de Marchi, 1974, p. 209).


Pendant le miracle
La foule observant le miracle du soleil



Pendant que Notre-Dame s'élevait, le reflet de la lumière qui se dégageait d'Elle se projeta sur le soleil. C'est à ce moment que la foule put contempler la danse du soleil : la pluie cessa soudainement et les nuages se dispersèrent brusquement, laissant apparaître un ciel clair. La foule put alors regarder directement le soleil sans risque de se brûler les yeux ni sans être aucunement incommodé. Devant ce si grand miracle, défiant toutes les lois de la nature, il y avait un grand silence ...

la suite ici  http://www.fatima.be/fr/fatima/vision/soleil.php

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9 octobre 2009 5 09 /10 /octobre /2009 11:15

Tout est grâce - Retraite avec Georges Bernanos dans la lumière de sainte Thérèse de Lisieux

Mgr Gaucher nous invite à une retraite spirituelle avec l’auteur du Journal d’un curé de campagne. Saisissant.

 Voilà un livre surprenant : tout le contraire du divertissement de plage, il nous saisit au cœur pour nous entraîner vers les chemins escarpés d’une exigeante méditation. La proposition, en revanche, n’a rien d’inattendu. Après Bernanos ou l’invincible espérance (Cerf, 1994), Mgr Guy Gaucher nous propose une « retraite avec Georges Bernanos dans la lumière de sainte Thérèse de Lisieux », fruit d’une retraite prêchée à un carmel féminin sur la spiritualité thérésienne de l’écrivain.

Collant aux écrits de Bernanos, l’évêque auxiliaire émérite de Bayeux-Lisieux, carme lui-même, décrypte tous les grands thèmes qui forment la charpente d’une œuvre colossale (tant d’un point de vue littéraire que spirituel). Prouvant au passage que l’univers bernanosien est tout, sauf sinistre et poisseux.

Certes, Bernanos est ce qu’on peut appeler un « écrivain torturé », hanté jusqu’à l’extrême par la question du péché sous toutes ses formes, mensonge, médiocrité, perversité, lâcheté, drogue, etc. Certes, il regarde la misère en face, misère matérielle et morale qui le transperce. Mais il sort triomphant de ce combat de Jacob, au bout duquel se trouve « une autre aurore », une autre joie, une autre espérance. La prière le tire de l’abîme. Et la petite voie d’enfance, suivie aux côtés de sainte Thérèse de Lisieux, le calme de ses angoisses.

Sans ce face-à-face avec Dieu, le mystère de la grâce ne se serait jamais aussi bien incarné en romans… et des générations de lecteurs n’auraient peut-être jamais eu accès à cette part secrète d’eux-mêmes. C’est ce que fait admirablement ressortir Mgr Gaucher.

Écoutons plutôt cette confidence merveilleuse, recueillie dans La Lettre aux Anglais datée de fin 1940 : « L’expérience m’a prouvé trop tard qu’on ne saurait expliquer les êtres par leurs vices, mais au contraire par ce qu’ils ont gardé d’intact, de pur, par ce qui reste en eux de l’enfance, si profond qu’il faille chercher ».

Le livre est dense. Mais, redisons-le, on ne voit pas passer les pages. Un été avec Bernanos ? On saute sur l’occasion.

Diane Gautret

lu ici : http://www.famillechretienne.fr/livres/litterature_c20_s264.html

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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 18:09
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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 13:04
Mgr Luc Ravel, nouvel évêque aux Armées

R Le pape Benoit XVI nomme, ce jour, évêque auxiliaire de Lyon Mgr Patrick Le Gal, qui était jusqu'à présent évêque aux Armées. Et il nomme Mgr Luc Ravel (biographie), de la congrégation des chanoines réguliers de Saint-Victor, évêque aux Armées.



Michel Janva

 

une information lue ici : http://www.lesalonbeige.blogs.com/
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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 23:09

 

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 23:01


C'était cet été ...

Feuilleton de la semaine
Mission à St-Tropez :
Anuncio !

300 jeunes décidés à annoncer la bonne nouvelle de Jésus-Christ aux baigneurs, sur les plages de Côte d'Azur. C'est parti !


ICI

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 22:50

... se demande la newsletter de l'émission  "le jour du Seigneur" ...


Pèlerinage du Rosaire 2009
Bernadette

Son visage rayonne de paix

Cette année le Rosaire emboîte le pas de la sainte. Une sainte dont le corps, en châsse, est encore visible aux yeux des pèlerins : tout-à-fait intact ! Les pèlerins sont touchés par la paix qui émane de son visage. Témoignages et parole d'expert. 



http://www.lejourduseigneur.com/index.php/jds/Emissions/Reliques-des-saints-presence-de-Dieu

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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 15:21

 


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En quittant Castel Gondolfo, le Saint Père a évoqué Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face. Docteur de l'Eglise, Patronne des missions et Patronne secondaire de la France :

 

"[elle] montre que seule la Parole accueillie et concrètement appliquée est source de vie nouvelle. Dans une société largement imprégnée de rationalisme et de matérialisme, par sa petite voie qui touche à l'essence des choses, la petite Thérèse répond encore aux grandes questions de la vie".

sur http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 21:58

 

 

                                                          Saint Jerôme

Né dans une riche famille païenne, il eut une jeunesse dissolue. Il étudia à Rome et devint homme de loi. Il vécut pendant de longues années dans le désert syrien et on dit qu'il extirpa une épine de la patte d'un lion; l'animal lui resta fidèle des années durant. Disciple de Saint Grégoire de Nazianzen, puis secrétaire du Pape Damasus, qui lui demanda de réviser le texte latin de la Bible. Le résultat de ses 30 années de travail, fut la traduction connue sous le nom de Vulgate, qui est encore en usage de nos jours. Il passa les 34 dernières années de sa vie en Terre Sainte en demi reclus. Il écrivit des traductions d'Origène, des histoires, des biographies et bien d'autres textes. Docteur de l'Eglise, Père de l'Eglise. Depuis lors il a été associé à tout ce qui touche aux manuscrits, à l'écriture, à la traduction, etc.
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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 11:56

Figure de l'émission de télé-réalité «The Monastery» sur la BBC, le père Christopher Jamison, de l'abbaye de Worth, présente les applications de la vie monastique et des enseignements de saint Benoît à nos vies modernes souvent chaotiques.

Saint Benoît écrivit sa règle monastique il y a quinze siècles. Cette règle guide encore de nombreuses personnes de nos jours, et elle est à l'origine des monastères bénédictins et des couvents du XXIe siècle.

L'auteur suggère des manières d'appliquer cette sagesse en dehors du monastère. Il s'adresse avant tout à ceux qui ne sont pas sûrs de ce en quoi ils croient mais qui sont à la recherche d'un espace de spiritualité et de paix.




http://www.presses-renaissance.fr/livre.php?ean13=9782750903633

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